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Topic: [51692] Mythe, conte et légende & Histoires extraordinaires
[-51692]
titevero (FR1) [None]
:: March 13, 2013, 10:28 a.m.
Bonjour,
Pour profiter au mieux de cette rubrique, utilisez le sommaire, cliquez directement sur le sujet qui vous intéresse pour découvrir ou redécouvrir toute l'histoire
A la suite de cet index, vous trouverez une petite introduction sur les mythes, contes et légendes
Bonne lecture !
Sommaire :
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Sommaire :
- [post=644752]L'homme arbre[/post]
- [post=645090]Le chiffre 11 porterait-il malheur ?[/post]
- [post=645185]La maison qui saigne[/post]
- [post=645747]Le Mystère de la dame en blanc[/post]
- [post=645365]La Bête du Gévaudan[/post]
- [post=645870]4 histoires incroyables mais vraies ![/post]
- [post=645997] Le chemin le plus effrayant au monde[/post]
- [post=646757] Légendes sur les ponts[/post]
- [post=647415] Châteaux hantés[/post]
- [post=647914] La dame blanche de la Chapelle du Châtelard[/post]
- [post=648644] Est-ce une pente ou une côte ? (Lauriole)[/post]
- [post=649008] Le Sanatorium De Waverly Hills[/post]
- [post=649779] Le vendredi 13[/post]
- [post=649939] Le manoir hanté[/post]
- [post=650480] L'Homme des neiges[/post]
- [post=653185] Légende sur les routes[/post]
- [post=653483] Le hollandais volant[/post]
- [post=654126] Le manoir hanté par 14 chiens[/post]
- [post=654143] Marthe Robin et les stigmates du Christ[/post]
- [post=654143] Black Hills [/post]
- [post=654487] Un caveau hanté[/post]
- [post=654816] Vampires [/post]
- [post=655062] Le phare maudit de Tévennec[/post]
- [post=656842] Paranormal une histoire troublante[/post]
- [post=656969] L'étrange zone du silence méxicaine, et les crash UFO[/post]
- [post=657054]La légendaire histoire du sorcier de Braham[/post]
- [post=657124]Le grimoire maudit de ahriman[/post]
- [post=657205]La colonie de Roanoke[/post]
- [post=657350]L'Ankou[/post]
- [post=657535]Histoires Etranges ! Courtes[/post]
- [post=657594]Des pierres d’une demi-tonne qui bougent toutes seules[/post]
- [post=658093]La Pierre philosophale[/post]
- [post=658156]Le mystère du chupacabra[/post]
- [post=658243]Les légendes urbaines et histoire terrifiante[/post]
- [post=658262]Une voix terrifiante dans ma maison[/post]
- [post=658736]Robert - La Poupée Maléfique[/post]
- [post=658812]Les traces de sabot du diable[/post]
- [post=658877]Le diable du Gouffre de Padirac[/post]
- [post=658921]Les fantômes du Vol 401[/post]
- [post=658924]Distorsion du temps. Un survol de l’avenir[/post]
- [post=659555]Les Orbs[/post]
- [post=659588]Le placard[/post]
- [post=659648]Le fantôme de Lord Combermere[/post]
- [post=661868]Le dahu[/post]
- [post=662122]Le kraken[/post]
- [post=662214]Vague scélérates: un mythe légendaire[/post]
- [post=662418]Le Windigo[/post]
- [post=662697]Les vouivres[/post]
- [post=663830]La grotte des nains[/post]
- [post=663805]La Légende de la Cascade des Moulines[/post]
- [post=663909]Le trésor de la Tour de Salleboeuf - Salleboeuf [/post]
- [post=664102]Légende des Saladins d’Anglure [/post]
- [post=664176]Le Babau de Rivesaltes [/post]
- [post=664305]La Fontaine hideuse de Beuvry, maudite depuis la veille de la Noël 1493[/post]
- [post=664361]La pierre du Diable et le pont de Toulon[/post]
- [post=664427]Le Gothard[/post]
- [post=665275]Cascade du Voile de la Mariée Salazie et sa légende île de La Réunion[/post]
- [post=665343]Les cascades d'Edelfrauengrab-Wasserfälle[/post]
- [post=665387] Cascade du Pas de l'Ours [/post]
- [post=665455] La Fontaine de Barenton [/post]
- [post=665786] La légende de la cascade de Serva /Natzwiller [/post]
- [post=665824] La Cascade du Nideck [/post]
- [post=666386] Les plus belles chutes d'eau et cascades du monde [/post]
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- [post=669973] Poltergeist de joller [/post]
- [post=670091] La maison hantée de Nicolas Cage [/post]
- [post=670287] Le presbytère hanté de Borley [/post]
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- [post=671215] Enfants Médiums [/post]
- [post=673257] Les esprits frappeurs alias poltergeists [/post]
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- Angéline, la Légende des Chats
- Meurtre à la Taverne
- Témoins de l'étrange [ quels liens entre animaux et esprits ? ]
- Témoins de l'étrange [ Terreur à la ferme Maple Dale ]
- Témoins de l'étrange [ Quittez la maison ]
- Témoins de l'étrange [ L'antre du démon ]
- Témoins de l'étrange [ La possession de Cassie ]
- Légendes de Champagne-Ardenne : Le Peûte-Bête d'Aujeurres
- Légendes d'Aquitaine : Le vieil Orme de Biscarosse
- Légendes d'Aquitaine : Le château de la Reine des Fées
- Légendes de l'Auvergne : Le chien noir de Pontgibaud
- Légendes de Bourgogne : La bête faramine
- Légendes de Bourgogne : La Pierre de la Wiwre au Mont Beuvray
- Légendes de Franche-Comté : Le cheval Gauvin
- Légendes d'Île-de-France : Origine de la Seine
- Légendes du Languedoc-Roussillon : La légende du Château de Castelbouc
- Légendes du Languedoc-Roussillon : La légende de Sainte Enimie
- Légendes du Languedoc-Roussillon : La légende du drac de Beaucaire
- Légendes du Languedoc-Roussillon : La Fontaine des Fiancés
- Légendes du Languedoc-Roussillon : Le pic Saint-Loup
- Légendes du Languedoc-Roussillon : La légende du Mont Caroux
- Légendes du Languedoc-Roussillon : Les rochers du Cap-d’Agde
- Légendes du Limousin : Le moulin au diable d'Ambazac
- Légendes du Limousin : Légende de St-Germain-Lavolps
- Légendes du Limousin : L'Homme qui veut faire le Ménage
- Légendes du Limousin : La légende du Puy des Roches
- Légendes de Lorraine : La légende du Graoully
- Légendes de Lorraine : La légende de la tour aux puces
- Légendes de Lorraine : La légende du loup de Malzéville
- Légendes de Lorraine : Le Warabouc
- Légendes des Midi-Pyrénées : La dent de Sainte Appolonie
- Légendes lacs des Pyrénées
- Légendes lacs des Pyrénées , suite et fin !
[1054612]
titevero (FR1) [None]
:: March 13, 2013, 1:10 p.m.
Suite du sommaire
Mythe, conte et légende

On me demande très souvent qu'elle est la différence entre un mythe une légende et un conte ou une fable si vous aimez mieux.
Et bien voilà je vais tenter de vous expliquer les différences.
Le mythe
Au sens étymologique, mythe veut dire parole. Il est un récit fondateur dont ceux qui le rapportent avouent en être les dépositaires et pas les auteurs. C’est un récit anonyme et collectif qui remplit une fonction socio-religieuse. Il sert le plus souvent d’élément de cohésion entre les individus d’un groupe. Le mythe met en scène des personnages le plus souvent surhumains qui ont des pouvoirs surnaturels mais aussi des comportements et des sentiments humains. Le mythe est une parole, une fable qui se réfère à des événements anciens chargés de sens : dans les sociétés primitives, il sert d’explication du monde, comment les choses ont commencé et pourquoi les hommes en sont là aujourd’hui. Il est tenu pour absolument vrai et récité dans des circonstances bien précises ce qui le distingue de la fable, du conte et toutes les histoires inventées. Dans sa composition, il est le plus souvent très court et d’un agencement parfait. Chaque détail est chargé d’une signification intense. Les sociétés industrielles l’ont relégué dans le domaine de la poésie et de l’imaginaire. Les mythes restent cependant l’expression d’une culture, ils expriment les aspirations profondes de l’inconscient humain et mettent en scène des situations éternelles. La pensée scientifique n’a pas réussi à les faire disparaître. Bien plus, dans toutes les productions littéraires se décèlent des soubassements d’images permanentes, une armature d’archétype qui manifeste sa lointaine parenté avec le mythe.
Le conte
Le conte est né de l’oubli progressif du caractère religieux du récit. Il nous introduit dans un univers enchanté dont la magie stimule notre imagination. Le conte apparaît comme le miroir de l’homme ; il dévoile ses défauts et ses haines mais il dit la force de ses idéaux. Dans toutes le civilisations, à travers les siècles, cette littérature orale se transmet de génération en génération dans toutes les sociétés. Que ce soit par la voix d’une nourrice ou celle d’un griot africain, le conte nous transmet un savoir (une initiation au monde), un espoir d’avenir meilleur car son dénouement est presque toujours heureux. Cet espoir si nécessaire à l’homme fait l’universalité du conte. Si sa forme dépend de son lieu géographique, sa matière est bien souvent la même. Merveilleux ou philosophique, le conte est une façon de voir la vie. Le conte est lui aussi un récit court qui se distingue de la nouvelle en ce qu’il n’est pas soumis aux contraintes de la vraisemblance. Il appartient à l’univers de la poésie. A partir de l’époque romantique, le conte s’est scindé en deux tendances : le registre du merveilleux et à partir du début du 19ème siècle le registre du fantastique. Le conte aime les décors fabuleux ou terrifiants. Dans les contes de fées, la magie intervient à tout moment. Ils sont peuplés de dragons, de licornes, de génies et d’elfes. Ils séduisent notre imagination mais nous ne sous sentons nullement inquiétés car d’emblée nous pressentons une dénouement heureux. Le conte nous emmène dans des contrées fabuleuses où le temps n’existe pas. Dans les contes fantastiques, l’irrationnel fait une apparition brutale dans notre univers cohérent. La mort, les fantômes, les vampires dans un climat d’angoisse font que le récit aboutit parfois à un dénouement fatal. Le rôle du conteur est de tenir son public constamment en haleine car il ne s’adresse pas à un public impassible. Il prend son auditoire à témoin, le fait se ressaisir et au besoin l’apostrophe. Il ne coupe pas le fils de son débit.
La légende
La légende - du latin legenda, choses qui doivent êtres lues - est un récit à caractère merveilleux où des faits historiques sont transformés par l’imagination populaire ou par l’invention poétique. Elle peut être crée de toute pièce par un esprit mystique ou poétique en communion avec les masses populaires : mais elle est le plus souvent l’éclosion même de l’imagination inconsciente de ces masses. Dans l’un comme dans l’autre cas, elle n’a pas cessé d’être en pleine formation parmi nous. La forme de la légende est simple et son objet d’évocation essentiel est le miracle. A l’origine, la légende racontait la vie des Saints et qui étaient lues dans les couvents. De nos jours, il s’agit plutôt de récits merveilleux d’un événement passé fondé sur une tradition plus ou moins authentique. La légende est plus soucieuse du détail que le conte.
Commençons le voyage....
- Légendes des Midi-Pyrénées : Légendes lacs des Pyrénées
- Légendes lacs des Pyrénées , suite et fin !
- Légendes des Midi-Pyrénées : L'homme, l'ours, le loup, le renard et le lievre
- Légendes des Midi-Pyrénées : La folle des Pyrénées
- Légendes des Midi-Pyrénées : Le pic du Midi d'Ossau
- Légendes des Midi-Pyrénées : L'ogresse de Bramevaque
- Légendes des Hautes-Pyrénées : La Pierre du Diable à Layrisse
- Légendes des Hautes-Pyrénées : La Peyreblanque à Julos-Orincles
- Légendes des Hautes-Pyrénées : La légende de Capvern les Bains
- Légendes des Hautes-Pyrénées : L’âne du Pont de Tillos à Argelès-Gazost
- Fantôme, Autre Créatures. Le Doc.
- Le mystère de la Serra da Gardunha
- Néron
Mythe, conte et légende
On me demande très souvent qu'elle est la différence entre un mythe une légende et un conte ou une fable si vous aimez mieux.
Et bien voilà je vais tenter de vous expliquer les différences.
Le mythe
Au sens étymologique, mythe veut dire parole. Il est un récit fondateur dont ceux qui le rapportent avouent en être les dépositaires et pas les auteurs. C’est un récit anonyme et collectif qui remplit une fonction socio-religieuse. Il sert le plus souvent d’élément de cohésion entre les individus d’un groupe. Le mythe met en scène des personnages le plus souvent surhumains qui ont des pouvoirs surnaturels mais aussi des comportements et des sentiments humains. Le mythe est une parole, une fable qui se réfère à des événements anciens chargés de sens : dans les sociétés primitives, il sert d’explication du monde, comment les choses ont commencé et pourquoi les hommes en sont là aujourd’hui. Il est tenu pour absolument vrai et récité dans des circonstances bien précises ce qui le distingue de la fable, du conte et toutes les histoires inventées. Dans sa composition, il est le plus souvent très court et d’un agencement parfait. Chaque détail est chargé d’une signification intense. Les sociétés industrielles l’ont relégué dans le domaine de la poésie et de l’imaginaire. Les mythes restent cependant l’expression d’une culture, ils expriment les aspirations profondes de l’inconscient humain et mettent en scène des situations éternelles. La pensée scientifique n’a pas réussi à les faire disparaître. Bien plus, dans toutes les productions littéraires se décèlent des soubassements d’images permanentes, une armature d’archétype qui manifeste sa lointaine parenté avec le mythe.
Le conte
Le conte est né de l’oubli progressif du caractère religieux du récit. Il nous introduit dans un univers enchanté dont la magie stimule notre imagination. Le conte apparaît comme le miroir de l’homme ; il dévoile ses défauts et ses haines mais il dit la force de ses idéaux. Dans toutes le civilisations, à travers les siècles, cette littérature orale se transmet de génération en génération dans toutes les sociétés. Que ce soit par la voix d’une nourrice ou celle d’un griot africain, le conte nous transmet un savoir (une initiation au monde), un espoir d’avenir meilleur car son dénouement est presque toujours heureux. Cet espoir si nécessaire à l’homme fait l’universalité du conte. Si sa forme dépend de son lieu géographique, sa matière est bien souvent la même. Merveilleux ou philosophique, le conte est une façon de voir la vie. Le conte est lui aussi un récit court qui se distingue de la nouvelle en ce qu’il n’est pas soumis aux contraintes de la vraisemblance. Il appartient à l’univers de la poésie. A partir de l’époque romantique, le conte s’est scindé en deux tendances : le registre du merveilleux et à partir du début du 19ème siècle le registre du fantastique. Le conte aime les décors fabuleux ou terrifiants. Dans les contes de fées, la magie intervient à tout moment. Ils sont peuplés de dragons, de licornes, de génies et d’elfes. Ils séduisent notre imagination mais nous ne sous sentons nullement inquiétés car d’emblée nous pressentons une dénouement heureux. Le conte nous emmène dans des contrées fabuleuses où le temps n’existe pas. Dans les contes fantastiques, l’irrationnel fait une apparition brutale dans notre univers cohérent. La mort, les fantômes, les vampires dans un climat d’angoisse font que le récit aboutit parfois à un dénouement fatal. Le rôle du conteur est de tenir son public constamment en haleine car il ne s’adresse pas à un public impassible. Il prend son auditoire à témoin, le fait se ressaisir et au besoin l’apostrophe. Il ne coupe pas le fils de son débit.
La légende
La légende - du latin legenda, choses qui doivent êtres lues - est un récit à caractère merveilleux où des faits historiques sont transformés par l’imagination populaire ou par l’invention poétique. Elle peut être crée de toute pièce par un esprit mystique ou poétique en communion avec les masses populaires : mais elle est le plus souvent l’éclosion même de l’imagination inconsciente de ces masses. Dans l’un comme dans l’autre cas, elle n’a pas cessé d’être en pleine formation parmi nous. La forme de la légende est simple et son objet d’évocation essentiel est le miracle. A l’origine, la légende racontait la vie des Saints et qui étaient lues dans les couvents. De nos jours, il s’agit plutôt de récits merveilleux d’un événement passé fondé sur une tradition plus ou moins authentique. La légende est plus soucieuse du détail que le conte.
Commençons le voyage....
[1054635]
titevero (FR1) [None]
:: March 13, 2013, 3:47 p.m.
L'homme Arbre
Mon Horrible Histoire, mi-homme mi-arbre
[video=dailymotion;xq7bwu]http://www.dailymotion.com/video/xq7bwu_mon-horrible-histoire-mi-homme-mi-arbre-1-de-3_news[/video]
[video=dailymotion;xq7ani]http://www.dailymotion.com/video/xq7ani_mon-horrible-histoire-mi-homme-mi-arbre-2-de-3_news[/video]
[video=dailymotion;xq7and]http://www.dailymotion.com/video/xq7and_mon-horrible-histoire-mi-homme-mi-arbre-3-de-3_news[/video]



