Goodgame Studios forum archives

Forum: empire-fr
Board: [805] Le coin des artistes
Topic: [182695] Concours mensuel de littérature.

[2841755] Thibaut400 (ASIA1) [None] :: May 30, 2015, 7:18 a.m.
gillet vincent a écrit: »
On est fin du mois donc les résultats vont pas tarder je suppose ^^
Comme le Joueur du Mois !!!

[2841861] Haut-Elfe (FR1) [None] :: May 30, 2015, 12:15 p.m.
Dans un futur lointain, une équipe d'archéologues se met en tête de remuer le passé et de faire des fouilles archéologiques afin d'en apprendre plus sur les événements qui ont bouleversés la géopolitique du Grand Empire sous l’Ère des Seigneurs. Leurs travaux leurs ont permis de reconstituer en partie la fabuleuse épopée du Grand Empire.
Dans leurs recherches, ces savants ce sont tournés vers une période du Grand Empire alors bien sombre, la guerre entre l'Empire Romain et La Muerte, ainsi que les guerres entre Oxsso Al et Les Ménestrels. Leurs travaux dévoilèrent alors une mine de renseignements sur ce qui s'est passé…

La guerre Empire Romain / La Muerte

« Enregistrement du Docteur Archatrape, historien spécialisé dans l'étude du Grand Empire sous l’Ère des seigneurs. Thème : la guerre entre l'Empire Romain et La Muerte. Réalisé à l’Institut d’Étude de l’Histoire du Grand Empire en présence d'élèves et de témoins historiques.»

« Mes chers confrères, aujourd'hui je vais vous faire la lumière sur des événements de notre passé. Des événements qui auront des conséquences directes sur le monde de l'époque. Alors écoutez attentivement. En l'an 2012 de l’Ère des Seigneurs, une guerre dévastatrice ravagea les rangs des seigneurs et opposa deux de leurs plus grandes alliances. Une guerre dont le vainqueur se verra auréolé de gloire, et le perdant envoyé dans les abysses de l'oubli.

Ce conflit opposa deux grands clans : l'Empire Romain alors dirigé par Ricardo CCXXXIII Imperator, et La Muerte dirigée d'une main de fer par Falusse. Deux superpuissances sur la carte du Grand Empire.

L'Empire Romain était composé de deux parties. Il y avait d'un côté les Légions de Rome dirigées par l'alliance Legio X Gemina et par son chef, Coppaplacata, recensant alors une dizaine d'alliances : Legio X Gemina, l'Empire Romain, LégioIIAugusta, LegioIIIGalica, LegioIVFerrata, LegioXXIRapax, LegioValeria, LegioIVVitrix. L'autre partie était composée alors d'alliances alliées telles que Néolys et Darksiders.

De son côté, La Muerte rassembla une foule d'alliances dans son sillage, afin de détruire les légions romaines de Ricardo. Parmi les innombrables hordes de La Muerte, il y avait : La Muerte, La Muerte 2, Le Cercle, Heaven Guard, Forza, Ordre Noir I,II,III et IV, Blood of Chaos, Bronze Knight, Atilla Team, Triple Entente, Panshir Lion, Spartiates et Amyclé. La guerre allait être palpitante.

La guerre ne dura pas longtemps mes les ravages qu'elle avait entraîné provoquèrent l'extinction pure et simple de l'Empire Romain de Ricardo CCXXXIII Imperator.

Tout commence au dixième mois de l'année 2012 E.S, les relations diplomatiques sont tendues entre l'Empire Romain et La Muerte, cette dernière ne reconnaît pas comme alliée les légions affiliées aux romains et se permet donc de les attaquer ; Il s'ensuit alors des réactions violentes de la part des romains. Leur peuple gronda et, sous la pression puissante des foules, le grand et tout-puissant Ricardo deux-cent trente troisième du nom Imperator ordonna la guerre contre les fiefs de La Muerte. C'était le premier jour du douzième mois.

Mais de leur côté ces chevaliers de la mort avaient tout prévus. Et rapidement, une cohorte de seigneurs se joignit à leur armée de barbares sans noms. Les deux dirigeants décidèrent de se rencontrer sur la plaine d’Extreminam Finite. Les deux armées furent disposées selon le gré des généraux des deux armées. Mais je laisse cette partie à Ricardinito dernier descendant de cette ancienne famille, 110 ans, habitant aujourd'hui le plateau d'Irass'O. »

« Merci petit gars, le récit de la bataille c'est perpétué dans ma famille de générations e générations pour arriver jusqu'à moi. Je vous en fais volontiers le récit parce que tout d'abord même si cela a été la déchéance de ma famille et bien je l'assume et je le dis à tous, car qui connaît les erreurs du passé sera moins tentés de les commettre une nouvelle fois.

C'était une matinée d'hiver, le monde entier avait les yeux posés sur cette satanée plaine. En effet, mon illustre ancêtre fit ici son dernier combat contre l'une des plus grandes armées jamais constituées auparavant.

Le ciel était sombre et la neige menaçait de tomber. Mais rien n'entraverait la progression des légions de Rome, même si ce n'est que la météo. Les deux armées étaient face à face, et les deux grands chefs étaient l'un en face de l'autre. Toutes les troupes attendaient, et il régnait un silence de mort sur l'herbe verte.

C'est alors qu'il fut donné, le signal de la bataille. Au son des trompettes les deux armées s’élancèrent sur l'armée ennemi ; Les arbalétriers mitraillant de carreaux les rangs ennemis, les engins de siège faisant leurs œuvres dévastatrice, et les combattants de mêlées se jetant dessus dans un fracas de métal et d'os brisés.

C'était une bagarre comme jamais; et le seul moyen de finir cette bataille était de couper la tête du serpent. Hors il se trouvait que les deux chefs se rencontrèrent lorsque la bataille était fort avancée. Mais rien n'arrêtait des combattants tels qu'eux. C'était l'honneur, ou l'oubli.

Ils se sautèrent dessus comme des animaux, n'usant que de leurs coups et ne respectant aucun code d'honneur. Ils s'engagèrent ainsi dans un long duel.

De son côté ; Coppaplacata avait réussi à repousser les hordes de la Muerte. Il concentrait ses troupes sur les suivant et fit exécuter l'ordre fatal d'encercler les chevaliers de la mort ;

Une erreur fatale car malheureusement leurs farouches ennemis l'avait prévu et opposèrent une vive résistance. Faisant perdre un temps précieux aux légionnaires romains.

En effet, le temps qu'ils effectuent la manœuvre le combat entre Ricardo et son ennemi s'était détérioré : le chef de La Muerte repoussait lentement mais sûrement mon glorieux aïeul dans es retranchements et quand le moment fut venu, il le désarma.

Ce fut la fin pour nous, car il traîna mon parent sur le haut de la colline et fit sonner les trompettes. Nos soldats tournèrent la tête vers ce lieu et virent avec horreur que nous avions perdu. Nos ennemis avaient gagnés. La défait fut très éprouvante pour nous comme pour tous d'ailleurs. Je pense que je vais me taire et laisser notre aimable professeur finir ce que je ne peux pas dire. »

« Merci en tous cas. Donc la conclusion de cette bataille. Elle avait duré huit jours. Une durée exceptionnelle dans toute l'histoire. Mais quand la bataille fut fini ; Ce sont des romains dépités qui rentraient chez eux.

Leur influence politique leur avait été retirée ainsi que leur honneur. Jamais plus ils ne vivraient en étant bien considérés. De plus, Ricardo et son général furent emprisonnés dans les sombres donjons de la Muerte où ils y moururent. Sans leur chef, les romains ne pouvaient plus faire face. Le coup de grâce leur fut asséné par l'alliance Angor Nocturnus, une alliance qui attaqua les forteresses romaines et détruisit leur héritage militaire pour de bon.

Les romains se séparèrent et presque tout leur peuple s'éteint sauf une partie, qui se renomma alors Centaure. En référence au lieu de vie de cet animal : dans des forêts profondes sans ne jamais parler à personne. Cet ainsi que fini l'une des plus grandes alliances du Grand Empire.

La Muerte, elle, fut couronnée de gloire, sa réputation étant largement assurée ainsi que celle de ses alliés pour avoir détruit la force militaire et morale de l'armée la mieux discipliné et équipée du Grand Empire.

Mais cette guerre fut suivi par une autre plus terrible encore, j'en ferai un rapport dans le prochain enregistrement. »

[2841869] Haut-Elfe (FR1) [None] :: May 30, 2015, 12:44 p.m.
Dans un futur lointain, une équipe d'archéologues se met en tête de remuer le passé et de faire des fouilles archéologiques afin d'en apprendre plus sur les événements qui ont bouleversés la géopolitique du Grand Empire sous l’Ère des Seigneurs. Leurs travaux leurs ont permis de reconstituer en partie la fabuleuse épopée du Grand Empire.
Dans leurs recherches, ces savants ce sont tournés vers une période du Grand Empire alors bien sombre, la guerre entre l'Empire Romain et La Muerte, ainsi que les guerres entre Oxsso Al et Les Ménestrels. Leurs travaux dévoilèrent alors une mine de renseignements sur ce qui s'est passé…

Oxsso Al / Les Ménestrels

« Enregistrement du Docteur Archatrape, historien spécialisé dans l'étude du Grand Empire sous l’Ère des seigneurs. Thème : la guerre entre Les Ménestrels et Oxsso Al pour le contrôle d’une capitale. Réalisé dans son bureau personnel pour laisser aux générations futures un aperçu de leur passé afin qu’elles puissent en tirer des conclusions à appliquer dans le monde d’aujourd’hui.»

« Le 9 décembre de l’an 2012 de l’Ère des Seigneurs, l’Empereur Laedarès du Grand Empire rendit accessible la capitale des plateaux d’Irass’O aux chevaliers du Grand Empire. Une nuée de seigneurs se précipita alors vers cette capitale car quiconque possédait une capitale pouvait alors recruter les prestigieux soldats de la Garde Royale, unités d’élites concurrencées uniquement par les chevaliers errants, et les soldats des autres royaumes.

De toutes les alliances de joueurs qui voulurent se les approprier, ce fut l’une des plus nobles qui y parvint, l’alliance des Ménestrels, conglomérat unique de chevaliers aux nobles idéaux avec des chanteurs, troubadours de toutes sortes. Dirigés équitablement par le seigneur le plus respecté du Grand Empire tant par sa puissance militaire que par sa sagesse : Labbeu le Juste.

La prise de cette capitale se fit sans grande effusion de sang, car la sagesse et la prestance de chaque seigneur Ménestrel était si légendaire que de se soumettre à de si doux suzerains était alors un miracle en ces temps de guerre troublée.

Mais malheureusement pour eux, la capitale faisait la convoitise d’un autre groupe de seigneurs, connus pour leur humeur belliqueuse et leur impitoyable désir de mort et de ruine : Oxsso Al. Dirigée d’une main de fer par Pilou DCCII, cette alliance avait écrasée sans ménagement d’autres alliances de nature moins brutales et par delà plus pacifiques.

Beaucoup sont d’avis que les seigneurs d’Oxsso Al étaient pires que les Chevaliers de La Muerte. Mais en tous cas, les seigneurs d’Oxsso Al virent la une occasion unique d’assoir leur domination sur le monde et d’évincer par là leur nobles rivaux qu’étaient les Ménestrels.

Pourtant, les Ménestrels avaient une armée plus grande, un nombre d’alliés inimaginable, mais ces atouts n’étaient rien pour Pilou qui établit alors un plan diabolique pour écraser son rival.

Tout d’abord, il engagea bon nombre de seigneurs et d’alliances de seigneurs pour harceler les armées des Ménestrels ainsi que celles de leurs alliés. Le but était de déstabiliser ses opposants afin de frapper un grand coup. Et la tactique marcha, pliant non pas sous le nombre mais sous la violence et la coordination des attaques, les alliés des Ménestrels envoyèrent une délégation vers Labbeu pour lui exposer la situation dramatique.

La rencontre entre les chefs d’alliances fut longue et éprouvante, le climat de peur instauré par Pilou prenait davantage de force et d’influence sur les chefs alliés et le lendemain, tous déclarèrent à Labbeu que si une guerre survenait, ils ne soutiendraient pas les Ménestrels et qu’ils devraient se débrouiller seul, les seigneurs d’Oxsso al avaient réussi la première partie de leur plan.

Ensuite, le chef machiavélique de cette horde de seigneurs sanguinaires décida de réutiliser ces mêmes alliances mais cette fois-ci contre toutes les alliances de seigneurs du la grande famille du Clan Ménestrel. Pilou voyait là un double effet, non seulement il affaiblissait ses ennemis mais il les informait aussi qu’il leur avait déclaré la guerre, mais qu’ils ne pourront pas intervenir pur sauver leur clan.

En effet, les attaques visaient essentiellement les plus grandes ligues de seigneurs Ménestrels, les plus petites avaient été épargnées. Mais ce furent celles-ci qui devinrent les cibles d’un assaut sans pitié des forces d’Oxsso Al. Château après château, alliance après alliance, tous une partie du Clan Ménestrel fut mise hors de combat, et quand les ligues les plus fortes de ce clan se furent débarrassées de leurs attaquants, elles réalisèrent que Pilou avait déjà dévasté une partie de leur armée, les plongeant dans un état d’esprit de peur et d’oppression.

Sans attendre, Pilou ordonna de réutiliser la même tactique contre les alliances les plus fortes. Durant trois jours il y eut une pluie de raids continus sur les châteaux de Labbeu et de ses amis. Mais le pire était à venir. Cette fois-ci encore ils s’étaient affaiblis car l’attaque la plus forte ne surviendra qu’en dernier.

Le lendemain, ce fut des débris de défenses exténués qui eurent à se battre contre une armée fraiche et dispo de mercenaires et de soldats d’élites surarmés. Pilou avait décrété une attaque générale sur tous les fronts.

En quelques heures bon nombre des plus puissantes alliances du Clan Ménestrel avaient capitulées, et vers midi, seul l’alliance fondatrice du clan tenait encore debout. Mais ils ne purent reprendre leur souffle : toutes les armées des seigneurs d’Oxsso Al s’étaient rassemblées et avaient frappées l’âme même de tous ces seigneurs philanthropes, Labbeu.

Ils avaient pris dans de grands combats les trois avant-postes de ce dernier, exigeant un traité de paix inéquitable contre la restitution d’un seul de ceux-ci. Malgré l’injustice tant de la situation que du déroulement de la guerre, les vaillants chevaliers durent capituler devant tant de force, ne pouvant supporter un effort de guerre inutile contre un ennemi acharné.

La signature du traité de paix modifia beaucoup de choses, notamment que les Ménestrels perdaient le rang de puissance n°1 du Grand Empire, mais ils perdaient aussi : leur capitale, et devaient un lourd tribut pendant une longue période.

Ainsi finirent affligés et humiliés ceux qui furent les plus grands et les plus sages de leur temps. Mais cette défaite inaugura l’ouverture d’une période de transition vers un nouvel ordre mondial, où la noblesse de cœur et d’esprit était bannie. Un monde, dépourvu de tout ce qui faisait alors un grand chevalier.

Mais les Ménestrels finirent par se relever de leur défaite. Et aujourd’hui encore les descendants de ces seigneurs se remémorent avec peine cette épisode noir de la vie de leurs ancêtres. »

« Fin de l’enregistrement. »

[2841878] gillet vincent (FR1) [None] :: May 30, 2015, 1:02 p.m.
Haut-Elfe a écrit: »
Dans un futur lointain, une équipe d'archéologues se met en tête de remuer le passé et de faire des fouilles archéologiques afin d'en apprendre plus sur les événements qui ont bouleversés la géopolitique du Grand Empire sous l’Ère des Seigneurs. Leurs travaux leurs ont permis de reconstituer en partie la fabuleuse épopée du Grand Empire.
Dans leurs recherches, ces savants ce sont tournés vers une période du Grand Empire alors bien sombre, la guerre entre l'Empire Romain et La Muerte, ainsi que les guerres entre Oxsso Al et Les Ménestrels. Leurs travaux dévoilèrent alors une mine de renseignements sur ce qui s'est passé…

La guerre Empire Romain / La Muerte

« Enregistrement du Docteur Archatrape, historien spécialisé dans l'étude du Grand Empire sous l’Ère des seigneurs. Thème : la guerre entre l'Empire Romain et La Muerte. Réalisé à l’Institut d’Étude de l’Histoire du Grand Empire en présence d'élèves et de témoins historiques.»

« Mes chers confrères, aujourd'hui je vais vous faire la lumière sur des événements de notre passé. Des événements qui auront des conséquences directes sur le monde de l'époque. Alors écoutez attentivement. En l'an 2012 de l’Ère des Seigneurs, une guerre dévastatrice ravagea les rangs des seigneurs et opposa deux de leurs plus grandes alliances. Une guerre dont le vainqueur se verra auréolé de gloire, et le perdant envoyé dans les abysses de l'oubli.

