Forum: empire-fr
Board: [805] Le coin des artistes
Topic: [192908] Chronique de GGE, Géographie, Histoire, et autres
[2852563]
Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 3, 2015, 4:38 p.m.
pffff quel boulot , il faut etre extremement patient ^^
Oui. Mais bon. Avec de la musique dans les oreilles et un bon ventillo ke temps passe tout seul.
[2852564]
telio08 (FR1) [None]
:: July 3, 2015, 4:39 p.m.
lol bah oui !!!!!!!Oui. Mais bon. Avec de la musique dans les oreilles et un bon ventillo ke temps passe tout seul.

[2852645]
Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 3, 2015, 7:42 p.m.
Demain après midi ou demain soir vous aurez les héros notables ainsi que certaines divinités de GGE.
[2852777]
Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 9:47 a.m.
Héros de Légende et Dieux connus de l’histoire
Kaladès le démon : Kaladès est l’un des êtres qui aura le plus marqué l’histoire du monde. Né en -2550 au sein de l’Empire des Flammes, Kaladès fut élevé et formé par les plus grands mages noirs de l’époque avant de se lancer dans une exploration à corps perdu de la magie noire. À vingt ans, il était devenu le plus puissant des mages noirs et l’être le plus versé dans la connaissance de la sorcellerie, au point que les Horz, ayant remarqué sa valeur, l’invita à la cour impériale de l’Empire des Flammes pour être intégré parmi ses conseillers. Et, durant trente ans, Kaladès s’employa tout entier à tisser le piège qui anéantira l’autre nation rivale dans les Pics du Feu de l’époque : les armées de l’Ordre du Culte des Dragons. Quand le piège fut prêt, Kaladès proposa à l’empereur une stratégie suicidaire, laisser aux armées ennemi le chemin libre jusqu’à la capitale de l’Empire des Flammes, puis anéantir les Dragons qui menaient les troupes et ensuite massacrer les armées du Culte qui seraient alors désemparées. Le pire dans ce plan diabolique était que cette victoire n’avait que pour but d’instiller la folie dans les esprits des Horz. Le plan fut un immense succès, deux voir même trois millions de soldats des armées du Culte furent massacrées mais certains parvinrent à s’enfuirent loin dans les régions les plus désolées des Pics du Feu. Impressionné par Kaladès, l’empereur nomma Kaladès premier conseiller impérial. Maintenant, Kaladès, avait tout pouvoir sur les sujets de son maître. Gagné par la folie de Kaladès, que les Horz déclarèrent la guerre à la nation plus à l’Ouest, l’Empire du Levant. Le but de cette guerre pour Kaladès était de prendre entièrement le contrôle de la lignée des Horz afin d’être le véritable maître de l’empire, officieusement. Mille années plus tard, Kaladès avait finalisé sa plus grande œuvre maléfique : les horreurs. Grâce au contrôle qu’il exerçait sur l’esprit de son maître lui permis de relier mentalement ses horreurs par un lien psychique au dirigeant régnant : Horz Santreiz. Cela faisait de lui le maître d’une armée puissante car dominant la volonté de l’empereur, il pouvait lui insuffler des stratégies maléfiques qui lui permettront de dominer tous ses ennemis. Grâce au génie maléfique de Kaladès, Horz Santreiz qui avait renommé sa famille les Deus fondant le Deus Imperator’es, écrasa et domina durant quinze siècles tous ses ennemis sauf quelques uns : les scandinaves du Grand Nord, le peuple du Tig, et le Royaume de Fer qui accepta la suzeraineté des Deus que par négociation. Durant ces quinze siècles de domination absolue des Deus, Kaladès employa toute son intelligence à pervertir leur lignée au point que en -150, lors la cérémonie d’investiture du dernier des Deus, Kaladès ce serait écrié : "Quid es deus ? QUID ES DEUUUSS !!! Ahahahaha!!!" Il disparu un siècle avant la chute des Deus, personne ne sut où il était passé mais son influence et son esprit machiavélique avaient atteints leur but : pervertir. Durant les deux millénaires qui suivirent, on soupçonne que l’ombre du pouvoir de Kaladès était toujours présente, sûrement à cause de la légion de disciples qu’il avait formés. Durant ces deux milles années, ses disciples prolifèrent et cherchèrent à le ressusciter et toutes leurs tentatives échouèrent. Nous en sommes donc venus à la conclusion que Kaladès était toujours vivant et qu’il se cachait quelque part. Aujourd’hui, nous soupçonnons que l’intérêt qu’ont suscité les secrets perdus de Kaladès ait pervertis le frère de l’empereur actuel : Xanaros le Doré. Toutefois, nous savons qu’il n’est pas Kaladès où contrôlé par Kaladès, puisqu’il y a de cela deux ou trois ans, sa trace fut finalement retrouvée. Caché sous les traits du Nécromancien du Marais des Épines, Kaladès avait repris forme et sa malveillance était de nouveau prête à déferler sur le monde, attendant l’heure propice.