Dede Kowara, 37 ans, est Javanais. Suite à un banal accident d’adolescence, alors qu’il est à peine âgé d’une quinzaine d’années, Dede se blesse au genou. Ce qui n’était qu’une blessure caractéristique de la vie d’un enfant allait devenir le calvaire de sa vie. Une première petite verrue apparait rapidement sur ce genou endolori, suivie par toute une colonie qui commence alors à envahir chaque recoin de son corps, de manière incontrôlable. Au fur et à mesure que son cauchemar physique s’amplifie, la vie de Dede Kowara prend des tournants toujours plus désagréables. Il est d’abord obligé de quitter ses deux emplois d’ouvriers en bâtiment et de pêcheurs, ne pouvant plus exercer, pour devenir l’une des attractions principales d’un « Freak Show » itinérants. Puis un jour, après toutes ces années côte à côte, sa femme, sans doute incapable de le soutenir et de s’occuper plus longtemps de lui et de leurs deux enfants, les quitte tous les trois après dix années de mariage.
Pourtant, un peu comme un mauvais sort définitivement chassé, la chance de Dede tourne l’année dernière. Grâce aux médias. Plus exactement, grâce au journal anglais The Telegraph et la chaîne documentaire Discovery Channel Documentary. La chaîne documentaire prit le parti d’emmener en Indonésie le docteur Anthony Gaspari, dermatologue Américain, dans le cadre d’un de ses tournages, à la rencontre de Dede, afin qu’il puisse observer la nature de ces verrues qui ressemblent à des racines d’arbre. Le dermatologue, également chercheur à l’université du Maryland, conclu après analyses que Dede Kowara, l’homme-arbre, souffre en fait du Papilloma Virus Humain, une infection assez commune, qui provoque des éruptions de verrues.
Le problème de Dede est en fait dû à une forme extrêmement rare de déficience de son système immunitaire, laissant son corps incapable de combattre les verrues. Le virus, contracté lors de la blessure initiale, est en fait capable de forcer laemécanisme cellulaire de ses cellules cutanées, leur ordonnant alors de produire en masse la substance causant ces excroissances si similaires à des racines d’arbres. Le nombre de globules blancs présents dans le sang de Dede était si faible que le docteur Gaspari soupçonnait initialement l’homme d’être atteint par le Sida.
Depuis cette cruciale découverte, Dede est passée à diverses reprises sur une table d’opération en Indonésie, en 2008, après que le docteur Gaspari ait pu expliquer à ses homologues indonésiens les raisons du mal qui le rongeait. Les médecins lui ont déjà enlevé presque deux kilos de verrues, ce qui lui permet pour la première fois depuis des dizaines d’années d’apercevoir la forme de ses doigts. Afin de renforcer son système immunitaire, Dede est soumis à un traitement de vitamine A synthétique. Plusieurs opérations l’attendent encore dans les mois à venir, notamment pour greffer des tissus de peau sur certains endroits endommagés de son corps, et particulièrement les doigts, afin de lui permettre de retrouver une meilleure mobilité de ceux-ci.
Mais la grande nouvelle, c’est que malgré les nombreuses séquelles encore visibles, Dede ,pour la première fois depuis des années, a pu retrouver l’usage des ses doigts. Les médecins sont très fiers d’annoncer qu’il pourra socialiser plus facilement à l’avenir et travailler de nouveau. Et lui, sur son lit d’hôpital, s’est découvert un nouveau passe-temps, avec ses doigts retrouvés: le sudoku. Notre homme y est visiblement devenu accro et espère maintenant en finir avec tout ça et… se trouver une nouvelle femme à épouser!

De nos jours Dede Koswara va beaucoup mieux et mène une vie (presque) normal.
Mon Horrible Histoire, mi-homme mi-arbre
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Dede Kowara, 37 ans, est Javanais. Suite à un banal accident d’adolescence, alors qu’il est à peine âgé d’une quinzaine d’années, Dede se blesse au genou. Ce qui n’était qu’une blessure caractéristique de la vie d’un enfant allait devenir le calvaire de sa vie. Une première petite verrue apparait rapidement sur ce genou endolori, suivie par toute une colonie qui commence alors à envahir chaque recoin de son corps, de manière incontrôlable. Au fur et à mesure que son cauchemar physique s’amplifie, la vie de Dede Kowara prend des tournants toujours plus désagréables. Il est d’abord obligé de quitter ses deux emplois d’ouvriers en bâtiment et de pêcheurs, ne pouvant plus exercer, pour devenir l’une des attractions principales d’un « Freak Show » itinérants. Puis un jour, après toutes ces années côte à côte, sa femme, sans doute incapable de le soutenir et de s’occuper plus longtemps de lui et de leurs deux enfants, les quitte tous les trois après dix années de mariage.
Pourtant, un peu comme un mauvais sort définitivement chassé, la chance de Dede tourne l’année dernière. Grâce aux médias. Plus exactement, grâce au journal anglais The Telegraph et la chaîne documentaire Discovery Channel Documentary. La chaîne documentaire prit le parti d’emmener en Indonésie le docteur Anthony Gaspari, dermatologue Américain, dans le cadre d’un de ses tournages, à la rencontre de Dede, afin qu’il puisse observer la nature de ces verrues qui ressemblent à des racines d’arbre. Le dermatologue, également chercheur à l’université du Maryland, conclu après analyses que Dede Kowara, l’homme-arbre, souffre en fait du Papilloma Virus Humain, une infection assez commune, qui provoque des éruptions de verrues.
Le problème de Dede est en fait dû à une forme extrêmement rare de déficience de son système immunitaire, laissant son corps incapable de combattre les verrues. Le virus, contracté lors de la blessure initiale, est en fait capable de forcer laemécanisme cellulaire de ses cellules cutanées, leur ordonnant alors de produire en masse la substance causant ces excroissances si similaires à des racines d’arbres. Le nombre de globules blancs présents dans le sang de Dede était si faible que le docteur Gaspari soupçonnait initialement l’homme d’être atteint par le Sida.
Depuis cette cruciale découverte, Dede est passée à diverses reprises sur une table d’opération en Indonésie, en 2008, après que le docteur Gaspari ait pu expliquer à ses homologues indonésiens les raisons du mal qui le rongeait. Les médecins lui ont déjà enlevé presque deux kilos de verrues, ce qui lui permet pour la première fois depuis des dizaines d’années d’apercevoir la forme de ses doigts. Afin de renforcer son système immunitaire, Dede est soumis à un traitement de vitamine A synthétique. Plusieurs opérations l’attendent encore dans les mois à venir, notamment pour greffer des tissus de peau sur certains endroits endommagés de son corps, et particulièrement les doigts, afin de lui permettre de retrouver une meilleure mobilité de ceux-ci.
Mais la grande nouvelle, c’est que malgré les nombreuses séquelles encore visibles, Dede ,pour la première fois depuis des années, a pu retrouver l’usage des ses doigts. Les médecins sont très fiers d’annoncer qu’il pourra socialiser plus facilement à l’avenir et travailler de nouveau. Et lui, sur son lit d’hôpital, s’est découvert un nouveau passe-temps, avec ses doigts retrouvés: le sudoku. Notre homme y est visiblement devenu accro et espère maintenant en finir avec tout ça et… se trouver une nouvelle femme à épouser!

De nos jours Dede Koswara va beaucoup mieux et mène une vie (presque) normal.
[1054649]
titevero (FR1) [None]
:: March 13, 2013, 6:20 p.m.
LE CHIFFRE 11 PORTERAIT-IL MALHEUR?

1) New York City comporte 11 lettre
2) New york est l'état n°11 des USA.
3) Afghanistan comporte 11 lettres.
4) "The Pentagon" comporte 11 lettres.
5) Ramsin Yuseb comporte 11 lettres.
6) George W. Bush comporte 11 lettres.
Vous me direz, jusque-la de simples coîncidences ?
Alors continuons, et là ça devient vraiment bizarre...
7) Le premier vol a se planter contre les Twin Towers était le vol 11.
8 ) Le vol Nº11 comptait 92 passagers, ce qui donne en additionant 9 2=11.
9) Le 2ème vol Nº77, comptait 65 passagers soit 6 5=11.
10) La tragédie a eu lieu le 11 de Septembre, soit le 11/9 (1 1 9=11).
11) La date coincide avec le numéro des urgences 911 or 911=9 1 1=11.
Et maintenant encore plus bizarre...
12) Le nombre de victimes dans les 2 avions s'élève a 254 passagers. 254 : 2 5 4=11.
13) Le 11 Septembre, est le 254ème jour de l'année soit : 2 5 4=11.
14) A partir du 11 septembre il reste 111 jours jusqu'a la fin de l'année.
15) Nostradamus (11 lettres) a prévu la destruction de New-York dans son chapitre 11.
Le chiffre 11 a une signification: Les 11 règles du satanisme
Et voici le plus inquiétant...
L'attentat de Madrid qui a tué 209 personnes (2 9=11) s'est produit le 11.03.2004 = 1 1 3 2 4=11.
Enfin est-il utile de rajouter que les Twin Towers de par leur formes nous rapelle le chiffre 11 et que les trains de Madrid étaient programmés pour sauter à leur entrée en gare au moment ou ils se croisent (11 vu du dessus)
Pourtant il ne c'est rien passé mais avouez que c bizarre cette histoire
Coïncidences ou pas... à vous de juger !
Mystère des « heures miroirs », une explication ?

Pendant un moment de réflexion ou sans raison notre regard croise une horloge ou une montre et il peut se produire un phénomène qui s’appelle : « heure miroirs » lorsque les heures correspondent numériquement au minutes. Certains aperçoivent régulièrement ces heures miroirs tout au long de la journée : 08h08 – 09h09 – 11h11 – 13h13 – 17h17 – 21h21 – 22:22 ; 23:23 ; 00:00 etc…
Interpelés par ces synchronicités, ils se demandent ce que cela veut bien vouloir dire.
Après quelques recherches sur Internet, on constate que beaucoup de gens se questionnent et on tombe sur un texte qui circule un peu partout sur le Web sans qu’on puisse en définir l’origine exacte et dans lequel on peut trouver un semblant d’ »explications » bien que cela reste assez vague et symbolique.
Il s’agirait d’une synchronicité temporelle due au subconscient. Le temps a été fractionné par l’homme et correspond à une notion relative qui n’a plus aucune signification après la transition.
-Il se peut que nous ayons été été marqué par un événement à une heure bien précise et que ce rappel se manifeste régulièrement grâce à notre subconscient.
-Ce rappel peut aussi être dû à un esprit ou à un ange mais je ne sais pas ce que cela signifie (message…?). Notre subconscient n’est pas limité à notre cerveau et le temps n’a pas d’emprise sur lui.
-L’autre interprétation peut être bien plus ésotérique, il semblerait que les chiffres qui se répètent lorsqu’on croise une horloge reflètent notre état d’âme, c’est la confirmation symbolique d’un sentiment qu’on éprouve…
Il y a plusieurs symboliques et à vous d’adopter la bonne.
-Une « entité » (?) essaye de vous parler.
-Quelqu’un pense à vous.
-La réponse à une question.
-Votre pensée ou état psychique à l’instant présent.
etc…
http://www.amourdelumiere.fr/messages.php?id=445

1) New York City comporte 11 lettre
2) New york est l'état n°11 des USA.
3) Afghanistan comporte 11 lettres.
4) "The Pentagon" comporte 11 lettres.
5) Ramsin Yuseb comporte 11 lettres.
6) George W. Bush comporte 11 lettres.
Vous me direz, jusque-la de simples coîncidences ?
Alors continuons, et là ça devient vraiment bizarre...
7) Le premier vol a se planter contre les Twin Towers était le vol 11.
8 ) Le vol Nº11 comptait 92 passagers, ce qui donne en additionant 9 2=11.
9) Le 2ème vol Nº77, comptait 65 passagers soit 6 5=11.
10) La tragédie a eu lieu le 11 de Septembre, soit le 11/9 (1 1 9=11).
11) La date coincide avec le numéro des urgences 911 or 911=9 1 1=11.
Et maintenant encore plus bizarre...
12) Le nombre de victimes dans les 2 avions s'élève a 254 passagers. 254 : 2 5 4=11.
13) Le 11 Septembre, est le 254ème jour de l'année soit : 2 5 4=11.
14) A partir du 11 septembre il reste 111 jours jusqu'a la fin de l'année.
15) Nostradamus (11 lettres) a prévu la destruction de New-York dans son chapitre 11.
Le chiffre 11 a une signification: Les 11 règles du satanisme
Et voici le plus inquiétant...
L'attentat de Madrid qui a tué 209 personnes (2 9=11) s'est produit le 11.03.2004 = 1 1 3 2 4=11.
Enfin est-il utile de rajouter que les Twin Towers de par leur formes nous rapelle le chiffre 11 et que les trains de Madrid étaient programmés pour sauter à leur entrée en gare au moment ou ils se croisent (11 vu du dessus)
Pourtant il ne c'est rien passé mais avouez que c bizarre cette histoire
Coïncidences ou pas... à vous de juger !
Mystère des « heures miroirs », une explication ?

