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Forum: empire-fr
Board: [805] Le coin des artistes
Topic: [182695] Concours mensuel de littérature.

[2794226] julienhodencq (FR1) [None] :: Dec. 21, 2014, 1:15 p.m.
Merci beaucoup ça fait plaisir et si je peux te rendre l'appareil je vais réfléchir à une suite.:)

[2794240] nocag221 (FR1) [None] :: Dec. 21, 2014, 1:44 p.m.
Merci Haut-Elfe. Rien à redire sur ton poème, à part que certains vers sont trop longs à mon gout

[2794266] Haut-Elfe (FR1) [None] :: Dec. 21, 2014, 2:11 p.m.
la prochaine fois je fais tout en alexandrins

[2794331] julienhodencq (FR1) [None] :: Dec. 21, 2014, 4:29 p.m.
julienhodencq a écrit: »
Le Nécromancien:

Lorsque nous étions enfants, George (Le nom que j'ai donné au roi torturé) et moi étions de vrai amis. Nous avons vécu voisin pendant tout notre enfance. Un jour, alors que nous avions 15 ans, un chevalier vînt frapper a ma porte et a la sienne et nous dit:

-Ordre du Roi ,désormais, les preux enfants de familles nobles on l'obligation de commencer leur service militaires à 15 ans!
-D’accord, dis-je enthousiaste. Allons-y George!
-Nous vous suivons preux chevalier,dit George.


Le preux chevalier les emmenèrent dans la caserne et on leur donna armures, armes et chambres.
Des mois se passèrent et le roi mourut sans avoir eu d'enfants.
Il voulait que son trône soit repris par le plus vaillant et courageux de ses soldats.
On organisa donc des épreuves pour désigner l’héritier du trône. Ces épreuves auraient pu faire frémir le plus courageux des soldats. Mais certains n'abandonnèrent pas et firent les épreuves mais seulement deux personnes réussir: moi et George. Alors, pour nous départager on nous donna pour mission d'aller chercher la bague maléfique du Diable. Nous sommes aller la chercher.

J'y suis aller le plus vite que je le pouvais mais le Diable était trop protéger et je me suis fait capturé et emprisonné. Puis George y alla, tout les habitants des Enfers étaient autour de moi.
George pris la bague que le Diable avait laisser sur son trône et s'en alla sans m'avoir vu.
Puis le Diable s'est approché de moi et m'as dit:

-Tu vois, ton ami viens de me voler ma bague et s'est en allé, me dit-il.
-Il ne m'as pas vu, lui repondis-je.
-Comment aurait-il pus ne se douter de rien, il aurait dû s'inquiéter, si il est vraiment ton ami. Je te vengerais et ferais de toi un puissant tyran.

Puis je reçut un coup sur la tête, enfin je crois...

Quand je me suis réveiller je me suis retrouver aux portes de la ville, des gardes me virent et m’ouvrirent la porte.

-Que vous est-il passer ? m'ont-ils dit.
-Je...je...Je ne sais plus, leur ais-je répondu déboussoler.
-Venez, nous avons notre héritier au trône.
-Qui est-ce ?
-Le preux George !
-...

Puis ils m'aidèrent à marcher jusque chez moi, nous sommes passer devant la grande place. Là se tenait triomphalement, George, sur son trône avec des femmes et ses sujets autour de lui.
Il ne m'as pas donné un regard et les chevaliers m'ont ramener chez moi.
Là ma mère arriva vers moi, me donna une gifle et me dit:

-Tu n'a pas réussi à ramener la bague du Diable, j'avais confiance en toi !
-Mais... je me suis fait capturer par le Diable.
-Je n'en ai rien à ciré, dehors!

Ma mère me jeta dehors et me demanda de partir pour toujours.
Alors je partis, avec seulement sur moi des habits et quelque pièces d'or.

Puis je repensa à la proposition du Diable et aillant vu tous ce que George m'avait fait subir, j’acceptai la proposition. Le Diable me dit alors que j'avais fait le bon choix et qu'il fera de moi, Le Nécromancien !

Il me donna des troupes à ne plus en voir l'horizon puis me dis d'aller envahir le royaume de George.
J'attaquai tous les villages que je pouvais, je brulai tout sur mon passage.
Les troupes du Diable étaient tellement puissantes qu'en deux mois, j’eus envahi le royaume de George.
Puis je tentai un coup d'audace en voulant tuer le Diable.
Ses propres troupes m'accordèrent leur aide et je détrônai le Diable. Puis je devenu le Diable mais je préférai que l'on m'appelle par mon ancien nom, Le Nécromancien.

Puis j'ordonnai que l'on me ramène George.
Mes soldats l’amenèrent et je lui dit:

-Alors, te rappel tu de moi ?
-...
-C'est moi que tu as abandonner chez le Diable lorsqu’il m'avait capturer!
-Ohhh. Mais oui euh...
-Appelle moi Le Nécromancien maintenant!
-Je ne t'avais pas vu, me dit-il.
-MENSONGE !!!!
-Je ne t'aurais pas abandonner.
-FOUTAISES !!!!
-...
-Faites-le sortir.
-Mais... mon ami.
-NON !!! Tu as trois jours pour partir d'ici, de mon royaume.

Et il parti et établie un camp avec des réfugiés et en devint le chef.

Un mois plus tard, un espion m'as dit qu'il avait demandé de l'aide à un puissant seigneur pour me capturer et reconquérir mes terres.

Est-ce à toi qu'il a demander de l'aide ?
...

Voici la suite:

Je demandai à l'espion combien de soldats y avait-il dans le camp et il me repondis:

-Il n'y a aucun soldats pour l'instant, que des paysans.
-Et le seigneur, est-il arriver, lui demandai-je ?
-Non mais il ne devrai pas tardé.
-Et bien je vais faire en sorte de le retarder, envoyez un de mes marchands pour qu'il fasse payé ce seigneur pour le voyage, et dites lui de demander 10 000 bois, 10 000 pierres, 10 000 nourritures et 5 000 pièces d'or au seigneur, cela le retardera.
-D’accord j’y vais tout de suite !