Ce conflit opposa deux grands clans : l'Empire Romain alors dirigé par Ricardo CCXXXIII Imperator, et La Muerte dirigée d'une main de fer par Falusse. Deux superpuissances sur la carte du Grand Empire.

L'Empire Romain était composé de deux parties. Il y avait d'un côté les Légions de Rome dirigées par l'alliance Legio X Gemina et par son chef, Coppaplacata, recensant alors une dizaine d'alliances : Legio X Gemina, l'Empire Romain, LégioIIAugusta, LegioIIIGalica, LegioIVFerrata, LegioXXIRapax, LegioValeria, LegioIVVitrix. L'autre partie était composée alors d'alliances alliées telles que Néolys et Darksiders.

De son côté, La Muerte rassembla une foule d'alliances dans son sillage, afin de détruire les légions romaines de Ricardo. Parmi les innombrables hordes de La Muerte, il y avait : La Muerte, La Muerte 2, Le Cercle, Heaven Guard, Forza, Ordre Noir I,II,III et IV, Blood of Chaos, Bronze Knight, Atilla Team, Triple Entente, Panshir Lion, Spartiates et Amyclé. La guerre allait être palpitante.

La guerre ne dura pas longtemps mes les ravages qu'elle avait entraîné provoquèrent l'extinction pure et simple de l'Empire Romain de Ricardo CCXXXIII Imperator.

Tout commence au dixième mois de l'année 2012 E.S, les relations diplomatiques sont tendues entre l'Empire Romain et La Muerte, cette dernière ne reconnaît pas comme alliée les légions affiliées aux romains et se permet donc de les attaquer ; Il s'ensuit alors des réactions violentes de la part des romains. Leur peuple gronda et, sous la pression puissante des foules, le grand et tout-puissant Ricardo deux-cent trente troisième du nom Imperator ordonna la guerre contre les fiefs de La Muerte. C'était le premier jour du douzième mois.

Mais de leur côté ces chevaliers de la mort avaient tout prévus. Et rapidement, une cohorte de seigneurs se joignit à leur armée de barbares sans noms. Les deux dirigeants décidèrent de se rencontrer sur la plaine d’Extreminam Finite. Les deux armées furent disposées selon le gré des généraux des deux armées. Mais je laisse cette partie à Ricardinito dernier descendant de cette ancienne famille, 110 ans, habitant aujourd'hui le plateau d'Irass'O. »

« Merci petit gars, le récit de la bataille c'est perpétué dans ma famille de générations e générations pour arriver jusqu'à moi. Je vous en fais volontiers le récit parce que tout d'abord même si cela a été la déchéance de ma famille et bien je l'assume et je le dis à tous, car qui connaît les erreurs du passé sera moins tentés de les commettre une nouvelle fois.

C'était une matinée d'hiver, le monde entier avait les yeux posés sur cette satanée plaine. En effet, mon illustre ancêtre fit ici son dernier combat contre l'une des plus grandes armées jamais constituées auparavant.

Le ciel était sombre et la neige menaçait de tomber. Mais rien n'entraverait la progression des légions de Rome, même si ce n'est que la météo. Les deux armées étaient face à face, et les deux grands chefs étaient l'un en face de l'autre. Toutes les troupes attendaient, et il régnait un silence de mort sur l'herbe verte.

C'est alors qu'il fut donné, le signal de la bataille. Au son des trompettes les deux armées s’élancèrent sur l'armée ennemi ; Les arbalétriers mitraillant de carreaux les rangs ennemis, les engins de siège faisant leurs œuvres dévastatrice, et les combattants de mêlées se jetant dessus dans un fracas de métal et d'os brisés.

C'était une bagarre comme jamais; et le seul moyen de finir cette bataille était de couper la tête du serpent. Hors il se trouvait que les deux chefs se rencontrèrent lorsque la bataille était fort avancée. Mais rien n'arrêtait des combattants tels qu'eux. C'était l'honneur, ou l'oubli.

Ils se sautèrent dessus comme des animaux, n'usant que de leurs coups et ne respectant aucun code d'honneur. Ils s'engagèrent ainsi dans un long duel.

De son côté ; Coppaplacata avait réussi à repousser les hordes de la Muerte. Il concentrait ses troupes sur les suivant et fit exécuter l'ordre fatal d'encercler les chevaliers de la mort ;

Une erreur fatale car malheureusement leurs farouches ennemis l'avait prévu et opposèrent une vive résistance. Faisant perdre un temps précieux aux légionnaires romains.

En effet, le temps qu'ils effectuent la manœuvre le combat entre Ricardo et son ennemi s'était détérioré : le chef de La Muerte repoussait lentement mais sûrement mon glorieux aïeul dans es retranchements et quand le moment fut venu, il le désarma.

Ce fut la fin pour nous, car il traîna mon parent sur le haut de la colline et fit sonner les trompettes. Nos soldats tournèrent la tête vers ce lieu et virent avec horreur que nous avions perdu. Nos ennemis avaient gagnés. La défait fut très éprouvante pour nous comme pour tous d'ailleurs. Je pense que je vais me taire et laisser notre aimable professeur finir ce que je ne peux pas dire. »

« Merci en tous cas. Donc la conclusion de cette bataille. Elle avait duré huit jours. Une durée exceptionnelle dans toute l'histoire. Mais quand la bataille fut fini ; Ce sont des romains dépités qui rentraient chez eux.

Leur influence politique leur avait été retirée ainsi que leur honneur. Jamais plus ils ne vivraient en étant bien considérés. De plus, Ricardo et son général furent emprisonnés dans les sombres donjons de la Muerte où ils y moururent. Sans leur chef, les romains ne pouvaient plus faire face. Le coup de grâce leur fut asséné par l'alliance Angor Nocturnus, une alliance qui attaqua les forteresses romaines et détruisit leur héritage militaire pour de bon.

Les romains se séparèrent et presque tout leur peuple s'éteint sauf une partie, qui se renomma alors Centaure. En référence au lieu de vie de cet animal : dans des forêts profondes sans ne jamais parler à personne. Cet ainsi que fini l'une des plus grandes alliances du Grand Empire.

La Muerte, elle, fut couronnée de gloire, sa réputation étant largement assurée ainsi que celle de ses alliés pour avoir détruit la force militaire et morale de l'armée la mieux discipliné et équipée du Grand Empire.

Mais cette guerre fut suivi par une autre plus terrible encore, j'en ferai un rapport dans le prochain enregistrement. »

Haut-Elfe a écrit: »
Dans un futur lointain, une équipe d'archéologues se met en tête de remuer le passé et de faire des fouilles archéologiques afin d'en apprendre plus sur les événements qui ont bouleversés la géopolitique du Grand Empire sous l’Ère des Seigneurs. Leurs travaux leurs ont permis de reconstituer en partie la fabuleuse épopée du Grand Empire.
Dans leurs recherches, ces savants ce sont tournés vers une période du Grand Empire alors bien sombre, la guerre entre l'Empire Romain et La Muerte, ainsi que les guerres entre Oxsso Al et Les Ménestrels. Leurs travaux dévoilèrent alors une mine de renseignements sur ce qui s'est passé…

Oxsso Al / Les Ménestrels

« Enregistrement du Docteur Archatrape, historien spécialisé dans l'étude du Grand Empire sous l’Ère des seigneurs. Thème : la guerre entre Les Ménestrels et Oxsso Al pour le contrôle d’une capitale. Réalisé dans son bureau personnel pour laisser aux générations futures un aperçu de leur passé afin qu’elles puissent en tirer des conclusions à appliquer dans le monde d’aujourd’hui.»

« Le 9 décembre de l’an 2012 de l’Ère des Seigneurs, l’Empereur Laedarès du Grand Empire rendit accessible la capitale des plateaux d’Irass’O aux chevaliers du Grand Empire. Une nuée de seigneurs se précipita alors vers cette capitale car quiconque possédait une capitale pouvait alors recruter les prestigieux soldats de la Garde Royale, unités d’élites concurrencées uniquement par les chevaliers errants, et les soldats des autres royaumes.

De toutes les alliances de joueurs qui voulurent se les approprier, ce fut l’une des plus nobles qui y parvint, l’alliance des Ménestrels, conglomérat unique de chevaliers aux nobles idéaux avec des chanteurs, troubadours de toutes sortes. Dirigés équitablement par le seigneur le plus respecté du Grand Empire tant par sa puissance militaire que par sa sagesse : Labbeu le Juste.

La prise de cette capitale se fit sans grande effusion de sang, car la sagesse et la prestance de chaque seigneur Ménestrel était si légendaire que de se soumettre à de si doux suzerains était alors un miracle en ces temps de guerre troublée.

Mais malheureusement pour eux, la capitale faisait la convoitise d’un autre groupe de seigneurs, connus pour leur humeur belliqueuse et leur impitoyable désir de mort et de ruine : Oxsso Al. Dirigée d’une main de fer par Pilou DCCII, cette alliance avait écrasée sans ménagement d’autres alliances de nature moins brutales et par delà plus pacifiques.

Beaucoup sont d’avis que les seigneurs d’Oxsso Al étaient pires que les Chevaliers de La Muerte. Mais en tous cas, les seigneurs d’Oxsso Al virent la une occasion unique d’assoir leur domination sur le monde et d’évincer par là leur nobles rivaux qu’étaient les Ménestrels.

Pourtant, les Ménestrels avaient une armée plus grande, un nombre d’alliés inimaginable, mais ces atouts n’étaient rien pour Pilou qui établit alors un plan diabolique pour écraser son rival.

Tout d’abord, il engagea bon nombre de seigneurs et d’alliances de seigneurs pour harceler les armées des Ménestrels ainsi que celles de leurs alliés. Le but était de déstabiliser ses opposants afin de frapper un grand coup. Et la tactique marcha, pliant non pas sous le nombre mais sous la violence et la coordination des attaques, les alliés des Ménestrels envoyèrent une délégation vers Labbeu pour lui exposer la situation dramatique.

La rencontre entre les chefs d’alliances fut longue et éprouvante, le climat de peur instauré par Pilou prenait davantage de force et d’influence sur les chefs alliés et le lendemain, tous déclarèrent à Labbeu que si une guerre survenait, ils ne soutiendraient pas les Ménestrels et qu’ils devraient se débrouiller seul, les seigneurs d’Oxsso al avaient réussi la première partie de leur plan.

Ensuite, le chef machiavélique de cette horde de seigneurs sanguinaires décida de réutiliser ces mêmes alliances mais cette fois-ci contre toutes les alliances de seigneurs du la grande famille du Clan Ménestrel. Pilou voyait là un double effet, non seulement il affaiblissait ses ennemis mais il les informait aussi qu’il leur avait déclaré la guerre, mais qu’ils ne pourront pas intervenir pur sauver leur clan.

En effet, les attaques visaient essentiellement les plus grandes ligues de seigneurs Ménestrels, les plus petites avaient été épargnées. Mais ce furent celles-ci qui devinrent les cibles d’un assaut sans pitié des forces d’Oxsso Al. Château après château, alliance après alliance, tous une partie du Clan Ménestrel fut mise hors de combat, et quand les ligues les plus fortes de ce clan se furent débarrassées de leurs attaquants, elles réalisèrent que Pilou avait déjà dévasté une partie de leur armée, les plongeant dans un état d’esprit de peur et d’oppression.

Sans attendre, Pilou ordonna de réutiliser la même tactique contre les alliances les plus fortes. Durant trois jours il y eut une pluie de raids continus sur les châteaux de Labbeu et de ses amis. Mais le pire était à venir. Cette fois-ci encore ils s’étaient affaiblis car l’attaque la plus forte ne surviendra qu’en dernier.

Le lendemain, ce fut des débris de défenses exténués qui eurent à se battre contre une armée fraiche et dispo de mercenaires et de soldats d’élites surarmés. Pilou avait décrété une attaque générale sur tous les fronts.

En quelques heures bon nombre des plus puissantes alliances du Clan Ménestrel avaient capitulées, et vers midi, seul l’alliance fondatrice du clan tenait encore debout. Mais ils ne purent reprendre leur souffle : toutes les armées des seigneurs d’Oxsso Al s’étaient rassemblées et avaient frappées l’âme même de tous ces seigneurs philanthropes, Labbeu.

Ils avaient pris dans de grands combats les trois avant-postes de ce dernier, exigeant un traité de paix inéquitable contre la restitution d’un seul de ceux-ci. Malgré l’injustice tant de la situation que du déroulement de la guerre, les vaillants chevaliers durent capituler devant tant de force, ne pouvant supporter un effort de guerre inutile contre un ennemi acharné.

La signature du traité de paix modifia beaucoup de choses, notamment que les Ménestrels perdaient le rang de puissance n°1 du Grand Empire, mais ils perdaient aussi : leur capitale, et devaient un lourd tribut pendant une longue période.

Ainsi finirent affligés et humiliés ceux qui furent les plus grands et les plus sages de leur temps. Mais cette défaite inaugura l’ouverture d’une période de transition vers un nouvel ordre mondial, où la noblesse de cœur et d’esprit était bannie. Un monde, dépourvu de tout ce qui faisait alors un grand chevalier.

Mais les Ménestrels finirent par se relever de leur défaite. Et aujourd’hui encore les descendants de ces seigneurs se remémorent avec peine cette épisode noir de la vie de leurs ancêtres. »

« Fin de l’enregistrement. »

Ouaah ! Bravo et j'avoue que j'ai pas tout lu !

[2841881] Maximus200206 [None] :: May 30, 2015, 1:14 p.m.
Beau texte Haut Helf franchement :)

[2841897] Hacstone [None] :: May 30, 2015, 2:11 p.m.
arf encore long texte :p je le lirai s'soir :)

[2841975] Emissamdeus (FR1) [None] :: May 30, 2015, 6:41 p.m.
gillet vincent a écrit: »
Quand ce termine le concour et quand auront nous les résultats svp ??
Hacstone a écrit: »
A la fin du mois normalement
et les résultats... bah après la fin du mois^^
et les récompenses... après les résultats

oui, à la fin du mois donc on a encore jusqu'à demain soir

j'ai pas encore tout à fait fini mon texte donc je le mettrais demain. en tout cas, je vois qu'il y a pas mal de très bon textes. ça va être serré je pense.

bonne chance tout le monde

[2841977] Hacstone [None] :: May 30, 2015, 7:12 p.m.
Hacstone a écrit: »
arf encore long texte :p je le lirai s'soir :)

voila qui est fait. Je ne connais pas l'histoire, mais le texte est bien écrit :)

[2841979] 25111999flo (FR1) [None] :: May 30, 2015, 7:33 p.m.
Il reste 1 jour, zut zut ^^

Je dois accélérer le rythme !
Je posterais d'ici 1 heure mon texte, très très long :D
Je corrigerais par la suite les fautes d’orthographe demain ou les phrases n'ayant aucun sens ou petit détail pouvant mettre le lecteur à confondre différente action importante.

[2841987] Maximus200206 [None] :: May 30, 2015, 8 p.m.
Moi aussi je corrigerai les fautes demain.Un pote m'as mis au défit d'écrire tout mon texte en écoutant ceci.C'est pas une blague et je l'ai fait:C'est très chiant sur la durée.Un jour il paiera pour m'avoir fait ça.:p

[2841989] 25111999flo (FR1) [None] :: May 30, 2015, 8:24 p.m.
***** Concours littéraire 12 : Deux guerres *****

Prologue :

Il était une fois, en pleine nuit, une douce et triste nuit, sous un vent qui faisait frémir les feuilles des grands arbres, une jeune fille adossée contre un arbre, fixant le ciel. Elle se demandait pourquoi, tant de sang, tant de haine, tant d’avidité, pour sommer au trône du pouvoir. Sur sa corniche préférée, elle pouvait observer, sans peine, le ciel qui recouvrait les capitales humaines. Des oiseaux crièrent au-dessus des nuages, venant perturber ce moment. Elle les voyait : un nombre incalculable de tours, perforant les cieux, ainsi que des bâtisses, illuminant la cour et les faubourgs alentour. L’immense construction était vide avant la capture des Ménéstrels. Mais cela n’était que le début d’un avenir sanglant.
Cette fille voulait également savoir pourquoi L’empire Romain préparait la guerre à La Muerte. C’est un vieux marchand passant par là qui finit par répondre à l’énigme de la fillette en criant de toute voix :
« Cors et fanfares, hurlent dans la nuit, annonçant le renouvellement de ce monde.
Un nouveau glas approche; des êtres amorphes et livides, sortant des catacombes,
mutilent corps et âmes, à la recherche de nouvelles conquêtes…
Bastion enseveli par le temps, sous un joug méphitique, La Barbarie se lève,
et il emportera avec lui, paix et patience des humains. »

La fille eut peur en entendant cela et prit le marchant pour un fou, mais comprit que deux guerres allaient naître d’ici peut, une luttant contre le respect, la barbarie et le pouvoir opposant le clan de La Muerte et L’empire Romain et une seconde guerre opposant Oxxo Al et Ménéstrels pour la capture d’une capitale. L'avenir nous en dira plus ...