Pendant un moment de réflexion ou sans raison notre regard croise une horloge ou une montre et il peut se produire un phénomène qui s’appelle : « heure miroirs » lorsque les heures correspondent numériquement au minutes. Certains aperçoivent régulièrement ces heures miroirs tout au long de la journée : 08h08 – 09h09 – 11h11 – 13h13 – 17h17 – 21h21 – 22:22 ; 23:23 ; 00:00 etc…
Interpelés par ces synchronicités, ils se demandent ce que cela veut bien vouloir dire.
Après quelques recherches sur Internet, on constate que beaucoup de gens se questionnent et on tombe sur un texte qui circule un peu partout sur le Web sans qu’on puisse en définir l’origine exacte et dans lequel on peut trouver un semblant d’ »explications » bien que cela reste assez vague et symbolique.
Il s’agirait d’une synchronicité temporelle due au subconscient. Le temps a été fractionné par l’homme et correspond à une notion relative qui n’a plus aucune signification après la transition.
-Il se peut que nous ayons été été marqué par un événement à une heure bien précise et que ce rappel se manifeste régulièrement grâce à notre subconscient.
-Ce rappel peut aussi être dû à un esprit ou à un ange mais je ne sais pas ce que cela signifie (message…?). Notre subconscient n’est pas limité à notre cerveau et le temps n’a pas d’emprise sur lui.
-L’autre interprétation peut être bien plus ésotérique, il semblerait que les chiffres qui se répètent lorsqu’on croise une horloge reflètent notre état d’âme, c’est la confirmation symbolique d’un sentiment qu’on éprouve…
Il y a plusieurs symboliques et à vous d’adopter la bonne.
-Une « entité » (?) essaye de vous parler.
-Quelqu’un pense à vous.
-La réponse à une question.
-Votre pensée ou état psychique à l’instant présent.
etc…
http://www.amourdelumiere.fr/messages.php?id=445
[1054676]
titevero (FR1) [None]
:: March 13, 2013, 7:05 p.m.
Maison qui saigne

[video=dailymotion;x2117x]http://www.dailymotion.com/video/x2117x_01-mysteres-la-maison-qui-saigne_tech[/video]
Cette étrange histoire s’est déroulée à Saint Quentin, ville située dans l’Aine comportant 60 000 habitants.
Une maison située dans le quartier de Rémicourt, rue des canonniers, surnomée « la maison qui saigne », fut la source de nombreux problèmes pour ses habitants.
En effet, un mois environ après leur emménagement, ils entendirent des bruits étranges provenant du rez-de-chaussée comme des bruits de casseroles ou encore comme une craie qui grince et des gémissements semblables aux cris d’hommes en train d’agoniser.
Au début, ils ne n’inquiétaient évidemment pas trop, pensant que les bruits pouvaient provenir des voisins… jusqu’au jour où la femme trouva un liquide rouge sur le mur de la cuisine.

Le sang sur les murs
A ce moment elle fut prise de panique et alerta aussitôt son mari qui lui ne s’inquiéta pas et répondit: « Ce doit être un effet de peinture qui ressort ». En arrivant dans la maison la peinture venait d’être mise sur les murs et il pouvait sembler que celle-ci commençait à transparaître.
Au fur et à mesure, des tâches apparaissaient un peu partout dans la maison et le femme, n’osant plus dormir, le pouple se décida à appeler la police afin de lever le mystère sur une éventuelle plaisanterie.
La police prit un échantillon de ce liquide, l’annalysa et il s’avéra qu’il s’agissait de sang humain! La famille habitant avant le couple fut interrogée – cette famille avait fait construire la maison. Cette famille, les Pironet, certifia que jamais rien de semblable s’était produit auparavant…
Un an plus tard, cette maison passa sur la première chaîne française dans l’émission « Mystères » et les Pironet décidèrent de révéler la vérité sur ce mystère. En fait, il s’est toujours passé la même chose étrange et comme ils voulaient vendre la maison, ils ont décidé de repeindre tous les murs et réussirent à la vendre au couple sans rien dire sur ce phénomène.
La police, interpellée par cette affaire se demanda s’il s’agissait d’une mauvaise farce ou d’une supercherie. Donc ils mirent de la farine sur le sol de la maison et mirent la maison sous scellés pendant une semaine pour s’assurer que personne ne puisse renter. Après 7 jours ils démirent les scellés et rentrèrent dans la maison. Rien n’avait bougé mais…les murs étaient couverts de sang!!!
Dès lors le couple voulut quitter la maison et loua un appartement et fit venir un prêtre qui affirma qu’il s’agissait de l’oeuvre du Diable et qu’il fallait détruire la maison.
Un crâne humain fut découvert… Supposant que le lieu était hanté par les forces du mal, le prêtre béni le lieu et le couple retourna vivre dans la maison.

Le phénomène se poursuivit. Encore une fois la maison fut mise en vente et le couple partit vivre à Amiens.
Après une dernière tentative infructueuse de revendre la maison, cette dernière fut démolie afin de tenter de mettre fin à cet inexplicable cauchemar.
Lors de la construction de la nouvelle maison, une chose étonnante se produisit: une cinquantaine de corps de soldats allemands de la Première Guerre Mondiale furent découverts.
Il est courant de lire sur Internet que la maison qui saigne aurait été rasée suite au départ du couple Belmer, et que les travaux auraient mis à jour les squelettes d'anciens officiers nazis. Cette affirmation est cependant une pure rumeur : la maison de Saint Quentin n'a pas été détruite et fut habitée pendant plusieurs années après que les Belmer l'aient quitté.
En 2010, la maison est inoccupée depuis un an et les riverains ne semblent pas faire grand cas de cette histoire d’après Le Courrier Picard.

[video=dailymotion;x2117x]http://www.dailymotion.com/video/x2117x_01-mysteres-la-maison-qui-saigne_tech[/video]
Cette étrange histoire s’est déroulée à Saint Quentin, ville située dans l’Aine comportant 60 000 habitants.
Une maison située dans le quartier de Rémicourt, rue des canonniers, surnomée « la maison qui saigne », fut la source de nombreux problèmes pour ses habitants.
En effet, un mois environ après leur emménagement, ils entendirent des bruits étranges provenant du rez-de-chaussée comme des bruits de casseroles ou encore comme une craie qui grince et des gémissements semblables aux cris d’hommes en train d’agoniser.
Au début, ils ne n’inquiétaient évidemment pas trop, pensant que les bruits pouvaient provenir des voisins… jusqu’au jour où la femme trouva un liquide rouge sur le mur de la cuisine.

Le sang sur les murs
A ce moment elle fut prise de panique et alerta aussitôt son mari qui lui ne s’inquiéta pas et répondit: « Ce doit être un effet de peinture qui ressort ». En arrivant dans la maison la peinture venait d’être mise sur les murs et il pouvait sembler que celle-ci commençait à transparaître.
Au fur et à mesure, des tâches apparaissaient un peu partout dans la maison et le femme, n’osant plus dormir, le pouple se décida à appeler la police afin de lever le mystère sur une éventuelle plaisanterie.
La police prit un échantillon de ce liquide, l’annalysa et il s’avéra qu’il s’agissait de sang humain! La famille habitant avant le couple fut interrogée – cette famille avait fait construire la maison. Cette famille, les Pironet, certifia que jamais rien de semblable s’était produit auparavant…
Un an plus tard, cette maison passa sur la première chaîne française dans l’émission « Mystères » et les Pironet décidèrent de révéler la vérité sur ce mystère. En fait, il s’est toujours passé la même chose étrange et comme ils voulaient vendre la maison, ils ont décidé de repeindre tous les murs et réussirent à la vendre au couple sans rien dire sur ce phénomène.
La police, interpellée par cette affaire se demanda s’il s’agissait d’une mauvaise farce ou d’une supercherie. Donc ils mirent de la farine sur le sol de la maison et mirent la maison sous scellés pendant une semaine pour s’assurer que personne ne puisse renter. Après 7 jours ils démirent les scellés et rentrèrent dans la maison. Rien n’avait bougé mais…les murs étaient couverts de sang!!!
Dès lors le couple voulut quitter la maison et loua un appartement et fit venir un prêtre qui affirma qu’il s’agissait de l’oeuvre du Diable et qu’il fallait détruire la maison.
Un crâne humain fut découvert… Supposant que le lieu était hanté par les forces du mal, le prêtre béni le lieu et le couple retourna vivre dans la maison.

Le phénomène se poursuivit. Encore une fois la maison fut mise en vente et le couple partit vivre à Amiens.
Après une dernière tentative infructueuse de revendre la maison, cette dernière fut démolie afin de tenter de mettre fin à cet inexplicable cauchemar.
Lors de la construction de la nouvelle maison, une chose étonnante se produisit: une cinquantaine de corps de soldats allemands de la Première Guerre Mondiale furent découverts.
Il est courant de lire sur Internet que la maison qui saigne aurait été rasée suite au départ du couple Belmer, et que les travaux auraient mis à jour les squelettes d'anciens officiers nazis. Cette affirmation est cependant une pure rumeur : la maison de Saint Quentin n'a pas été détruite et fut habitée pendant plusieurs années après que les Belmer l'aient quitté.
En 2010, la maison est inoccupée depuis un an et les riverains ne semblent pas faire grand cas de cette histoire d’après Le Courrier Picard.
[1054688]
titevero (FR1) [None]
:: March 13, 2013, 8:14 p.m.

Sud de l'Auvergne, XVIIIème siècle. Une série de meurtres plus horribles les uns que les autres sèment la panique. En trois ans, 120 personnes vont mourir, assassinées par une bête étrange et qui semble invulnérable.
De 1764 à 1767, une bête mystérieuse sème la terreur dans le Gévaudan en massacrant hommes, femmes et enfants. Elle fera plus d’une centaine de victimes. La Bête échappe à toutes les battues, évitent tous les pièges et plus étranges encore, elle développe une incroyable résistance face aux balles et aux lames…Qui est cette bête ? Qui agit dans l’ombre ?
L'origine
La Bête du Gévaudan a officiellement commencé son épopée macabre en juin 1764. Une jeune bergère est attaquée par une bête. Les vaches ne l’intéressent pas, elle fonce droit sur la jeune fille. La bergère est sauvée par l’intervention de ses ruminants qui réussissent à faire fuir l’animal. De retour à Langogne, la bergère décrit la bête comme une sorte de gros loup avec une grosse tête très allongée. Sa fourrure est rousse avec une raie noire sur le dos. Le 30 juin, le cadavre dévoré de Jeanne Boulet est découvert à Ubas. Elle avait 14 ans. Le 8 août, une bergère de 15 ans et retrouvée égorgée à Masméjan d’Allier. Elle avait 15 ans.