On envoya le marchand et un autre espion pour qu'il sache le nom du seigneur concerné puis l'espion transmit le nom au marchand qui alla demandé les ressources au seigneur :

-Bonjour preux chevalier, c'est George qui m'envoie pour vous emmené dans son camp de réfugiés et il m'as demandé de vous dire qu'il vous serai très reconnaissant si vous me donniez des ressources pour mon déplacement.
-Et bien soit, que voulez vous ?
-Je voudrai 10 000 bois, 10 000 pierres, 10 000 nourritures et 5 000 pièces d'or.
-Tenez mais maintenant, emmenez moi dans ce camp.
-Oui et merci.

Mon marchand emmena le seigneur jusqu'au portes de la ville et s’enfuya sans que le seigneur ai de doutes.
Il arriva dans mon palais et me donna toutes les ressources que le seigneur lui avait donné :

-Tenez, me dit-il, ce son les ressources du seigneur.
-Donnez, je vais m'en servir pour construire des tours et recruter des soldats pour en envoyé dedans.
-Mais j'ai peur d'une chose…, me dit-il.
-De moi n'est-ce pas ?
-Oui mais aussi de ce que j'ai vu, le seigneur n'as eu aucun mal à me donner ces ressources.
-Cela ne veut rien dire, JE suis le plus riche et le plus puissant dans ce monde et maintenant disparaissez de ma vue !!!
-Oui mon seigneur.

Et le marchand s'en alla. J'ordonnai que l'on construise des tour et qu'on envoie des soldats dedans mais pas beaucoup dans les tours les plus proches du leur camp, je veux qu'on augmente le nombre de soldats au fur et à mesure que l'on s’éloigne de leur camp.

Une semaine plus tard un espion me dit qu'il y avait maintenant 20 soldats dans leur camp et qu'ils avait vaincu une de mes tours. Je dit à l'espion :

-Ne vous inquiétez pas, ils ont gagné car il n'y avait pas beaucoup de soldats dans cette tour, mais dans la prochaine, il y en a plus, ils ne gagnerons pas.
-J’espère que mon seigneur a raison.
-J'ai toujours raison !

Mais, hélas non, je n'avais pas eu raison, le seigneur avais détruit la tour mais j'avais un second plan, j'avais détruit tout les ponts qui séparaient les tours donc le seigneur devait les reconstruire e cela nécessitai beaucoup de ressources. Mais un espion arriva et me dit :

-J'ai été espionné comme vous me l'aviez ordonner et j'ai vu, j'ai vu les ponts reconstruits, et j'ai aussi vu qu'ils en avaient suffisamment pour tous les reconstruires.
-Êtes-vous sûr ?
-Oui, nous sommes perdus !!!
-Que venez-vous de dire, que nous sommes perdus ?
-Ce n'est pas ce que je voulais dire je vous…
-Taisez-vous, traître, vous abandonnez et vous vous découragez, qu'on le pende !!!!
-Mais…
-Tais-toi sale traître, lui dit un soldat.

Le soldat l'emmena à la pendaison et je demandai à être seul, je pensai à ce qu'avait dit l'espion et je trouvais que ce seigneur était vraiment puissant.

Les tours tombaient les unes après les autres quand George et le seigneur arrivèrent à mon château, George me convoqua et me dit :

-Bonjour…
-Vas-t-en de mon royaume !
-C'est mon royaume, tu me l'as volé sans raison !
-SI ! Tu m'avais abandonné chez le Diable !
-Je te dit que je ne t'avais pas vu !
-Tu ment...
-Non et je ne m'oblige pas à te vaincre, laisse tomber, rends moi mon royaume et je te promet que tu ne sera pas exécuter.
-NOOON !!!

J'avais réunit tout les soldats qu'il me restais dans mon palais avant cette convocation :

-Tu ne peut plus lutter, tu as perdu !
-A L'ATTAAAAQUE !!!!!, criais-je

Puis tout mes soldats restant arrivèrent mais George et le seigneur avec beaucoup trop de soldats et les miens se firent massacrer. Mais à la fin de la bataille, j'avais fuit et avais fait tuer un de mes sosies pour faire croire à ma mort. Et désormais, je retente ma chance tout les quelques mois.

ET TOI, SAIT-TU QUI GAGNERA LA PROCHAINE FOIS ?
...