Chapitre 1 : Rencontre étrange

Il était une fois, un chevalier nommé Luc, il était beau et courageux. Il était follement amoureux de la magnifique princesse Fanny.
Fanny habitait dans un très beau palais à côté du territoire Bérimond. Elle avait des cheveux blonds ondulés et une robe bleu ciel, tout pour être une grande séductrice.
Hélas Fanny s'était fait kidnapper dans la nuit du dernier jour de novembre par le monstrueux Kraken des côtes tranchantes qui la gardait prisonnière au fond de sa gorge. Son père le roi du palais décida de faire appel au vaillant chevalier Luc, mais ce chevalier était surtout courageux pour raconter des histoires qui faisaient peur aux enfants. Allait-il être capable de sauver pour de vrai la princesse en danger ?
Luc accepta au final sans hésitation et se mit en route sur son cheval vêtu de son armure et son épée. Sur ça route, il vit deux clans en pleine guerre, il s’agissait du clan La Muerte et L’empire Romain. En voyant cette haine dans les yeux des combattants et les nombreux cadavres, il décida de faire un journal tout au long de cette guerre pour en écrire une histoire terrifiante à raconter aux enfants à son retour... il oublia même le but principal de son voyage qui était de sauvé l'élu de son cœur Fanny.

Pendant 7 jours approchant l'hivers, il prit note de tout agissement, bataille, ... que composait ce conflit, il croisa même des espions des deux camps et il n'hésita pas à leur posées des questions pour approfondir ses notes. Cela montrait d'autant plus son courage ... C'est un peu la raison principal du choix du père de Fanny, pour lui, Luc était l'homme parfait pour Fanny et l'amour qu'il avait pour elle, ne l’arrêterait pas supposait le père de Fanny.

Chapitre 2 : En route dragon !

Luc voyant que cette guerre était désormais finit, il se remit en route en se rappelant sa mission principale de son voyage. Il entra dans une forêt et vit un dragon dans un filet. Avec son épée il coupa le filet. Le dragon sortit. Il le remercia et devint son ami, le dragon lui expliqua qu'il c'était fait capturé du royaume des pics par un groupe de chevalier. Luc sans réfléchir remonta rapidement sur son cheval, prit son bouclier et prit son épée pour faire demi-tour sans attendre car cette forêt était trop hostile à son goût. Il n’avait pas quitter la forêt que parcouru une flèche vers lui, qu’il aperçut pour l'éviter. Ensuite un chevalier se précipita sur lui, il était monté sur un grand cheval noir, portant un bouclier et une lance de même couleur que Luc. La lance, fort épaisse à sa pointe, brûlait d’un feu terrifiant, et la flamme descendait jusqu’au poing du chevalier. Celui-ci pointa son arme pour en frapper Luc, mais ce dernier l’évita, et le chevalier le dépassa. Luc lui demanda alors :

- Seigneur chevalier, pourquoi me haïssez-vous ?
- Je n’ai aucune raison de vous aimer ! répondit le chevalier.
- Et pourquoi donc
- Parce que vous avec libérer un dragon valant de l'or.
- Savez-vous donc qui je suis ? demanda Luc.
- Oui, vous êtes Luc, le chevalier cherchant Fanny, je vous défie, vous êtes mon ennemi mortel désormais !

Il recule pour mieux prendre son élan, et Luc comprit qu’il ne peut éviter le combat. Il abaissa son épée quand il vit s’approcher le chevalier avec sa lance en feu ; il éperonna son cheval de toutes ses forces et frappa le chevalier ; celui-ci le frappa également : le choc si violent firent tomber Luc et le chevalier, tout deux perdait du sang par la bouche et le nez. Ils s’écartèrent l’un de l’autre pour reprendre haleine. Luc regarda la lance du Chevalier Noir qui brûlait, et se demanda : "mais ... comment est-ce possible qu’elle ne se soit pas brisée sous la violence du coup" : il pense qu’il a affaire à un démon. Le Chevalier Noir n’avait pas l’intention de s’en tenir là : il se précipita encore une fois sur Luc de tout son élan. Le voyant venir, Luc se protégea de son bouclier, il craignait l’ardeur de la lance enflammée ; il reçu le coup de son adversaire du fer de sa lance, le frappant en pleine poitrine si violemment qu’il le renversa sur la croupe de son cheval. Le chevalier, qui était un rude combattant, se rétablit sur ses arçons, et frappa Luc juste sur la bosse de son bouclier ; de sorte que le fer brûlant traversa le bois et la manche du haubert et pénétra dans le bras de Luc. Sous la douleur de la blessure et de la brûlure, Luc fut saisi d’une grande rage ; son adversaire retira sa lance, et il manifesta une grande joie quand il vit que Luc était blessé. Celui-ci regarda la lance du Chevalier Noir et fut surpris de voir qu’elle ne brûlait plus.

- Luc, dit le Chevalier Noir, je vous demande grâce. Jamais ma lance n’aurait cessé de brûler si elle n’avait été plongée dans votre sang.
- Que Dieu me damne, répondit Luc, pas question de faire grâce alors que je pourrais être vainqueur !

Et, piquant la lance de son adversaire, il le frappa en pleine poitrine, faisant pénétrer sa lance et le porta à terre, lui et son cheval ; il retira sa lance, contempla son adversaire qui gisait là, mort ; et, l’abandonnant au milieu de la forêt, il se dirigea vers les lueurs du soleil.

A ce moment-là, Luc entendit le vacarme d’une troupe de chevaliers dans la forêt, il semblait qu’il y en eût une vingtaine, ou même davantage. Il les vit déboucher dans la forêt, armés et bien montés, se dirigeant vers le chevalier qui était étendu mort. Luc prit ses pieds à son coup et galopa !
La horde de chevalier qui le suivait l'avait perdu et Luc reprit tranquillement sa route au côté du dragon.

Chapitre 3 : La guerre pour son élu

La princesse étant prisonnière depuis fort longtemps, la chose avait fini par se savoir dans toute l’Empire et même dans les régions alentours, tant et si bien que nombreux étaient les chevaliers qui, armés de leur épée, s’en venaient fièrement, rêvant de délivrer enfin la belle damoiselle.
Hélas, la princesse était gardé par un immense et féroce Kraken. Les valeureux chevaliers, malgré leur courage et leur vaillance au combat, ne pouvaient rien contre cette créature et mourraient, les uns après les autres, calcinés, dans d’atroces souffrances.
Et c’est ainsi, que la jeune Princesse restait prisonnière au fond de sa goerge et soupirait de chagrin, désespérant d’être un jour libérée de sa geôle.
Mais, par une belle matinée, arriva le plus beau jeune homme que l’on n’eut jamais vu à mil lieues à la ronde. Chevauchant son destrier blanc, une flamme inextinguible brûlait dans son regard.
Cette flamme était assurément celle de l’amour : Serait-ce enfin le courageux Luc ?
Et oui, il s’agissait bien de notre chère Luc c’est pourquoi le jeune chevalier avançait sûr de la force de son bras et de son amour.
Toutefois, à l’orée des collines, il aperçut sur la ligne de crête l’immense Kraken !
Le jeune chevalier se posa quelques secondes et se mit à établir une stratégie d’approche. On lui avait narré avec des messagers que le père de cette princesse lui envoyait, dans le détail la fin tragique de centaines de jeunes chevaliers, tout aussi forts et fougueux que lui, qui avaient cru pouvoir aller trancher la tête du Kraken avant que celui-ci ne les fasse écraser et manger !
Il essaya d’évaluer, à distance, la taille du Kraken, puis la compara à celle, minuscule en comparaison, de son épée. Il se frotta pensivement le menton avant de se décider de faire demi-tour.
Les manants du coin, le voyant ainsi revenir, sourirent en douce. Tiens ? Un lâche ! se dirent-ils. Peut être … Luc se livra à de bien curieux achats chez les marchands du coin, avant de reprendre le chemin tortueux qui menait vers la créature.
Arrivé à l’orée de la colline, il continua, sans hésiter cette fois, à avancer vers l’immense bête qui se découpait sur la ligne de crête, tirant, par une corde accrochée à son destrier blanc, une carcasse de bœuf entier.
Arrivé à proximité du Kraken, il vit que la bête l’avait aperçu et se dirigeait vers lui, il trancha la corde et s’enfuit au galop.
Comme il l’avait prévu, le Kraken s’arrêta près de la carcasse de bœuf, la huma, puis la dévora goulûment d’un coup de dent et de tentacule.
Il y eut alors une immense lueur dans un bruit de tonnerre : la tête du Kraken n’était plus qu’une boule de feu hurlante.
Quelques secondes plus tard, le corps de la créature, ou tout du moins ce qu’il en restait, gisait sur le sol.
Le jeune chevalier sourit radieusement : son piège avait fonctionné ! Un poison mortel dans une carcasse de bœuf avait eu raison du monstre, bien plus sûrement que ne l’eût fait son épée !
La voie était désormais libre. Il se précipita dans la gueule du monstre, le cœur battant, où l’attendait sa prétendante. Celle-ci, alertée par l’inactivité intérieur du Kraken, avait vu de loin le jeune chevalier approcher et attendait son sauveur, le cœur tout aussi battant.
Quand ils se virent, ce fut comme un ravissement : ils étaient l’un et l’autre encore plus beaux que tout ce que l’un et l’autre avaient pu imaginer.
Ils s’aimèrent tout aussitôt de l’amour le plus pur et le plus puissant du monde.
C’est ainsi qu’ils repartirent ensemble vers le père de Fanny main dans la main sous un merveilleux couché de soleil.

Chapitre 4 : Un retour enchanté !

Sur le chemin du retour, Luc et Fanny avait terriblement faim, avec leur périple, ils étaient tout deux fatigués et les estomacs en faisait le prit, Luc décida ainsi d’aller essayer de pêcher un beau repas pour le soir après avoir déposé sa tendre dans une vieille ferme abandonné.
Il mit son baton à l’eau et un bout de Kraken au bout de celui-ci, il retira de la rivière une magnifique anguille.
Comme il s’apprêtait à la mettre dans son sac, elle lui dit :

— Brave homme, si tu voulais me laisser la vie, je ferais ton bonheur.
Luc, tout surpris d’entendre un poisson parler, lui répondit :
— J’y consens ; mais que m’offriras-tu pour récompense ?
— Je te donnerai la fortune, et pour cela je vais aller chercher au fond de l’eau une clef dont je t’indiquerai l’usage.

Elle plongea et revint presque aussitôt apportant une petite clef d’or.

— Prends ce bijou, lui dit-elle, et rends-toi dans la forêt voisine, mets fait attention, cette forêt appartient au territoire de Bérimond, on peut y trouvé des malheurs. Dans cette forêt tu y trouveras un vieux château en ruines. Cherche la plus petite des pièces de cette habitation. Écarte les ronces et les plantes grimpantes qui en tapissent les murs, et tu ne tarderas pas à découvrir une porte ornée d’une serrure d’un travail remarquable. Ta clef, seule au monde peut y entrer. Tu ouvriras cette porte, et un escalier sombre s’offrira à ta vue. Descends-le sans crainte, il te conduira dans un souterrain où sont cachés des immenses trésors. Ces richesses m’appartiennent, et je te permets d’y puiser à pleines mains. Seulement j’y mets une condition : c’est que tu ne révèleras leur existence à personne.
— Sois sans inquiétude, dit Luc, je me donnerai bien garde d’en parler à âme qui vive.
— Tant mieux pour toi, car autrement tu perdrais ton amour.

Après cette conversation, l’anguille se glissa entre les roseaux et disparut dans la vase.

Le bonhomme, après avoir admiré sa ravissante petite clef, voulut, le jour même, s’assurer qu’il n’était pas l’objet d’une mystification.
Il se rendit dans la forêt, et trouva sans peine le château en question, la petite pièce désignée par l’anguille, la porte fermée par une serrure en argent d’un travail délicieux et qui devait être, sans aucun doute, l’œuvre d’un monnayeur. Bien que fermée depuis des siècles, la porte s’ouvrit, comme par enchantement au contact de la clef, sur un escalier de pierre, qui semblait se perdre dans des profondeurs infinies.
Luc, se rappelant les paroles du poisson, s’aventura sans trop d’hésitation et descendit dans un souterrain éclairé par des diamants et des pierres précieuses.
Là, sur des dalles de marbre blanc, sept grandes tonnes, montant jusqu’à la voûte du souterrain, étaient alignées au milieu d’une pièce. Une échelle, appuyée sur chacune d’elles, permettait d’en atteindre le sommet.
Le bonhomme y grimpa et se pâma de joie en les voyant, toutes les sept, pleines de pièces d’or du haut en bas. Il en remplit ses poches et repartit vers la ferme où il avait laisser Fanny.
Fanny voyant ses prodigalités et l’or couler à flot, conçut tous les soupçons que son imagination put inventer. Elle croyait qu’il avait commis quelque mauvais coup pour s’emparer de la fortune de quelqu’un pour son bien; un autre, qu’il avait vendu son âme au diable. Elle questionnait Luc à tout moment afin de savoir d’où lui venait cette fortune, et n’obtenant aucune réponse, ou des raisons qui ne la satisfaisaient pas, Fanny décida de continuer seul son chemin pour arrivée chez elle où elle découvrira plus tard que son père est mort. Luc voyant son amour partir au loin finit par lui dire la vérité.

Fanny surprit lui fit la promesse de ne rien dire mais dès leur retour en apprenant la mort de son père, elle ne pu gardé bien longtemps le secret par déception. Elle raconta le secret des trouvailles de luc à tout son royaume.
Ce ne fut bientôt plus qu’une procession dans la forêt pour découvrir les ruines du château et les souterrains remplis d’or. Tout fut bouleversé, toutes les pierres furent retournées, et personne ne trouva rien. Luc, lui-même, s’aperçut que sa clef avait disparu et ne put retrouver trace des ruines qu’il avait cependant l’habitude de visiter si souvent.
Luc su à ce moment là que Fanny avait tout raconter et se prépara au pire !
Fanny mourut quelques jours après et le royaume eu un nouveau hériter du nom de Henri VII, cousin de Fanny au premier degrés. Luc sous la déception perdit tout ce qu’il avait et ne fut plus qu’un pauvre homme sans habitation peut de temps après.
Il se remit à la pêche pour pouvoir vivre ...

C’est qu’un jour à nouveau un énorme brochet vint encore se faire péché par Luc, qui admirait sa capture se débattant sur le sol humide au bord de l’eau.
Tout à coup, voyant que ses efforts étaient inutiles pour regagner la rivière, il tourna ses grands yeux de brochet vers le bonhomme, et lui dit d’un ton suppliant :

— Si tu consentais à me laisser la vie, je ferais ta fortune.
— Merci, répondit Luc, des richesses avec des conditions sans doute, je sors d’en prendre, je n’en veux plus.
— Je vois bien, reprit le brochet, que tout ce que je pourrais t’offrir ne changerait pas ta détermination, et, malgré cela, je veux faire quelque chose pour toi :

« Au lieu de me vendre au marché, mange-moi en famille, et écoute bien ce qu’il en résultera :
« Si tu donnes mon cœur à une femme, elle deviendra tienne et aura trois fils d’une beauté incomparable et d’une bravoure excessive. Enfin, si tu enfouis ma tête et mes os dans la cour de ta maison, il en jaillira une fontaine, qui donnera naissance à un ruisseau d’eau limpide. Tant que tes enfants seront heureux, cette eau restera claire ; mais s’il leur arrive malheur et surtout s’ils sont en danger de mort, l’eau deviendra trouble aussitôt. »

Épuisé par ces paroles, le brochet expira sur la rive et luc se dit :

« Ma foi, nous allons essayer, afin de voir si ce qu’il dit se réalise. »

Le brochet fut donc mangé et Luc donna le coeur de celui-ci à une magnifique femme dans la même situation que lui et lui fit manger le coeur de ce brochet, il prit ensuite la tête et les arêtes et les firent enterrées.
Dans l’année qui suivit ce repas, Luc eu une femme et un fils, qui vint au monde. Ce prodige se renouvela trois années de suite.
Un bassin, creusé dans la cour de leur maison construite avec leur maigre dépense, s’emplit d’une eau transparente, qui s’en alla en un petit filet d’eau sur un lit de sable fin.
Lorsque l’aîné des enfants eut atteint sa dix-huitième année, il fut pris d’une envie irrésistible de voyager et pria son père (Luc) de le laisser partir pour aller chercher fortune.
Le vieillard y consentit. Le jeune homme, équipé convenablement par les soins de sa mère, monta son cheval et s’en alla suivi de son chien fidèle.
Après avoir parcouru plusieurs Empire, il arriva dans une grande forteresse où il trouva tous les habitants en pleurs.
Il s’informa du motif de leur chagrin et apprit qu’un monstre effrayant, appelé Larmare après avoir ravagé toutes les contrées environnantes, était venu établir son quartier général à la porte de la forteresse, où il exigeait qu’une jeune fille lui fût conduite chaque soir, pour lui servir de pâture.
Cet horrible carnage durait depuis longtemps déjà. Un tirage avait lieu chaque jour pour désigner la malheureuse victime qui devait être sacrifiée à l’appétit grossier du monstre redoutable.
Or, un jour, le sort avait décidé que c’était au tour de la fille du roi de cette forteresse.
Cette jeune princesse était belle et bonne. De là les larmes de tous ses sujets.
Le roi et la reine, qui n’avaient que cette enfant, étaient dans la désolation ; mais, comme ils étaient sages et justes, ils ne croyaient pouvoir se dispenser de payer leur tribut à la bête immonde.
La pauvre victime elle-même, mourant de frayeur, ne faisait, ni ne disait rien pour se soustraire au sort qui la frappait.
Le moment venu, elle se jeta dans les bras de ses parents infortunés, et se fit ensuite conduire au lieu du sacrifice.
Ses guides la quittèrent sur la limite du domaine occupé par la bête, et s’en retournèrent au palais du roi rendre compte de leur mission.