Skadi, la déesse du Grand Nord : Skadi était, selon la légende une femme à la beauté merveilleuse résidant dans le Grand Lac au centre du Glacier Eternel qu’elle aurait gelé elle-même. Les mythes racontent que Skadi aurait entraîné des hommes à s’installer dans le nord, leur assurant qu’il y avait plus de gloire à survivre dans un climat glacial que de construire sa vie dans des terres tempérées, au neuvième millénaire avant la chute des Deus. Grâce à ses pouvoirs et à son influence, Skadi avait contribué à fonder la civilisation Scandinave actuelle, puis fut divinisée par les barbares. C’est en son nom qu’ils repoussèrent les invasions des Deus et c’est en son nom qu’ils réunirent les trois tribus. C’est en son nom qu’ils vainquirent les dragons, accomplissant le vœu de leurs ancêtres : aller dans le nord et le dominer, lui et son environnement inhospitalier et hostile.
Ea, le dieu de l’eau : Ea est l’une des nombreuses légendes du désert. Il est le dieu de l’eau, des oasis, de la paix et la contemplation. Mais contrairement à Skadi, on se pas s’il a eu une quelconque influence sur l’apparition de la civilisation à l’est du désert. En tous cas, il apparait pour la première fois dans les écrits d’Enki Glaprad le Clairvoyant, le premier grand prêtre de la ville de l’eau, qui écrivit la légende d’Ea, un recueil de poèmes sur l’arrivée d’Ea et la sagesse qu’il enseigna aux tribus à l’est du désert. Paradoxalement, Ea est un dieu de paix alors que le désert connu bien souvent des périodes de guerre mais beaucoup moins que le reste du continent, signe que les enseignements d’Ea ont eu une influence considérable. On raconte qu’après avoir enseigné les hommes, Ea s’en serait retourné vivre dans sa demeure au plus profond de la mer, non loin de la pointe du Léviathan, là où serait sa demeure, gardée par un monstre du même nom que la pointe : le Léviathan.
Le Tig : c’est un héros légendaire qui aurait vécu vers -11000 et qui donna son nom à la région du Tig. Bien que les chercheurs affirment qu’il n’ait jamais existé, sa légende s’est perpétuée à travers les siècles. Le Tig était un grand guerrier qui aurait réussi à dompter toutes les créatures vivant dans la région du Tig. Il serait doué d’une force légendaire ainsi que d’une connaissance des plantes et des arbres très poussée. Il serait celui qui aurait donné à chaque espèce de plantes ou d’animaux son nom attitré. C’est lui qui aurait inventé nombre de techniques de combat et de méditation ; en bref, c’était un homme exceptionnel. L’aura de légende du Tig était telle que même les Deus n’envahirent pas son territoire de peur de provoquer sa colère. Ces légendes sur ce héros, bien son existence soit réfutée par beaucoup d’historien, prouve qu’il y aurait eu dans le passé un homme exceptionnel dont les exploits furent exagérés pour lui donner un air mythique.
Le Seigneur Inconnu : c’est le dernier des grands héros connus. Ce seigneur serait arrivé au début de l’apparition des seigneurs du Grand Empire et se serait démarqué pour son soutien inflexible de la couronne. Son existence est nimbée de mystère puisque personne ne sait qui il est et d’où il vient. Mais une chose est sûr, ce seigneur a participé activement dans la lutte contre les plans sinistres de Xanaros. Nous pensons que ce seigneur est toujours vivant mais sa furtivité et son existence en retrait des événements sur la scène du Grand Empire font de lui un être aussi mystérieux que Kaladès. Selon certaines prophéties, l’arrivée de ce seigneur marquerait un tournant dans l’histoire, et ce sera lui qui aura le pouvoir de maintenir le Grand Empire, où le faire disparaître à jamais.
