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Board: [618] Actualité des Alliances
Topic: [173859] La Grande Bataille pour Paris - Décembre 1212 (la Légion Noire).
[-173859]
[Usuario Eliminado] [None]
:: Dec. 22, 2012, 1:57 p.m.
En cette fin d'après-midi de décembre, le soleil disparaît lentement à l'horizon....
Un bruit de sandales, parées de fer résonne sur le pavé qui mène au chemin de ronde ouest.
Des pestiférés ! Crie le garde de faction… Rentrez en vos demeures, un bûcher va être dressé pour les brûler
Au détour de la place du Gibet, un étranger qui traîne son ombre le long des façades intrigue le prévôt. Qui es-tu toi, drapé de noir ? Que cache ta capeline ? Une face de rôdeur !
« Hors de nos murs !! Et portes ce message à ton maître : Nos remparts sont hauts, nos murs épais et nos lames tranchantes... ».
Inquiet de ce nombre croissant d’incidents le même jour…
« Je m’en vais quérir le Bailli et lui relater ces faits », se dit-il.
Aussitôt dit, le Bailli mis au courant, le conseil de la Ville fut réunit. Déjà depuis la capture de la Capitale par les troupes de Messire Lagardère, promptement rejointes par l’alliance de la Légion Noire, de lourdes menaces pèsent sur le lieu hautement stratégique.
Peu d’hésitation retarda la décision :
« Il nous faut rassembler les défenses, faire mander les troupes de l’Alliance et forger de nombreux engins ! »
Des messages furent envoyés vers les Châteaux des Généraux de la Légion Noire avec pour mission de leurs décrire la situation. Un envoyé spécial fut chargé d’une mission de la plus haute importance auprès du Roi… Rallier à notre cause les Alliances amies.
L’horloge du clocher voisin indique 6h30, et le soleil lance maintenant ses rayons mordorés au travers du feuillage de la forêt de Malpeste qui borde le village de Légoire, au pied de la Capitale.
Soudain l’attention d’un garde est captée par une lueur qui danse près du rempart Nord. Un feu vient de se déclarer…
Il dévale rapidement les hauts escaliers de pierre, pour débouler au pied du tocsin, qu’il s’empresse de faire sonner.
La populace ameutée vient aux nouvelles. Mais voilà qu’un deuxième, puis un troisième feu illumine la citée, qui s’apprêtait à passer une soirée tranquille au coin de l’âtre…
Ce n’est plus le fruit du hasard, Paris est attaquée, des sabotages sont en cours !
Les troupes du Sergent de Guet sont alertées, la salle de Garde est en effervescence et des hommes, la cote de maille sur l’épaule, s’habillent en hâte.
La défense de la ville se met en place.
Le Bailli, interpellé par les appels de plus en plus nombreux venant du bas de la ville, observe les évènements du balcon principal du Palais. Il s’inquiète du sort de ses messagers…
La Légion Noire est-elle en marche vers Paris ? Notre Roi a-t-il pu convaincre les alliés de nous soutenir ?
Visiblement nous allons devoir faire face à un siège en règle !
Les évènements à venir vont lui donner raison…
Dans la nuit naissante, la lueur de milliers de torches illumine au loin le paysage. Il ne fait plus aucun doute qu’une troupe nombreuse est en marche vers la capitale !
Les ruelles de la capitale grouillent désormais de monde. Ici, les uns s’attelant à porter leur aide à monter les cuves de poix, là les autres prenant positions sur les remparts.
Les portes principales de la Cité s’entrouvrent pour laisser rentrer la populace du bourg voisin, les hautes murailles de la Capitale seront une protection plus sûre…
Mais voici qu’apparaissent à l’orée du bois de Malpeste les premières troupes ennemies !
Les premières balistes se mettent en place, l’ennemi est venu avec la ferme intention de ne laisser que mort et souffrance derrière lui !
Nos archers ont pris place les premiers derrière les meurtrières, leur carquois bien fournis et calés à leurs pieds. Ils assureront la première vague afin de briser l’élan des assauts ennemis.