Abandonnée à elle-même, la jeune fille n’osait faire un pas dans la crainte de rencontrer son bourreau. Soudain, elle vit venir à elle un élégant cavalier suivi d’un énorme chien, c’était le courageux fils de Luc. Le jeune homme mit pied à terre, s’inclina devant la princesse et lui dit que, nouvellement arrivé en ces lieux, il avait appris son malheur et voulait la défendre.
La jeune personne, remise de sa frayeur, le félicita de son courage et le remercia avec effusion de sa bonne intention, mais chercha à le dissuader de son dessein, l’assurant qu’il échouerait sans doute dans son entreprise, et ne ferait qu’augmenter la fureur de leur ennemi.
Rien ne put décider le cavalier à changer d’idée. Il déclara à la princesse qu’il ne la quitterait pas un seul instant, dût-il mourir avec elle.
Aussitôt un bruit formidable se fit entendre, le monstre se précipita sur eux.
Le jeune homme tira son épée et s’élança vers l’animal ; le cheval de son côté se mit à ruer de toutes ses forces, pendant que le chien, écumant de rage, essayait de faire fuire la bête.
Après un combat qui ne dura pas moins d’une heure, le chevalier de la Belle parvint à couper une patte de la bête qui, alors, battit en retraite, en laissant une longue trace de sang après elle.
La princesse se précipita bien vite vers son sauveur, pour s’assurer qu’il n’était pas blessé grièvement, essuyer le sang dont il était couvert, et lui témoigner toute sa reconnaissance pour ce qu’il venait de faire pour elle.

— Tout n’est pas fini, répondit le jeune homme exténué de fatigue, le monstre n’a perdu qu’une pâte et, pour que nous en soyons débarrassés, il faut que je les lui abatte toutes les quatre, les unes après les autres.
— En attendant, reprit la jeune fille, vous allez toujours venir recevoir les félicitations du roi.

Le jeune homme s’excusa, prétextant ses fatigues et l’état peu convenable de sa toilette. Il reconduisit la princesse jusqu’à la forteresse et regagna ses terres.
Le roi et la reine furent bien surpris et en même temps bien heureux, en revoyant leur enfant qu’ils croyaient déjà dévorée. Toute la forteresse en fut promptement informée, et des illuminations et des chants eurent lieu en signe de réjouissance, et en l’honneur du jeune héros invisible.
Le lendemain, le roi dit à sa fille :

Dès lors que tu n’as pas servi de pâture au monstre, il ne peut y avoir de tirage au sort aujourd’hui pour désigner une nouvelle victime ; et tu dois, malgré toute la peine que j’en ressens, retourner ce soir t’offrir de nouveau au monstre, et y aller jusqu’à ce que notre brave défenseur nous ait délivrés de la bête, ou ne succombe à la peine.

La pauvre fillette se rendit donc au même endroit que la veille et y trouva le jeune et beau cavalier qui l’attendait. Les désordres de sa toilette avaient été réparés et, après avoir présenté ses hommages à la princesse, il attendit de pied ferme son ennemi.
Un combat plus long et plus terrible que la veille eut encore lieu, et le chevalier parvint à abattre une deuxième pâte du monstre qui, aussitôt, prit la fuite.
Les choses se passèrent comme le jour précédent. Le jeune homme reconduisit le princesse jusqu’à la ville et s’en alla se reposer chez lui.
Il en fut de même pendant cinq autres jours, au bout desquels le dernier jour, lorsque le monstre effrayant eut rendu le dernier soupir, la jeune fille supplia son sauveur de l’accompagner au palais de son père, pour y recevoir une récompense. Le chevalier refusa, assurant qu’il avait trop besoin de repos, mais promettant d’y aller dans quelques jours.

La forteresse fut dans l’allégresse en apprenant la mort de la bête. Des fêtes publiques eurent lieu partout pour célébrer cet heureux jour. L’on chercha inutilement le chevalier, que tout le monde désirait connaître et féliciter ; mais il fut impossible de découvrir sa demeure.
Les jours et les semaines se passèrent sans que le jeune homme parût à la cour.
Le roi, qui cependant tenait à le récompenser, comme il le méritait, et qui avait sans doute remarqué combien sa fille vantait le courage du chevalier, sa bonne mine, ses manières distinguées, et semblait attristée de ne pas le voir, fit publier, dans son royaume que celui, qui avait débarrassé le territoire du monstre terrible, auteur de tant de maux et de peines, pouvait se présenter sans crainte à la cour et qu’il obtiendrait la main de sa fille.
Malgré cela le chevalier ne parut pas.
Un charbonnier, porteur d’un grand panier, se présenta un jour au palais et demanda à parler au roi. Il fut introduit près du souverain auquel il déclara qu’il était celui qui avait sauvé sa fille et débarrassé le royaume de la bête.
La princesse, qu’on fit appeler sur le champ, déclara que ce n’était pas lui ; mais le roi, ne voulant avoir qu’une parole, et par conséquent tenir la promesse qu’il avait faite, dit à sa fille qu’elle épouserait cet homme, puisqu’il affirmait être son sauveur et qu’il en donnait des preuves.
Qu’on juge du chagrin de l’infortunée jeune fille obligée d’épouser un charbonnier. Elle regrettait presque de ne pas avoir été dévorée par la bête.
Cependant le temps s’écoulait ; les apprêts de la noce allaient leur train, et le jour fatal fixé pour la célébration du mariage approchait.
Un matin que la princesse était à la fenêtre de sa chambre, occupée à regarder les hirondelles voltiger autour des donjons, elle aperçut dans la campagne un nuage de poussière, qui se rapprochait avec une vitesse incroyable.
Ce nuage venait en droite ligne vers le palais du roi.
Sans s’en rendre compte, la jeune fille ne quittait pas ce nuage du regard et distingua bientôt un cavalier monté sur un superbe cheval noir, suivi d’un magnifique chien de même couleur.
Nul doute ! c’était son chevalier. Elle manqua s’évanouir de bonheur.
Le chevalier s’arrêta à la grille du palais et demanda à parler au roi. La princesse avait déjà prévenu celui-ci de son arrivée.
Le brave jeune homme fut aussitôt introduit. Il baisa respectueusement la main que la princesse lui tendit, s’inclina jusqu’à terre devant le monarque et s’excusa sur son absence aussi prolongée.

— Mes nombreuses blessures, leur dit-il, m’ont empêché de venir plus tôt. Je souffrais atrocement de la fièvre, et, au plus fort de ma maladie, je ne songeais qu’au bonheur de vous voir et j’étais vraiment malheureux de ne pouvoir quitter mon lit de souffrances et d’angoisses.
— C’est d’autant plus fâcheux pour vous, répondit le roi, que j’avais fait publier que ma fille épouserait celui qui lui avait sauvé la vie, et que quelqu’un s’est présenté avant vous, fournissant la preuve de ce qu’il avançait.
— Et quelle est cette preuve, Sire, s’il vous plaît ?
— Il a apporté la bête.
— Vous pouvez vous convaincre, Sire, qu’il n’est qu’un imposteur.
— Serait-ce vrai ? s’écria le roi.

Vérification faite, l’on reconnut l’effronterie du charbonnier, qui fut aussitôt conduit en prison pour le mensonge dont il s’était rendu coupable, et pour s’être joué du monarque et de sa famille.


De nouvelles fêtes eurent lieu en l’honneur du chevalier, qui eut le don de plaire à tout le monde et principalement au roi.
Il demanda la main de la princesse, qu’il obtint sans peine, on le devine bien, et les noces eurent lieu.
Un jour, une nouvelle fut tout bouleversé dans la sainte vie du royaume, on apprit qu’une nouvelle créature s’installa au porte de la forteresse.
N’écoutant que sa bravoure, malgré les prières et les larmes de la jeune reine qu’il idolâtrait cependant, il partit aussitôt monté sur son cheval et suivi de son chien, pour aller combattre son ennemie, on reconnu aussitôt le courage que son père Luc lui avait transmit.
Il dirigea ses pas vers l’endroit qui lui fut désigné, comme étant le lieu choisi par la créature pour y accomplir ses maléfices et ses vengeances.
Il chevauchait depuis quelque temps, lorsqu’il aperçut, marchant devant lui, courbée par les ans, une petite vieille qui semblait prête, à rendre le dernier soupir.
Sans défiance aucune, il s’approcha d’elle et lui demanda si elle pouvait lui indiquer la demeure de la fée redoutée.

« Vous n’êtes pas loin d’elle », dit la vieille femme en s’approchant de lui.
Au même instant, elle passa un brin d’herbe, qu’elle tenait à la main, autour du cou du cheval et en fit autant au chien. Puis, se redressant de toute sa hauteur, comme une vipère venimeuse, elle s’écria d’un air menaçant :
« Ton cheval et ton chien sont enchaînés au point de ne pouvoir bouger. À nous deux maintenant, beau tueur de bête. Nous allons voir si tu seras aussi heureux avec moi, que tu l’as été avec mon enfant. »

Le chevalier, voyant ses animaux réduits à ne pas pouvoir faire un mouvement, mit pied à terre afin de tirer son épée ; mais la créature mère de la bête tué par le chevalier, ne recula pas et d’un geste, arracha les yeux du chevalier.
Ainsi sans défense, elle le garotta à son tour comme elle avait fait du cheval et du chien, et les attacha tous les trois à un arbre en leur promettant de les laisser mourir de faim.

Le second fils de Luc, étant allé un matin près du bassin de la cour, remarqua que l’eau était trouble :

« Mon frère est mort ou en danger de mort, se dit-il. Il faut que j’aille sans retard le venger ou le secourir. »

Encouragé d’ailleurs par son père, il partit le jour même, et suivait encore la trace du précédent voyageur.
Il arriva promptement dans la ville habitée par la reine.
Qu’on juge de son étonneraient lorsqu’il se vit entouré de tous les habitants qui crièrent : « Vive le roi ! Vive le roi ! » en le conduisant presque malgré lui au palais de son frère.

La reine, en entendant ce tapage, crut au retour de son époux et se précipita à sa rencontre.
Les deux frères se ressemblaient tellement, qu’elle se jeta dans les bras du jeune cavalier qui, ne comprenant rien à cette démonstration, ne lui rendit pas ses caresses.
Une explication s’ensuivit nécessairement, et ils apprirent ce qu’ils étaient l’un à l’autre.
La jeune reine lui raconta ensuite où était allé son mari et les craintes qu’elle éprouvait en ne le voyant pas revenir.
Afin de réparer ses forces, le voyageur accepta le dîner que lui offrit sa belle-sœur, et aussitôt après remonta à cheval pour aller à la recherche de son frère.
Le chagrin et les larmes de la reine lui donnèrent un triple courage. Il partit bien décidé à vaincre ou à mourir.
On lui donna un chien qui le conduisit à l’odeur, tout droit, au pied de l’arbre où étaient enchaînés le malheureux roi et ses deux animaux. Trois cadavres gisaient à terre et servaient de pâture aux corbeaux.
Le pauvre enfant s’agenouilla près de son frère et versa d’abondantes larmes, en priant Dieu avec ferveur de lui donner la force de supporter une pareille épreuve.
Un rire diabolique vint le distraire de son chagrin. Il aperçut, derrière un buisson, la vieille qui était la créature, qui ne pouvait maîtriser la joie qu’elle éprouvait en présence de cette scène déchirante.
La douleur fit place à la rage, et, comme un furieux, il s’élança vers la mégère qui, n’ayant pas le temps de lui jeter sa poudre aux yeux, fut traversée d’un coup d’épée, écrasée par le cheval et mise en lambeaux par le chien.
Soudain la terre s’ouvrit pour engloutir les dépouilles de la vieille, et un géant d’une taille effrayante sortit de ce trou béant armé d’un arbre qui lui servait de bâton.
Le malheureux chevalier, surpris et effrayé à la vue de ce nouvel ennemi, ne songea pas à se mettre en défense, et fut assommé, lui et ses bêtes, d’un seul coup de l’arbre que le géant brandissait entre ses mains.

Le troisième fils de Luc, ayant lui aussi remarqué l’eau trouble du bassin, ne douta pas un seul instant que ses frères couraient un immense danger. Il vola à leur secours.
Le même accueil fut fait par les habitants de la grande forteresse et par la reine qui, déjà en deuil, ne lui cacha pas que ses deux frères avaient dû succomber dans la lutte qu’ils avaient entreprise contre la créature.
Cette nouvelle l’affligea profondément, mais ne l’effraya pas.
Il fit serment, à son tour, de venger ses deux aînés ou de mourir comme eux.
Il arriva promptement à l’endroit où les six cadavres reposaient. Ce spectacle le remplit de terreur et le rendit circonspect. Il n’avança qu’en tremblant et en comptant ses pas ; son cheval et son chien qu’on lui avait également donné dressaient les oreilles et cherchaient à percevoir le moindre bruit.
Après quelques heures passées ainsi, et qui lui parurent des siècles, il vit enfin, couché au pied d’un arbre, le géant qui dormait d’un profond sommeil. Il avait les bras enlacés autour du chêne qui lui servait d’abri.
L’enfant — car le jeune chevalier comptait à peine quinze ans — fit signe à son cheval de ne pas bouger, et ordonna à son chien de se coucher par terre, pendant que lui, ôtant ses bottes, s’avança nu-pieds jusqu’auprès du géant.
Comme il avait pris les brins d’herbe changés en chaînes qui avaient servi à paralyser les animaux de son frère, il s’en servit pour lier les bras et les jambes de son ennemi. Il tira ensuite son épée afin d’être prêt à toute éventualité.
Le cheval et le chien, semblant comprendre que le moment était venu de seconder leur maître, s’élancèrent sur le géant, qui fit de vains efforts pour briser ses entraves.
Se voyant ainsi au pouvoir du chevalier, il lui demanda grâce, promettant de rendre la vie à ses frères.

— Comment t’y prendrais-tu ? répondit l’enfant.
— Je possède sur moi un onguent merveilleux, qui a la propriété de rendre la vie aux morts.

Le chevalier ravi retourna les poches du géant et trouva en effet le flacon en question.

« Maintenant, dit-il à son ennemi, je ne veux pas la mort du pécheur. Si tu peux disparaître immédiatement dans les entrailles de la terre, je ne te percerai pas le cœur de mon épée. »

Le géant prononça certains mots inintelligibles pour le reste des mortels. Aussitôt la terre s’ouvrit juste pour lui livrer passage et elle se referma immédiatement.
Le jeune chevalier s’empressa de frotter de son onguent le corps de son frère aîné, qui se ranima peu à peu et revint complètement à la vie. Le cadet eut le même sort. Les trois frères, après s’être embrassés avec effusion, se racontèrent leurs aventures et partirent pour aller consoler la reine.
Qu’on juge de la joie de celle-ci en revoyant son mari qu’elle croyait mort. De nouvelles fêtes, plus brillantes encore que les premières, eurent lieu dans tout le royaume et auxquelles succédèrent les noces des deux jeunes chevaliers qui épousèrent deux princesses de la cour.
Luc et sa Fanny quittèrent leur habitation pour venir rejoindre leurs enfants …

Chapitre 5 : Une histoire vrai

Des années passèrent, Luc mourut et ses fils se marièrent et ils eurent à leur tour des enfants. C’est ainsi qu’un soir, en famille, alors que les frères étaient réunis avec leurs enfants, qu’ils eurent l’idée de lire les notes prises par leur père à l’époque, car elles relataient de ces deux guerres historiques. Par cette lecture, ils voulurent lui rendre un dernier hommage !