Le 25 août, un garçon de 15 ans est dévoré à Cheylard-l’Evêque. Les autorités locales organisent la première battue dans la forêt de Mercoire. Echec. La Bête est introuvable. Le 6 septembre, plusieurs témoins l’aperçoivent rôdant près de Châteauneuf du Randon. Le même jour, une femme de 36 ans est attaquée et saignée à Estret, au cœur du village. Plusieurs témoins donnent une description précise de la Bête : Elle est agile, longue et basse. Plus grosse qu’un loup, elle est très poilue, sa fourrure est rousse avec une bande noire le long du dos. Sa grosse tête est pourvue d’un museau allongé et d’une gueule énorme. Ses pattes sont solides avec de longues griffes. La Bête fait parler d’elle dans tous le Gévaudan. Etienne Lafont, un avocat de 60 ans organise une chasse à la Bête avec 47 Dragons. Il promet une récompense de 200 livres à qui tuera la Bête. Les nobles de la région et des gardes-chasses expérimentés se joignent à l’expédition. Entre le 10 et le 20 septembre, la Bête tue deux personnes dans la région du Luc et en attaque plusieurs. La chasse est encore un échec, comme toutes celles qui suivront. Plus les jours passent, plus la Bête occupe le terrain et tue : le 26 septembre, elle égorge une adolescente de 13 ans à Thorts et la dévore. Le 28 septembre, une fille de 12 ans est éventrée à Rieutort-de-Randon. Des traces proches de celles d’un grand loup sont relevées. De nouvelles battues sont organisées, en vain. La Bête passe toujours à travers les mailles du filet et échappe à tous les pièges. Début octobre, plusieurs personnes sont attaquées à Saint Chély d’Apcher. Le 8 octobre, elle attaque deux fois : un garçon de 15 ans est sauvé de justesse à Pouget mais il est sérieusement blessé à la tête et a de profondes griffures sur le torse. LaBête semble fuir les battues car elle attaque le même jour à 20 kilomètres de là, à Prinsuéjols. Le jeune vacher est sauvé par ses bœufs qui font reculer la bête. Des chasseurs prennent en chasse l’animal et réussissent à lui tirer dessus à plusieurs reprises à moins de 10 mètres. La Bête chute plusieurs fois mais se relèvent toujours, elle semble être à l’épreuve des balles. Cependant, elle semble boiter. Le 10 octobre, elle attaque à nouveau deux fois : un jeune garçon est sauvé de justesse par deux lavandières à Les Caires. Il est sérieusement blessé à la tête et souffre de plusieurs côtes cassées. Une heure plus tard, nouvelle attaque au lieu dit Bergounhous où elle attaque trois enfants et tente d’enlever la plus jeune avant de céder sous les coups des deux aînés. De nouvelles battues sont organisées dans le secteur, en vain. Pour tenter de limiter les attaques, l’avocat instaure des recommandations aux paysans. Les enfants doivent restés à la maison et les adultes garder les troupeaux à deux et armés. Mais les recommandations ne sont pas suivies car tous on peur de manquer de nourriture. Les attaques se poursuivent et se ressemblent si bien que le 26 octobre le comte de Morangiès organise une grande chasse avec 1000 chasseurs. Le manque d’organisation conduit à l’échec de l’opération. Le 28, 10000 hommes sont mobilisés mais le résultat est le même. Fin octobre 1764, le bilan est lourd : 14 tués et 13 blessés. La peur envahit toute la population et rares sont ceux qui osent s’aventurer hors de chez eux à moins d’y être forcés.
Etrange résistance, étrange comportement…
En novembre, elle est aperçue à plusieurs endroits et tue encore. Des chasses permanentes sont organisées hebdomadairement dans chaque paroisse. La Bête disparaît alors pendant 3 semaines. En décembre, le prix de la prime augmente, 2000 livres sont offerts par le Languedoc et 1400 par le diocèse de Mende à qui tuera la Bête. La Bête continue de sillonner le Gévaudan. Le 18 décembre, elle attaque une jeune fille près des Caires, elle réussit à la blesser avec sa hache. La Bête parcourt parfois plus de 40 kilomètres en une journée et a parfois un comportement très étonnant. Le 2 janvier 1765, elle égorge un garçon de 14 ans au Mazel-de-Grèces. Le corps est retrouvé près du troupeau. Le soir même, la Bête apparaît lors de la veillée funèbre à la fenêtre de la maison des parents. Le 6 janvier, un autre fait étrange se produit. Deux femmes aperçoivent un ermite, un homme mal vêtu, velu et aux longs cheveux noirs et crasseux. Il marche à côté d’elle plus disparaît aussi soudainement qu’il est apparu. Coïncidence ou pur hasard, quelques heures plus tard, la Bête égorge et mutile une femme dans le village puis une jeune fille près de Morsange, peu de temps après… Lors des attaques, nombreuses sont les victimes qui ont tenté de se défendre. Souvent armées de lames tranchantes, elles ont souvent tenté de blesser la Bête mais son épaisse fourrure faisait barrage… Autre phénomène étrange, lors de l’attaque d’une jeune femme de 25 ans près de Chabanol. Le cadavre sans tête ni poitrine de la malheureuse est retrouvé à moitié enterré dans un champ… C’est l’un des rares cas où un corps sera enterré. Le 28 janvier, un cavalier aperçoit la Bête et la rejoint sur un chemin. Elle n’est pas effrayée et ne cherche pas à l’attaquer. Mais arrivé à Lastic, la bête change brutalement de comportement et se jette sur une enfant. Plusieurs personnes frappent l’animal, elle attaque même le cavalier qui réussit, avec l’aide des villageois, à lui faire lâcher prise. Devant l’ampleur du phénomène, le Roi est informé des événements dans le Gévaudan et offre 6000 livres en plus des primes déjà offertes. De nouvelles chasses sont organisées.

Le 7 février 1765 Duhamel regroupe 20 000 paysans et des milliers de chasseurs pour quadriller un rectangle de terrain de 60 par 40 kilomètres. La Bête ne se manifeste pas dans ce secteur. Le 10 février, une nouvelle battue est organisée avec 10 000 hommes pour couvrir 17 paroisses suivi d’une autre le lendemain avec 40 000 hommes. Devant les échecs successifs des chasseurs et des dragons, le roi décide d’envoyer un louvetier réputé : Martin Denneval d’Alençon. Pendant ce temps dans le Gévaudan, les attaques se poursuivent. La Bête parcourt de longues distances et tue de plus en plus souvent dans les villages. Elle défie les hommes et ne les craint pas. Le 13 mars, elle attaque quatre fois. Au mois d’avril, une louve est abattue. Elle est présentée comme la bête car on trouve dans son estomac des os humains et des lambeaux de vêtements. Mais la Bête continue à tuer. Et un phénomène intrigue : plusieurs cadavres sont retrouvés nus, leurs vêtements ayant soigneusement été retirés et pire deux des cadavres ont été rhabillés post mortem. Un animal peut-il agir de la sorte ?

Le 19 juin 1767, Jean Chastel, un homme du pays, tue une bête qui semble être un loup extraordinaire du fait de sa figure et de ses proportions bien différentes des loups environnants. Cette mort met alors un point final à cette affaire qui hante aujourd'hui encore les esprits. Loup, animal sauvage, monstre ou tueurs en série, les hypothèses concernant la bête du Gévaudan ont été nombreuses à être évoquées, mais le mystère subsiste toujours.

Une thèse récente évoque les agissements d’un homme déguisé en loup, accompagné d’un dresseur complice qui aurait lancé ses bêtes sur les habitants [des chiens dressés à tuer par exemple]. C’est-ce que tend à confirmer l’expertise faite récemment par des scientifiques sur un rapport d’autopsie de l’époque…on pense même qu’il s’agissait d’un groupe de plusieurs individus, maquillés et déguisés.
Homme ou animal? Quoi qu’il en soit tant de sauvagerie justifie bien le nom de « Bête du Gévaudan ».
[1054706]
titevero (FR1) [None]
:: March 14, 2013, 8:39 a.m.
Le Mystère de la Dame Blanche

Pourquoi la Dame Blanche?
On l’appelle ainsi car lorsqu’elle apparaît aux gens, elle est toujours vêtue de blanc ou entourée d’un halo blanc.

La Dame Blanche est une légende basée sur plusieurs témoignages. Souvent, on raconte qu'à plusieurs endroits précis une femme vêtue de blanc portant un châle qui cacherait son visage apparaîtrait. Il existe plusieurs versions des apparitions de la dame blanche. La plus connue étant celle de l'automobiliste. On dit que la dame blanche est une auto-stoppeuse. Si vous la prenez, elle vous prévient juste de faire attention juste avant un virage et disparaît mystérieusement après le virage. Par contre, si vous la laissez en plan, vous provoquez un accident fatal dans le virage.
En France, la dame blanche apparaîtrait comme auto-stoppeuse dans la forêt de Compiègne car les rumeurs disent que le mari de la dame blanche serait mort dans un de ces virages.
En France, une Dame Blanche errerait dans le château de Pouancé, Château datant du XII siècle et situé dans le Maine et Loire. Elle serait le fantôme d’une femme, qu’un mari jaloux aurait emmurée vivante au château, en l’attachant sur une chaise devant une table où étaient posés des couverts d’argent. D’ailleurs le marquis de Preaulx qui y vivait à la fin du XVIIIème siècle, nota dans ses chroniques, que l’on avait retrouvé dans une pièce, le squelette d’une femme, tout y était, la table, la chaise et les couverts d’argent.
La Dame Blanche de Chapereillan dans l’Isère.
Je citerais celui-ci en premier car il vient d’un médecin. Personne qui à priori est plutôt réaliste avec les pieds bien sur terre. Ce témoignage date de 1977. Ce médecin rentre un soir chez lui, sous une pluie battante. Il voit au bord de la route, une jeune femme vêtue de blanc, il s’arrête et lui propose de la ramener chez elle. Elle accepte et après avoir indiqué son adresse elle ne dit plus un mot. Elle reste très silencieuse jusqu’au moment où ils passent sur le Pont-du-Furet. A cet instant, elle se montre agitée et effrayée. Arrivée à destination, le médecin lui prête son parapluie et attend qu’elle lui ramène. Ne la voyant pas revenir, il va sonner à la porte. Un couple lui ouvre, il raconte alors son histoire et décrit la jeune fille. Le couple, visiblement très ému, lui apprend alors qu’il s’agit de leur fille unique, mais que celle-ci est morte en moto au Pont-du-Furet, des années auparavant.
La Dame Blanche de Palavas dans l’Héraut.
Ce témoignage date de 1981. Un soir, quatre amis rentrent chez eux à Montpellier. Ils sont à Palavas, quant au alentour de minuit, ils voient une femme vêtue de blanc au bord de la route. Ils s’arrêtent et lui proposent de l’amener à Montpellier. Elle accepte d’un hochement de tête et monte à l’arrière entre deux passagers. A peu près 1 Km plus loin, alors que jusque là elle était très silencieuse, elle se met à crier : « attention au virage! . Le conducteur ralentit et passe le virage sans encombre. C’est alors que ses passagers se mettent eux aussi à crier car la femme à brusquement disparue sans laisser de traces, alors que la voiture roulait fenêtres fermées et qu’elle était coincée entre les 2 passagers arrières. Les 4 amis, assez secoués, on le serait à moins, vont tout raconter à la police. Celle-ci est d’abord septique et croit plutôt à une plaisanterie de mauvais goût. Mais ensuite, les policiers furent convaincus de la bonne foi des témoins, car après plusieurs auditions, les 4 amis déclarèrent toujours la même chose et ne se sont jamais contredits. Aujourd’hui, ils évitent de parler de cette histoire.
La Dame Blanche du C.H.U de Caen dans le Calvados.
Ella apparaît juste après l’hôpital sur la route en direction de Luc-sur-Mer. Il existe plusieurs témoignages de cette Dame Blanche. On la décrit comme une jeune femme, vêtue de blanc, qui déclare vouloir aller à Luc-sur-Mer. Là aussi, elle est très silencieuse, jusqu’au moment, où à l’entrée de Luc-sur-Mer, elle se montre très agitée et crie : « Attention le virage est traître ! . Lorsque le virage est passé, elle disparaît brusquement du véhicule à la grande stupeur des passagers. On raconte qu’une jeune femme serait morte dans un accident ayant eu lieu sur ce virage en 1970.

Pourquoi la Dame Blanche?
On l’appelle ainsi car lorsqu’elle apparaît aux gens, elle est toujours vêtue de blanc ou entourée d’un halo blanc.

La Dame Blanche est une légende basée sur plusieurs témoignages. Souvent, on raconte qu'à plusieurs endroits précis une femme vêtue de blanc portant un châle qui cacherait son visage apparaîtrait. Il existe plusieurs versions des apparitions de la dame blanche. La plus connue étant celle de l'automobiliste. On dit que la dame blanche est une auto-stoppeuse. Si vous la prenez, elle vous prévient juste de faire attention juste avant un virage et disparaît mystérieusement après le virage. Par contre, si vous la laissez en plan, vous provoquez un accident fatal dans le virage.
En France, la dame blanche apparaîtrait comme auto-stoppeuse dans la forêt de Compiègne car les rumeurs disent que le mari de la dame blanche serait mort dans un de ces virages.
En France, une Dame Blanche errerait dans le château de Pouancé, Château datant du XII siècle et situé dans le Maine et Loire. Elle serait le fantôme d’une femme, qu’un mari jaloux aurait emmurée vivante au château, en l’attachant sur une chaise devant une table où étaient posés des couverts d’argent. D’ailleurs le marquis de Preaulx qui y vivait à la fin du XVIIIème siècle, nota dans ses chroniques, que l’on avait retrouvé dans une pièce, le squelette d’une femme, tout y était, la table, la chaise et les couverts d’argent.
La Dame Blanche de Chapereillan dans l’Isère.
Je citerais celui-ci en premier car il vient d’un médecin. Personne qui à priori est plutôt réaliste avec les pieds bien sur terre. Ce témoignage date de 1977. Ce médecin rentre un soir chez lui, sous une pluie battante. Il voit au bord de la route, une jeune femme vêtue de blanc, il s’arrête et lui propose de la ramener chez elle. Elle accepte et après avoir indiqué son adresse elle ne dit plus un mot. Elle reste très silencieuse jusqu’au moment où ils passent sur le Pont-du-Furet. A cet instant, elle se montre agitée et effrayée. Arrivée à destination, le médecin lui prête son parapluie et attend qu’elle lui ramène. Ne la voyant pas revenir, il va sonner à la porte. Un couple lui ouvre, il raconte alors son histoire et décrit la jeune fille. Le couple, visiblement très ému, lui apprend alors qu’il s’agit de leur fille unique, mais que celle-ci est morte en moto au Pont-du-Furet, des années auparavant.
La Dame Blanche de Palavas dans l’Héraut.
Ce témoignage date de 1981. Un soir, quatre amis rentrent chez eux à Montpellier. Ils sont à Palavas, quant au alentour de minuit, ils voient une femme vêtue de blanc au bord de la route. Ils s’arrêtent et lui proposent de l’amener à Montpellier. Elle accepte d’un hochement de tête et monte à l’arrière entre deux passagers. A peu près 1 Km plus loin, alors que jusque là elle était très silencieuse, elle se met à crier : « attention au virage! . Le conducteur ralentit et passe le virage sans encombre. C’est alors que ses passagers se mettent eux aussi à crier car la femme à brusquement disparue sans laisser de traces, alors que la voiture roulait fenêtres fermées et qu’elle était coincée entre les 2 passagers arrières. Les 4 amis, assez secoués, on le serait à moins, vont tout raconter à la police. Celle-ci est d’abord septique et croit plutôt à une plaisanterie de mauvais goût. Mais ensuite, les policiers furent convaincus de la bonne foi des témoins, car après plusieurs auditions, les 4 amis déclarèrent toujours la même chose et ne se sont jamais contredits. Aujourd’hui, ils évitent de parler de cette histoire.
La Dame Blanche du C.H.U de Caen dans le Calvados.
Ella apparaît juste après l’hôpital sur la route en direction de Luc-sur-Mer. Il existe plusieurs témoignages de cette Dame Blanche. On la décrit comme une jeune femme, vêtue de blanc, qui déclare vouloir aller à Luc-sur-Mer. Là aussi, elle est très silencieuse, jusqu’au moment, où à l’entrée de Luc-sur-Mer, elle se montre très agitée et crie : « Attention le virage est traître ! . Lorsque le virage est passé, elle disparaît brusquement du véhicule à la grande stupeur des passagers. On raconte qu’une jeune femme serait morte dans un accident ayant eu lieu sur ce virage en 1970.
[1054708]
System [None]
:: March 14, 2013, 9:28 a.m.
Intéressant comme d'hab, bravo
[1054714]
titevero (FR1) [None]
:: March 14, 2013, 10:13 a.m.
4 histoires incroyables mais vraies !