Kaladès le démon : Kaladès est l’un des êtres qui aura le plus marqué l’histoire du monde. Né en -2550 au sein de l’Empire des Flammes, Kaladès fut élevé et formé par les plus grands mages noirs de l’époque avant de se lancer dans une exploration à corps perdu de la magie noire. À vingt ans, il était devenu le plus puissant des mages noirs et l’être le plus versé dans la connaissance de la sorcellerie, au point que les Horz, ayant remarqué sa valeur, l’invita à la cour impériale de l’Empire des Flammes pour être intégré parmi ses conseillers. Et, durant trente ans, Kaladès s’employa tout entier à tisser le piège qui anéantira l’autre nation rivale dans les Pics du Feu de l’époque : les armées de l’Ordre du Culte des Dragons. Quand le piège fut prêt, Kaladès proposa à l’empereur une stratégie suicidaire, laisser aux armées ennemi le chemin libre jusqu’à la capitale de l’Empire des Flammes, puis anéantir les Dragons qui menaient les troupes et ensuite massacrer les armées du Culte qui seraient alors désemparées. Le pire dans ce plan diabolique était que cette victoire n’avait que pour but d’instiller la folie dans les esprits des Horz. Le plan fut un immense succès, deux voir même trois millions de soldats des armées du Culte furent massacrées mais certains parvinrent à s’enfuirent loin dans les régions les plus désolées des Pics du Feu. Impressionné par Kaladès, l’empereur nomma Kaladès premier conseiller impérial. Maintenant, Kaladès, avait tout pouvoir sur les sujets de son maître. Gagné par la folie de Kaladès, que les Horz déclarèrent la guerre à la nation plus à l’Ouest, l’Empire du Levant. Le but de cette guerre pour Kaladès était de prendre entièrement le contrôle de la lignée des Horz afin d’être le véritable maître de l’empire, officieusement. Mille années plus tard, Kaladès avait finalisé sa plus grande œuvre maléfique : les horreurs. Grâce au contrôle qu’il exerçait sur l’esprit de son maître lui permis de relier mentalement ses horreurs par un lien psychique au dirigeant régnant : Horz Santreiz. Cela faisait de lui le maître d’une armée puissante car dominant la volonté de l’empereur, il pouvait lui insuffler des stratégies maléfiques qui lui permettront de dominer tous ses ennemis. Grâce au génie maléfique de Kaladès, Horz Santreiz qui avait renommé sa famille les Deus fondant le Deus Imperator’es, écrasa et domina durant quinze siècles tous ses ennemis sauf quelques uns : les scandinaves du Grand Nord, le peuple du Tig, et le Royaume de Fer qui accepta la suzeraineté des Deus que par négociation. Durant ces quinze siècles de domination absolue des Deus, Kaladès employa toute son intelligence à pervertir leur lignée au point que en -150, lors la cérémonie d’investiture du dernier des Deus, Kaladès ce serait écrié : "Quid es deus ? QUID ES DEUUUSS !!! Ahahahaha!!!" Il disparu un siècle avant la chute des Deus, personne ne sut où il était passé mais son influence et son esprit machiavélique avaient atteints leur but : pervertir. Durant les deux millénaires qui suivirent, on soupçonne que l’ombre du pouvoir de Kaladès était toujours présente, sûrement à cause de la légion de disciples qu’il avait formés. Durant ces deux milles années, ses disciples prolifèrent et cherchèrent à le ressusciter et toutes leurs tentatives échouèrent. Nous en sommes donc venus à la conclusion que Kaladès était toujours vivant et qu’il se cachait quelque part. Aujourd’hui, nous soupçonnons que l’intérêt qu’ont suscité les secrets perdus de Kaladès ait pervertis le frère de l’empereur actuel : Xanaros le Doré. Toutefois, nous savons qu’il n’est pas Kaladès où contrôlé par Kaladès, puisqu’il y a de cela deux ou trois ans, sa trace fut finalement retrouvée. Caché sous les traits du Nécromancien du Marais des Épines, Kaladès avait repris forme et sa malveillance était de nouveau prête à déferler sur le monde, attendant l’heure propice.
Skadi, la déesse du Grand Nord : Skadi était, selon la légende une femme à la beauté merveilleuse résidant dans le Grand Lac au centre du Glacier Eternel qu’elle aurait gelé elle-même. Les mythes racontent que Skadi aurait entraîné des hommes à s’installer dans le nord, leur assurant qu’il y avait plus de gloire à survivre dans un climat glacial que de construire sa vie dans des terres tempérées, au neuvième millénaire avant la chute des Deus. Grâce à ses pouvoirs et à son influence, Skadi avait contribué à fonder la civilisation Scandinave actuelle, puis fut divinisée par les barbares. C’est en son nom qu’ils repoussèrent les invasions des Deus et c’est en son nom qu’ils réunirent les trois tribus. C’est en son nom qu’ils vainquirent les dragons, accomplissant le vœu de leurs ancêtres : aller dans le nord et le dominer, lui et son environnement inhospitalier et hostile.
Ea, le dieu de l’eau : Ea est l’une des nombreuses légendes du désert. Il est le dieu de l’eau, des oasis, de la paix et la contemplation. Mais contrairement à Skadi, on se pas s’il a eu une quelconque influence sur l’apparition de la civilisation à l’est du désert. En tous cas, il apparait pour la première fois dans les écrits d’Enki Glaprad le Clairvoyant, le premier grand prêtre de la ville de l’eau, qui écrivit la légende d’Ea, un recueil de poèmes sur l’arrivée d’Ea et la sagesse qu’il enseigna aux tribus à l’est du désert. Paradoxalement, Ea est un dieu de paix alors que le désert connu bien souvent des périodes de guerre mais beaucoup moins que le reste du continent, signe que les enseignements d’Ea ont eu une influence considérable. On raconte qu’après avoir enseigné les hommes, Ea s’en serait retourné vivre dans sa demeure au plus profond de la mer, non loin de la pointe du Léviathan, là où serait sa demeure, gardée par un monstre du même nom que la pointe : le Léviathan.