**** Je m'appelle Luc, je suis partit à la chasse d’un terrible Kraken ayant prit ma demoiselle comme otage au fond de sa gorge, je suis actuellement en voyage et je suis en pleine guerre opposant un certain clan appelé La Muerte et L’empire Romain, je suis entrain de vous écrire ce journal si jamais il devait m'arriver quelques choses durant ce conflit.****

Jour n°1 : Nous sommes le 1er décembre, l'hiver est rude, deux camps face à face près à s’entretuer, un vent glacial souffle et le hurlement des cornes se mettent à fendre le silence, et voilà que les troupes commencent le face à face !
Je repère rapidement un espion et je me permet de lui demander les raisons de cette guerre, et il me répond : “C’est simple cher voyageur, la guerre a été déclarée pour les divers sabotages et conquêtes envoyés par La Muerte sur notre famille, qui est composée de l’Empire Romain. Etant donné que nous avons un traité avec eux et qu’ils ne respectent pas la famille en général, notre roi nous a demandé de les espionnés un par un après la déclaration de guerre, afin de nous préparer à d’éventuelles conquêtes.”
C’est ainsi que la première journée prend fin, avec tout ces espions se baladant de gauche à droite et ces combats épiques sans précédent sur le front.

Jour n°2 : Toujours et encore des combats ! Un spectacle excitant comme terrifiant, des pertes douloureuses des deux côtés, un carnage rien de plus pour décrire cette scène que je voie actuellement ! Oh mon dieu et voilà qu’un pauvre enfant est exécuter. Mais, oh mon dieu, cette fille serait-elle celle du commandant de La Muerte ???
D’après un espion croisé, il s’agirait d’un enlèvement de la fille du roi de La Muerte avant son exécution ! Je me retire un peut plus loin, cela devient trop sanglant, j’en perd mes mots.

Jour n°3 : Le roi de La Muerte ayant perdu sa fille, a fait appelle à tout ses braves chevaliers, de contés voisins, de territoires lointains, …. D’après un espion rencontré plutôt dans la matinée de ce 3 décembre. Les combats font toujours autant rages dans la montagne.

Jour n°4 : Nous sommes le 4 décembre, le soleil enfin levé, personne n’est encore au front mais cela ne dura pas longtemps, que j’aperçois un espion de LM passer par là et je lui demande ce qu’ils avaient de prévu contre L’empire romain. Il me répond clairement que leur roi avec ses renforts arrivés, a ordonné à ses guerriers de se préparer pour l’aube afin qu’ils puissent combattre et anéantir leur adversaire ayant tué sa fille.

Jour n°5 : Sur le front, vous ne me croirez jamais, les renforts de LM sont entrain d’anéantir L’empire Romain avec une violence inimaginable … Je ne peux continuer à regarder un tel massacre, je m’en vais.

Jour n°6 : Ayant prit une journée de repos, je n’ai pas pu suivre tout les évènements, mais ce 6 décembre semblait être la fin de la guerre entre ses deux camps. Malheureusement, ce n’était pas le cas. A peine le soleil levé, j’entends à nouveau les épées se fracasser entre elles au loin. Par manque de courage je ne peut pas aller sur le front et je m’en excuse auprès de mes futurs lecteurs.

Jour n°7 : Pas un bruit, pas un animal, rien que du sang et des armes. Me voilà sur le lieu de combat, j’ai réussi à m’y infiltrer en remarquant qu’il n’y avait plus personne. Pour moi la guerre est finie, je n’ai donc plus d’autres choses à vous dire, à part peut être qu’il me tarde de retrouvé ma Fanny, dont ma mission était de la délivrer du Kraken. A la nuit tombé, je retournais dans mon campement de fortune.

Jour n°8 : 8 Décembre, je ne pensais pas vous réécrire au sujet de cette guerre. Mais ce matin, très tôt, à l’aube, en entendant des bruits étranges, je me suis levé et en me cachant, j’ai vu au loin, deux hommes face à face. Il s’agissait probablement du roi de LM et de l’Empire Romain, celui de droite signe un papier et le remet à la personne devant lui et puis il prend la fuite !
Je suppose qu’il s’agit d’un traité officiel, signant la fin de la guerre, certainement gagnée par LM.

**** La nuit commence à tombé, je me dois d’arrêter d’écrire, j’espère que mes notes seront un jour lues, appréciées et retenues comme un évènement historique dans l’histoire de notre Empire, je retourne à ma mission principal qui reste bien entendu de trouver ma Fanny ****

Chapitre 6 : Encore une !

Après cette magnifique histoire, les enfants assez calme, voulurent qu’on leurs en raconte une autre …
Ils décidèrent de leur lire cette fois-ci, les notes prises par Luc lors de son retour de voyage en voyant une guerre à cause d’une capitale.

**** Je rouvre mon journal avec grande satisfaction, je suis toujours en vie au plus grand de mon étonnement et aujourd’hui le 15 décembre, me revoilà rentré, après avoir traversé de lointaines contrée en guerre. J'ai trouver également la fortune lors d'une pêche le 8 décembre au soir, j'en suis tout ému, je vous raconte donc mes notes prises concernant la guerre concernant la prise d'une capitale d'après ce que j'ai compris si ma mémoire est bonne du 9 au 14 décembre****

Jour n° 1 : Comme précédemment, je me permet de posé des questions aux espions des alentours :

Qu’elle est la raison de cette guerre ?
Qui s’oppose à qui ?
Pourquoi ?
Il prend son temps et me répond clairement : “cette guerre oppose Ménestrels à L’oxxo Al, la raison est simple, vous voyez ce bâtiment ? Il s’agit de la 5ème capitale de L’empire, unique en son genre et capturé un peut plutôt par Légion Noire, Ménestrel voulant absolument cette capitale a commencé le combat. Oxxo Al entendit rapidement les échos de cette guerre, et décida de se battre côté Légion Noire, c’est ce qui me revient à l’esprit cher voyageur.”

Jour n°2 : Pas de changement, combats, combats et encore et toujours du combat, du mal, du sang, partout on ne voit que ça.

Jour n°3 : Le 11 décembre, je vis toujours aucune faiblesse n’y côté Ménestrels, n’y côté Oxxo Al, que dire d’autre, je n’en sais rien.

Jour n°4 : 12 décembre, la guerre prend un nouveau tournant ! Après plusieurs vols, le moral commence à faiblir à vue d’œil. Oxxo Al déjà entré dans la danse, lance plusieurs offensives sur Ménestrels, Labbeu chef de Ménestrels voulant ne pas voir les Ménestrels tombé, des négociations commencèrent à avoir lieu d’après cette espion.

Jour n°5 : Pas de bataille ! Étrange ! Comme à la guerre de LM et l’empire Romain, je ne peux que découdre des dégâts causé par cette guerre.

Jour n°6 : 14 décembre, Oxxo Al demande à Ménestrels que Labbeu chef des Ménestrels démissionne pour stopper leurs offensives. Labbeu préfèrent sauvé sa famille et accepte l’offre. La paix est signée par un traité, malgré les combats ayant toujours lieu. Ce jeune espion m’avait tout raconter et j’en compris un peut plus sur tout ça.

**** La paix enfin signée, malgré les débordements à droite et gauche, car beaucoup étaient encore envahis par la haine, il n’y eut plus d’altercations entre ses deux puissances. Fanny je tiens à préciser a assisté avec moi à ces scènes très sanglantes. Je referme donc mon journal pour le temps qu'il faudra, j'espère qu'il tombera un jour entre de bonne main, Luc ... ****
La fin : : Luc et ses enfants durant leur fantastique histoire, eurent apprit une superbe leçon ! Comme le disait si bien Arbold, grand père de Luc : "Qui craint de souffrir, souffre de la crainte." Luc lorsque son grand père lui fit part de son diction n'avait que 10 ans, il lui jura de la passée à ses fils s'ils en auraient un jour. Malheureusement, comme nous le savions Luc mourut avant de pouvoir transmettre ce dicton. Ce dicton n'en fut pas moins perdu, ses fils n'en sont pas conscient mais ils inventèrent le même dicton pour se sentir plus fort, un simple hasard ou le destin ? Personne ne le sait ou le saura.

**** La Muerte toujours avec sa famille continue à ce jour de triomphé repoussant toujours avec la même efficacité, ses obstacles. Côté Oxxo Al et Ménestrels, ils sont toujours en pleine évolution, cela est de même pour Centaure anciennement appelé L'empire Romain. A ce jour il n'ait pas envisageable qu'une nouvelle guerre puisse éclater entres ses alliances pour les mêmes causes, mais rien n'est impossible ... ****
Flo le co chef Beøwulf

[2842032] Thibaut400 (ASIA1) [None] :: May 31, 2015, 7:13 a.m.
25111999flo a écrit: »
***** Concours littéraire 12 : Deux guerres *****

Prologue :

Il était une fois, en pleine nuit, une douce et triste nuit, sous un vent qui faisait frémir les feuilles des grands arbres, une jeune fille adossée contre un arbre, fixant le ciel. Elle se demandait pourquoi, tant de sang, tant de haine, tant d’avidité, pour sommer au trône du pouvoir. Sur sa corniche préférée, elle pouvait observer, sans peine, le ciel qui recouvrait les capitales humaines. Des oiseaux crièrent au-dessus des nuages, venant perturber ce moment. Elle les voyait : un nombre incalculable de tours, perforant les cieux, ainsi que des bâtisses, illuminant la cour et les faubourgs alentour. L’immense construction était vide avant la capture des Ménéstrels. Mais cela n’était que le début d’un avenir sanglant.
Cette fille voulait également savoir pourquoi L’empire Romain préparait la guerre à La Muerte. C’est un vieux marchand passant par là qui finit par répondre à l’énigme de la fillette en criant de toute voix :
« Cors et fanfares, hurlent dans la nuit, annonçant le renouvellement de ce monde.
Un nouveau glas approche; des êtres amorphes et livides, sortant des catacombes,
mutilent corps et âmes, à la recherche de nouvelles conquêtes…
Bastion enseveli par le temps, sous un joug méphitique, La Barbarie se lève,
et il emportera avec lui, paix et patience des humains. »

La fille eut peur en entendant cela et prit le marchant pour un fou, mais comprit que deux guerres allaient naître d’ici peut, une luttant contre le respect, la barbarie et le pouvoir opposant le clan de La Muerte et L’empire Romain et une seconde guerre opposant Oxxo Al et Ménéstrels pour la capture d’une capitale. L'avenir nous en dira plus ...

Chapitre 1 : Rencontre étrange

Il était une fois, un chevalier nommé Luc, il était beau et courageux. Il était follement amoureux de la magnifique princesse Fanny.
Fanny habitait dans un très beau palais à côté du territoire Bérimond. Elle avait des cheveux blonds ondulés et une robe bleu ciel, tout pour être une grande séductrice.
Hélas Fanny s'était fait kidnapper dans la nuit du dernier jour de novembre par le monstrueux Kraken des côtes tranchantes qui la gardait prisonnière au fond de sa gorge. Son père le roi du palais décida de faire appel au vaillant chevalier Luc, mais ce chevalier était surtout courageux pour raconter des histoires qui faisaient peur aux enfants. Allait-il être capable de sauver pour de vrai la princesse en danger ?
Luc accepta au final sans hésitation et se mit en route sur son cheval vêtu de son armure et son épée. Sur ça route, il vit deux clans en pleine guerre, il s’agissait du clan La Muerte et L’empire Romain. En voyant cette haine dans les yeux des combattants et les nombreux cadavres, il décida de faire un journal tout au long de cette guerre pour en écrire une histoire terrifiante à raconter aux enfants à son retour... il oublia même le but principal de son voyage qui était de sauvé l'élu de son cœur Fanny.

Pendant 7 jours approchant l'hivers, il prit note de tout agissement, bataille, ... que composait ce conflit, il croisa même des espions des deux camps et il n'hésita pas à leur posées des questions pour approfondir ses notes. Cela montrait d'autant plus son courage ... C'est un peu la raison principal du choix du père de Fanny, pour lui, Luc était l'homme parfait pour Fanny et l'amour qu'il avait pour elle, ne l’arrêterait pas supposait le père de Fanny.

Chapitre 2 : En route dragon !

Luc voyant que cette guerre était désormais finit, il se remit en route en se rappelant sa mission principale de son voyage. Il entra dans une forêt et vit un dragon dans un filet. Avec son épée il coupa le filet. Le dragon sortit. Il le remercia et devint son ami, le dragon lui expliqua qu'il c'était fait capturé du royaume des pics par un groupe de chevalier. Luc sans réfléchir remonta rapidement sur son cheval, prit son bouclier et prit son épée pour faire demi-tour sans attendre car cette forêt était trop hostile à son goût. Il n’avait pas quitter la forêt que parcouru une flèche vers lui, qu’il aperçut pour l'éviter. Ensuite un chevalier se précipita sur lui, il était monté sur un grand cheval noir, portant un bouclier et une lance de même couleur que Luc. La lance, fort épaisse à sa pointe, brûlait d’un feu terrifiant, et la flamme descendait jusqu’au poing du chevalier. Celui-ci pointa son arme pour en frapper Luc, mais ce dernier l’évita, et le chevalier le dépassa. Luc lui demanda alors :

- Seigneur chevalier, pourquoi me haïssez-vous ?
- Je n’ai aucune raison de vous aimer ! répondit le chevalier.
- Et pourquoi donc
- Parce que vous avec libérer un dragon valant de l'or.
- Savez-vous donc qui je suis ? demanda Luc.
- Oui, vous êtes Luc, le chevalier cherchant Fanny, je vous défie, vous êtes mon ennemi mortel désormais !

Il recule pour mieux prendre son élan, et Luc comprit qu’il ne peut éviter le combat. Il abaissa son épée quand il vit s’approcher le chevalier avec sa lance en feu ; il éperonna son cheval de toutes ses forces et frappa le chevalier ; celui-ci le frappa également : le choc si violent firent tomber Luc et le chevalier, tout deux perdait du sang par la bouche et le nez. Ils s’écartèrent l’un de l’autre pour reprendre haleine. Luc regarda la lance du Chevalier Noir qui brûlait, et se demanda : "mais ... comment est-ce possible qu’elle ne se soit pas brisée sous la violence du coup" : il pense qu’il a affaire à un démon. Le Chevalier Noir n’avait pas l’intention de s’en tenir là : il se précipita encore une fois sur Luc de tout son élan. Le voyant venir, Luc se protégea de son bouclier, il craignait l’ardeur de la lance enflammée ; il reçu le coup de son adversaire du fer de sa lance, le frappant en pleine poitrine si violemment qu’il le renversa sur la croupe de son cheval. Le chevalier, qui était un rude combattant, se rétablit sur ses arçons, et frappa Luc juste sur la bosse de son bouclier ; de sorte que le fer brûlant traversa le bois et la manche du haubert et pénétra dans le bras de Luc. Sous la douleur de la blessure et de la brûlure, Luc fut saisi d’une grande rage ; son adversaire retira sa lance, et il manifesta une grande joie quand il vit que Luc était blessé. Celui-ci regarda la lance du Chevalier Noir et fut surpris de voir qu’elle ne brûlait plus.

- Luc, dit le Chevalier Noir, je vous demande grâce. Jamais ma lance n’aurait cessé de brûler si elle n’avait été plongée dans votre sang.
- Que Dieu me damne, répondit Luc, pas question de faire grâce alors que je pourrais être vainqueur !

Et, piquant la lance de son adversaire, il le frappa en pleine poitrine, faisant pénétrer sa lance et le porta à terre, lui et son cheval ; il retira sa lance, contempla son adversaire qui gisait là, mort ; et, l’abandonnant au milieu de la forêt, il se dirigea vers les lueurs du soleil.

A ce moment-là, Luc entendit le vacarme d’une troupe de chevaliers dans la forêt, il semblait qu’il y en eût une vingtaine, ou même davantage. Il les vit déboucher dans la forêt, armés et bien montés, se dirigeant vers le chevalier qui était étendu mort. Luc prit ses pieds à son coup et galopa !
La horde de chevalier qui le suivait l'avait perdu et Luc reprit tranquillement sa route au côté du dragon.