1- Une petite fille de 1 an est "enceinte" et porte son jumeau dans son ventre.
Elle avait le ventre enflé
La fillette s'appelle Kang Mengru, elle est chinoise et est âgée d'à peine un an. Ses parents s'étant inquiétés de son ventre qui enflait de façon anormale l'ont emmené voir le docteur.
Et quelle ne fût pas la stupeur des médecins chinois lorsque, après avoir procédé à un scanner, ils ont découvert que la jeune chinoise portait un foetus dans son ventre ! Selon les médecins qui ont examiné Kang Mengru, il s'agirait d'un cas de jumeau parasite qui, n'ayant pas trouvé sa place dans l'utérus de sa mère au moment de la fécondation se serait "réfugié" dans le corps de sa soeur et plus au moins continué ensuite à se développer.


Le cas rare du "foetus in foetu"
Ce cas rare est aussi appelé "foetus in foetu" et se produit une fois sur 1 demi million de naissances, même s'il est encore plus extraordinaire que le foetus se développe dans le ventre de son hôte.
Plusieurs hypothèses sont avancées quant à la formation de cette anomalie.
La première serait que le foetus parasitese développerait normalement au début de la grossesse mais que le deuxième bébé pourrait comme l"enrober" par la suite.
Une autre thèse serait celle de la formation d'un tératome (du grec qui signifie tumeur monstre) hyper-développé qui ressemblerait vraiment à un foetus (avec des os, des organes etc...) sans toutefois en être vraiment un.
Bien sûr, aucune chance de survie pour le foetus ainsi développé qui ne présente d'aucune façon les véritables caractéristiques d'un enfant à naître.
La petite Kang Mengru a été délivré de son jumeau par une césarienne.
2 - L'histoire de Sanju Bhagat, l'homme de 36 ans a quant à lui tout le temps souffert d'un ventre énorme sans savoir qu'il portait un frère jumeau dans son ventre jusqu'en juin 1999.

Son ventre avait atteint de telle proportion qu’il dut être emmené à l’hôpital étant donné que les douleurs l’empêchaient de respirer. A première vue les médecins ont tout de suite pensé à une tumeur. Tout de suite au vue de la taille ils pensaient déjà aux différents problèmes et difficulté pour l’extraire. L’opération commença rapidement et après avoir enlevé une quantité impressionnante de liquide ils tombèrent sur quelque chose de terrifiant. Rapidement le médecin tomba sur ce qui semblait être une main, il fut presque horrifié. En continuant il mit la main sur des os, des morceaux de membres, ce qui était à l’intérieur de son corps avait des mains des pieds et des ongles déjà bien formé. En fait à l’intérieur de cet homme s’était développé le fœtus de son frère jumeau. Même si le cas est très rare il a continué à se développer dans le ventre de son frère s’étant accroché aux organes et s’était mis à se nourrir en parasitant l’intérieur de cet homme de trente six ans. Il atteignit finalement un stade trop gros et commença à nuire à son hôte.
D’après la médecine moins de quatre vingt dix cas de ce genre ont été enregistrés dans la littérature médicale.
3 - L'histoire d'Alamian Nematilaev, est aussi particulière. Jusqu'à l'âge de 7 ans, l'enfant a connu un destin singulier. Sans s'en rendre compte, il n'était pas tout à fait un garçon comme les autres. En effet, après un examen de routine, les médecins ont découvert avec stupéfaction que l'organisme de cet enfant comportait une particularité inouïe : depuis sa naissance, Alamian abritait son frère jumeau à l'intérieur de son corps. Or, cet enfant originaire du Kazakhstan ne s'en était jamais rendu compte. Il a fallu donner naissance à celui qu'il «portait». Les médecins ont retiré le foetus mort en 2003.
4- Et nous clôturons par un autre cas qui s'est produit au Bangladesh. En 2005 les médecins Bangladais ont retiré un foetus mort depuis longtemps et pesant plus de 2 kg de l'abdomen d'un adolescent de 16 ans qui se plaignait de douleurs à l'estomac. Abu Raihan a porté toute sa vie son frère jumeau sans le savoir.
Des centaines d’habitants curieux se sont pressés à l'hôpital après avoir entendu la rumeur selon laquelle un garçon aurait donné naissance à un bébé.

1- Une petite fille de 1 an est "enceinte" et porte son jumeau dans son ventre.
Elle avait le ventre enflé
La fillette s'appelle Kang Mengru, elle est chinoise et est âgée d'à peine un an. Ses parents s'étant inquiétés de son ventre qui enflait de façon anormale l'ont emmené voir le docteur.
Et quelle ne fût pas la stupeur des médecins chinois lorsque, après avoir procédé à un scanner, ils ont découvert que la jeune chinoise portait un foetus dans son ventre ! Selon les médecins qui ont examiné Kang Mengru, il s'agirait d'un cas de jumeau parasite qui, n'ayant pas trouvé sa place dans l'utérus de sa mère au moment de la fécondation se serait "réfugié" dans le corps de sa soeur et plus au moins continué ensuite à se développer.


Le cas rare du "foetus in foetu"
Ce cas rare est aussi appelé "foetus in foetu" et se produit une fois sur 1 demi million de naissances, même s'il est encore plus extraordinaire que le foetus se développe dans le ventre de son hôte.
Plusieurs hypothèses sont avancées quant à la formation de cette anomalie.
La première serait que le foetus parasitese développerait normalement au début de la grossesse mais que le deuxième bébé pourrait comme l"enrober" par la suite.
Une autre thèse serait celle de la formation d'un tératome (du grec qui signifie tumeur monstre) hyper-développé qui ressemblerait vraiment à un foetus (avec des os, des organes etc...) sans toutefois en être vraiment un.
Bien sûr, aucune chance de survie pour le foetus ainsi développé qui ne présente d'aucune façon les véritables caractéristiques d'un enfant à naître.
La petite Kang Mengru a été délivré de son jumeau par une césarienne.
2 - L'histoire de Sanju Bhagat, l'homme de 36 ans a quant à lui tout le temps souffert d'un ventre énorme sans savoir qu'il portait un frère jumeau dans son ventre jusqu'en juin 1999.

Son ventre avait atteint de telle proportion qu’il dut être emmené à l’hôpital étant donné que les douleurs l’empêchaient de respirer. A première vue les médecins ont tout de suite pensé à une tumeur. Tout de suite au vue de la taille ils pensaient déjà aux différents problèmes et difficulté pour l’extraire. L’opération commença rapidement et après avoir enlevé une quantité impressionnante de liquide ils tombèrent sur quelque chose de terrifiant. Rapidement le médecin tomba sur ce qui semblait être une main, il fut presque horrifié. En continuant il mit la main sur des os, des morceaux de membres, ce qui était à l’intérieur de son corps avait des mains des pieds et des ongles déjà bien formé. En fait à l’intérieur de cet homme s’était développé le fœtus de son frère jumeau. Même si le cas est très rare il a continué à se développer dans le ventre de son frère s’étant accroché aux organes et s’était mis à se nourrir en parasitant l’intérieur de cet homme de trente six ans. Il atteignit finalement un stade trop gros et commença à nuire à son hôte.
D’après la médecine moins de quatre vingt dix cas de ce genre ont été enregistrés dans la littérature médicale.
3 - L'histoire d'Alamian Nematilaev, est aussi particulière. Jusqu'à l'âge de 7 ans, l'enfant a connu un destin singulier. Sans s'en rendre compte, il n'était pas tout à fait un garçon comme les autres. En effet, après un examen de routine, les médecins ont découvert avec stupéfaction que l'organisme de cet enfant comportait une particularité inouïe : depuis sa naissance, Alamian abritait son frère jumeau à l'intérieur de son corps. Or, cet enfant originaire du Kazakhstan ne s'en était jamais rendu compte. Il a fallu donner naissance à celui qu'il «portait». Les médecins ont retiré le foetus mort en 2003.
4- Et nous clôturons par un autre cas qui s'est produit au Bangladesh. En 2005 les médecins Bangladais ont retiré un foetus mort depuis longtemps et pesant plus de 2 kg de l'abdomen d'un adolescent de 16 ans qui se plaignait de douleurs à l'estomac. Abu Raihan a porté toute sa vie son frère jumeau sans le savoir.
Des centaines d’habitants curieux se sont pressés à l'hôpital après avoir entendu la rumeur selon laquelle un garçon aurait donné naissance à un bébé.
[1054718]
titevero (FR1) [None]
:: March 14, 2013, 11:37 a.m.
Le chemin le plus effrayant au monde
Ce chemin qui date de 1901, a permis d’accéder au chantier d’un barrage.
Aujourd’hui, celui-ci est très étroit, voir même inexistant à certains endroits. Il surplombe le vide de plusieurs centaines de mètres.
Il est interdit, mais il reste l’endroit préféré des adeptes de l’extrême, à leurs risques et périls !
Le Lieu-Dit Des Dents Du Diable
[video=dailymotion;x210a0]http://www.dailymotion.com/video/x210a0_39-mysteres-les-dents-du-diable_tech[/video]

C’est en France dans la région du Velay dominé par le mont Mézenc (1754 m d’altitude) que de mystérieuses forces se manifestent depuis des siècles. Dans cette région isolée les superstitions se mêlent aux croyances religieuses. On dit que Satan aurait planté ses crocs au lieu dit des 'Dents du Diable'. Trois rochers forment cet endroit mythique : 'la Grosse Roche', 'la Dent Pointue' et le 'Chastelas'. Depuis l’antiquité, la région est désignée comme un 'locus terribilis', un lieu terrible.
Au cours des temps on dénombre dans cette région de nombreux faits inexplicables.
La burle (nom donné au vent du Nord qui souffle l'hiver), un vent lugubre et redouté qui sévit en ces lieux auxquels la légende donne des pouvoirs surnaturelles magnifie le lieu-dit des Dents du Diable d'un peu plus de mystère.
Jean-Louis Vidil, directeur général de l'agence EDF de Velay, explique que ce vent est anormal par rapport à ailleurs. Il parle d'orage très violent qui parfois coupe des poteaux électriques en deux d'une façon inexplicable.
Des spécialistes seraient venus constater le phénomène, auraient étudié la force du vent et n'auraient pour l'instant trouvé aucune raison qui explique que le matériel ne résiste pas.
Le directeur de l’EDF pense que le sous-sol volcanique de cette région est pour quelque chose dans ces phénomènes.
Quelles sont ces forces incroyablement violentes qui se déchainent ainsi sur un rayon 15 kilomètres ?
Ses phénomènes électriques ne touchent pas que les installations EDF.
En mars 1985, les habitants signalent une série d'incidents qui dépassent l'entendement. Sans aucune raison les téléphones se mirent à sonner frénétiquement.
Alors qu'il n'y avait pas d'orage des vaches furent électrocutées dans plusieurs fermes.
Robert Cortial, facteur dans la région, affirme avoir été témoin d'un phénomène bien étrange durant une de ses tournés. Il dit avoir vu une boule de feu grande comme une roue de char.
Mais Robert Cortial n'est pas le seul à avoir vu ses boules de feu, d'autres témoins affirment les avoir aussi vues et étrangement leurs témoignages sont similaires à celui du facteur.
Maurice Lhoste, cultivateur, en a fait lui aussi l'expérience. Il prétend avoir été d'un seul coup entouré d'un feu sans sentir aucune chaleur. Il dit encore avoir été ébloui lors de la disparition subite de ce phénomène.
D'où proviennent ces étranges phénomènes ? Et que dire de ses avions en perditions ?
LE TRIANGLE DE LA BURLE

Un triangle maudit ?

Il y a tout autour de ce « géant des Cévennes », un « triangle de la Mort », véritable Pot-au-Noir, qui a fait plus de 60 victimes ! ‘L‘Eveil’, journal local, résumait par ces mots en octobre 1982 les accidents aériens, la plupart inexpliqués, survenus dans un périmètre situé approximativement entre le Mont Mézenc, le Puy-en-Velay et le massif du Pilat (avec la catastrophe des trois Mirages en mai 1987).
Ce secteur bien délimité semble détenir le sinistre record des catastrophes aériennes. De plus, curieusement, ces calamités se déroulent sur des régions à l’environnement naturel difficile. Ces décors dantesques sont ceux d’un règne minéral absolu et démesuré d’une sauvagerie à couper le souffle…
D’autres dimensions du temps et de l’espace règnent en ces secteurs sur lesquels d’étranges et inquiétantes histoires laissent deviner des événements rapidement classés dans les registres du légendaire mais quasiment toujours construits sur des réalités qui nous échappent encore.
Où il serait question de pierres volantes
Ici se côtoient, s’imbriquent intimement, le tellurisme, le passé des hommes, de la terre, de l’univers, du cosmos, des dieux et l’innommable, dont parfois la Burle, vent magique et terrible, se fait l’écho et la mémoire démesurée.
Non seulement un nombre effarant d’avions, et non des moindres, s’écrasèrent sur ce sol cévenol, mais le plus souvent ces catastrophes s’accompagnèrent d’observations, d’événements étranges, dont les plus remarquables restent du domaine des objets volants inexpliqués. La fréquence de ces constats est à un point tel qu’il y aurait lieu de croire les deux phénomènes liés ensemble dans cet étrange triangle, dit ‘de la Burle’, dont les sommets souvent proches de 1200m. atteignent 1458m. pour le grand Tanargue (Mont Tonnerre !) et d’autres dont le Suc de la Lauzières culminent à plus 1500m. Ici on parle à voix basse, depuis bien avant les accidents, de pierres étranges dites « pierres volantes » (lieu-dit Peire-Vole), « pierres qui baillent » et du « Pas de l’Enfer »… restant, à jamais, les tombes minérales des aéronefs perdus, aspirés littéralement par d’obscures forces inconcevables toujours inexpliquées scientifiquement. A ces accablants constats d’impuissance d’autres bien plus énigmatiques viennent se joindre obligeant souvent des considérations où le rationnel n’a plus guère sa place.
Une effarante litanie d’accident aériens