Le Tig : c’est un héros légendaire qui aurait vécu vers -11000 et qui donna son nom à la région du Tig. Bien que les chercheurs affirment qu’il n’ait jamais existé, sa légende s’est perpétuée à travers les siècles. Le Tig était un grand guerrier qui aurait réussi à dompter toutes les créatures vivant dans la région du Tig. Il serait doué d’une force légendaire ainsi que d’une connaissance des plantes et des arbres très poussée. Il serait celui qui aurait donné à chaque espèce de plantes ou d’animaux son nom attitré. C’est lui qui aurait inventé nombre de techniques de combat et de méditation ; en bref, c’était un homme exceptionnel. L’aura de légende du Tig était telle que même les Deus n’envahirent pas son territoire de peur de provoquer sa colère. Ces légendes sur ce héros, bien son existence soit réfutée par beaucoup d’historien, prouve qu’il y aurait eu dans le passé un homme exceptionnel dont les exploits furent exagérés pour lui donner un air mythique.
Le Seigneur Inconnu : c’est le dernier des grands héros connus. Ce seigneur serait arrivé au début de l’apparition des seigneurs du Grand Empire et se serait démarqué pour son soutien inflexible de la couronne. Son existence est nimbée de mystère puisque personne ne sait qui il est et d’où il vient. Mais une chose est sûr, ce seigneur a participé activement dans la lutte contre les plans sinistres de Xanaros. Nous pensons que ce seigneur est toujours vivant mais sa furtivité et son existence en retrait des événements sur la scène du Grand Empire font de lui un être aussi mystérieux que Kaladès. Selon certaines prophéties, l’arrivée de ce seigneur marquerait un tournant dans l’histoire, et ce sera lui qui aura le pouvoir de maintenir le Grand Empire, où le faire disparaître à jamais.
[2852780]
14m (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 9:51 a.m.
T u les trouves ou tes sources ne t'inquiète pas jai pas lintention de faire pareilLe plus dur est de faire un texte à partir de sources qui sont déjà sous forme de grands textes.
[2852784]
Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 9:54 a.m.
http://fr.board.goodgamestudios.com/empire/showthread.php?89740-Galerie-d-histoires-du-forum&p=1522731&viewfull=1#post1522731
C'était pour la première partie que j'en avait besoin.
Pour le reste ça ce fera dans l'ordre chronologique des mises à jour mais d'un point de vue scientifique.
C'était pour la première partie que j'en avait besoin.
Pour le reste ça ce fera dans l'ordre chronologique des mises à jour mais d'un point de vue scientifique.
[2852851]
LucyXXX (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 12:35 p.m.
tjr très bien c un vrai travaille de patience en plus t un pro en orthographe
[2852853]
Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 12:36 p.m.
Je suis très patient.tjr très bien c un vrai travaille de patience en plus t un pro en orthographe
[2852882]
LucyXXX (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 1:48 p.m.
ta bien de la chance moi à part pour tt ce qui est dessin de suis l'impatience incarnéeJe suis très patient.
[2852883]
Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 1:49 p.m.
ta bien de la chance moi à part pour tt ce qui est dessin de suis l'impatience incarnée
Moi aussi mais je sais me contenir.
[2852884]
LucyXXX (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 1:50 p.m.
[2852937]
Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 4:06 p.m.
Une période troublée :
Prologue :
En l’an 2000, quand Laedares VII monta sur le trône, son couronnement provoqua le mécontentement de plusieurs notamment le frère du nouveau roi : Xanaros le Doré. Mais soucieux de paraître innocent aux yeux de son frère, Xanaros dénonça tous les mécontents qui furent exécutés sans états d’âme par les bourreaux du roi. Les nobles trahis ne surent jamais qui les avaient dénoncés et leurs familles enrageaient contre l’empereur d’avoir fait exécuter les leurs. C’est à ce moment que Xanaros les contacta dans le but de monter une alliance secrète destinée à renverser l’empereur. La conspiration était née et avait pour centre le château de Xanaros, une véritable forteresse imprenable que très peu d’armées avaient osées attaquer en raison de ses fortifications.
Durant dix années, la conspiration recruta de plus en plus de nobles dans ses rangs, atteignant même l’entourage direct du Roi, éliminant au passage tous les nobles fidèles à au souverain régnant et ne laissant que les indécis, ceux qui suivraient au moment opportun Xanaros. Mais, à la grande surprise de tous, les nobles qui se voyaient indécis s’étaient rangés à la cause de la conspiration. A la fin de la dixième année Xanaros les convoqua tous dans son château pour un immense banquet, banquet qui fut excellent où le seul bémol fut l’absence de Xanaros.