Tout à coup une troupe nombreuse et à cheval surgit du bois… Leur objectif mettre le feu à la grande porte pour permettre une intrusion en force !
Tous munis de torche fonce à brides abattues vers celle-ci !
Les archers redoublent d’adresse et décochent leurs flèches… Les cavaliers mordent la poussière les uns après les autres, mais beaucoup parviennent à progresser vers leur objectif…
Vont-ils réussirent leur funeste projet ? La grande porte va-t-elle s’embraser pour finir par céder… ?
Le chef du rempart principal pose sa main sur l’épaule de Gaetan, archer d’élite, et lui indique la cible… Soudain le ciel flamboie, un fossé creusé en avant du fossé ceignant les murailles s’embrase au contact de la flèche enflammée de Gaetan.
Un rideau de 10 mètres de hauteur barre le chemin aux cavaliers. La grande porte ne peut plus être atteinte…
« Hisser les pierres ! »
« Les hallebardiers en renfort sur la muraille Sud ! »
« Faites la chaîne aux puits de la ville ! »
« Amenez les enfants au donjon ! »
Les ordres fusent de toutes parts. Des hommes en armure courent vers les murailles, la défense de la Cité se met en place.
Soudain le sol tremble…Un moment les hommes s’arrêtent, s’interrogent, s’inquiètent…
La première menace écartée, que nous réserve l’ennemi ?
Au loin, les tours d’assaut ont pris le relai des cavaliers. Elles avancent inéluctablement vers la Ville, garnies jusqu’à la gueule d’hommes de troupes lourdement armés.
« Préparez-vous au contact avec l’ennemi ! » crie un sergent.
Les troupes en présence vont s’affronter au corps à corps pour la possession de la Capitale !
Les premières tours arrivent au pied des murailles. Les passerelles s’abattent sur les murs et voient l’ennemi déferler en nombre. Les défenseurs font front et repousse l’agresseur. Nombreux, de part et d’autre, sont ceux qui tombent sous les coups d’épées ou de haches.
L’ennemi est obligé d’enjamber ses propres corps pour tenter de prendre position sur les remparts. Les défenseurs plient, mais tiennent bon. Pas à pas ils repoussent les assauts.
« A droite ! Attention, ils avancent ! Repoussez-les ! » furent les dernières paroles de ce garde qui vient de succomber à un coup de hache.
Du haut de son balcon, le bailli tente d’évaluer la situation. La défense tiendra-t-elle face à ces hordes de plus en plus nombreuses ?
Baoum, baoum… La grande porte est à nouveau la cible de nos ennemis, cette fois à coups de béliers, ils tentent de la faire tomber !
« Qu’on apporte des étais ! » « Là-haut, tenez-vous prêts à déverser la poix brûlante sur nos assaillants ! »
Une fois encore, la vaillance des défenseurs a permis de sauver l’accès principal de la Cité.
Mais combien de temps allons-nous encore tenir ainsi ? Pensa le Bailli…
L’ennemi se compte désormais par milliers, les 4 remparts sont assaillis, et visiblement on a battu le rappel pour cette tentative de conquête, car il y a par ici des porteurs de masse vétérans… par là de simples arbalétriers. L’ennemi a jeté toutes ses forces dans la bataille !
Dans le brouhaha des chocs d’armures, des coups d’épées et des corps qui tombent… soudain au loin retentit le sourd cri d’un cor !
Une blessure à l’épaule, le bras couvert de sang, un garde de la Cité s’écrie : « La Légion, la Légion ! »
En effet, venant du Nord-Ouest, apparaissent les premiers étendards des Seigneurs de la Légion Noire.
Ce qui n’était qu’une ligne à l’horizon, devient une masse de plus en plus importante d’hommes et de chevaux qui avancent promptement vers l’ennemi.
Celui-ci se retrouve maintenant pris entre deux feux…
Les premiers assauts donnés par les cavaliers déciment les arrières-postes. Rapidement les lignes ennemies s’effondrent sous les coups de boutoir de nos troupes.