Les catastrophes aériennes recensées sur ce secteur commencent avec la chute, le 3 nov. 1943, d’un bombardier Halifax parachutant du matériel aux Résistants locaux. Les détails effarants rapportés par le seul rescapé (mitrailleur de queue) sur les derniers moments précédant le crash seront mis sur le compte de la terreur vécue à ce terrible instant. Le bombardier pris dans un remous incroyable ne répond plus aux commandes, plus aucun instrument ne fonctionne, à une chaleur soudaine succède aussitôt, dans la carlingue, un froid glacial… puis c’est l’impact au sol. A ce rapport s’ajoutent ceux d’A. Mandot et C. Faurion qui entendent l’Halifax tourner en rond, sortent et… le voient « entouré d’une multitude de petits feux multicolores de position ». Hors, en vol de nuit l’Halifax ne disposait pas, vu sa mission, de feux « multicolores de position», mais naviguait, au contraire, tous feux éteints ! Ce sera le premier rapport inconcevable d’une série qui n’en finira pas de s’allonger.
Près d’une quarantaine d’accidents aériens, depuis celui-ci, se succéderont sur ce périmètre qui finira par mériter le surnom de « Triangle de la Burle ». Tantôt ce sont de petits appareils de tourisme dont on doutera de la puissance, de la précision des instruments de vol, de l’expérience des pilotes peu habitués aux changeantes conditions météorologiques locales…
Certes il faut bien donner des raisons lénifiantes à ces catastrophes ! mais que dire de la technique des puissants appareils militaires à réaction pilotés par des pilotes chevronnés ? Tels les 2 Javelins anglais, en 1963, qui s’écrasent inexplicablement, l’un sur Jaujac, l’autre un peu plus loin et dont on ne retrouvera pas le pilote pourtant éjecté avec son siège ? Tel encore un Gloster Météor G.A.J. et un autre F 104 qui finiront pareillement. 1965 : deux F.104 tombent sur le Mont Mézenc (près des dents du diable)… poursuivis, rapporteront les témoins, par 6 petites sphères rosâtres qui ne disparaîtront qu’avec l’arrivée des secours. Idem pour le Fougas-Magister percutant le sol près d’Orcival survolé par « 2 soucoupes volantes » vues par les 7 premières personnes accourues sur les lieux. Un Jodel, le 23 juin 1969, tombe d’un coup suivi par des « cigares volants et bourdonnants » préciseront 2 agriculteurs terrorisés… ce Jodel venait curieusement de survoler la centrale nucléaire du Bugey !
12 août 1969 : 3 triangles avec un autre objet lumineux sont vus au col de Goudooze. L’ensemble croise un avion qui s’écrase aussitôt, puis c’est un Wassmer qui n’a que le temps de se poser en catastrophe…enfin, plus loin, deux chasseurs de Francazal, arrivés sur les lieux se percutent en vol!!!
21 nov. Un Mystère IV est en panne inexplicable de radioguidage, ainsi que deux autres avions à réaction qui auront de graves ennuis de moteur … au passage de 4 disques luisants et silencieux à la verticale de St Pierreville.
Début avril 1970, c’est encore un Mystère IV « accompagné par un ballet de boules lumineuses surgies (?) du Rhône » qui s’écrase enfin près de la Teste.
Mai 1970, un Bonanza est signalé en difficulté de vol. On ne retrouvera jamais épave ou passagers… mais les autorités dégageront « une épave d’avion mystère inconnu et non identifiable », l’enquête n’ira jamais plus loin.
1 juin 1971, un CESSNA s’écrase à St Front près du lac Arcône. Les habitants précisent alors que fréquemment le lieu est survolé par « des machines volantes et soufflantes ».
1er août 1975, un avion s’écrase à Marat. Les dépositions répétitives des témoins expliquent que l’appareil était surmonté de lumières pâles puis très vives au moment de l’impact.
1979 et 1980 apporteront la même dose d’énigmes et d’accidents mortels d’avions.
La terre maudite des Loups

Mais revenons, à présent, sur 3 catastrophes plus remarquables encore. D’abord celle de 1948. L’avion emportant la sœur du président Kennedy, Kathleen Kennedy Cavendish, s’écrase en un lieu nommé autrefois « terre de loups ». Certains y verront le prolongement de la vieille malédiction lancée par les indiens contre le président Lincoln et étendue à tous ses successeurs. Hasard, bien sûr! Toujours est-il que la sœur de Kennedy entra dans la légende du triangle de la Burle sous le nom de « fée du pot-au-Noir » ! Ensuite.
Trois avions qui n’existent pas
Le 18 sept. 1980 au Mt Devez un avion en perdition est vu entouré de feu et de fumée. Plusieurs brigades locales recherchent l’épave sans pouvoir la localiser… d’ailleurs aucun aérodrome ne signale de disparition. Qu’avaient vu tous ces témoins, dont des gendarmes ?
Février 1981, mêmes témoignages multiples d’un aéronef en difficulté à basse altitude : régime saccadé, feu, fumée. Les recherches ont lieu aussitôt, sans résultat. On retient certaines similitudes entres ces deux affaires dans les rapports d’observations dont certains (gendarmerie) sont indiscutables : les 2 « appareils » en détresse, jamais retrouvés, sont tous deux de couleur très claire et comportent de nombreux éclairages rouges, pris pour des feux de position ou d’atterrissage. Enquête classée sans suite.
L’énigme du 18ème passager

Enfin, le 22 janvier 1971. Un Nord 262 militaire quitte Villacoublay à 6h. Il est attendu vers 9h à Pierrelatte. Vers 8h le contrôle radar perd son contact. A 1342m d’altitude, au seuil du Mezilhac, près de la vallée de la Volane, l’appareil s’écrase au Suc du Paradou … le mal nommé? Tous les passagers trouvent la mort et l’Etat Français perd d’un seul coup, ici, les 7 premiers cerveaux de notre recherche nucléaire civile et militaire. Curieusement il y aurait eu au nombre des victimes… un cadavre de trop, impossible à identifier. Ce sera l’énigme du 18ème passager. Enigme aussi les récits de ceux qui entendirent cercler l’appareil dont le bruit lourd des moteurs était accompagné de sifflements inhabituels allant jusqu’à couvrir le ronflement grave des turbo-compresseurs de ce genre d’avion…
Enigme aussi les deux formes ovoïdes, aperçues sur les lieux, « sombres et pourtant luisantes ». Les rapports n’en feront pas mention…
Silence sur la Burle…
Nous savons, pour en avoir eu preuve et certitude, que ces phénomènes continuent à se produire sur ce secteur toujours aux mêmes fréquences. La circulation aérienne use de nouveaux « couloirs » pour survoler ces zones pudiquement appelées « turbulentes ».
Et puis, à présent, on tait ces « incidents » survenant encore dans les plans de vol. De temps à autre la presse relate de vagues observations rapidement expliquées par le ballon sonde ou la retombée de satellite de service… Puis la Burle reprend possession de son triangle maudit. Peut-on se demander si ne pas faire état de certaines choses suffit à les exorciser ? il est à craindre que non. Aujourd’hui sur ces hauts plateaux on n’aime pas trop parler de ce que l’on voit (ou entend !) encore et toujours parfois la nuit ou le jour, dans la tempête ou sous le soleil. Tout ayant été galvaudé, ceux qui ont encore la sagesse de croire ce qu’ils voient et de l’admettre, n’osent le rapporter par crainte du ridicule ou des moyens de pression pour faire taire la rumeur. Encore combien de crash aériens pour admettre rationnellement ces phénomènes localisés et décrits ici bien avant l’apparition de nos modernes avions… depuis des siècles ?
Et la liste s’allonge jusqu’à nos jours... ainsi le 7 juin 2007 un accident d’avion s’est produit dans le Triangle à Sainte-Eulalie à 60 km du Mont Mézenc. Les trois occupants de nationalité allemande ont péri dans l’accident.
Les pilotes qui ont survolés la zone déclarent que leurs appareils de navigation subissent des perturbations. Tous parlent d’une force magnétique liée aux terres volcaniques.
Une chose est sûre, le site est le siège de phénomènes étranges dont on ne sait s'ils relèvent du paranormal, du phénomène OVNI, d'une possible attraction tellurique ou correspondant à une sorte de 'point chaud' sur la géodésique de la terre.
Alors force magnétique ou véritables phénomènes surnaturels ?
Petit complément : La Table d'Or
La légende veut qu’un pouvoir sacré fût enseveli dans les terres d’un oppidum celtique par les gens de Velay. Il s’agirait de l’Or des druides, la mystérieuse 'Table d'Or' ! Le trésor aurait été volé au sanctuaire d’Apollon à Delphes et ramené par les tribus vellaves. Face aux mystérieux pouvoirs de la Table d’Or, les druides auraient voulu protéger le secret en l’enfouissant dans les ruines du 'Chastelas'.
La légende raconte qu’à proximité de la dent ouest dit le Chastelas, le diable siège en demeure. Il serait le gardien d'une inestimable richesse. La nuit de Noël quand les cloches s'éveillent à la douzième heure, regardez... voici qu'entre les deux dents du Mézenc sort de terre et s'étend une large Table d'Or. Alors sur la dalle apparaît un énorme crapaud, maître du trésor !
La légende dit encore que la Table d’Or est 'pleine de lueurs', ce qui peut laisser supposer qu'il s'agirait d'un appareil sophistiqué qui devrait rayonner en raison de sa charge électromagnétique.
L’objet serait aussi capable de produire de puissantes vibrations capables de désorienter l’homme !
Que faut-il en penser... à vous de juger !
livre de Jean PEYRARD reprenant en détails tous ces éléments et bien plus...
Ce chemin qui date de 1901, a permis d’accéder au chantier d’un barrage.
Aujourd’hui, celui-ci est très étroit, voir même inexistant à certains endroits. Il surplombe le vide de plusieurs centaines de mètres.
Il est interdit, mais il reste l’endroit préféré des adeptes de l’extrême, à leurs risques et périls !
Le Lieu-Dit Des Dents Du Diable
[video=dailymotion;x210a0]http://www.dailymotion.com/video/x210a0_39-mysteres-les-dents-du-diable_tech[/video]

C’est en France dans la région du Velay dominé par le mont Mézenc (1754 m d’altitude) que de mystérieuses forces se manifestent depuis des siècles. Dans cette région isolée les superstitions se mêlent aux croyances religieuses. On dit que Satan aurait planté ses crocs au lieu dit des 'Dents du Diable'. Trois rochers forment cet endroit mythique : 'la Grosse Roche', 'la Dent Pointue' et le 'Chastelas'. Depuis l’antiquité, la région est désignée comme un 'locus terribilis', un lieu terrible.
Au cours des temps on dénombre dans cette région de nombreux faits inexplicables.
La burle (nom donné au vent du Nord qui souffle l'hiver), un vent lugubre et redouté qui sévit en ces lieux auxquels la légende donne des pouvoirs surnaturelles magnifie le lieu-dit des Dents du Diable d'un peu plus de mystère.
Jean-Louis Vidil, directeur général de l'agence EDF de Velay, explique que ce vent est anormal par rapport à ailleurs. Il parle d'orage très violent qui parfois coupe des poteaux électriques en deux d'une façon inexplicable.
Des spécialistes seraient venus constater le phénomène, auraient étudié la force du vent et n'auraient pour l'instant trouvé aucune raison qui explique que le matériel ne résiste pas.
Le directeur de l’EDF pense que le sous-sol volcanique de cette région est pour quelque chose dans ces phénomènes.
Quelles sont ces forces incroyablement violentes qui se déchainent ainsi sur un rayon 15 kilomètres ?
Ses phénomènes électriques ne touchent pas que les installations EDF.
En mars 1985, les habitants signalent une série d'incidents qui dépassent l'entendement. Sans aucune raison les téléphones se mirent à sonner frénétiquement.
Alors qu'il n'y avait pas d'orage des vaches furent électrocutées dans plusieurs fermes.
Robert Cortial, facteur dans la région, affirme avoir été témoin d'un phénomène bien étrange durant une de ses tournés. Il dit avoir vu une boule de feu grande comme une roue de char.
Mais Robert Cortial n'est pas le seul à avoir vu ses boules de feu, d'autres témoins affirment les avoir aussi vues et étrangement leurs témoignages sont similaires à celui du facteur.
Maurice Lhoste, cultivateur, en a fait lui aussi l'expérience. Il prétend avoir été d'un seul coup entouré d'un feu sans sentir aucune chaleur. Il dit encore avoir été ébloui lors de la disparition subite de ce phénomène.
D'où proviennent ces étranges phénomènes ? Et que dire de ses avions en perditions ?
LE TRIANGLE DE LA BURLE

Un triangle maudit ?

Il y a tout autour de ce « géant des Cévennes », un « triangle de la Mort », véritable Pot-au-Noir, qui a fait plus de 60 victimes ! ‘L‘Eveil’, journal local, résumait par ces mots en octobre 1982 les accidents aériens, la plupart inexpliqués, survenus dans un périmètre situé approximativement entre le Mont Mézenc, le Puy-en-Velay et le massif du Pilat (avec la catastrophe des trois Mirages en mai 1987).
Ce secteur bien délimité semble détenir le sinistre record des catastrophes aériennes. De plus, curieusement, ces calamités se déroulent sur des régions à l’environnement naturel difficile. Ces décors dantesques sont ceux d’un règne minéral absolu et démesuré d’une sauvagerie à couper le souffle…
D’autres dimensions du temps et de l’espace règnent en ces secteurs sur lesquels d’étranges et inquiétantes histoires laissent deviner des événements rapidement classés dans les registres du légendaire mais quasiment toujours construits sur des réalités qui nous échappent encore.
Où il serait question de pierres volantes
Ici se côtoient, s’imbriquent intimement, le tellurisme, le passé des hommes, de la terre, de l’univers, du cosmos, des dieux et l’innommable, dont parfois la Burle, vent magique et terrible, se fait l’écho et la mémoire démesurée.
Non seulement un nombre effarant d’avions, et non des moindres, s’écrasèrent sur ce sol cévenol, mais le plus souvent ces catastrophes s’accompagnèrent d’observations, d’événements étranges, dont les plus remarquables restent du domaine des objets volants inexpliqués. La fréquence de ces constats est à un point tel qu’il y aurait lieu de croire les deux phénomènes liés ensemble dans cet étrange triangle, dit ‘de la Burle’, dont les sommets souvent proches de 1200m. atteignent 1458m. pour le grand Tanargue (Mont Tonnerre !) et d’autres dont le Suc de la Lauzières culminent à plus 1500m. Ici on parle à voix basse, depuis bien avant les accidents, de pierres étranges dites « pierres volantes » (lieu-dit Peire-Vole), « pierres qui baillent » et du « Pas de l’Enfer »… restant, à jamais, les tombes minérales des aéronefs perdus, aspirés littéralement par d’obscures forces inconcevables toujours inexpliquées scientifiquement. A ces accablants constats d’impuissance d’autres bien plus énigmatiques viennent se joindre obligeant souvent des considérations où le rationnel n’a plus guère sa place.
Une effarante litanie d’accident aériens