Cette absence était en fait prévue par Xanaros qui avait ordonné à des armées de voleurs de pénétrer dans le château éliminer tous les nobles. Et ce fut un massacre. Au moment où la fête battait son plein des hordes de malandrins surgirent dans la salle et commencèrent à abattre tous les nobles qui se trouvaient sur leur chemin. Finalement, les pillards furent tous arrêté par la garde du château de Xanaros et exécutés. Comme par hasard, l’intervention de la garde était arrivée « malheureusement » trop tard.
En fait c’était dans le plan de Xanaros : éliminer la noblesse du grand Empire pour déstabiliser les administrations impériales et rendre inopérante la Garde Royale. Car, durant ces dix années, il avait secrètement recrutés des légions entières de malandrins qu’il envoya à l’assaut du pays pour s’emparer des terres laissées vacantes par les nobles morts. Une période de troubles avait commencée.
Les récits écrits sous forme d’histoire vont vous donner un exemple de ce qui s’est passé durant cette année de massacres et de désordre.
Chapitre 1 : Gzorg le Malandrin
Terres d’un noble inconnu, Grand Empire
Enfin ils étaient arrivés à destination. Lui et ses hommes vont enfin pouvoir s’amuser un peu sur les paysans du coin. Ah qu’est-ce que la vie est belle quand on terrorise de pauvres innocents.
- Allez les gars ! Allons voir ces braves gens histoire de prélever l’impôt.
- Ouais ! Vive le chef ! s’écrièrent en cœur les malandrins.
Le groupe de bandits se mit alors en marche vers le champ le plus proche. À peine ils étaient arrivés qu’un des hommes sortaient un briquet, l’allumait et le lançait dans le champ. Sur un ordre visuel le chef indiqua aux autres de faire de même avec les autres champs. La tactique marcha plutôt bien avec quatre champs de plus quand les fermiers arrivèrent armés de fourches repousser l’envahisseur.
- Qui êtes-vous mauvais hommes ?
- Je suis Gzorg le Malandrin, et je prends ce que je veux quand je veux et où je veux.
- Les malins dans votre genre on a dompté plus d’un. Allez les amis ! Fichons ses miséreux dehors !
Les paysans s’avancèrent vers les pilleurs pour les repousser avec leurs équipements de labour quand les bandits sortirent dessous leurs capes de longues épées, des dagues, des arcs, et des flèches. Apeurés, les paysans formèrent un cercle pour se protéger tandis que les malandrins les encerclaient.
- Alors on fait moins les malins hein ? leur cracha Gzorg, et bien sachez que l’Âge des Bandits est arrivé. La stupide noblesse qui régnait avec mollesse sur vos tas de viande fainéants a été éliminée par un homme clairvoyant. Soumettez-vous à ma loi et vous survivrez !
L’un après l’autre, chaque paysans lâcha son arme et se prosterna sur le sol devant leur conquérant. Satisfait de leur reddition, Gzorg entama un petit discourt :
- Ne vous attendez pas à la vie de facilité qui vous a été promise. Moi et mes hommes avons tous les droits. Et vous, la seule chose que vous pouvez faire est de nous servir en toutes occasions. Si un seul manque à cet ordre simple, sa famille sera massacrée sous ses yeux et il sera torturé lentement jusqu’à ce que mort s’ensuive. Me suis-je bien faire comprendre ?
- Oui monseigneur. Lui répondirent faiblement les paysans complètements abattus par la perspective d’une vie de douleurs incessante.
- Dorénavant je suis votre seul chef. Allez bandes de limaces, tous au travail. Je veux que les récoltes brûlées soient rattrapés d’ici l’année prochaine !
Accablés de tristesse et de dégoût, les paysans se dirigèrent alors vers leurs demeures accomplir leur pénible besogne. Tandis que Gzorg et ses hommes investissaient la taverne et le château du noble ayant régné sur cette terre. Le chef des malandrins sourit, désormais il avait son propre fief.
Chapitre 2 : les débuts des seigneurs du Grand Empire
Cela faisait déjà quelques mois que les malandrins avaient pris le pouvoir. Les paysans qui étaient parti faire du commerce avec les villages voisins se rendirent compte que le phénomène touchait le continent entier. Seules les villes étaient épargnées disait-on mais les bandits surveillaient tous les chemins. Impossible de s’enfuir. La misère était alors parvenue à son comble quand un événement inattendu se produisit.
Deux hommes, un vieux soldat et son fils se dirigeaient vers le village. Arrivés à la taverne ils se présentèrent devant le comptoir devant l’œil mauvais de trois bandits.