[2794600] erwannic [None] :: Dec. 22, 2014, 1:24 p.m.
L'épopée de la reconquête de la terre d'épines !
Partie I:L'exil et l'aide du Grand Empire Dans une lointaine contrée,s'élevait des arbres majestueux et de nombreux fleuves parcourait les terres,elle était dirigée par un roi,bon et généreux la population vivait en paix,moi.
Mais hélas,la paix ne dure jamais éternellement,des terres si riches ont fini par attirer des individus maléfiques.
Un jour,des intempéries s’abattirent sur le royaume,avec une telle intensité que les terres furent complètement imbibées d'eau,des coulées de boue ravagèrent les cultures, l'eau devint verdâtre,puis le climat favorisa l'apparition des ronces,les morts se mirent à sortir de leurs tombes,puis arriva portés par des squelettes,le Nécromancien, il avait un rire diabolique. Les paysans se mirent à fuir les villages qui furent envahis par les ronces et par les armées revenues de la mort. La panique gagnât le royaume, nombreux furent les paysans avec leurs épées et leurs arcs qui vinrent grossir les rangs de l'armée du nécromancien,très vite le royaume fut déserté par les rares survivants,mais je réussit à m'échapper.
Après une longue fuite,j’arrivai au Grand Empire, chez un seigneur puissant.Je lui suppliait de m'aider :
Je vous en prie ! De grâce aidez-moi!
-T'aider ? Bien,l'Empereur avait lancé un appel aux armes pour combattre les armées de squelettes,bien sûr que je vais vous aider,les grand empire vous aidera.
Je fus rassuré par cette nouvelle,après m'être restauré au château,le lendemain nous avons repris la route vers mon royaume.
Le Nécromancien avait maudit les terres, il fut difficile d'arriver au royaume,à cause des ronces mais une fois arrivé au royaume,les terrain était devenu quasiment impraticable pour les armées,l'empereur décida d'installer un camp,et que après nous commencerons armés de machettes,à dégager une route pour l'armée.Le camps installé,la nuit commença à tomber,les ténèbres s'installèrent peu à peu dans le camp,le silence était total,la visibilité de zéro.
On entendait juste les coups de machette,mais tout le monde ne voyant plus rien,l'empereur décida que l'on continuerait demain à 8 heures,le soleil devrait être totalement revenu.
Aussitôt dit,aussitôt fait,les soldats (et quelques bûcherons volontaires qui voulaient participer à l'expédition) rentrèrent au camp.Cette fois-ci le silence était vraiment total et tout le monde commençait à s'endormir paisiblement ...
Partie II:Une nuit mortelle
Après seulement quelques minutes,on entendit des craquement de branches,dans l'obscurité totale,je m'avance vers la forêt de ronces ...Le spectacle qui s'offrait à mes yeux était horrible un garde avait la la tête tranchée le corps encore chaud le sang giclait encore,celui qui l'avait tué ne devait pas être loin .Soudain, un guerrier squelette fonçât sur moi!Armé d'une hache (et lui aussi) je me battit avec lui heureusement je réussit à lui couper la tête. Après cette attaque j'ai donné l'alerte,les soldats rappliquèrent en un rien de temps, d'autres soldats squelettes arrivèrent ils arrivèrent par milliers dans le camp. Heureusement,nous étions bien mieux équipés et plus disciplinés que nos adversaires,la bataille fût remportée sans problème. Hélas, après quelques minutes, j’aperçus un soldats brisé en mille morceaux avec un message sur l'enveloppe il était écrit: "à l'attention du roi ".
J'ouvris la lettre puis je lut le message : "Ceci est un ultimatum au roi déchu : si les troupes du Grand Empire et le roi ne se rendent pas avant le lever du soleil,le roi et les troupes seront exterminés".
J'ai bien sûr décidé de ne pas me rendre.Nous irons jusqu'à la forteresse du nécromancien !
Partie III: Les tours du carnage ...
Malheureusement pour moi et pour l'armée,le trajet fut plus difficile que prévu.De nombreuses tours se dressaient sur notre route,à la première bataille contre une tour,je croyais que nous allions gagner facilement la guerre,mais je perdis vite mon optimisme . La bataille contre la 1ère tour est même devenue légendaire.
Il y a deux mois,les soldats attaquèrent cette fameuse tour en voici le récit:Aux premières lueurs de l'aube,les soldats s'avancèrent vers la tour.
Les soldats armés d'arbalètes,d'épées de lances et d'arcs,avec un moral au plus haut,se lancèrent à l'assaut de la tour.
Les soldats hurlèrent en fonçant vers la tour,mais pas de douleur,pas encore,c'était pour effrayer l'adversaire.Très vite, des soldats tombèrent au sol je combattait avec les soldats,souvent des flèches me frôlaient,et les hommes du Grand Empire,les amis que je m'étaient fait au cours de ce long chemin tombèrent un par un,dans d'atroces souffrances, certains sur le coup,d'autres après les mutilations,qui avaient causés des infections,dans les deux cas,leur corps était assez en mauvais état,le sang qui ruisselait sur le corps, la tête éclatée par des projectiles.
Je reprends,les combats à coups d'épées ne s'arrêtèrent pas,contrairement à la vie de certains. Les hommes hurlent,cette fois à cause de leurs blessures,peu à peu le silence s'installe,car ils ne peuvent plus crier,leur heure est venue.3 heures se sont écoulées, la bataille est gagnée ... Les corps jonchent le sol le paysage est méconnaissable,certains crient encore.Jour après jour, cette scène se répète mais avec encore plus de victimes,l'armée se rapproche de la forteresse du Nécromancien. Les déserteurs sont de plus en plus nombreux,mais l'armée ne s'arrête pas,les soldats veulent venger à tout prix ceux qu'ils ne reverront plus jamais ...
Partie IV: Le Dernier jour
6 mois se sont écoulés depuis le début de la reconquête du royaume,la moitié de l'armée a été décimée, 450 000 hommes avancent encore courageusement,poussés par un désir de vengeance.
La plupart du royaume a retrouvé son aspect initial,les plaines ne sont plus ravagées par les coulées de boue,l'eau redevient potable,des paysans commencent même à revenir. Mais tous craignent encore le retour du Nécromancien,car il est toujours là,près à recevoir l'armée dans sa forteresse.
Puis,les éclaireurs aperçoivent la forteresse,l'armée se tient prête, le silence règne,l'atmosphère est pesante, le roi et l'armée du Grand Empire va enfin assouvir son besoin de vengeance. L'empereur brandit son épée,l'armée se mit à charger plus déterminée que jamais,les soldats hurlent comme à chaque début de bataille,mais cette fois-ci ils savent tous que celle-ci sera la dernière,voir la dernière bataille de toute leur vie.La bataille finale a commencée ... Les flèches s'abattent sur l'armée de l'empereur, les mantelets en fonte évitent de lourdes pertes,les échelles de siège sont posées sur le mur les premiers soldats sont tués immédiatement par les archers de l'armée du Nécromancien mais,le temps qu'ils tirent de nouveau un homme arrive à le tuer puis un deuxième un troisième! Peu à peu les tours de la muraille tombent aux mains de l'armée du Grand Empire,les soldats squelettes et le Nécromancien résistent dans la cour,les squelettes tirent des flèches sur les assaillants de la forteresse,ces derniers (et moi,le roi bien sûr) ne peuvent plus battre en retraite,les échelles sont tombées. Alors,les soldats descendent dans la cour,espérant qu'ils réussiront à les éliminer jusqu'au dernier.Les squelettes tombent ,les effusions de sang ne s'arrêtent pas,puis en moins d'une seconde j'accomplis ma vengeance le Nécromancien tombe à terre.
Au même moment,tous les squelettes meurent (même s'ils étaient déjà morts) les troupes acclament le roi,les soldats tombés à terre,qui sont déjà morts semblent avoir leur visage apaisé .
La paix est revenue dans le royaume,et le roi pût regagner son trône la guerre était terminée ... Pour l'instant, car la paix ne dure jamais!