Chapitre 3 : La guerre pour son élu

La princesse étant prisonnière depuis fort longtemps, la chose avait fini par se savoir dans toute l’Empire et même dans les régions alentours, tant et si bien que nombreux étaient les chevaliers qui, armés de leur épée, s’en venaient fièrement, rêvant de délivrer enfin la belle damoiselle.
Hélas, la princesse était gardé par un immense et féroce Kraken. Les valeureux chevaliers, malgré leur courage et leur vaillance au combat, ne pouvaient rien contre cette créature et mourraient, les uns après les autres, calcinés, dans d’atroces souffrances.
Et c’est ainsi, que la jeune Princesse restait prisonnière au fond de sa goerge et soupirait de chagrin, désespérant d’être un jour libérée de sa geôle.
Mais, par une belle matinée, arriva le plus beau jeune homme que l’on n’eut jamais vu à mil lieues à la ronde. Chevauchant son destrier blanc, une flamme inextinguible brûlait dans son regard.
Cette flamme était assurément celle de l’amour : Serait-ce enfin le courageux Luc ?
Et oui, il s’agissait bien de notre chère Luc c’est pourquoi le jeune chevalier avançait sûr de la force de son bras et de son amour.
Toutefois, à l’orée des collines, il aperçut sur la ligne de crête l’immense Kraken !
Le jeune chevalier se posa quelques secondes et se mit à établir une stratégie d’approche. On lui avait narré avec des messagers que le père de cette princesse lui envoyait, dans le détail la fin tragique de centaines de jeunes chevaliers, tout aussi forts et fougueux que lui, qui avaient cru pouvoir aller trancher la tête du Kraken avant que celui-ci ne les fasse écraser et manger !
Il essaya d’évaluer, à distance, la taille du Kraken, puis la compara à celle, minuscule en comparaison, de son épée. Il se frotta pensivement le menton avant de se décider de faire demi-tour.
Les manants du coin, le voyant ainsi revenir, sourirent en douce. Tiens ? Un lâche ! se dirent-ils. Peut être … Luc se livra à de bien curieux achats chez les marchands du coin, avant de reprendre le chemin tortueux qui menait vers la créature.
Arrivé à l’orée de la colline, il continua, sans hésiter cette fois, à avancer vers l’immense bête qui se découpait sur la ligne de crête, tirant, par une corde accrochée à son destrier blanc, une carcasse de bœuf entier.
Arrivé à proximité du Kraken, il vit que la bête l’avait aperçu et se dirigeait vers lui, il trancha la corde et s’enfuit au galop.
Comme il l’avait prévu, le Kraken s’arrêta près de la carcasse de bœuf, la huma, puis la dévora goulûment d’un coup de dent et de tentacule.
Il y eut alors une immense lueur dans un bruit de tonnerre : la tête du Kraken n’était plus qu’une boule de feu hurlante.
Quelques secondes plus tard, le corps de la créature, ou tout du moins ce qu’il en restait, gisait sur le sol.
Le jeune chevalier sourit radieusement : son piège avait fonctionné ! Un poison mortel dans une carcasse de bœuf avait eu raison du monstre, bien plus sûrement que ne l’eût fait son épée !
La voie était désormais libre. Il se précipita dans la gueule du monstre, le cœur battant, où l’attendait sa prétendante. Celle-ci, alertée par l’inactivité intérieur du Kraken, avait vu de loin le jeune chevalier approcher et attendait son sauveur, le cœur tout aussi battant.
Quand ils se virent, ce fut comme un ravissement : ils étaient l’un et l’autre encore plus beaux que tout ce que l’un et l’autre avaient pu imaginer.
Ils s’aimèrent tout aussitôt de l’amour le plus pur et le plus puissant du monde.
C’est ainsi qu’ils repartirent ensemble vers le père de Fanny main dans la main sous un merveilleux couché de soleil.

Chapitre 4 : Un retour enchanté !

Sur le chemin du retour, Luc et Fanny avait terriblement faim, avec leur périple, ils étaient tout deux fatigués et les estomacs en faisait le prit, Luc décida ainsi d’aller essayer de pêcher un beau repas pour le soir après avoir déposé sa tendre dans une vieille ferme abandonné.
Il mit son baton à l’eau et un bout de Kraken au bout de celui-ci, il retira de la rivière une magnifique anguille.
Comme il s’apprêtait à la mettre dans son sac, elle lui dit :
— Brave homme, si tu voulais me laisser la vie, je ferais ton bonheur.
Luc, tout surpris d’entendre un poisson parler, lui répondit :
— J’y consens ; mais que m’offriras-tu pour récompense ?
— Je te donnerai la fortune, et pour cela je vais aller chercher au fond de l’eau une clef dont je t’indiquerai l’usage.
Elle plongea et revint presque aussitôt apportant une petite clef d’or.
— Prends ce bijou, lui dit-elle, et rends-toi dans la forêt voisine, mets fait attention, cette forêt appartient au territoire de Bérimond, on peut y trouvé des malheurs. Dans cette forêt tu y trouveras un vieux château en ruines. Cherche la plus petite des pièces de cette habitation. Écarte les ronces et les plantes grimpantes qui en tapissent les murs, et tu ne tarderas pas à découvrir une porte ornée d’une serrure d’un travail remarquable. Ta clef, seule au monde peut y entrer. Tu ouvriras cette porte, et un escalier sombre s’offrira à ta vue. Descends-le sans crainte, il te conduira dans un souterrain où sont cachés des immenses trésors. Ces richesses m’appartiennent, et je te permets d’y puiser à pleines mains. Seulement j’y mets une condition : c’est que tu ne révèleras leur existence à personne.
— Sois sans inquiétude, dit Luc, je me donnerai bien garde d’en parler à âme qui vive.
— Tant mieux pour toi, car autrement tu perdrais ton amour
Après cette conversation, l’anguille se glissa entre les roseaux et disparut dans la vase.

Le bonhomme, après avoir admiré sa ravissante petite clef, voulut, le jour même, s’assurer qu’il n’était pas l’objet d’une mystification.
Il se rendit dans la forêt, et trouva sans peine le château en question, la petite pièce désignée par l’anguille, la porte fermée par une serrure en argent d’un travail délicieux et qui devait être, sans aucun doute, l’œuvre d’un monnayeur. Bien que fermée depuis des siècles, la porte s’ouvrit, comme par enchantement au contact de la clef, sur un escalier de pierre, qui semblait se perdre dans des profondeurs infinies.
Luc, se rappelant les paroles du poisson, s’aventura sans trop d’hésitation et descendit dans un souterrain éclairé par des diamants et des pierres précieuses.
Là, sur des dalles de marbre blanc, sept grandes tonnes, montant jusqu’à la voûte du souterrain, étaient alignées au milieu d’une pièce. Une échelle, appuyée sur chacune d’elles, permettait d’en atteindre le sommet.
Le bonhomme y grimpa et se pâma de joie en les voyant, toutes les sept, pleines de pièces d’or du haut en bas. Il en remplit ses poches et repartit vers la ferme où il avait laisser Fanny.
Fanny voyant ses prodigalités et l’or couler à flot, conçut tous les soupçons que son imagination put inventer. Elle croyait qu’il avait commis quelque mauvais coup pour s’emparer de la fortune de quelqu’un pour son bien; un autre, qu’il avait vendu son âme au diable. Elle questionnait Luc à tout moment afin de savoir d’où lui venait cette fortune, et n’obtenant aucune réponse, ou des raisons qui ne la satisfaisaient pas, Fanny décida de continuer seul son chemin pour arrivée chez elle où elle découvrira plus tard que son père est mort. Luc voyant son amour partir au loin finit par lui dire la vérité.
Fanny surprit lui fit la promesse de ne rien dire mais dès leur retour en apprenant la mort de son père, elle ne pu gardé bien longtemps le secret par déception. Elle raconta le secret des trouvailles de luc à tout son royaume.
Ce ne fut bientôt plus qu’une procession dans la forêt pour découvrir les ruines du château et les souterrains remplis d’or. Tout fut bouleversé, toutes les pierres furent retournées, et personne ne trouva rien. Luc, lui-même, s’aperçut que sa clef avait disparu et ne put retrouver trace des ruines qu’il avait cependant l’habitude de visiter si souvent.
Luc su à ce moment là que Fanny avait tout raconter et se prépara au pire !
Fanny mourut quelques jours après et le royaume eu un nouveau hériter du nom de Henri VII, cousin de Fanny au premier degrés. Luc sous la déception perdit tout ce qu’il avait et ne fut plus qu’un pauvre homme sans habitation peut de temps après.
Il se remit à la pêche pour pouvoir vivre ...

C’est qu’un jour à nouveau un énorme brochet vint encore se faire péché par Luc, qui admirait sa capture se débattant sur le sol humide au bord de l’eau.
Tout à coup, voyant que ses efforts étaient inutiles pour regagner la rivière, il tourna ses grands yeux de brochet vers le bonhomme, et lui dit d’un ton suppliant :
— Si tu consentais à me laisser la vie, je ferais ta fortune.
— Merci, répondit Luc, des richesses avec des conditions sans doute, je sors d’en prendre, je n’en veux plus.
— Je vois bien, reprit le brochet, que tout ce que je pourrais t’offrir ne changerait pas ta détermination, et, malgré cela, je veux faire quelque chose pour toi.
« Au lieu de me vendre au marché, mange-moi en famille, et écoute bien ce qu’il en résultera :
« Si tu donnes mon cœur à une femme, elle deviendra tienne et aura trois fils d’une beauté incomparable et d’une bravoure excessive. Enfin, si tu enfouis ma tête et mes os dans la cour de ta maison, il en jaillira une fontaine, qui donnera naissance à un ruisseau d’eau limpide. Tant que tes enfants seront heureux, cette eau restera claire ; mais s’il leur arrive malheur et surtout s’ils sont en danger de mort, l’eau deviendra trouble aussitôt. »
Épuisé par ces paroles, le brochet expira sur la rive et luc se dit :
« Ma foi, nous allons essayer, afin de voir si ce qu’il dit se réalise. »
Le brochet fut donc mangé et Luc donna le coeur de celui-ci à une magnifique femme dans la même situation que lui et lui fit manger le coeur de ce brochet, il prit ensuite la tête et les arêtes et les firent enterrées.
Dans l’année qui suivit ce repas, Luc eu une femme et un fils, qui vint au monde. Ce prodige se renouvela trois années de suite.
Un bassin, creusé dans la cour de leur maison construite avec leur maigre dépense, s’emplit d’une eau transparente, qui s’en alla en un petit filet d’eau sur un lit de sable fin.
Lorsque l’aîné des enfants eut atteint sa dix-huitième année, il fut pris d’une envie irrésistible de voyager et pria son père (Luc) de le laisser partir pour aller chercher fortune.
Le vieillard y consentit. Le jeune homme, équipé convenablement par les soins de sa mère, monta son cheval et s’en alla suivi de son chien fidèle.
Après avoir parcouru plusieurs Empire, il arriva dans une grande forteresse où il trouva tous les habitants en pleurs.
Il s’informa du motif de leur chagrin et apprit qu’un monstre effrayant, appelé Larmare après avoir ravagé toutes les contrées environnantes, était venu établir son quartier général à la porte de la forteresse, où il exigeait qu’une jeune fille lui fût conduite chaque soir, pour lui servir de pâture.
Cet horrible carnage durait depuis longtemps déjà. Un tirage avait lieu chaque jour pour désigner la malheureuse victime qui devait être sacrifiée à l’appétit grossier du monstre redoutable.
Or, un jour, le sort avait décidé que c’était au tour de la fille du roi de cette forteresse.
Cette jeune princesse était belle et bonne. De là les larmes de tous ses sujets.
Le roi et la reine, qui n’avaient que cette enfant, étaient dans la désolation ; mais, comme ils étaient sages et justes, ils ne croyaient pouvoir se dispenser de payer leur tribut à la bête immonde.
La pauvre victime elle-même, mourant de frayeur, ne faisait, ni ne disait rien pour se soustraire au sort qui la frappait.
Le moment venu, elle se jeta dans les bras de ses parents infortunés, et se fit ensuite conduire au lieu du sacrifice.
Ses guides la quittèrent sur la limite du domaine occupé par la bête, et s’en retournèrent au palais du roi rendre compte de leur mission.
Abandonnée à elle-même, la jeune fille n’osait faire un pas dans la crainte de rencontrer son bourreau. Soudain, elle vit venir à elle un élégant cavalier suivi d’un énorme chien, c’était le courageux fils de Luc. Le jeune homme mit pied à terre, s’inclina devant la princesse et lui dit que, nouvellement arrivé en ces lieux, il avait appris son malheur et voulait la défendre.
La jeune personne, remise de sa frayeur, le félicita de son courage et le remercia avec effusion de sa bonne intention, mais chercha à le dissuader de son dessein, l’assurant qu’il échouerait sans doute dans son entreprise, et ne ferait qu’augmenter la fureur de leur ennemi.
Rien ne put décider le cavalier à changer d’idée. Il déclara à la princesse qu’il ne la quitterait pas un seul instant, dût-il mourir avec elle.
Aussitôt un bruit formidable se fit entendre, le monstre se précipita sur eux.
Le jeune homme tira son épée et s’élança vers l’animal ; le cheval de son côté se mit à ruer de toutes ses forces, pendant que le chien, écumant de rage, essayait de faire fuire la bête.
Après un combat qui ne dura pas moins d’une heure, le chevalier de la Belle parvint à couper une patte de la bête qui, alors, battit en retraite, en laissant une longue trace de sang après elle.
La princesse se précipita bien vite vers son sauveur, pour s’assurer qu’il n’était pas blessé grièvement, essuyer le sang dont il était couvert, et lui témoigner toute sa reconnaissance pour ce qu’il venait de faire pour elle.
— Tout n’est pas fini, répondit le jeune homme exténué de fatigue, le monstre n’a perdu qu’une pâte et, pour que nous en soyons débarrassés, il faut que je les lui abatte toutes les quatre, les unes après les autres.
— En attendant, reprit la jeune fille, vous allez toujours venir recevoir les félicitations du roi.
Le jeune homme s’excusa, prétextant ses fatigues et l’état peu convenable de sa toilette. Il reconduisit la princesse jusqu’à la forteresse et regagna ses terres.
Le roi et la reine furent bien surpris et en même temps bien heureux, en revoyant leur enfant qu’ils croyaient déjà dévorée. Toute la forteresse en fut promptement informée, et des illuminations et des chants eurent lieu en signe de réjouissance, et en l’honneur du jeune héros invisible.
Le lendemain, le roi dit à sa fille :
Dès lors que tu n’as pas servi de pâture au monstre, il ne peut y avoir de tirage au sort aujourd’hui pour désigner une nouvelle victime ; et tu dois, malgré toute la peine que j’en ressens, retourner ce soir t’offrir de nouveau au monstre, et y aller jusqu’à ce que notre brave défenseur nous ait délivrés de la bête, ou ne succombe à la peine.
La pauvre fillette se rendit donc au même endroit que la veille et y trouva le jeune et beau cavalier qui l’attendait. Les désordres de sa toilette avaient été réparés et, après avoir présenté ses hommages à la princesse, il attendit de pied ferme son ennemi.
Un combat plus long et plus terrible que la veille eut encore lieu, et le chevalier parvint à abattre une deuxième pâte du monstre qui, aussitôt, prit la fuite.
Les choses se passèrent comme le jour précédent. Le jeune homme reconduisit le princesse jusqu’à la ville et s’en alla se reposer chez lui.
Il en fut de même pendant cinq autres jours, au bout desquels le dernier jour, lorsque le monstre effrayant eut rendu le dernier soupir, la jeune fille supplia son sauveur de l’accompagner au palais de son père, pour y recevoir une récompense. Le chevalier refusa, assurant qu’il avait trop besoin de repos, mais promettant d’y aller dans quelques jours.
La forteresse fut dans l’allégresse en apprenant la mort de la bête. Des fêtes publiques eurent lieu partout pour célébrer cet heureux jour. L’on chercha inutilement le chevalier, que tout le monde désirait connaître et féliciter ; mais il fut impossible de découvrir sa demeure.
Les jours et les semaines se passèrent sans que le jeune homme parût à la cour.
Le roi, qui cependant tenait à le récompenser, comme il le méritait, et qui avait sans doute remarqué combien sa fille vantait le courage du chevalier, sa bonne mine, ses manières distinguées, et semblait attristée de ne pas le voir, fit publier, dans son royaume que celui, qui avait débarrassé le territoire du monstre terrible, auteur de tant de maux et de peines, pouvait se présenter sans crainte à la cour et qu’il obtiendrait la main de sa fille.
Malgré cela le chevalier ne parut pas.
Un charbonnier, porteur d’un grand panier, se présenta un jour au palais et demanda à parler au roi. Il fut introduit près du souverain auquel il déclara qu’il était celui qui avait sauvé sa fille et débarrassé le royaume de la bête.
La princesse, qu’on fit appeler sur le champ, déclara que ce n’était pas lui ; mais le roi, ne voulant avoir qu’une parole, et par conséquent tenir la promesse qu’il avait faite, dit à sa fille qu’elle épouserait cet homme, puisqu’il affirmait être son sauveur et qu’il en donnait des preuves.
Qu’on juge du chagrin de l’infortunée jeune fille obligée d’épouser un charbonnier. Elle regrettait presque de ne pas avoir été dévorée par la bête.
Cependant le temps s’écoulait ; les apprêts de la noce allaient leur train, et le jour fatal fixé pour la célébration du mariage approchait.
Un matin que la princesse était à la fenêtre de sa chambre, occupée à regarder les hirondelles voltiger autour des donjons, elle aperçut dans la campagne un nuage de poussière, qui se rapprochait avec une vitesse incroyable.
Ce nuage venait en droite ligne vers le palais du roi.
Sans s’en rendre compte, la jeune fille ne quittait pas ce nuage du regard et distingua bientôt un cavalier monté sur un superbe cheval noir, suivi d’un magnifique chien de même couleur.
Nul doute ! c’était son chevalier. Elle manqua s’évanouir de bonheur.
Le chevalier s’arrêta à la grille du palais et demanda à parler au roi. La princesse avait déjà prévenu celui-ci de son arrivée.
Le brave jeune homme fut aussitôt introduit. Il baisa respectueusement la main que la princesse lui tendit, s’inclina jusqu’à terre devant le monarque et s’excusa sur son absence aussi prolongée.
— Mes nombreuses blessures, leur dit-il, m’ont empêché de venir plus tôt. Je souffrais atrocement de la fièvre, et, au plus fort de ma maladie, je ne songeais qu’au bonheur de vous voir et j’étais vraiment malheureux de ne pouvoir quitter mon lit de souffrances et d’angoisses.
— C’est d’autant plus fâcheux pour vous, répondit le roi, que j’avais fait publier que ma fille épouserait celui qui lui avait sauvé la vie, et que quelqu’un s’est présenté avant vous, fournissant la preuve de ce qu’il avançait.
— Et quelle est cette preuve, Sire, s’il vous plaît ?
— Il a apporté la bête.
— Vous pouvez vous convaincre, Sire, qu’il n’est qu’un imposteur.
— Serait-ce vrai ? s’écria le roi.
Vérification faite, l’on reconnut l’effronterie du charbonnier, qui fut aussitôt conduit en prison pour le mensonge dont il s’était rendu coupable, et pour s’être joué du monarque et de sa famille.