Enfin le gros des renforts couvre à présent toute la campagne…
L’ennemi n’a plus qu’à se résigner à une retraite immédiate s’il ne veut pas voir le reste de ses troupes se faire décimer par le feu croisé des défenseurs de la Cité et celui des renforts avançant inexorablement afin de les encercler…
Peu à peu le vacarme de la bataille s’estompe. Ca et là quelques hommes détalent encore, poursuivis par les cavaliers de la Légion.
Le bailli quitte son poste d’observation pour aller au devant des Seigneurs de la Légion, afin de leurs témoigner la juste reconnaissance pour leur soutien à défendre la Capitale.
Les feux sont maintenant éteints. Les armes ont retrouvé leur fourreau. Les cris se sont tus…
Place aux médecins, guérisseurs et sorcières, qu’ils oeuvrent à soulager les douleurs et à panser les blessures.
Ce soir nous pleurerons nos frères et sœurs tombés au combat… Mais nous nous réjouirons aussi d’avoir pu défaire l’ennemi !
« Légionnaires ! Vous avez participé à une bataille qui restera dans les mémoires. Vous pouvez être fier d’avoir apporté la Victoire à nos Couleurs… »
Ce soir a lieu dans la grande salle des banquets du Palais un repas de fête. A la table principale, dressée sur l'estrade dominante, le Bailli est assis en compagnie des Seigneurs de la Légion.
Profitant d'un moment de silence, il lève sa coupe et dit :"Messeigneurs, n'oublions pas, en ce jour, nos alliés ! Sans leur indéfectible soutien et leur très grande générosité, nous n'aurions pu avancer aussi vite et aussi bien dans la construction de notre belle Capitale. Portons-leurs un toast !"
Un bruit de sandales, parées de fer résonne sur le pavé qui mène au chemin de ronde ouest.
Des pestiférés ! Crie le garde de faction… Rentrez en vos demeures, un bûcher va être dressé pour les brûler
Au détour de la place du Gibet, un étranger qui traîne son ombre le long des façades intrigue le prévôt. Qui es-tu toi, drapé de noir ? Que cache ta capeline ? Une face de rôdeur !
« Hors de nos murs !! Et portes ce message à ton maître : Nos remparts sont hauts, nos murs épais et nos lames tranchantes... ».
Inquiet de ce nombre croissant d’incidents le même jour…
« Je m’en vais quérir le Bailli et lui relater ces faits », se dit-il.
Aussitôt dit, le Bailli mis au courant, le conseil de la Ville fut réunit. Déjà depuis la capture de la Capitale par les troupes de Messire Lagardère, promptement rejointes par l’alliance de la Légion Noire, de lourdes menaces pèsent sur le lieu hautement stratégique.
Peu d’hésitation retarda la décision :
« Il nous faut rassembler les défenses, faire mander les troupes de l’Alliance et forger de nombreux engins ! »
Des messages furent envoyés vers les Châteaux des Généraux de la Légion Noire avec pour mission de leurs décrire la situation. Un envoyé spécial fut chargé d’une mission de la plus haute importance auprès du Roi… Rallier à notre cause les Alliances amies.
L’horloge du clocher voisin indique 6h30, et le soleil lance maintenant ses rayons mordorés au travers du feuillage de la forêt de Malpeste qui borde le village de Légoire, au pied de la Capitale.
Soudain l’attention d’un garde est captée par une lueur qui danse près du rempart Nord. Un feu vient de se déclarer…
Il dévale rapidement les hauts escaliers de pierre, pour débouler au pied du tocsin, qu’il s’empresse de faire sonner.
La populace ameutée vient aux nouvelles. Mais voilà qu’un deuxième, puis un troisième feu illumine la citée, qui s’apprêtait à passer une soirée tranquille au coin de l’âtre…
Ce n’est plus le fruit du hasard, Paris est attaquée, des sabotages sont en cours !
Les troupes du Sergent de Guet sont alertées, la salle de Garde est en effervescence et des hommes, la cote de maille sur l’épaule, s’habillent en hâte.
La défense de la ville se met en place.
Le Bailli, interpellé par les appels de plus en plus nombreux venant du bas de la ville, observe les évènements du balcon principal du Palais. Il s’inquiète du sort de ses messagers…
La Légion Noire est-elle en marche vers Paris ? Notre Roi a-t-il pu convaincre les alliés de nous soutenir ?