Les catastrophes aériennes recensées sur ce secteur commencent avec la chute, le 3 nov. 1943, d’un bombardier Halifax parachutant du matériel aux Résistants locaux. Les détails effarants rapportés par le seul rescapé (mitrailleur de queue) sur les derniers moments précédant le crash seront mis sur le compte de la terreur vécue à ce terrible instant. Le bombardier pris dans un remous incroyable ne répond plus aux commandes, plus aucun instrument ne fonctionne, à une chaleur soudaine succède aussitôt, dans la carlingue, un froid glacial… puis c’est l’impact au sol. A ce rapport s’ajoutent ceux d’A. Mandot et C. Faurion qui entendent l’Halifax tourner en rond, sortent et… le voient « entouré d’une multitude de petits feux multicolores de position ». Hors, en vol de nuit l’Halifax ne disposait pas, vu sa mission, de feux « multicolores de position», mais naviguait, au contraire, tous feux éteints ! Ce sera le premier rapport inconcevable d’une série qui n’en finira pas de s’allonger.
Près d’une quarantaine d’accidents aériens, depuis celui-ci, se succéderont sur ce périmètre qui finira par mériter le surnom de « Triangle de la Burle ». Tantôt ce sont de petits appareils de tourisme dont on doutera de la puissance, de la précision des instruments de vol, de l’expérience des pilotes peu habitués aux changeantes conditions météorologiques locales…
Certes il faut bien donner des raisons lénifiantes à ces catastrophes ! mais que dire de la technique des puissants appareils militaires à réaction pilotés par des pilotes chevronnés ? Tels les 2 Javelins anglais, en 1963, qui s’écrasent inexplicablement, l’un sur Jaujac, l’autre un peu plus loin et dont on ne retrouvera pas le pilote pourtant éjecté avec son siège ? Tel encore un Gloster Météor G.A.J. et un autre F 104 qui finiront pareillement. 1965 : deux F.104 tombent sur le Mont Mézenc (près des dents du diable)… poursuivis, rapporteront les témoins, par 6 petites sphères rosâtres qui ne disparaîtront qu’avec l’arrivée des secours. Idem pour le Fougas-Magister percutant le sol près d’Orcival survolé par « 2 soucoupes volantes » vues par les 7 premières personnes accourues sur les lieux. Un Jodel, le 23 juin 1969, tombe d’un coup suivi par des « cigares volants et bourdonnants » préciseront 2 agriculteurs terrorisés… ce Jodel venait curieusement de survoler la centrale nucléaire du Bugey !
12 août 1969 : 3 triangles avec un autre objet lumineux sont vus au col de Goudooze. L’ensemble croise un avion qui s’écrase aussitôt, puis c’est un Wassmer qui n’a que le temps de se poser en catastrophe…enfin, plus loin, deux chasseurs de Francazal, arrivés sur les lieux se percutent en vol!!!
21 nov. Un Mystère IV est en panne inexplicable de radioguidage, ainsi que deux autres avions à réaction qui auront de graves ennuis de moteur … au passage de 4 disques luisants et silencieux à la verticale de St Pierreville.
Début avril 1970, c’est encore un Mystère IV « accompagné par un ballet de boules lumineuses surgies (?) du Rhône » qui s’écrase enfin près de la Teste.
Mai 1970, un Bonanza est signalé en difficulté de vol. On ne retrouvera jamais épave ou passagers… mais les autorités dégageront « une épave d’avion mystère inconnu et non identifiable », l’enquête n’ira jamais plus loin.
1 juin 1971, un CESSNA s’écrase à St Front près du lac Arcône. Les habitants précisent alors que fréquemment le lieu est survolé par « des machines volantes et soufflantes ».
1er août 1975, un avion s’écrase à Marat. Les dépositions répétitives des témoins expliquent que l’appareil était surmonté de lumières pâles puis très vives au moment de l’impact.
1979 et 1980 apporteront la même dose d’énigmes et d’accidents mortels d’avions.
La terre maudite des Loups

Mais revenons, à présent, sur 3 catastrophes plus remarquables encore. D’abord celle de 1948. L’avion emportant la sœur du président Kennedy, Kathleen Kennedy Cavendish, s’écrase en un lieu nommé autrefois « terre de loups ». Certains y verront le prolongement de la vieille malédiction lancée par les indiens contre le président Lincoln et étendue à tous ses successeurs. Hasard, bien sûr! Toujours est-il que la sœur de Kennedy entra dans la légende du triangle de la Burle sous le nom de « fée du pot-au-Noir » ! Ensuite.
Trois avions qui n’existent pas
Le 18 sept. 1980 au Mt Devez un avion en perdition est vu entouré de feu et de fumée. Plusieurs brigades locales recherchent l’épave sans pouvoir la localiser… d’ailleurs aucun aérodrome ne signale de disparition. Qu’avaient vu tous ces témoins, dont des gendarmes ?
Février 1981, mêmes témoignages multiples d’un aéronef en difficulté à basse altitude : régime saccadé, feu, fumée. Les recherches ont lieu aussitôt, sans résultat. On retient certaines similitudes entres ces deux affaires dans les rapports d’observations dont certains (gendarmerie) sont indiscutables : les 2 « appareils » en détresse, jamais retrouvés, sont tous deux de couleur très claire et comportent de nombreux éclairages rouges, pris pour des feux de position ou d’atterrissage. Enquête classée sans suite.
L’énigme du 18ème passager

Enfin, le 22 janvier 1971. Un Nord 262 militaire quitte Villacoublay à 6h. Il est attendu vers 9h à Pierrelatte. Vers 8h le contrôle radar perd son contact. A 1342m d’altitude, au seuil du Mezilhac, près de la vallée de la Volane, l’appareil s’écrase au Suc du Paradou … le mal nommé? Tous les passagers trouvent la mort et l’Etat Français perd d’un seul coup, ici, les 7 premiers cerveaux de notre recherche nucléaire civile et militaire. Curieusement il y aurait eu au nombre des victimes… un cadavre de trop, impossible à identifier. Ce sera l’énigme du 18ème passager. Enigme aussi les récits de ceux qui entendirent cercler l’appareil dont le bruit lourd des moteurs était accompagné de sifflements inhabituels allant jusqu’à couvrir le ronflement grave des turbo-compresseurs de ce genre d’avion…
Enigme aussi les deux formes ovoïdes, aperçues sur les lieux, « sombres et pourtant luisantes ». Les rapports n’en feront pas mention…
Silence sur la Burle…
Nous savons, pour en avoir eu preuve et certitude, que ces phénomènes continuent à se produire sur ce secteur toujours aux mêmes fréquences. La circulation aérienne use de nouveaux « couloirs » pour survoler ces zones pudiquement appelées « turbulentes ».
Et puis, à présent, on tait ces « incidents » survenant encore dans les plans de vol. De temps à autre la presse relate de vagues observations rapidement expliquées par le ballon sonde ou la retombée de satellite de service… Puis la Burle reprend possession de son triangle maudit. Peut-on se demander si ne pas faire état de certaines choses suffit à les exorciser ? il est à craindre que non. Aujourd’hui sur ces hauts plateaux on n’aime pas trop parler de ce que l’on voit (ou entend !) encore et toujours parfois la nuit ou le jour, dans la tempête ou sous le soleil. Tout ayant été galvaudé, ceux qui ont encore la sagesse de croire ce qu’ils voient et de l’admettre, n’osent le rapporter par crainte du ridicule ou des moyens de pression pour faire taire la rumeur. Encore combien de crash aériens pour admettre rationnellement ces phénomènes localisés et décrits ici bien avant l’apparition de nos modernes avions… depuis des siècles ?
Et la liste s’allonge jusqu’à nos jours... ainsi le 7 juin 2007 un accident d’avion s’est produit dans le Triangle à Sainte-Eulalie à 60 km du Mont Mézenc. Les trois occupants de nationalité allemande ont péri dans l’accident.
Les pilotes qui ont survolés la zone déclarent que leurs appareils de navigation subissent des perturbations. Tous parlent d’une force magnétique liée aux terres volcaniques.
Une chose est sûre, le site est le siège de phénomènes étranges dont on ne sait s'ils relèvent du paranormal, du phénomène OVNI, d'une possible attraction tellurique ou correspondant à une sorte de 'point chaud' sur la géodésique de la terre.
Alors force magnétique ou véritables phénomènes surnaturels ?
Petit complément : La Table d'Or
La légende veut qu’un pouvoir sacré fût enseveli dans les terres d’un oppidum celtique par les gens de Velay. Il s’agirait de l’Or des druides, la mystérieuse 'Table d'Or' ! Le trésor aurait été volé au sanctuaire d’Apollon à Delphes et ramené par les tribus vellaves. Face aux mystérieux pouvoirs de la Table d’Or, les druides auraient voulu protéger le secret en l’enfouissant dans les ruines du 'Chastelas'.
La légende raconte qu’à proximité de la dent ouest dit le Chastelas, le diable siège en demeure. Il serait le gardien d'une inestimable richesse. La nuit de Noël quand les cloches s'éveillent à la douzième heure, regardez... voici qu'entre les deux dents du Mézenc sort de terre et s'étend une large Table d'Or. Alors sur la dalle apparaît un énorme crapaud, maître du trésor !
La légende dit encore que la Table d’Or est 'pleine de lueurs', ce qui peut laisser supposer qu'il s'agirait d'un appareil sophistiqué qui devrait rayonner en raison de sa charge électromagnétique.
L’objet serait aussi capable de produire de puissantes vibrations capables de désorienter l’homme !
Que faut-il en penser... à vous de juger !

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:: March 14, 2013, 5:26 p.m.
Bravo! Super! Comme toutes tes rubriques! Super bien détaillées!
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:: March 14, 2013, 6:13 p.m.
Légendes
Les ponts du Diable sont suffisamment nombreux pour que les légendes qui s'y rapportent forment une catégorie à part entière de la classification Aarne-Thompson . En voici quelques exemples !
Dans une version de la légende, un personnage réalise un pacte avec le Diable afin de construire un pont qu'il ne peut réaliser seul. Le Diable accepte de construire le pont, mais exige en retour la première âme qui le traverse. Le pont est construit généralement en une seule nuit, mais le Diable est trompé, de différentes manières suivant les versions (par exemple, les hommes font traverser le pont en premier à un animal). À la suite de cette tromperie, le Diable se jette souvent dans l'eau depuis le pont. Dans d'autres versions, le diable s'est engagé à bâtir le pont en une seule nuit, avant le lever du jour : on fait chanter un coq ; le diable, croyant que le jour se lève, lâche la dernière pierre et disparaît. En général, cette dernière pierre manque toujours.
Le Pont du Diable
Légende de la construction de ce pont à Cérêt


Nous sommes au XIVe siècle. A cette époque les deux rives du Tech étaient joints par un pont de bois régulièrement emporté par les crues de ce fleuve côtier si imprévisible.
Il vint un jour aux cérétans une idée fort naturelle : faire un pont solide en maçonnerie; mais les rives du Tech étaient fort escarpées, à quelle endroit le construirait-on ? On manda les ingénieurs du pays qui, après une sérieuse inspection des lieux, déclarèrent le projet irréalisable. L'un d'eux pourtant, après bien des hésitations, alléché par la grosse somme offerte, se chargea de l'entreprise et prit l'engagement de l'amener à bonne fin dans un an. Notre ingénieur dressa les plans, tandis que les habitants se mirent en mesure de réunir l'argent promis. Les travaux commencèrent et furent poussés rondement. Bientôt les deux culées se dressèrent au Grau d'Exala. Les charpentiers établissaient l'échafaudage de la voûte. Malheur ! Un gros orage survint qui fit déborder le fleuve de ses rives; les eaux emportèrent culées et échafaudages ! Les cérétans, très contrariés, crièrent après l'ingénieur qui, cependant, n'eu pas de peine à leur faire comprendre qu'il n'y avait pas de sa faute. Pour se remettre à l'ouvrage il demanda 5000 ducats de plus. Il est eut. Six mois après le pont enjambait le Tech avec son grand arc de pierre; en une semaine tout aller être fini. Les cérétans jubilaient et félicitaient l'ingénieur.
Tout à coup on entend un terrible et long craquement : les claies de l'échafaudage se rompent, la voûte s'écroule, plus de pont ! La colère des cérétans fut à son comble. Ils accusèrent l'ingénieur d'être l'auteur de tout le mal et lui signifièrent, par la bouche de leurs consuls, qu'il eu à relever le pont dans le délai de six mois, et cela sans nouvel appel à leur bourse, ou il le pendrai haut et court.
Le pauvre ingénieur se remit au travail; ce qu'il sua et trima Dieu seul le sait. Cependant le jour fixé, jour fatal, approchait. La veille tout allait bien (...) mais de larges nuages se traînaient sur les cimes du Boularic, puis descendent dans la vallée, un vent froid, rapide, violent, se précipite et tourne dans la plaine; le tonnerre gronde, les éclairs déchirent les nuages : c'est un orage, une tempête, une trombe d'eau ! Le fleuve descend à grand bruit, se gonfle, gorge les berges, emporte tout ce qui lui fait obstacle. Le pont de Cérêt n'est déjà plus ! L'ingénieur désespéré pris la fuite par les sentiers de montagne. Tout à coup une espèce d'homme, grand, maigre, sec, le saisit par le bras.
- "Où vas-tu ?"
- "Que t'importe; laisse-moi passer"
- "Je sais qui tu es et je veux te sauver"
- "Et toi, qui es-tu ?"
- "Que t'importe; laisses moi faire. Ce soir à minuit, le pont sera relevé; seulement je met une condition que tu me livreras le premier vivant qui le traversera."
L'ingénieur tressailli de frayeur; reconstruire le pont en quelques heures ! Le Diable seul était capable d'un pareil effort.
- "Et bien que dis-tu de cela ?"
- "J'accepte", murmura l'ingénieur.
Aussitôt une forte odeur de soufre se répandit dans l'air et l'homme disparut; cet homme c'était bien le diable en personne.
Lui parti, l'ingénieur regagna furtivement sa demeure à la faveur des ténèbres. Là, il se mit à réfléchir sur son aventure. Que faire ? Vers onze heure, alors que tout reposait en silence de la nuit, il sortit de chez lui et se dirigea vers le Tech; il portait sur son dos un sac de toile dont le Diable lui-même n'aurait deviné le contenu. D'ailleurs celui-ci était fort occupé en ce moment. En effet, fidèle à la parole donnée, il travaillait avec ardeur à la reconstruction du pont, entassant les matériaux avec l'habileté d'un maître maçon. Notre ingénieur le vit et se blottit derrière un rocher de la rive. Onze heure et demie ! La voûte maintenant se dessinait sous les pâles rayons de la lune qui venait de monter sur la crête de l'Albère. Minuit sonne ! Aussitôt notre ingénieur, qui s'était mis au bout du pont, ouvre le sac d'où s'échappe un chat noir dont la queue traîne une casserole en fer. Le Diable pose la dernière pierre, la clef de voûte; il la laisse échapper pour mettre la main sur ce premier passant, qu'il prend pour un chevalier faisant sonner son armure. "Trompé, trahi", s'écria t-il en saisissant le matou ! Et il disparut, laissant le pont inachevé.
Il est resté tel, car tout le savoir des ingénieurs n'a pu réussir à fixer la pierre qui manque.
Le Pont du Diable à l’entrée des gorges de l’Hérault ? D’où vient ce nom ?