De nouvelles fêtes eurent lieu en l’honneur du chevalier, qui eut le don de plaire à tout le monde et principalement au roi.
Il demanda la main de la princesse, qu’il obtint sans peine, on le devine bien, et les noces eurent lieu.
Un jour, une nouvelle fut tout bouleversé dans la sainte vie du royaume, on apprit qu’une nouvelle créature s’installa au porte de la forteresse.
N’écoutant que sa bravoure, malgré les prières et les larmes de la jeune reine qu’il idolâtrait cependant, il partit aussitôt monté sur son cheval et suivi de son chien, pour aller combattre son ennemie, on reconnu aussitôt le courage que son père Luc lui avait transmit.
Il dirigea ses pas vers l’endroit qui lui fut désigné, comme étant le lieu choisi par la créature pour y accomplir ses maléfices et ses vengeances.
Il chevauchait depuis quelque temps, lorsqu’il aperçut, marchant devant lui, courbée par les ans, une petite vieille qui semblait prête, à rendre le dernier soupir.
Sans défiance aucune, il s’approcha d’elle et lui demanda si elle pouvait lui indiquer la demeure de la fée redoutée.
« Vous n’êtes pas loin d’elle », dit la vieille femme en s’approchant de lui.
Au même instant, elle passa un brin d’herbe, qu’elle tenait à la main, autour du cou du cheval et en fit autant au chien. Puis, se redressant de toute sa hauteur, comme une vipère venimeuse, elle s’écria d’un air menaçant :
« Ton cheval et ton chien sont enchaînés au point de ne pouvoir bouger. À nous deux maintenant, beau tueur de bête. Nous allons voir si tu seras aussi heureux avec moi, que tu l’as été avec mon enfant. »
Le chevalier, voyant ses animaux réduits à ne pas pouvoir faire un mouvement, mit pied à terre afin de tirer son épée ; mais la créature mère de la bête tué par le chevalier, ne recula pas et d’un geste, arracha les yeux du chevalier.
Ainsi sans défense, elle le garotta à son tour comme elle avait fait du cheval et du chien, et les attacha tous les trois à un arbre en leur promettant de les laisser mourir de faim.

Le second fils de Luc, étant allé un matin près du bassin de la cour, remarqua que l’eau était trouble :
« Mon frère est mort ou en danger de mort, se dit-il. Il faut que j’aille sans retard le venger ou le secourir. »
Encouragé d’ailleurs par son père, il partit le jour même, et suivait encore la trace du précédent voyageur.
Il arriva promptement dans la ville habitée par la reine.
Qu’on juge de son étonneraient lorsqu’il se vit entouré de tous les habitants qui crièrent : « Vive le roi ! Vive le roi ! » en le conduisant presque malgré lui au palais de son frère.
La reine, en entendant ce tapage, crut au retour de son époux et se précipita à sa rencontre.
Les deux frères se ressemblaient tellement, qu’elle se jeta dans les bras du jeune cavalier qui, ne comprenant rien à cette démonstration, ne lui rendit pas ses caresses.
Une explication s’ensuivit nécessairement, et ils apprirent ce qu’ils étaient l’un à l’autre.
La jeune reine lui raconta ensuite où était allé son mari et les craintes qu’elle éprouvait en ne le voyant pas revenir.
Afin de réparer ses forces, le voyageur accepta le dîner que lui offrit sa belle-sœur, et aussitôt après remonta à cheval pour aller à la recherche de son frère.
Le chagrin et les larmes de la reine lui donnèrent un triple courage. Il partit bien décidé à vaincre ou à mourir.
On lui donna un chien qui le conduisit à l’odeur, tout droit, au pied de l’arbre où étaient enchaînés le malheureux roi et ses deux animaux. Trois cadavres gisaient à terre et servaient de pâture aux corbeaux.
Le pauvre enfant s’agenouilla près de son frère et versa d’abondantes larmes, en priant Dieu avec ferveur de lui donner la force de supporter une pareille épreuve.
Un rire diabolique vint le distraire de son chagrin. Il aperçut, derrière un buisson, la vieille qui était la créature, qui ne pouvait maîtriser la joie qu’elle éprouvait en présence de cette scène déchirante.
La douleur fit place à la rage, et, comme un furieux, il s’élança vers la mégère qui, n’ayant pas le temps de lui jeter sa poudre aux yeux, fut traversée d’un coup d’épée, écrasée par le cheval et mise en lambeaux par le chien.
Soudain la terre s’ouvrit pour engloutir les dépouilles de la vieille, et un géant d’une taille effrayante sortit de ce trou béant armé d’un arbre qui lui servait de bâton.
Le malheureux chevalier, surpris et effrayé à la vue de ce nouvel ennemi, ne songea pas à se mettre en défense, et fut assommé, lui et ses bêtes, d’un seul coup de l’arbre que le géant brandissait entre ses mains.

Le troisième fils de Luc, ayant lui aussi remarqué l’eau trouble du bassin, ne douta pas un seul instant que ses frères couraient un immense danger. Il vola à leur secours.
Le même accueil fut fait par les habitants de la grande forteresse et par la reine qui, déjà en deuil, ne lui cacha pas que ses deux frères avaient dû succomber dans la lutte qu’ils avaient entreprise contre la créature.
Cette nouvelle l’affligea profondément, mais ne l’effraya pas.
Il fit serment, à son tour, de venger ses deux aînés ou de mourir comme eux.
Il arriva promptement à l’endroit où les six cadavres reposaient. Ce spectacle le remplit de terreur et le rendit circonspect. Il n’avança qu’en tremblant et en comptant ses pas ; son cheval et son chien qu’on lui avait également donné dressaient les oreilles et cherchaient à percevoir le moindre bruit.
Après quelques heures passées ainsi, et qui lui parurent des siècles, il vit enfin, couché au pied d’un arbre, le géant qui dormait d’un profond sommeil. Il avait les bras enlacés autour du chêne qui lui servait d’abri.
L’enfant — car le jeune chevalier comptait à peine quinze ans — fit signe à son cheval de ne pas bouger, et ordonna à son chien de se coucher par terre, pendant que lui, ôtant ses bottes, s’avança nu-pieds jusqu’auprès du géant.
Comme il avait pris les brins d’herbe changés en chaînes qui avaient servi à paralyser les animaux de son frère, il s’en servit pour lier les bras et les jambes de son ennemi. Il tira ensuite son épée afin d’être prêt à toute éventualité.
Le cheval et le chien, semblant comprendre que le moment était venu de seconder leur maître, s’élancèrent sur le géant, qui fit de vains efforts pour briser ses entraves.
Se voyant ainsi au pouvoir du chevalier, il lui demanda grâce, promettant de rendre la vie à ses frères.
— Comment t’y prendrais-tu ? répondit l’enfant.
— Je possède sur moi un onguent merveilleux, qui a la propriété de rendre la vie aux morts.
Le chevalier ravi retourna les poches du géant et trouva en effet le flacon en question.
« Maintenant, dit-il à son ennemi, je ne veux pas la mort du pécheur. Si tu peux disparaître immédiatement dans les entrailles de la terre, je ne te percerai pas le cœur de mon épée. »
Le géant prononça certains mots inintelligibles pour le reste des mortels. Aussitôt la terre s’ouvrit juste pour lui livrer passage et elle se referma immédiatement.
Le jeune chevalier s’empressa de frotter de son onguent le corps de son frère aîné, qui se ranima peu à peu et revint complètement à la vie. Le cadet eut le même sort. Les trois frères, après s’être embrassés avec effusion, se racontèrent leurs aventures et partirent pour aller consoler la reine.
Qu’on juge de la joie de celle-ci en revoyant son mari qu’elle croyait mort. De nouvelles fêtes, plus brillantes encore que les premières, eurent lieu dans tout le royaume et auxquelles succédèrent les noces des deux jeunes chevaliers qui épousèrent deux princesses de la cour.
Luc et sa Fanny quittèrent leur habitation pour venir rejoindre leurs enfants …

Chapitre 5 : Une histoire vrai : à venir

Je fini le reste demain, le plus important :D

Félicitations, c'est digne d'un très bon écrivain!

[2842121] nocag221 (FR1) [None] :: May 31, 2015, 4:19 p.m.
Faute de temps et surtout d'inspiration, je ne continuerai pas mon texte. Je retire donc ma candidature du concours de mai.

[2842135] Thibaut400 (ASIA1) [None] :: May 31, 2015, 4:57 p.m.
C'est dommage...
Juin, tu t'inscrit?

[2842151] Haut-Elfe (FR1) [None] :: May 31, 2015, 6:04 p.m.
J'aime bien vos texte. De plus tous ces textes sont plusieurs visions du même événement, donc c'est hyper cool de confronter nos talents respectifs.

[2842167] Emissamdeus (FR1) [None] :: May 31, 2015, 8:28 p.m.
Concours 13 de littérature : les deux guerres finale du 1er âge

Le X octobre avait eu lieu la grande bataille de Berimond… celle-ci ne devais être que la première d’une longue liste, mais ça, les seigneurs de l’empire ne le savaient pas encore.
Le grand interlude était donc terminé ! L’empire se devait de retourner à ses occupations, et quelles occupations…
Avec le grand édit de l’empereur autorisant l’administration des capitales par les seigneurs impériaux, les relations entres alliances s’était embrasée d’une tension nouvelle. Septembre, octobre, novembre….. Jamais la tension ne fut si forte que durant ces temps là. La plus grande guerre de l’histoire du grand empire, celle du clan ménestrel contre la 1ère puissance oxsso al s’était terminé dans l’espoir que ce genre de grand conflit n’arriverait plus. A présent, tous savaient qu’il n’en était rien.
A n’en pas douter, l’histoire se dirige vers un tournant décisif, et celui-ci va se faire dans le plus grand tumulte !

***


15 octobre 2012, Territoire romain, palais de l’empereur…

- JAJAJAJAJAJAJA, hurla l’empereur
- Qu’y a-t-il ???
- l’empereur viens de recevoir de mauvaises nouvelles, néolys viens encore de subir des attaques de notre allié la muerte
- JAAAAAJAAAAJAJAJA
- Encore ?!! j’ai entendu dire que les légions romaines aussi en reçoivent, la muerte a-t-elle soif de guerre au point de risquer d’affronter notre empire
- JaJa…

L’empire romain était le nom de l’une des grandes factions de seigneurs qui dominait à l’époque le grand empire. De nombreuses alliances étaient regroupées sous la direction de son chef : ricardo233. Lui et coppaplacata, chef des légions de Rome avaient formé une alliance entre leurs deux factions, donnant ainsi naissance au puissant clan romain, dirigé par l’empereur ricardo233. C’est d’ailleurs dans la salle du trône de ce dernier qu’avais lieu conversation animée entre l’empereur et ses généraux…

- Nous ne sommes par les seuls a subir cela, exposa l’un des généraux présent, la muerte s’en prend au clan de tout leurs alliés ces derniers temps. le clan des spartiates aussi à des problèmes similaires avec eux. et je doute que se soient les seuls.
- on dit que même le clan ménestrel ne leurs fait pas peur, dit un autre, la muerte est assurément très puissante mais ne prennent t’ils pas trop de risques ? pourquoi attaquent-ils leurs alliés ?
- Ils refusent de reconnaitre les clans, pour eux, seule l’alliance dirigeante est concernée par les traités.
- c’est absurde ! s’énerva un autre, nous respectons les deux muerte, nous ne pouvons pas les laisser s’acharner sur nos vassaux sans rien faire, notre autorité en serait discrédité. Les spartiates aussi discutent entre eux de faire la guerre, j’ai eu des échos !

Tandis que l’assistance débattait activement de la marche à suivre, l’empereur, fatigué, se mit à penser à la situation. Celle-ci était très complexe et dangereuse. L’empire romain n’avais pas réussit à obtenir une capitale et 5 très grandes puissances dominaient l’empire : la muerte, oxsso al, le cercle, les destriers et angørs nøcturnus. Leurs relations étaient assez floues car même si elles étaient officiellement toutes alliées et placé sous l’autorité du traité des capitales, des tensions considérable et les déchiraient en coulisses.

La situation ne faisait que s’empirer de jours en jour d’ailleurs, sans compter qu’au delà de ces grandes puissances, l’empire comptait également de nombreux groupements très puissant comme le clan ménestrel, légions noire et ses alliés, proche d’oxsso al et, bien entendu, l’empire romain. Si une guerre éclatait, nul doute que tous ces acteurs en seraient affectés. Le jour de la grande scission était proche, l’empereur le savait… ce problème avec la muerte tombait vraiment mal. Mieux valait éviter le conflit pour le moment.

- JAJAJAJAJAJAJAJA

A ce cri de l’empereur, l’assistance s’arrêta net. Il faut dire que ricardo233 était devenu célèbre avec son « JAJAJA », considéré comme mythique par ses pairs. Lorsque le silence fut fait et l’attention de tous concentré sur lui, l’empereur romain pris la parole

- Il n’est pas question de dégrader nos relations avec la muerte pour le moment. Je vais faire mon possible pour que néolys soit reconnue par eux. en attendant, si les spartiates veulent la guerre de leurs côté, c’est leurs choix. Mais l’empire romain est un allié de longue date de la muerte et il n’est pas question de nous compromettre alors que la situation sur le grand empire n’a jamais été aussi instable et proche de l’explosion.
- Mais…
- JAJAJAJA j’ai dit ! envoyez immédiatement un message de ma part au chef des légios. Qu’il demande aux légioVI vitrix du clan de la légion romaine d’être patients. Je vais tenter de négocier.

***

Le mois d’octobre passa et comme les généraux romains l’avaient dit, les spartiates, alliés de la muerte rompirent leurs traité pour faire la guerre. Le 17 octobre, les deux alliances négocièrent une guerre afin de faire disparaitre les tensions et celle-ci dura du 21 octobre au 3 novembre.
La muerte sortie victorieuse, mais trop facilement à son goût. A peine l’affaire fut achevée que déjà, elle se mit à la recherche d’un challenge dine de sa force.

En attendant, les tensions ne firent que se multiplier durant cette période. La plus grave affaire fut celle de la capitale d’angørs nøcturnus, le fameux zénico palace qui s’exila à la muerte, provoquant d’immenses tensions entre les deux super puissances. Mais bien entendu, ce fut loin d’être la seule et le ressentiment entre les grands ne fit que s’accroitre.