Visiblement nous allons devoir faire face à un siège en règle !
Les évènements à venir vont lui donner raison…
Dans la nuit naissante, la lueur de milliers de torches illumine au loin le paysage. Il ne fait plus aucun doute qu’une troupe nombreuse est en marche vers la capitale !
Les ruelles de la capitale grouillent désormais de monde. Ici, les uns s’attelant à porter leur aide à monter les cuves de poix, là les autres prenant positions sur les remparts.
Les portes principales de la Cité s’entrouvrent pour laisser rentrer la populace du bourg voisin, les hautes murailles de la Capitale seront une protection plus sûre…
Mais voici qu’apparaissent à l’orée du bois de Malpeste les premières troupes ennemies !
Les premières balistes se mettent en place, l’ennemi est venu avec la ferme intention de ne laisser que mort et souffrance derrière lui !
Nos archers ont pris place les premiers derrière les meurtrières, leur carquois bien fournis et calés à leurs pieds. Ils assureront la première vague afin de briser l’élan des assauts ennemis.
Tout à coup une troupe nombreuse et à cheval surgit du bois… Leur objectif mettre le feu à la grande porte pour permettre une intrusion en force !
Tous munis de torche fonce à brides abattues vers celle-ci !
Les archers redoublent d’adresse et décochent leurs flèches… Les cavaliers mordent la poussière les uns après les autres, mais beaucoup parviennent à progresser vers leur objectif…
Vont-ils réussirent leur funeste projet ? La grande porte va-t-elle s’embraser pour finir par céder… ?
Le chef du rempart principal pose sa main sur l’épaule de Gaetan, archer d’élite, et lui indique la cible… Soudain le ciel flamboie, un fossé creusé en avant du fossé ceignant les murailles s’embrase au contact de la flèche enflammée de Gaetan.
Un rideau de 10 mètres de hauteur barre le chemin aux cavaliers. La grande porte ne peut plus être atteinte…
« Hisser les pierres ! »
« Les hallebardiers en renfort sur la muraille Sud ! »
« Faites la chaîne aux puits de la ville ! »
« Amenez les enfants au donjon ! »
Les ordres fusent de toutes parts. Des hommes en armure courent vers les murailles, la défense de la Cité se met en place.
Soudain le sol tremble…Un moment les hommes s’arrêtent, s’interrogent, s’inquiètent…
La première menace écartée, que nous réserve l’ennemi ?
Au loin, les tours d’assaut ont pris le relai des cavaliers. Elles avancent inéluctablement vers la Ville, garnies jusqu’à la gueule d’hommes de troupes lourdement armés.
« Préparez-vous au contact avec l’ennemi ! » crie un sergent.
Les troupes en présence vont s’affronter au corps à corps pour la possession de la Capitale !
Les premières tours arrivent au pied des murailles. Les passerelles s’abattent sur les murs et voient l’ennemi déferler en nombre. Les défenseurs font front et repousse l’agresseur. Nombreux, de part et d’autre, sont ceux qui tombent sous les coups d’épées ou de haches.
L’ennemi est obligé d’enjamber ses propres corps pour tenter de prendre position sur les remparts. Les défenseurs plient, mais tiennent bon. Pas à pas ils repoussent les assauts.
« A droite ! Attention, ils avancent ! Repoussez-les ! » furent les dernières paroles de ce garde qui vient de succomber à un coup de hache.
Du haut de son balcon, le bailli tente d’évaluer la situation. La défense tiendra-t-elle face à ces hordes de plus en plus nombreuses ?
Baoum, baoum… La grande porte est à nouveau la cible de nos ennemis, cette fois à coups de béliers, ils tentent de la faire tomber !
« Qu’on apporte des étais ! » « Là-haut, tenez-vous prêts à déverser la poix brûlante sur nos assaillants ! »
Une fois encore, la vaillance des défenseurs a permis de sauver l’accès principal de la Cité.