[2795664] X P T O I N O U [None] :: Dec. 25, 2014, 10:26 p.m.
j'ai toute la nuit devant moi soyons fous

je me met dans la peau de la reine torturée de l'abime ayant vécu a bérimond dans un chateau étranger attaqué par des nomades

LE RETOUR DE LA MOMIE

Tout commenca lors d'une journée de pluie,"oh non" s'écrit pierre lorsqu'il jeta un coup d'oeil indiscret derriere le rideau de la grand salle du chateau coup d'oeil qui fut d'ailleurs remarqué par françois, son professeur de violon. ce dernier lança un dernier avertissement au jeune prince "Messire c'est la derniere fois que je vous prends a regarder dehors sinon vous irez aider aider le jardinier a rentrer les bêtes pour la nuit" Pierre, curieux comme un jeune enfants de son age continua de regarder dehors et dût donc, comme promis aller rentrer les betes,il aidait les cochons lorsqu'une fleche vint ceuillir la gorge encore tendre du jeune prince...
Les guerriers squelettes sont de retour et décidés a conquérir la terre épineuse qui fut jadis un royaume merveilleux. le Roi accablé de chagrint ne sut donner les ordres nécéssaires pour sauver son royaume et après une veritable boucherie les rares survivants durent contraints a l'errance dans les terres désolée du nord travaillant dans de petites fermes afin de se nourrir,la petite compagnie arriva dans un vaste empire verdoyant ou de grandes places fortes prenaient places,les voyants se quereller entre elles le roi eu l'idée d'aller demander une aide a ces seigneurs qui aimaient la guerre,l'honneur et la gloire. Ils reçurent une grande aide et repartirent ensembles vers les terres épineuses.A leur arrivée,ils furent acceuillis par une armée squelette occupant des postes avancés et des villages produisant des ressources afin de ravitailler la forteresse.Ils établirent rapidement un campement et firent parvenir des engins de sièges et des armées innombrables,cruelles qui frappaient vite et fort,le roi lui meme possédant un immense royaume n'avait jamais vu une telle puissance
Les seigneurs, avides de richesses envoyèrent immédiatement des troupes se battre et ils furent bien surpris du résultat,pensant qu'ils ne reviendraient pas avant plusieurs jours ils virent a l'aube un soldat revenant seul avec son cheval,il était mort.Les squelettes avaient écrit en lettre de sang un message déstiné a démoraliser les troupes. il était écrit "les troupes des morts vous remercie d'avoir rempli leurs assietes" Les seigneurs décidèrent immédiatement de lever le camp mais furent retenus par le roi qui sut trouver les mots car ils revinrent aussitot plus décidès que jamais. ils lancèrent des assauts scrupuleusement préparés contre les envahisseurs et arrivèrent dans une clairieres contenant des boeufs et des cochons,ils furent enchantés d'avoir de la viande fraiche pour un soir,cependant lorsque les bovins se redressèrent fièrement et attaquèrent les soldats l'affrontement fut sanglant et l'armée royale victorieuse!Ils firent donc un festin avec les carcasses de leur ennemis avant de se remettre en route vers l'objectif final. l'ancienne forteresse royale devenue place forte d'un nécromancien désirant conquérir le monde après avoir vaincu chaque tour et libéré les habitants des villages,réduits a l'esclavage ils atteignirent le place forte et après plusieurs assauts qui se révelèrent inutiles ils comprirent qu'ils n'avaient eu qu'un aavnt gout de la puissance du nécromancien.A cet instant précis surgit le jeune prince qui n'avait été que bléssé par la fleche. il leur indiqua un chemin menant a la salle d'arme du royaume. la résistance avait désormais des catapultes et une armée armée jusqu'aux dents.Ils décidèrent de tirer les groins des bovins avec les catapultes, décidés a montrer qu'ils n'avaient pas peur et qu'ils franchiraient chaque obstacle.L'ordre de l'assaut fut donné,une premiere vague s'élança et attaqua les flancs de la forteresse ils placèrent les échelles et grimpèrent sur les remparts,où ils furent violemment acceuillis les épées frappaient forts les arbaletes tiraient jusqu'a ce que leur tireurs n'aient plus de carreaux,l'assaut sanglant fut repoussé difficilement par les guerriers squelettes,sans attendre l'autre vague fut lancée et décima les quelques défenseurs restants.Sachants qu'ils ne s'étaient pas attaqués a la porte,l'assaut final du bastion serait une vraie épreuve, et le roi fit donc parler sa stratégie,ce qu'il n'avait su faire précedemment Les seigneurs firent rentrer la totalité de leurs soldats dans la cour et ordonna aux arabalétriers de se placer sur les remparts. les soldats présents dans la cour ouvrirent les bastions et les défensurs furent contraints a sortir o^ils périraient sous les tirs incessant des soldats protégés par les remparts.Le génie du roi eut l'effet esperé la victoire fut totale et les troupes décimées, il ne restait que le nécromancien au sommet de la tour qu'ils ne purent abattre car il s'enfuit dans la foret jurant et pestant contre les glorieux seigneurs.c'est ainsi que le roi,qui fut torturé redevint le maitre de ses terres,et depuis ce jour le jeune pierre rentre les cochons tous les jours car les soldats craignent qu'eux aussi se rebellent et ne prennent le controle du chateau



MERCI A TOUS! un joyeux noel !!

[2795673] Hacstone [None] :: Dec. 25, 2014, 11:07 p.m.
euh, tu as juste oublié que tu dois soit être dans la peau du roi soit celle du nécromancien, mais tu peux encore modifier ton texte
a part ca je le trouve bien :)

[2795676] X P T O I N O U [None] :: Dec. 25, 2014, 11:09 p.m.
sa ne se voit pas ? ^^
voila c'est complété ^^

[2795678] Hacstone [None] :: Dec. 25, 2014, 11:13 p.m.
non lol, pas dans le texte

[2795680] X P T O I N O U [None] :: Dec. 25, 2014, 11:15 p.m.
Hacstone a écrit: »
non lol, pas dans le texte
faut que je crée un moi dedans ? j'ai dis juste au dessus du titre (qui déboite) pour quel parti j'étais

[2795685] Hacstone [None] :: Dec. 25, 2014, 11:26 p.m.
bin moi ce que j'ai compris c'est que tu dois raconter l'histoire en étant soit le roi torturé soit l'autre, pas simplement etre pour l'un ou l'autre. mais faudra que je me renseigne pour etre sûr.