- Qui êtes-vous ? Les interpella sauvagement le premier des malandrins. Voilà de bien curieuses gens par ici. Vous connaissez les règles de chez nous ? Aller bosser, et fermez là. Ça vaut aussi pour les voyageurs.
- Et bien je vois que vous êtes fort malpolis mes amis. Je ne viens pas chercher un travail je viens étancher ma soif.
- Oui bien sûr ! Ricana bêtement le deuxième. Vous pensez qu’on va vous laisser faire ?
- Et bien je l’espérai messieurs.
- Regardez le ce polisson. S’exclama le troisième. En voilà un qui veut tâter de mon gourdin.
- Cela suffit messieurs ! S’insurgea le vieux soldat. Vos comportements seront punis par les représentants de loi c'est-à-dire en l’occurrence moi. Pour vos crimes vous êtes condamnés à mourir !
Suite à sa provocation, les trois compères se levèrent et tirèrent leurs gourdins pour l’affronter mais aussi rapide que l’éclair, le vieux soldat les désarma tous d’un seul coup et trancha leurs trois têtes d’un seul mouvement giratoire de son épée. Mais un quatrième pillard venu s’abreuver les avait remarqués et quand ceux-ci s’en aperçurent il déguerpit vers le château prévenir son chef.
Le vieil homme et son fils se mirent alors en route pour rencontrer le chef de ses dégénérés. Arrivés sur la place, ils durent faire face au fameux chef des bandits. Celui-ci leur dit :
- Le meurtre de mes hommes est un crime grave messieurs. Vous risquez la torture à vie.
Les paysans passant dans le coin s’arrêtèrent observer la scène curieuse qui pourrait leur apporter la délivrance.
- Au nom de Laedares VII ! Déclara le vieux soldat tirant son épée. Vous êtes en état d’arrestation.
- Voyez-vous cela ! Se moqua éperdument le bandit. Je vais vous tuer et…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que le jeune homme à côté du soldat bondit sur lui et lui trancha la gorge d’un coup sec de sa lame.
- Il y en a d’autres qui veulent se frotter à moi ? Cria le fils aux malandrins s’enfuyant pour sauver leur peau.
- Du calme mon fils. Mais tu as bien agis. Je ne pense pas que j’aurai pu l’affronter car je suis vieux.
- Mes seigneurs ! Fit un paysan. Vous nous avez sauvés et nous vous servirons avec reconnaissance.
- Ne vous inquiétez pas mes amis. Retournez à vos occupations. Le danger est parti.
Contents d’avoir étés libérés du joug des pillards, les paysans retournèrent à leurs occupation non sans avoir au préalable déjà prêté serment d’allégeance et de fidélité aux nouveaux seigneurs des lieux. Une nouvelle ère avait débuté.
Épilogue :
Les actions perpétrées par ses deux hommes furent suivis par des milliers d’autres venus libérer les paysans pour se tailler des fiefs. En deux ou trois mois, les guildes de voleurs furent toutes chassées de leurs possessions et de nouveaux seigneurs indépendants prenaient le pouvoir un peu partout. Les malandrins se regroupèrent alors dans des tours d’où ils lançaient de sombres attaques sans grandes répercussions puisque les seigneurs veillaient au grain.
Toutefois la seule personne à qui arrangeait la situation n’était nul autre que Xanaros lui-même. Il souriait intérieurement car désormais, l’empereur n’a plus le pouvoir, il est passé à d’autres, la troisième étape de son plan avait fonctionné. Il ne manquait plus qu’à trouver le moyen de les faire se battre entre eux…
Prologue :
En l’an 2000, quand Laedares VII monta sur le trône, son couronnement provoqua le mécontentement de plusieurs notamment le frère du nouveau roi : Xanaros le Doré. Mais soucieux de paraître innocent aux yeux de son frère, Xanaros dénonça tous les mécontents qui furent exécutés sans états d’âme par les bourreaux du roi. Les nobles trahis ne surent jamais qui les avaient dénoncés et leurs familles enrageaient contre l’empereur d’avoir fait exécuter les leurs. C’est à ce moment que Xanaros les contacta dans le but de monter une alliance secrète destinée à renverser l’empereur. La conspiration était née et avait pour centre le château de Xanaros, une véritable forteresse imprenable que très peu d’armées avaient osées attaquer en raison de ses fortifications.
Durant dix années, la conspiration recruta de plus en plus de nobles dans ses rangs, atteignant même l’entourage direct du Roi, éliminant au passage tous les nobles fidèles à au souverain régnant et ne laissant que les indécis, ceux qui suivraient au moment opportun Xanaros. Mais, à la grande surprise de tous, les nobles qui se voyaient indécis s’étaient rangés à la cause de la conspiration. A la fin de la dixième année Xanaros les convoqua tous dans son château pour un immense banquet, banquet qui fut excellent où le seul bémol fut l’absence de Xanaros.