Mais combien de temps allons-nous encore tenir ainsi ? Pensa le Bailli…
L’ennemi se compte désormais par milliers, les 4 remparts sont assaillis, et visiblement on a battu le rappel pour cette tentative de conquête, car il y a par ici des porteurs de masse vétérans… par là de simples arbalétriers. L’ennemi a jeté toutes ses forces dans la bataille !
Dans le brouhaha des chocs d’armures, des coups d’épées et des corps qui tombent… soudain au loin retentit le sourd cri d’un cor !
Une blessure à l’épaule, le bras couvert de sang, un garde de la Cité s’écrie : « La Légion, la Légion ! »
En effet, venant du Nord-Ouest, apparaissent les premiers étendards des Seigneurs de la Légion Noire.
Ce qui n’était qu’une ligne à l’horizon, devient une masse de plus en plus importante d’hommes et de chevaux qui avancent promptement vers l’ennemi.
Celui-ci se retrouve maintenant pris entre deux feux…
Les premiers assauts donnés par les cavaliers déciment les arrières-postes. Rapidement les lignes ennemies s’effondrent sous les coups de boutoir de nos troupes.
Enfin le gros des renforts couvre à présent toute la campagne…
L’ennemi n’a plus qu’à se résigner à une retraite immédiate s’il ne veut pas voir le reste de ses troupes se faire décimer par le feu croisé des défenseurs de la Cité et celui des renforts avançant inexorablement afin de les encercler…
Peu à peu le vacarme de la bataille s’estompe. Ca et là quelques hommes détalent encore, poursuivis par les cavaliers de la Légion.
Le bailli quitte son poste d’observation pour aller au devant des Seigneurs de la Légion, afin de leurs témoigner la juste reconnaissance pour leur soutien à défendre la Capitale.
Les feux sont maintenant éteints. Les armes ont retrouvé leur fourreau. Les cris se sont tus…
Place aux médecins, guérisseurs et sorcières, qu’ils oeuvrent à soulager les douleurs et à panser les blessures.
Ce soir nous pleurerons nos frères et sœurs tombés au combat… Mais nous nous réjouirons aussi d’avoir pu défaire l’ennemi !
« Légionnaires ! Vous avez participé à une bataille qui restera dans les mémoires. Vous pouvez être fier d’avoir apporté la Victoire à nos Couleurs… »
Ce soir a lieu dans la grande salle des banquets du Palais un repas de fête. A la table principale, dressée sur l'estrade dominante, le Bailli est assis en compagnie des Seigneurs de la Légion.
Profitant d'un moment de silence, il lève sa coupe et dit :"Messeigneurs, n'oublions pas, en ce jour, nos alliés ! Sans leur indéfectible soutien et leur très grande générosité, nous n'aurions pu avancer aussi vite et aussi bien dans la construction de notre belle Capitale. Portons-leurs un toast !"
[2553718]
[Usuario Eliminado] [None]
:: Dec. 22, 2012, 2:28 p.m.
Nous remercions tout particulièrement nos amis les oxsso pour leur aide et leur soutien, ainsi que nos amis de l'Ordre Noir, d'Angor Nocturnus, et toutes les alliances qui se reconnaîtront.
Marrant... j'ai l'impression d'être à la remise des Césars ou des Victoires de la Musique... loll
Marrant... j'ai l'impression d'être à la remise des Césars ou des Victoires de la Musique... loll
[2553722]
lebillou [None]
:: Dec. 22, 2012, 2:43 p.m.
cette bataille fut magistrale !!! beau souvenir merci Luc !!!!!!!!!!!!
[2553724]
gegenaim [None]
:: Dec. 22, 2012, 2:54 p.m.
j'en reste baba tant de poesie dans ce monde de brutes ...quel recit tu sait ce qu'il te reste a faire luc ,ecrit et le goncours est a ta portee
[2553739]
Inconnu
:: Dec. 22, 2012, 4:21 p.m.
Lagardère : Double post et "angus" faux...Angor juste
concernant le double on poste il sépare l'histoire romancée des remerciements IG, on va donc laisser, çà serait dommage de polluer le premier poste
concernant le double on poste il sépare l'histoire romancée des remerciements IG, on va donc laisser, çà serait dommage de polluer le premier poste
[2553743]
klmklm27 (FR1) [FR1]
:: Dec. 22, 2012, 4:38 p.m.
le prochain qui spamme se prend un BAN avec
[2553744]
Robin Hood 78 [None]
:: Dec. 22, 2012, 4:52 p.m.