[2795687] X P T O I N O U [None] :: Dec. 25, 2014, 11:30 p.m.
au pire ^^ j'ai pas spécialement fait pour les rubis bien que je ne les refuserait pas ^^ j'aime bien faire le narrateur omniscient quitte a ne pas etre objectif meme si je l'ai plutot la ^^
dans quelques textes je mettrais plus de blagues histoires de voir si les modos aiment

[2795692] Hacstone [None] :: Dec. 25, 2014, 11:55 p.m.
je pense bien qu'ils aiment mais suis pas sur que ca te fera gagner le concours
mais si c'est pas le but, :)

[2795693] X P T O I N O U [None] :: Dec. 25, 2014, 11:59 p.m.
faut juste savoir pas en mettre trop (c'est a ce moment la que je sais que je gagnerais jamais XD)
je voudrais aussi mettre qq répliques de film ^^ en gros faire un truc bien bien stylé

[2796858] Emissamdeus (FR1) [None] :: Dec. 30, 2014, 8:23 p.m.
j'ai malheureusement pas eu le temps de bien travailler mon texte pour ce concours à cause des fêtes de fin d'année plus volumineuse sur l’emploie du temps que prévu.

donc, pas de concours de décembre pour moi, bonne chance à tout ceux qui ont participé héhé

[2796931] Hacstone [None] :: Dec. 31, 2014, 7:38 a.m.
et zut pas fini lol, c'est pas grave je le posterai juste après^^

[2796966] Haut-Elfe (FR1) [None] :: Dec. 31, 2014, 11:40 a.m.
Et bien c'est à moi aujourd'hui de mettre la version finale de mon texte car j'avais remarqué des incohérences avec le sujet.

[2796967] Haut-Elfe (FR1) [None] :: Dec. 31, 2014, 11:40 a.m.
La voici :




Le Roi des Épines :

Loin dans un royaume oublié,
Là ou régnait abondance et fertilité,
Là où la paix régnait sans partage,
Dans les villes et les villages.

Il y avait un grand roi,
Grand était son palais, on en perdait la voix
Car nulle beauté ne peut surpasser
Celle du palais du Roi Torturé.

Grand était son pays, et forts étaient ses habitants.
La moitié de la population avait au moins vingt ans.
Qui pouvait s’opposer à son pouvoir,
Lui qui était couvert d’honneur et de gloire.

Ce roi, c'étais moi.
J'étais le plus sage de tous les rois.
Aguerri au combat à l'épée,
Je surpassait tous les plus grands guerriers.

Mais un jour l’ombre vint,
Trop grande et trop forte pour que tout effort ne soit pas vain.
Car son centre était le nécromancien,
Un tyran au cœur d’airain.

Il se déplaçait de place forte en place forte,
Les prenant toutes sans frapper à la porte.
Mes défenseurs tombaient comme de la paille.
Devant ses armées de squelettes équipés d’arme en ferraille.

Et moi même j'étais désespéré.
Qui viendrait au secourt de mon royaume possédé
Par un monstre sorti de l’enfer ?
Car je n'avais pas le courage de croiser le fer.

Et j était sur le point de perdre mon dernier bastion
Quand une aide inespérée arriva
Avec un homme de conviction.
Et c’est sur son cheval qu’il se présenta.

Ce seigneur était grand chevalier,
Il habitait dans les plaines du Nord,
Il avait pour compagnons son armée
Ainsi que des assassins semeurs de mort.

Il partit en quête de tuer le nécromancien
Avec ses hommes et ses engins.
Et longue fut sa quête dans ce désert de ronces.
Mais avec une telle volonté, personne ne renonce.

Réparant les ponts et prenant les tours,
Aucune armée ne lui résistait
Car les renforts arrivaient à la bourre
Et lui, il les défonçait.

Arrivé à la place forte du tyran
Il sonna trois fois avec sa corne en éléphant.
Puis défia en duel le sombre sorcier
Un duel de la magie contre l’acier.

Mais le fourbe personnage ne venant pas,
Il ordonna un assaut fulgurant.
Et en trente minutes la forteresse tomba.
Mais il ne trouva pas le nécromancien durant,
Celui-ci était déjà parti dans la nuit sombre
Rejoindre son monde : celui des ombres.

Et depuis ce jour nous guettons les frontières,
Dans la peur de revoir cette terreur du passé,
L'ombre qui avait pris la vie de tant de fermiers,
Car la paix n'est qu'éphémère.

Mais en tant que Roi souverain,
Je me dois de mettre en garde mes sujets,
Afin qu'il voient que l'espoir n'est pas vain :
Il permet de déjouer ses sombres projets.


Roi Glaudrunagis Ier le Torturé, souverain du Marais des Épines.
Grand roi parmi les mortels, mais écrivain parmi les hommes.

[2796999] Hacstone [None] :: Dec. 31, 2014, 2:21 p.m.
joli :)
je sais pas si je vais avoir toute la place nécessaire en un post lol

[2797086] Hacstone [None] :: Dec. 31, 2014, 11:10 p.m.
Bah, c'est pas grave, sinon ça n'aura servi à rien, et puisqu'on a pas encore déclaré la fin officiellement, ce serai bête de ne pas le mettre, non ^^

Pour bien respecter le thème, mon texte commence au titre 'La reconquête'
j'ai quand même mis le début, parce que je l'aime bien, et qu'on en retrouve des clins d’œil dans le texte.
j'espère que vous aurez du plaisir :)



La conquête des terres épineuses



La fondation du royaume


Il était une fois un royaume merveilleux, et d’une prospérité légendaire, due à son roi. Ces terres étaient étrangement fertiles, pour être en montagne. En effet, seul des épines étaient supposées y pousser. C’était le cas à l’aurore des conquêtes du grand empire, ou chacun se disputait les vastes territoires, pour la gloire qu’allait leur donner l’empereur et l’honneur qu’il allait leur faire.