Cette absence était en fait prévue par Xanaros qui avait ordonné à des armées de voleurs de pénétrer dans le château éliminer tous les nobles. Et ce fut un massacre. Au moment où la fête battait son plein des hordes de malandrins surgirent dans la salle et commencèrent à abattre tous les nobles qui se trouvaient sur leur chemin. Finalement, les pillards furent tous arrêté par la garde du château de Xanaros et exécutés. Comme par hasard, l’intervention de la garde était arrivée « malheureusement » trop tard.
En fait c’était dans le plan de Xanaros : éliminer la noblesse du grand Empire pour déstabiliser les administrations impériales et rendre inopérante la Garde Royale. Car, durant ces dix années, il avait secrètement recrutés des légions entières de malandrins qu’il envoya à l’assaut du pays pour s’emparer des terres laissées vacantes par les nobles morts. Une période de troubles avait commencée.
Les récits écrits sous forme d’histoire vont vous donner un exemple de ce qui s’est passé durant cette année de massacres et de désordre.
Chapitre 1 : Gzorg le Malandrin
Terres d’un noble inconnu, Grand Empire
Enfin ils étaient arrivés à destination. Lui et ses hommes vont enfin pouvoir s’amuser un peu sur les paysans du coin. Ah qu’est-ce que la vie est belle quand on terrorise de pauvres innocents.
- Allez les gars ! Allons voir ces braves gens histoire de prélever l’impôt.
- Ouais ! Vive le chef ! s’écrièrent en cœur les malandrins.
Le groupe de bandits se mit alors en marche vers le champ le plus proche. À peine ils étaient arrivés qu’un des hommes sortaient un briquet, l’allumait et le lançait dans le champ. Sur un ordre visuel le chef indiqua aux autres de faire de même avec les autres champs. La tactique marcha plutôt bien avec quatre champs de plus quand les fermiers arrivèrent armés de fourches repousser l’envahisseur.
- Qui êtes-vous mauvais hommes ?
- Je suis Gzorg le Malandrin, et je prends ce que je veux quand je veux et où je veux.
- Les malins dans votre genre on a dompté plus d’un. Allez les amis ! Fichons ses miséreux dehors !
Les paysans s’avancèrent vers les pilleurs pour les repousser avec leurs équipements de labour quand les bandits sortirent dessous leurs capes de longues épées, des dagues, des arcs, et des flèches. Apeurés, les paysans formèrent un cercle pour se protéger tandis que les malandrins les encerclaient.
- Alors on fait moins les malins hein ? leur cracha Gzorg, et bien sachez que l’Âge des Bandits est arrivé. La stupide noblesse qui régnait avec mollesse sur vos tas de viande fainéants a été éliminée par un homme clairvoyant. Soumettez-vous à ma loi et vous survivrez !
L’un après l’autre, chaque paysans lâcha son arme et se prosterna sur le sol devant leur conquérant. Satisfait de leur reddition, Gzorg entama un petit discourt :
- Ne vous attendez pas à la vie de facilité qui vous a été promise. Moi et mes hommes avons tous les droits. Et vous, la seule chose que vous pouvez faire est de nous servir en toutes occasions. Si un seul manque à cet ordre simple, sa famille sera massacrée sous ses yeux et il sera torturé lentement jusqu’à ce que mort s’ensuive. Me suis-je bien faire comprendre ?
- Oui monseigneur. Lui répondirent faiblement les paysans complètements abattus par la perspective d’une vie de douleurs incessante.
- Dorénavant je suis votre seul chef. Allez bandes de limaces, tous au travail. Je veux que les récoltes brûlées soient rattrapés d’ici l’année prochaine !
Accablés de tristesse et de dégoût, les paysans se dirigèrent alors vers leurs demeures accomplir leur pénible besogne. Tandis que Gzorg et ses hommes investissaient la taverne et le château du noble ayant régné sur cette terre. Le chef des malandrins sourit, désormais il avait son propre fief.
Chapitre 2 : les débuts des seigneurs du Grand Empire
Cela faisait déjà quelques mois que les malandrins avaient pris le pouvoir. Les paysans qui étaient parti faire du commerce avec les villages voisins se rendirent compte que le phénomène touchait le continent entier. Seules les villes étaient épargnées disait-on mais les bandits surveillaient tous les chemins. Impossible de s’enfuir. La misère était alors parvenue à son comble quand un événement inattendu se produisit.
Deux hommes, un vieux soldat et son fils se dirigeaient vers le village. Arrivés à la taverne ils se présentèrent devant le comptoir devant l’œil mauvais de trois bandits.
- Qui êtes-vous ? Les interpella sauvagement le premier des malandrins. Voilà de bien curieuses gens par ici. Vous connaissez les règles de chez nous ? Aller bosser, et fermez là. Ça vaut aussi pour les voyageurs.