Très belle histoire Lagardère
Tu racontes vraiment très bien 
N'hésitez pas en cas de besoin d'aide


N'hésitez pas en cas de besoin d'aide

[2553746]
pppp416 (FR1) [FR1]
:: Dec. 22, 2012, 5:14 p.m.
yop lagardère j'ai pas été invité au toast ^^. Belle histoire, il ne manque plus que celle de LN bientot jspr ^^
Passez toutes et tous de bonnes fêtes
Passez toutes et tous de bonnes fêtes
[2553824]
Gromdal (FR1) [FR1]
:: Dec. 23, 2012, 2:33 a.m.
Magnifique conte :cool:
Ca donne envie d'y être ! Le choix de la police mériterait d'être revu, et l'utilisation d'une balise quote permets de réduire la longueur de son post, tout en enjolivant je trouve le texte, comme ceci :
Ca donne envie d'y être ! Le choix de la police mériterait d'être revu, et l'utilisation d'une balise quote permets de réduire la longueur de son post, tout en enjolivant je trouve le texte, comme ceci :

Bon jeu à tous(tes) et bonnes fêtes !Les récits évoquant la légende des lieux maudits nous viennent de l’antiquité. Le plus célèbre de tous est le carrefour où se rencontrent quelques chemins. Les mauvais esprits règnent sur cet endroit , on dit aussi que le diable y marque ses rencontres et achève ses traités avec les sorciers. Au Moyen âge les gens racontaient que de nulle part surgissaient des cercueils au centre des carrefours. Et il fallait faire attention aux morts vivants.

[2553940]
UltimateLuca185 [None]
:: Dec. 24, 2012, 6:07 a.m.
bravo lagardère, j'ai eu plaisir a te lire, bonne fète à tous.
[2553993]
houraye (FR1) [None]
:: Dec. 25, 2012, 3:59 p.m.
Tout simplement superbe!
Toutes mes félicitations pour ce récit épique, pour votre défense héroïque et fier d'avoir pu participer à la défense de cette si belle bataille!
Au plaisir mes amis légionnaires!
Toutes mes félicitations pour ce récit épique, pour votre défense héroïque et fier d'avoir pu participer à la défense de cette si belle bataille!
Au plaisir mes amis légionnaires!
[2553994]
-GoD- [None]
:: Dec. 25, 2012, 4:13 p.m.
Que dire ?
Je te connais depuis quelque temps maintenant et je sais que tu as un style fait pour ce RP.
Notre description en témoignera !
Merci à toi de porter un toast pour tes allier et amis, en nous considérant si haut dans votre éstime.
Après nos aventures nous resteront proche de votre alliance quoi qu'il en soit.
Alors Gloire à Légion & Ordre Noir(e) !
Je te connais depuis quelque temps maintenant et je sais que tu as un style fait pour ce RP.
Notre description en témoignera !
Merci à toi de porter un toast pour tes allier et amis, en nous considérant si haut dans votre éstime.
Après nos aventures nous resteront proche de votre alliance quoi qu'il en soit.
Alors Gloire à Légion & Ordre Noir(e) !
[2554189]
papidu59 [None]
:: Dec. 28, 2012, 7:32 p.m.
belle histoire mais le type d'ecriture n'invite pas a lire...( ex: calibri, pas celui qui a écrit l'histoire)
[2554374]
freddd [None]
:: Dec. 31, 2012, 2:45 a.m.
Gloire a légion noire !
[2568301]
Krevar (FR1) [FR1]
:: April 18, 2013, 2:59 a.m.
Eh he, tu nous en fais bien baver en plus de ça avant d'entrer dans le vif ! belle ambiance, très bien rendue. Merci pour le récit, et bravo pour cette mémorable bataille. Peut-être légendaire ? qui sait...
Krevar, dit Le Mitigé
Krevar, dit Le Mitigé