A cette époque, le prince Gilbert partit au nord-ouest, muni d’une petite armée de braves chevaliers, et arriva en ce territoire épineux. C’est alors que vînt une troupe d’hommes vêtus de peaux d’animaux, lui faisant clairement comprendre en le menaçant par leurs armes, qu’il n’était pas le bienvenu. Le prince en fût offusqué, il n’allait pas permettre à une bande de vauriens de le renvoyer d’où il venait après avoir parcouru un si long chemin. Mais il préféra faire semblant d’avoir peur et partit un peu plus loin, les gardant à vue. Puis il les suivit, et l’on s’arrêta à ce qui semblait être leur village, qui n’était autre qu’une énorme caverne comme creusée à l’intérieur de la montagne, une immense montagne. Il les observa pendant une semaine, préparant longuement son plan d’attaque en les observant, et ordonna de faire construire des catapultes. Comme la caverne était très grande et qu’elle n’avait que deux entrées ou sorties, une petite et une très grande, il décida d’un plan d’attaque, qui allait se passer dans la nuit : on allait les prendre par surprise.
Cinquante soldats se glissèrent furtivement vers la petite entrée, assommèrent les sentinelles et se mirent en embuscade pour piéger tous ceux qui sortiraient par cette issue.
Le reste de l’armée s’occupa de mettre les autres sentinelles hors d’état de nuire, et le quart de la troupe se mit déjà en embuscade. Les trois quarts projetèrent des fagots de bois enflammés grâce aux petites mais puissantes catapultes. Quand la totalité des projectiles fut envoyée, on rejoignit les compagnons dans l’attente de la phase finale du plan d’attaque.
A l’intérieur de la caverne, la panique régnait, le feu prenait de plus belle à chaque minutes, aussi personne ne comprenait quoi que ce soit dans le brouhaha qui régnait en maître avec la panique. Ceux qui sortaient tombaient à une vitesse foudroyante. Quand tout semblait s’être calmé, l’ordre fut donné d’aller détruire et piller l’intérieur de la grotte.
Le lendemain, celle-ci fut renforcée et utilisée dès lors comme quartier général.
Après cette victoire écrasante, il ordonna à certains de ces hommes de partir en éclaireurs et de lui rapporter ce qu’ils auront vu.
Il donna ensuite les instructions suivantes :
-Certains iraient couper du bois pour construire les premières fortifications et habitations.
-D’autres en creuseraient les fondations.
-D’autres encore se mettraient à refaire fonctionner l’agriculture et l’élevage bovin locaux, d’après l’expérience de certains soldats et de ce qu’ils avaient pu observer de leurs prédécesseurs.
-les derniers n’avaient qu’à aider les autres, suivant ce qui nécessitait le plus d’aide.
Ensuite, il alla se coucher.
Lorsque les éclaireurs revinrent avec un espionnage assez précis de tous les villages alentour, il leur fut aussi demandé comment ils avaient été reçus. La plupart du temps ils étaient méprisés, menacés et renvoyés. Mais certaines fois on leur accordait un abri et de quoi subsister. Gilbert décida donc avec ses conseillers d’attaquer les mécréants qui avaient fait le mauvais choix de ne pas accorder gîte à ses hommes, et de proposer leur aide aux autres. Comme il savait grâce aux espions ce dont les villages à aider manquaient, les deux parties étaient souvent heureuses de conclure contrat et de faire affaire ensemble.
Les ennemis furent rapidement et méthodiquement vaincus et le commerce avec les amis allait bon train.
La renommée de ce Guerrier s’étendit peu à peu, et parvint même à l’oreille de l’empereur, comme plusieurs grands conquérants d’ailleurs.
Lorsqu’on apprit que le dirigeant de l’empire souhaitait passer par cette principauté, un festin fut préparé et les festivités commencèrent lorsqu’il arriva.
Comme il fut impressionné par l’histoire des conquêtes qui s’étaient déroulées ici-même où il était assis et la façon dont elles s’étaient passées, il décida de récompenser ce prince en lui donnant le titre du roi conquérant, et sa principauté devint évidemment un royaume.
Il vécut heureux et ne se concentra plus que sur les festins, les exercices de son armée, l’éducation de son fils et juger avec le plus de sagesse possible les problèmes qui s’imposaient de temps en temps dans son royaume.



Le royaume de générations en générations


A sa mort, on lui fît des funérailles royales comme il se doit, auxquelles l’empereur même, qui était devenu pour lui un ami très proche, assista, et on pleura longtemps la mort du roi. Suivant ses souhaits, son fils Adalbert lui succéda.

Ce dernier désirait voir le royaume prendre de l’envergure et s’enrichir comme jamais. Il était très curieux et passionné par la nature et toutes les découvertes possibles à faire. Il décida de faire chercher des spécialistes, de leur construire des tours dédiées à la recherche, et de mettre les ressources nécessitées à leur disposition. (C’est grâce à lui que les épines furent définitivement repoussées). On optimisa beaucoup le royaume et l’on dut agrandir la salle au trésor ou était gardé l’or du royaume.
Cependant, les guerres allaient bon train et le roi était conscient que son or ne pourrait pas le protéger contre l’arme d’un ennemi. Son fils Hubert qui lui succéda n’était pas de cet avis, du moment que l’on investissait l’or dans le budget de la défense. Il était maniaque de la sécurité, qu’il fit renforcer en recherchant avec des experts des plans pour vaincre ses propres forteresses, pour connaître où faille il y aurait. On donnait toujours le royaume aux mains du fils premier-né du défunt roi.
Donc après la mort d’Hubert, Norbert devint roi. Et puis ce fut au tour d’Albert, puis d’Alembert, puis de Flaubert, puis de Robert, puis d’Herbert, et enfin à mon tour de diriger le royaume.