- Et bien je vois que vous êtes fort malpolis mes amis. Je ne viens pas chercher un travail je viens étancher ma soif.
- Oui bien sûr ! Ricana bêtement le deuxième. Vous pensez qu’on va vous laisser faire ?
- Et bien je l’espérai messieurs.
- Regardez le ce polisson. S’exclama le troisième. En voilà un qui veut tâter de mon gourdin.
- Cela suffit messieurs ! S’insurgea le vieux soldat. Vos comportements seront punis par les représentants de loi c'est-à-dire en l’occurrence moi. Pour vos crimes vous êtes condamnés à mourir !
Suite à sa provocation, les trois compères se levèrent et tirèrent leurs gourdins pour l’affronter mais aussi rapide que l’éclair, le vieux soldat les désarma tous d’un seul coup et trancha leurs trois têtes d’un seul mouvement giratoire de son épée. Mais un quatrième pillard venu s’abreuver les avait remarqués et quand ceux-ci s’en aperçurent il déguerpit vers le château prévenir son chef.
Le vieil homme et son fils se mirent alors en route pour rencontrer le chef de ses dégénérés. Arrivés sur la place, ils durent faire face au fameux chef des bandits. Celui-ci leur dit :
- Le meurtre de mes hommes est un crime grave messieurs. Vous risquez la torture à vie.
Les paysans passant dans le coin s’arrêtèrent observer la scène curieuse qui pourrait leur apporter la délivrance.
- Au nom de Laedares VII ! Déclara le vieux soldat tirant son épée. Vous êtes en état d’arrestation.
- Voyez-vous cela ! Se moqua éperdument le bandit. Je vais vous tuer et…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que le jeune homme à côté du soldat bondit sur lui et lui trancha la gorge d’un coup sec de sa lame.
- Il y en a d’autres qui veulent se frotter à moi ? Cria le fils aux malandrins s’enfuyant pour sauver leur peau.
- Du calme mon fils. Mais tu as bien agis. Je ne pense pas que j’aurai pu l’affronter car je suis vieux.
- Mes seigneurs ! Fit un paysan. Vous nous avez sauvés et nous vous servirons avec reconnaissance.
- Ne vous inquiétez pas mes amis. Retournez à vos occupations. Le danger est parti.
Contents d’avoir étés libérés du joug des pillards, les paysans retournèrent à leurs occupation non sans avoir au préalable déjà prêté serment d’allégeance et de fidélité aux nouveaux seigneurs des lieux. Une nouvelle ère avait débuté.
Épilogue :
Les actions perpétrées par ses deux hommes furent suivis par des milliers d’autres venus libérer les paysans pour se tailler des fiefs. En deux ou trois mois, les guildes de voleurs furent toutes chassées de leurs possessions et de nouveaux seigneurs indépendants prenaient le pouvoir un peu partout. Les malandrins se regroupèrent alors dans des tours d’où ils lançaient de sombres attaques sans grandes répercussions puisque les seigneurs veillaient au grain.
Toutefois la seule personne à qui arrangeait la situation n’était nul autre que Xanaros lui-même. Il souriait intérieurement car désormais, l’empereur n’a plus le pouvoir, il est passé à d’autres, la troisième étape de son plan avait fonctionné. Il ne manquait plus qu’à trouver le moyen de les faire se battre entre eux…
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LucyXXX (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 4:49 p.m.
Bravo un très bon 1er chapitre ^_^
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Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 4:54 p.m.
Bravo un très bon 1er chapitre ^_^
Comme ça je pourrai enchaîner sur les mises a jour depuis le début.
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LucyXXX (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 5 p.m.
Comme ça je pourrai enchaîner sur les mises a jour depuis le début.
oui en tt cas continue comme ça, la chroniquerie (ce mot n'existe pas XD) est faite pour toi
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Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 5:01 p.m.
oui en tt cas continue comme ça, la chroniquerie (ce mot n'existe pas XD) est faite pour toi
J'ai eu un modèle : Tolkien.
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LucyXXX (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 5:03 p.m.
ça se voit, et c un bon modèle, un des meilleurs écrivains de fantasyJ'ai eu un modèle : Tolkien.
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Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 5:04 p.m.
ça se voit, et c un bon modèle, un des meilleurs écrivains de fantasy
C'est la référence de base.
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LucyXXX (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 5:05 p.m.
oui c sur ^_^ d'ailleur je suis en train de rerelire le seigneur des anneaux ^_^ c long mais tellement bienC'est la référence de base.
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Haut-Elfe (FR1) [None]
:: July 4, 2015, 5:10 p.m.
oui c sur ^_^ d'ailleur je suis en train de rerelire le seigneur des anneaux ^_^ c long mais tellement bien
J'ai lu le seigneur des anneaux. Bilbo le Hobbit et le Silmarillion.