***

4 novembre 2012,

L’ambassadeur de l’empire romain : berger01 et le représentant de la muerte : mb34 se rencontre pour une discussion au sommet sur la crise en cour. Après s’être salué, les deux diplomates commencèrent sans tarder les négociations :

- Mb34, je n’irai pas par quatre chemins : Je viens vers toi pour solliciter la reconnaissance de Néolys, l’alliance sœur directement liée à l’empire romain. Ce sont de fiers guerriers qui sauront répondre présents à vos cotés comme l’Empire Romain et Les légions de Rome de Coppaplacatta le feront.
- Je comprends tout à fait ta demande berger01, mais la muerte ne voit pas d’un bon œil les clans. Si on multiplie nos traités, on ne pourra pas attaquer personne et tu sais comme moi que les chevaliers de la mort on besoin de combats. Nous nous limitons à deux alliances par clan maximum et le quota est déjà ateint chez vous
- Je comprends, c’est pour cela que je demande votre compréhension. Néolys compte beaucoup pour l’empereur ricardo233 et c’est pourquoi nous tentons d’harmoniser nos traités. Si cela n’est pas possible alors, le pacte entre nous ne le sera plus non plus. Cela n’empêchera pas le respect mutuel mais je ne te cache pas que je préfèrerai que vous acceptiez. Nous ne demandons pas le clan, juste une 3ème alliance alliée.
- Je suis désolé, mais de notre côté, c’est sans appel. Les autres généraux de la muerte ne veulent pas plus de traités, c’est pour ça qu’on est en train de casser nos relations inutiles ces derniers temps. si cela ne vous convient pas, je comprends tout à fait que vous désiriez mettre fin à notre traité. Les spartiates ont fait pareil il y a quelques temps.

Berger01 resta un temps pensif, l’air triste. Ricardo233 lui avait donné la consigne claire de trouver un arrangement rapidement avant que ça ne finisse mal car il avait de plus en plus de mal à contenir la colère de ses soldats.

- Cela me désole beaucoup croie moi car si vous les attaquez de nouveau, il nous faudra prendre position et quel que soit notre choix, ce sera à contrecœurs. Ne penses-tu pas qu’il soit au moins possible de stopper les attaques sur eux?
- Se serai pareil qu’un traité non ? ce qu’on veut, c’est justement attaquer le plus possible.


Les deux diplomates tentèrent de trouver un arrangement mais sans succès. Ils finirent donc par se séparer. Chacun rejoignit alors son escorte pour rentrer dans leurs forteresses respectives.

- Alors ? demanda l’un des sergents de la mort à son chef mp34
- L’empire romain va probablement mettre fin à ses relations avec nous. Tant mieux ! on va enfin avoir une guerre digne de nous

De son côté également, berger01 discutait des résultats avec ses pairs

- Ils ne veulent rien entendre, je leurs ai pourtant dit qu’ils vont perdre leurs meilleurs alliés mais même reconnaitre une seule alliance supplémentaire semble trop… je ne comprends pas ce qu’ils veulent, comment espèrent t’il créer une vrai dynamique entre leurs alliés dans ces condition ? Ricardo233 va être furieux.

***

5 novembre 2012, grande citadelle de la muerte

Les chevaliers de la mort étaient tous réuni dans la salle du trône. La citadelle du fondateur, looloo79 était resté le siège de la muerte même si celle-ci avait bien changée depuis cette lointaine époque puisque presque tous ses guerriers de jadis avaient pris leurs retraites, y compris son grand roi, looloo79, qui n’avais pas survécu à la grande guerre entre la muerte et les ménestrels fin 2011. Le trône du fondateur restait donc vide, les différents chefs de la muerte : mb34, zapan et falusse préférant rester debout.

- J’ai reçu ce matin un message de ricardo233, commença mb34, il n’avait pas l’air très content même si je n’ai pas compris tout ce qu’il a dit
- L’empire romain nous menace de guerre si on refuse de reconnaitre néolys maintenant ?
- Tant mieux ! ils ne nous servaient à rien
- Ça s’annonce tout de même être un défi bien plus imposant que celui des spartiates…
- Ça fera un défi ! je ne sais pas vous mais moi je crois que je vais redoubler mes efforts contre néolys pour accélérer la venu de la guerre mouhahahahah !!! qui est avec moi ?!

Plusieurs seigneurs dans la salle acclamèrent cette alternative.
***

Durant le mois de novembre, la situation ne fit que se dégrader. Le 26 novembre, l’empire romain compris que la guerre serait inévitable et rassembla ses troupes pour la guerre. Ainsi, la guilde du dernier chevalier, la légion romaine et tout l’empire romain se rassemblèrent autour de ricardo233 pour préparer l’offensive.
De même du côté de la muerte, sentant la puissance adverse s’unifier, elle rassembla ses alliés pour faire front.
Le 1er décembres, l’empire inaugura les hostilités. Une guerre entre 2 puissants clans allait débuter.

***

Quelques parts, sur les plaines du grand empire….

Chacun des deux camps se tenaient face à face. D’un côté, l’empereur romain ricardo233 et le roi de la légion romaine coppaplaccata avec derrière eux, leurs immense armée. Tout le clan était là : legio X gemina, l'empire romain, néolys, darksiders, legioIIaugusta, legioIIIgallica, legioIVferrata, legio xxI rapax, legio valeria et legioIV vitrix. Chacune de ces alliances de seigneurs impériaux se tenaient en rang derrière leur chef. Et de l’autre côté, les seigneurs de la muerte et leurs armées. Ces derniers formaient la première ligne tandis que quelque uns de leurs alliés attendait derrière pour voir le déroulement des évènements.
L’empereur romain et le roi des chevaliers de la mort s’avancèrent afin de se lancer le traditionnel ultime sermon au camp d’en face avant le début de la bataille :

- Seigneurs de la muerte ! commença ricardo233, depuis longtemps vous avez été nos alliés et nos amis. Je regrette profondément que nous aillons dû en arriver là mais vous avez fait votre choix. L’immense armée de Rome est ici, réunie au grand complet. Vous n’avez aucune chance, nous vous détruirons malgré votre puissance !

A ses mots, ricardo233 leva son poing ganté en l’air et toute l’armée romaine poussa une immense clameur.

- Ainsi le grand empire romain a besoin de son clan pour lutter contre la grande muerte ?! AHAHA, nous sommes plus forts. On va vous balayer.

Et sans s’embarrasser d’un plus long discours, le roi de la muerte hurla à ses hommes de passer à l’action. Ne se le faisant pas demander deux fois, les seigneurs de la mort envoyèrent toutes leurs armées à l’assault des romains.

- Vous l’aurez voulu ! à l’attaaaaque hurla à son tord ricardo233, JAJAJAAAAAAA

Aussitôt, suivi les ordres de ricardo233, toute leq armées de l’empire romain firent bloc et se lancèrent sur la muerte afin de l’occuper. Les autres légions romaines se déplacèrent alors pour tenter de les encercler mais les allées d’en face ne restèrent pas sans réagir. Le cercle et les ordres noirs s’engouffrèrent à droite tandis que forza, heavengard et attila team prirent le flanc gauche. Le reste des troupes vin en renfort à la muerte contre l’empire romain.

La bataille fit rage et dura plusieurs jours. Le clan romain était considérable et la guerre commença à s’élargir à de nombreuses autres contrées sur le grand empire. Bien que focalisé principalement contre la muerte d’un côté et l’empire romain de l’autre, les protagonistes secondaires commencèrent à prendre de plus en plus de coup.
***

Au large de la bataille, certain généraux du cercle resté en retrait l’observais avec la plus grande attention. Allié de la muerte, le cercle était notamment parvenu grâce à ses espions à obtenir la date de la grande offensive romaine, permettant ainsi à la muerte se mobiliser ses troupes à temps.

- Cette bataille part dans tout les sens. c’est du jamais vu, même le clan ménestrel n’avais pas provoqué un tel n’importe quoi contre oxsso al.
- Je suis bien d’accord, si nous multiplions les intervenants, les romains seront vaincus. Mieux le faire rapidement avant que ça ne s’élargisse trop.
- Je suis d’accord, trouvons des alliés avant que ricardo233 ne le fasse à notre place.
- Oui…. Tiens regarde ! la muerte 2 vient de changer de cible pour s’attaquer à néolys
- Ah oui….Pas mal, ils se défendent bien pour une seconde division les muerte 2. C’est vraiment une famille à potentiel.
- Faudra surveiller ça, j’ai entendu dire que la muerte avait été horriblement offensée que les destriers, leurs alliés, refusent de les soutenir contre l’empire romain. Entre eux et angørs Nøcturnus, ça fait deux potentiels problèmes.
- Hum…m’est avis que le problème romain va devoir être réglé vite….très vite…. Qu’on se tienne prêt pour la suite.
- Hola héhé, regarde : les légions viennent de rendre à revers nos troupes, ils avaient des forces cachées dit donc ! même si l’empire romain m’a l’air de perdre du terrain contre les chevaliers de la mort.
- Bon ça suffit, je vais au combat. Tâche de trouver rapidement des renforts, qu’on les écrase sous le nombre en vitesse.

Les deux généraux du cercle se séparèrent donc. Tandis que l’un se dirigea vers le champ de bataille avec sa division, l’autre dépêcha en urgence des messagers vers de potentiels alliés : black knight, triple entente, amyclé et panshir lions afin d’en finir au plus vite.

***

7 décembre 2012

La guerre durait depuis maintenant 7 jours. Chacun des deux camps s’était bien battus mais avec son nombre grandissant d’alliés, la muerte pris facilement l’avantage. Il semblait à présent difficile pour l’empire de ricardo233 d’espérer remporter la victoire. Mais déjà, le grand empire se désintéressais de cela car de graves nouvelles commencèrent à faire s’agiter d’autres grandes puissances jusque là resté en sommeil.

- Seigneurs labbeu ! seigneurs labbeu !!!

Dans la grande citadelle du clan ménestrel, le calme qui régnait depuis la fin de la grande guerre contre oxsso al s’était brusquement volatilisé depuis quelques jours. En effet, des informations provenant directement de grand palais impérial de l’empereur Ladéares d’Or VII avait été intercepté : leurs objet ? ni plus ni moins que la préparation imminente de la libération d’une 5ème capitale pour les seigneurs de l’empire.
Les ménestrels, en raison de leurs guerre contre oxsso al n’était pas parvenu à obtenir le contrôle d’une des 4.

Cette nouvelle occasion n’était donc pas à manquer. Depuis plusieurs jours, les stratèges des ménestrels travaillaient avec labbeu à des pronostiques pour savoir quel serait l’emplacement de cette fameuse capitale. Et ce 7 décembre, l’un d’eux semble avoir abouti dans ses recherches.

- Seigneurs labbeu, nous pensons avoir trouvé.
- Donnez-moi les coordonnées en vitesse !
- Alors ?
- C’est avantageux, je dispose justement d’un avant poste dans les environs. Nous sommes à côté de notre objectif. Donnez l’ordre au clan de mobiliser toutes ses forces disponibles. Nous allons repartir en guerre pour défendre notre future capitale de l’assaut de tous les autres prétendants.
- Et…. Concernant la grande guerre entre l’empire romain et la muerte ? ne risquent t’il pas de nous gêner avec toute la mobilisation que cette histoire a provoqué aux 4 coins de l’empire ?
- Au contraire… espérons que chacun des 2 camps tiendra assez longtemps pour être trop occupé.
- On dit que notre ennemis oxsso al mobilise ses forces elle aussi, pensez vous que c’est pour les mêmes raisons que nous ?
- Oxsso al aussi ?? hum… si tu dis vrai alors il est certain que c’est pour les mêmes raisons que nous. La 1ère puissance de l’empire à beaucoup de relations avec la cour impériale. Ils sont probablement au courant pour la 5ème capitale

Sans plus attendre, labbeu ordonna à ses troupes de ses déplacer vers son avant poste tandis que le clan ménestrel tout entier se mit une fois de plus en marche pour la guerre

***

Le 9 décembre 2012 fut le jour de l’apparition de la 5ème capitale impériale. Les ménestrels et oxsso al furent les premiers à tenter de la capturer car même si la muerte et ses alliés étaient finalement parvenus à défaire l’empire romain la veille, la majorité d’entre eux ne fut pas spécialement motivé d’entrer dans une compétition déjà bien occupée.
Malheureusement pour labbeu, les troupes de son avant poste ne parvinrent pas à prendre le contrôle de la capitale et c’est oxsso al qui la remporta. Afin de respecter la paix durement obtenu lors de leur précédente grande guerre, les ménestrels renoncèrent à affronter oxsso. Mais....

Oxsso al n’avais que faire d’une seconde capitale. Ils décidèrent donc de la donner à Angør Nøcturnus afin de remplacer le zenico palace qu’ils avaient perdu au profit de la muerte. L’objectif étant de désamorcer le futur conflit que nous voyaient venir depuis la fuite de zenico. Mais angør refusant une capitale autre que celle qu’ils estimaient comme leurs, oxsso dû se contenter de son 2ème choix : la 5ème capitale fut donnée à légion noire.

Naturellement, c’est à peine le transfert effectué que la guerre commença car le clan ménestrel était bien décidé à obtenir cette capitale. Voyant légion noire prise pour cible, oxsso al décida évidement de protéger le don qu’elle venait de faire et lança une grande offensive contre les ménestrels. Une grande guerre inter-clan venait à peine de s’achever que déjà, une autre allait débuter. La 3ème grande guerre entre oxsso al et les ménestrels était ouverte. Se sera la dernière, mais quoi de plus normal à l’aube d’un nouvel âge sur le grand empire.

***

14 décembre 2012…

La guerre entre le clan ménestrel d’un côté et oxsso al et légion noire de l’autre battait son plein depuis 5 jours. Cependant, c’était surtout le cas du côté d’oxsso car ceux-ci lançaient offensives sur offensives sur les ménestrels sans que ceux-ci ne ripostent véritablement.
Mais le 14 décembre, une immense offensive du clan fut lancée sur la 5ème capitale et ses défenseurs : oxsso al, légion noire et ordre noir.
Tous se réunirent au sein des murs de cette capitale. Au total : 50 000 soldats de la garde royale. Une immense armée défensive certes mais la bataille s’annonça rude.

Tandis que le clan ménestrel s’attaquait à ses 3 adversaires pour les empêcher d’envoyer de nouveaux renforts, les vagues d’attaquant s’écrasaient à répétitions sur les murs de la capitale. Chaque fois, ils étaient vaincus mais quelques instants plus tard, une nouvelle vague de soldats arrivait pour prendre la place des attaquants vaincu. Les défenseurs n’en voyais pas la fin et enchainaient les combats à une cadence si forte que beaucoup d’entre eux périrent.
De 50 000, à la fin de la nuit seuls 8000 survécurent.

***

Salle du conseil du clan ménestrel

- Mes amis, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer.

Labbeu avait fait réunir tout les chefs des alliances du clan ce 15 décembre 2012 afin de leurs annoncer les résultats de la guerre.

- Les ménestrels n’ont plus la force de lutter. Nous avons donné tout ce que nous avions hier. Nous avons failli réussir. Ce fut notre plus belle soirée guerrière. Mais nous sommes épuisés maintenant. Oxsso al exige que je renonce à ma couronne pour signer la paix. Je sais que c’est sur de s’humilier ainsi mais nous ne pouvons pas gagner

Des murmures de contestations agitèrent l’assistance. Certains clamèrent même haut et fort que jamais ils ne se laisseraient humilier ainsi par leurs ennemis de toujours et qu’ils poursuivraient le combat. Mais pour labbeu, la décision était prise. Jamais il ne parviendrait à obtenir la capitale de légion noire donc mieux valais se plier aux exigences.
Gambi, second de labbeu pris donc les rennes du clan. Et la 2ème des grandes guerres concluant l’année 2012 pris fin.

***

Avec des 2 grandes guerres, faisant intervenir de nombreux clan, le grand empire commença à expérimenter ce qui allait devenir par la suite monnaie courante : les grand conflits s’étendant sur tout l’empire.
Avec décembre, l’année 2012 pris fin. Nouvelle année, nouveaux défi, nouvelle époque ? héhé non, pas encore, car malgré les apparences, ce grand conflit majeur qui briserait en morceaux le grand empire, cette grande guerre que tous attendaient et pressentaient depuis plusieurs mois n’était pas ces 2 guerres de décembre.

Oui….Le pire reste à venir…


à suivre....

[2842300] nocag221 (FR1) [None] :: June 1, 2015, 2:12 p.m.
Thibaut400 a écrit: »
C'est dommage...
Juin, tu t'inscrit?

Oui sans aucun doutes

[2842423] 25111999flo (FR1) [None] :: June 1, 2015, 9:28 p.m.
Hello

Enfin finit !!! : http://fr.board.goodgamestudios.com/empire/showthread.php?87285-Concours-mensuel-de-litt%C3%A9rature&p=2111495&viewfull=1#post2111495

Bonne lecture à tous, et have fun :D
Bonne chance à tous au passage

Flo

[2842453] GorkiBazZz [None] :: June 2, 2015, 3:30 a.m.
Très bonnes performances de la part de nos écrivains, compétition délicate avec de magnifiques récits, je ne voudrais pas être à la place des CM qui devront ce taper des heures de lecture, bonne chance à vous, et n'abusez pas de café.

Salutations,
Gorki.

[2842626] Maximus200206 [None] :: June 2, 2015, 4:28 p.m.
Petite question:Ce sont les modo qui lisent et font le classement des textes?