C’est à mon tour



Mes pères avaient tous été passionnés par quelque chose et avaient ainsi contribué à la réussite du royaume. C’était à mon tour de participer à cette aventure. Et moi, j’étais passionné par l’armée, le génie militaire. Et comme j’étais un enfant et que j’aimais déjà les histoires de guerres, le maniement des multiples stratégies et que je rêvais sans cesse me dit-on de conquêtes, On m’appela Le roi Gilbert II. Et j’en étais très honoré. Seulement j’étais jeune et malgré toutes mes connaissances, je n’avais pas encore d’expérience véritable. Et c’est à ce moment que l’ennemi choisit d’attaquer. Je me suis demandé si c’était à cause de mon nom que tout cela m’arrivait à moi, mais je crois plutôt qu’il a fallu que ce soit moi qui dirige le royaume à ce moment précis parce que c’est moi qui serais le mieux placé pour résister à cet ennemi.



L’invasion et la reconquête



Le début de la journée



Je vais vous conter comment cela s’est passé.
On me réveilla comme de bien entendu à huit heures précisément. On ouvrit les volets et l’on fit chanter un coq que l’on avait réussi à apprivoiser et dont on pouvait ainsi demander le chant à l’heure souhaitée. J’aimais ce chant merveilleux pour me réveiller.
-Sire c’est l’heure.
-Hein ?? Évidemment que c’est l’heure, puisque le coq chante, Dan.
-Voulez-vous que je retarde votre entrée au palais Sire ?
-Non, tu n’y pense pas ! Je dois être à l’heure sur mon trône.
-Mais je me dois de veiller à votre santé Sire, et hier soir vous étiez si fatigués après le banq...
-Suffit Dan, le coupai-je. J’irai, c’est tout. Je suis roi tout de même.
-Oui mais…
-Alors tu n’as qu’à m’obéir, je dormirai plus la nuit prochaine. Je n’avais encore aucune idée de ce qui m’attendait…
Il me conduisit donc jusque à mon trône et me servit le petit déjeuner sur une table poussée jusque devant moi. Je mangeai comme d’habitude entouré de mes conseillers à qui j’offrais toujours de s’asseoir à ma table. Mes serviteurs s’y joignaient aussi après nous avoir servis. Puis l’on retira la table et on posa mon trône encore plus haut, sur des marches.
Aujourd’hui je devais m’occuper de juger des affaires.
Par exemple, l’incessante dispute des bûcherons et tous les artisans du bois contre les tailleurs de pierres et les maçons : Hier soir, on avait soi-disant précipité sur une des menuiseries un gros bloc de granit poli.
-et vous croyez que ça nous fait plaisir de vous donner un magnifique morceau de granit que nous aurions vendu à un prix tout aussi magnifique ?
-Ah, scélérat, et tu crois que nous sommes heureux de voir un de nos ateliers démolis par vos stupides cailloux ?
-Scélérat toi-même, pourquoi n’as-t’on retrouvé qu’une petite partie de ce bloc qui peut se vendre si cher ?
-Parce qu’il a explosé en mille et un morceaux ton bloc de malheur, hé, du marteau !
-Il suffit ! ordonnai-je. Les bûcherons répareront aux frais des tailleurs de pierre le bâtiment endommagé et recevront dommages et intérêts des artisans de la pierre, si l’enquête que je vais faire mener aboutit à la conclusion que l’accident a été provoqué par ces derniers. Si c’est le contraire, moi et les tailleurs de pierres recevront dédommagement. Si personne n’est coupable, je m’engage à payer les dégâts. Maintenant dehors ! m’écriai-je.


L’invasion


Après d’autres affaires non moins importantes que je pris soin de résoudre, on me dit qu’un piquier était venu se présenter à la porte du palais et me demandais de toute urgence. Je le fis venir. Sa rapidité me surprit, et je me félicitai de la réussite des exercices que j’avais imposés à mes soldats. Mais j’arrêtai de me réjouir lorsque je compris son message :
J’étais attaqué et mes places fortes tombaient d’une rapidité plus grande encore que la sienne.
-Quoi ? Que sont-ce que ces histoires à tomber par terre ?
Je n’arrivais pas à comprendre. Ce n’était point possible, mon royaume ne pouvait pas s’écrouler ainsi… et pourtant… le piquier me dit d’aller voir par moi-même l’état des lieux. C’est ce que je fis, et je tombai à genou sur le sol, voyant au loin que des tas d’épines avaient repoussé, je voyais aussi des feux au loin, et pouvais comprendre que la bataille faisait rage.
-Mais comment est-ce possible ? demandai-je époustouflé.
-Des rebelles, qui disent sortir de leurs tombes ont attaqué le royaume de par l’intérieur, Sire, ils nous ont tous pris par surprise.
J’ordonnai donc à tous ceux qui étaient encore atteignable de venir avec des armes et ce à quoi ils tenaient le plus, pour défendre ma forteresse, et à mes serviteurs de me vêtir de mon armure. On allait bien voir qui était le plus fort !
Lorsque les derniers vinrent, on releva le pont levis, on ferma les herses et la porte, et l’on se défendit héroïquement, mais l’ennemi, bien qu’armé de catapultes seulement, était supérieur de beaucoup en nombre. Quand une brèche se fut déclarée, je vis que les troupes de l’envahisseur n’étaient autre que d’affreux squelettes. Il ne resta plus dans le château que mille soldats, puis cinq-cents, puis deux-cents, puis cent, alors je décidai de faire semblant de me rendre, en approchant un passage secret dans le mur.
-Gloire au nécromancien qui nous a donné la victoire !
-Le nécromancien ?
-Silence ! dit-il. Tu te souviens de moi, misérable ?
-Non, je n’ai jamais vu un individu aussi laid que vous je dois l’avouer.
-Pitoyable Insolent, tu es Gilbert, et je suis celui que tu as chassé de mon royaume !
-Je suis effectivement Gilbert, mais je ne me souviens pas avoir eu le plaisir de vous chasser de Mon royaume, (et entre nous si quelque chose est pitoyable ici c’est votre tête)
-GRRR ! tu sais ce que je vais faire de toi, vil cochon ?!
Je continuais la conversation pour l’occuper pendant que l’un des soldats avait ouvert le passage secret et y faisait peu à peu entrer tout mon monde. Les soldats ennemis semblaient ne pas le voir, c’est alors que je compris qu’ils n’étaient pas vraiment vivants, mais comme hypnotisés par l’ordre de tout détruire, et ‘mis en pause’ en ce moment.
-tu ne le sais pas, hein ? je m’en vais te faire brûler comme tu l’as fait subir à moi et mes hommes.
Eh bien j’aime mieux être un cochon grillé qu’un répugnant ver de terre vivant.
-Ca suffit !!! Soldats, faites-les brûler, on mangera du jambon ce soir. Alors, moi et mes derniers hommes bondîmes à l’intérieur du passage souterrain qui allait nous mener en dehors du royaume, autre part dans le grand empire.
Je fus en ce moment très reconnaissant à mon père, qui avait entrepris, lui, de fortifier nos relations amicales et commerciales à l’étranger et particulièrement celle que nous avons gardée dès notre connaissance avec l’empereur. J’allai donc demander à l’empereur de nous aider. Il m’accorda de pouvoir faire parvenir la lettre suivante à tous les seigneurs de l’empire :

Oyez, oyez, honorables et courageux seigneurs de l’empire,
mon prestigieux royaume a été envahi par de ténébreuses hordes de squelettes et leur chef, le nécromancien. Sur mes terres jadis merveilleuses, les ténèbres ont pris place, et les antiques épines que nous avions combattues et vaincues auparavant ont repoussé.
De grâce, aidez-moi à vaincre cette plaie.
En échange, je vous couvrirai de cadeaux inestimables.
Cette publicité attira plus de seigneurs que je ne le pensais, mais j’étais étonné que certains seulement venaient muni d’une armée que je qualifierai de convenable. Mais je ne voulais pas les décourager, s’ils me rapportaient des preuves de leur avance, même minime, je les récompenserais.


La reconquête


J’ordonnai le silence, qui se fit peu à peu.
-Nobles seigneurs, comme vous le savez, un immonde individu a ravagé et déshonoré mon territoire. Il croit maintenant m’avoir bannis à jamais, et il pense que je n’ai plus d’hommes, que mon armée n’est plus maintenant constituée que d’une centaine de gardes. C’est pourquoi je vous ai tous demandé de venir me délivrer avec votre armée. J’offrirai un camp débarrassé de toutes épines par mes soins et des plans de constructions de bâtiments à celui qui continuera et luttera pour moi contre ce malveillant coquin. J’ai aussi ouï dire qu’il a fait saboter les ponts que j’avais fait construire, il faudra par conséquent les rebâtir. Lors de votre avance dans la conquête, vous pillerez des talismans, que vous pourrez m’échanger, si vous en obtenez assez, contre des cadeaux d’une valeur inestimable. J’ai encore omis de vous préciser que je vous donnerai un certain temps pour arriver jusqu’au nécromancien, en effet je souhaite qu’en moins d’un mois il reconnaisse sa défaite et qu’ensuite je lui fasse subir le terrible châtiment qu’il a mérité. Il ne me reste qu’à vous souhaiter bonne chance, messieurs, bonne chance.
C’est alors que commença la terrible chasse au nécromancien dont je me réjouissais de voir la fin proche, une fin qui tournerait en ma faveur, forcément, car qui veut la fin veut les moyens, et vu la taille des récompenses que je proposais, les seigneurs qui étaient capables de triompher allaient tout faire pour gagner, c’était certain.
En effet, Je voyais même dans les châteaux des plus grands seigneurs se faire construire beaucoup de bâtiments nécessitant des rubis, la plus précieuse des ressources que l’on puisse posséder dans tout l’empire.
Les plus petites forteresses furent rapidement vaincues par tous les seigneurs ayant souhaité participer à ce combat, mais au fil du temps certains d’entre eux, qui pourtant semblaient enthousiastes au début de l’aventure, abandonnèrent. Mais je ne pouvais choisir à leur place s’ils pouvaient partir ou non.
On me rapportait les talismans pillés dans les tours du nécromancien, ainsi que les messages de découragement qu’il envoyait et qui démoralisaient les troupes, alors qu’elles l’étaient déjà par le paysage et les conditions de marche misérables imposées pour atteindre les places fortes ennemies. J’étais ravi de prendre les talismans et de donner en échanges des pièces d’équipements uniques que je possédais déjà de toute façon, ou des décorations toutes aussi uniques qui avaient été fabriquées du temps du règne de mon ancêtre Adalbert pour rappeler les conquêtes de Gilbert 1er et augmenter prodigieusement l’ordre public. Maintenant elles ne suscitaient plus un intérêt aussi formidable, alors on les proposait à grand prix d’or ou de rubis aux touristes autorisés à passer, et en l’occurrence à prix modéré de talismans. Je profitais également de l’occasion de nous voir pour conseiller vivement aux seigneurs de faire construire des objets décoratifs pour augmenter le moral de leurs braves soldats.
Plus on avançait, plus les tours étaient gardées farouchement, et malheureusement biens des valeureux seigneurs se décourageaient.
Enfin, ce fut l’assaut final, et à celui qui me ramènerait le nécromancien se trainant dans la poussière, j’avais promis la place d’honneur à la table des vainqueurs.
La bataille préparée pendant un très long moment fut lancée, et fit rage pendant toute l’après-midi.
On n’entendait que le vacarme des armes s’entrechoquant, et les cris poussés de partout. Le sol était jonché de corps, à tel point qu’en plus des coups de l’ennemi, il fallait faire attention à ne pas s’encoubler. Finalement, les troupes ennemies battirent en retraite et on arriva avec fracas dans le palais en se jetant sur le nécromancien. On me l’amena, rampant par terre, venant me présenter sa défaite. Quand ce fut fait, j’ordonnai qu’on le fasse jeter du haut de la montagne, et les vautours se chargeraient de lui.
Puis ce fut le banquet qui couronna la journée, on servit le vin et le filet de bœuf.

[FONT=&amp]FIN[/FONT]