Cet ouvrage d’art qui enjambe la rivière à l’endroit le plus étroit date de 1036. Il permettait de relier l’abbaye de Gellone sur la commune de Saint Guilhem et celle des moines d’Aniane en aval des gorges. Ce pont roman est un des plus vieux de France, connu jusqu’au XIV ème siècle, sous le nom de « Pont du gouffre noir », il surplombe du haut de ses 15 mètres, les marmites de géants, les trous et gouffres du fleuve languedocien.
Alors que les moines de Gellone et d’Aniane ne ménagent pas leurs efforts pour la construction du Pont traversant l’Hérault au débouché des gorges sur la plaine, on constate chaque matin en abordant les lieux, que les travaux réalisés la veille sont systématiquement détruits. Les deux congrégations monastiques comprennent très vite que leur projet subi des entreprises de sabotages nocturnes et en appelle à la protection de leur Saint Patron Guilhem qui un soir, décide de se rendre seul sur les lieux pour y interpeller les éventuels malfaiteurs. Après quelques heures, posté à attendre, Guilhem constate que le Diable déguisé dans un costume de bouc noir fracasse les travaux du pont. Guilhem l’interpelle alors :
- « Satan, je t’ai reconnu dans ton ridicule apparat. Pourquoi dévastes-tu ainsi l’ouvrage de mes frères ? »
- « C’est que je n’ai que faire des entreprises de tes chiens de serviteurs sur terre. »
- « Satan, plutôt que de nous affronter ici, essayons de régler notre contentieux intelligemment. »
- « Pour une fois, je suis d’accord avec toi Guilhem ! Alors écoute-moi bien. Je te propose de construire un pont le plus solide qui soit en trois jours. En échange, tu t’engages à me livrer l’âme d’un de tes chiens de serviteurs. Celle du premier qui traversera le pont sera pour moi et je l’emmènerai avec moi au fond de l’abîme des enfers. »
Sans répondre aux provocations du Diable et avec la plus sereine des assurances, Guilhem lui rétorqua :
- « L’âme d’un de mes chiens de serviteur ! Tu ne saurais mieux dire Satan ! Retrouvons-nous en ces lieux dans trois jours et trois nuits lorsque tu te seras exécuté. »

Parfois, en période de crue, la colère du Diable semble se réveiller et ses hurlements surgissent du fond du gouffre. C’est ainsi que pendant de très nombreuses années, les pèlerins et gens de passage qui traversaient le pont se munissaient de pierres pour les jeter dans le fleuve dans l’espoir d’y laisser le Diable au fond.
Sur ces mots, Guilhem s’en retourna au village.
Trois jours et trois nuits s’écoulèrent et ce fut le moment pour Guilhem et ses compagnons de retourner au pont pour constater la fin des travaux. Arrivés aux abords du chantier, Satan les accueille sur l’ouvrage qu’il vient d’achever, la mine réjouit à l’idée d’emporter avec lui une âme humaine. Il s’adressa alors à Guilhem en ces termes :
- « Je me suis exécuté, l’ouvrage est terminé. J’ai rempli ma part du contrat. A toi maintenant de me donner ce que tu m’as promis. »
Guilhem sortit alors un os de sa veste, le jeta de l’autre côté du Pont et le chien qui se tenait à ses côtés traversa le Pont à grandes enjambées. Alors que le Diable ne comprenait pas la manœuvre, Guilhem s’exclama :
- « Satan, tu vois que je respecte mes engagements. Il y a trois jours de cela, tu me demandais l’âme d’un de mes chiens de serviteur. Et bien, voici le plus fidèle de tous. »
- « ARRRRGH !! Guilhem !! Tu m’as trompé. Ma vengeance sera terrible ! »
Dans sa colère, le Diable tenta de détruire le pont mais l’ayant promis le plus solide possible, il ne put y parvenir. Enfin, comprenant qu’il ne pourrait se venger, il se jeta de dépit dans les eaux de l’Hérault et creusa le gouffre noir dans sa chute.
LE PONT DU DIABLE (FOIX)

Il y a très longtemps, deux villages, Ginabat et Montoulieu, près de Foix dans l'Ariège, se trouvait bien isolés car, dans ces montagnes des abords des Pyrénées, traverser la rivière est difficile et dangereux à cause de ses gouffres et ses tourbillons. Donc, aller se ravitailler ou commercer aux foires de Foix et des environs, demandait de longues heures de marche périlleuses à travers la forêt.
Un jour, un habitant, ne sachant plus que faire pour remédier à cette situation, appela le Diable. Il lui demanda de construire un pont, car tous les habitants, démunis, ne pouvaient le faire par eux même. Le Diable accepta mais, bien sûr, demanda à être payé, en retour. "Je construirai un pont mais en échange je veux l'âme du premier qui le traversera". Le marché fut conclu.
En une nuit, le Diable construisit le pont et au matin attendit. Mais les habitants des deux villages, connaissant le pacte, ne se risquait à traverser, quand celui qui avait négocié avec le malin arriva et à la surprise de tout le monde fit traverser un chat.
Le Diable, fou de rage d'avoir été ainsi berné, s'agita tant et tant qu'il tomba dans la rivière et disparut. Les curés des villages eurent vite fait de bénir le pont et chacun put alors traverser à sa guise.
"Tel est pris qui croyait prendre."
LE PONT VALENTRE

La construction du Pont Valentré débute le 17 juin 1308. Il est terminé entre 1355 et 1378.
Il comporte : 6 arches principales, 3 tours carrées à trois étages et 2 châtelets. Celui de l'ouest a presque entièrement disparu. Quant au châtelet Est son caractère défensif est accentué par les modifications apportées au XIXe siècle.

La légende que nous reproduisons ici explique le nom de Pont du Diable donné au Pont Valentré :
"on raconte que l'architecte ne pouvant venir à bout de son oeuvre, eut recours à Satan et fit un pacte avec lui. Satan s'engageait à l'aider par tous les moyens et à lui obéir ponctuellement, quelque ordre qu'il put recevoir. Le travail fini, l'âme de l'architecte en devait être le prix. Mais si le démon, pour une cause quelconque, refusait de continuer son assistance jusqu'au bout, il perdrait tous ses droits sur le prix en question ; la besogne marcha vite avec un tel manoeuvre.
Quand le pont fut presque fini : - ça se dit en lui-même l'architecte, voici le moment de songer à notre âme, afin que nous n'ayons pas fait un sot marché. Et il porta un crible à son formidable associé : - Ami, lui dit-il, je t'ai trouvé docile jusqu'ici, et tu sais que tu dois l'être jusqu'au bout ; prends ce crible, laisse-le tel qu'il est et l'emploie à puiser de l'eau que tu porteras aux maçons pour délayer la chaux. Le diable se mordit les lèvres de dépit ; il tenta pourtant l'expérience, elle échoua vingt fois. Jamais crible n'a gardé l'eau. Confus, le diable vint avouer sa défaite, mais jura de se venger. A quelque temps de là en effet, lorsque les maçons eurent presque achevé de construire la tour du milieu, ils en trouvèrent l'angle supérieur nord-ouest abattu et il leur fut impossible d'achever cette tour."
Plouguerneau / Plouguerne
Le pont du diable Quand la légende se confond avec la réalité
On l’appelle aussi Pont Krac’h. Le pont du diable est visible à marée basse, mais le cadre est tout de même étonnant à marée haute. On imagine bien le diable faisant ses offices, avec l’eau recouvrant la totalité de ce pont enjambant l’Aber Wrac’h entre le pont du Diouriz et le pont Léon.

D’apparence (à condition d’y aller à marée basse bien sûr), il ressemble à une chaussée . Sa conception remonterait à l’âge de fer, mais il fut remanié au Moyen-âge. Il mesure entre 3 et 5 mètres de large, selon l’endroit où on le foule.
Le pont du diable est formé de gros blocs rocheux recouvert de longues dalles transversales, et percé de quatre arches laissant ainsi passer le courant de la rivière.
La légende du pont du diable
Le meunier des lieux, désolé de devoir faire un long détour pour livrer sur l'autre rive de l'Aber Wrac'h, conclut un pacte avec le diable. Ce dernier lui proposa de construire un pont en échange de la première âme qui le franchirait.
Tout surpris le lendemain matin de trouver le pont construit, il chargea sur son épaule un sac de farine et y enferma aussi son chat.
Au milieu du pont, le meunier simulant la fatigue, s'arrêta, ouvrit son sac : le chat s'échappa et fila droit vers le diable, berné.
Dès lors, on raconte que des paysans quelque peu ivres rentrant la nuit de la foire tombaient du pont et se noyaient, vengeance du diable.
Les ponts du Diable sont suffisamment nombreux pour que les légendes qui s'y rapportent forment une catégorie à part entière de la classification Aarne-Thompson . En voici quelques exemples !
Dans une version de la légende, un personnage réalise un pacte avec le Diable afin de construire un pont qu'il ne peut réaliser seul. Le Diable accepte de construire le pont, mais exige en retour la première âme qui le traverse. Le pont est construit généralement en une seule nuit, mais le Diable est trompé, de différentes manières suivant les versions (par exemple, les hommes font traverser le pont en premier à un animal). À la suite de cette tromperie, le Diable se jette souvent dans l'eau depuis le pont. Dans d'autres versions, le diable s'est engagé à bâtir le pont en une seule nuit, avant le lever du jour : on fait chanter un coq ; le diable, croyant que le jour se lève, lâche la dernière pierre et disparaît. En général, cette dernière pierre manque toujours.
Le Pont du Diable
Légende de la construction de ce pont à Cérêt


Nous sommes au XIVe siècle. A cette époque les deux rives du Tech étaient joints par un pont de bois régulièrement emporté par les crues de ce fleuve côtier si imprévisible.
Il vint un jour aux cérétans une idée fort naturelle : faire un pont solide en maçonnerie; mais les rives du Tech étaient fort escarpées, à quelle endroit le construirait-on ? On manda les ingénieurs du pays qui, après une sérieuse inspection des lieux, déclarèrent le projet irréalisable. L'un d'eux pourtant, après bien des hésitations, alléché par la grosse somme offerte, se chargea de l'entreprise et prit l'engagement de l'amener à bonne fin dans un an. Notre ingénieur dressa les plans, tandis que les habitants se mirent en mesure de réunir l'argent promis. Les travaux commencèrent et furent poussés rondement. Bientôt les deux culées se dressèrent au Grau d'Exala. Les charpentiers établissaient l'échafaudage de la voûte. Malheur ! Un gros orage survint qui fit déborder le fleuve de ses rives; les eaux emportèrent culées et échafaudages ! Les cérétans, très contrariés, crièrent après l'ingénieur qui, cependant, n'eu pas de peine à leur faire comprendre qu'il n'y avait pas de sa faute. Pour se remettre à l'ouvrage il demanda 5000 ducats de plus. Il est eut. Six mois après le pont enjambait le Tech avec son grand arc de pierre; en une semaine tout aller être fini. Les cérétans jubilaient et félicitaient l'ingénieur.
Tout à coup on entend un terrible et long craquement : les claies de l'échafaudage se rompent, la voûte s'écroule, plus de pont ! La colère des cérétans fut à son comble. Ils accusèrent l'ingénieur d'être l'auteur de tout le mal et lui signifièrent, par la bouche de leurs consuls, qu'il eu à relever le pont dans le délai de six mois, et cela sans nouvel appel à leur bourse, ou il le pendrai haut et court.
Le pauvre ingénieur se remit au travail; ce qu'il sua et trima Dieu seul le sait. Cependant le jour fixé, jour fatal, approchait. La veille tout allait bien (...) mais de larges nuages se traînaient sur les cimes du Boularic, puis descendent dans la vallée, un vent froid, rapide, violent, se précipite et tourne dans la plaine; le tonnerre gronde, les éclairs déchirent les nuages : c'est un orage, une tempête, une trombe d'eau ! Le fleuve descend à grand bruit, se gonfle, gorge les berges, emporte tout ce qui lui fait obstacle. Le pont de Cérêt n'est déjà plus ! L'ingénieur désespéré pris la fuite par les sentiers de montagne. Tout à coup une espèce d'homme, grand, maigre, sec, le saisit par le bras.
- "Où vas-tu ?"
- "Que t'importe; laisse-moi passer"
- "Je sais qui tu es et je veux te sauver"
- "Et toi, qui es-tu ?"
- "Que t'importe; laisses moi faire. Ce soir à minuit, le pont sera relevé; seulement je met une condition que tu me livreras le premier vivant qui le traversera."
L'ingénieur tressailli de frayeur; reconstruire le pont en quelques heures ! Le Diable seul était capable d'un pareil effort.
- "Et bien que dis-tu de cela ?"
- "J'accepte", murmura l'ingénieur.
Aussitôt une forte odeur de soufre se répandit dans l'air et l'homme disparut; cet homme c'était bien le diable en personne.
Lui parti, l'ingénieur regagna furtivement sa demeure à la faveur des ténèbres. Là, il se mit à réfléchir sur son aventure. Que faire ? Vers onze heure, alors que tout reposait en silence de la nuit, il sortit de chez lui et se dirigea vers le Tech; il portait sur son dos un sac de toile dont le Diable lui-même n'aurait deviné le contenu. D'ailleurs celui-ci était fort occupé en ce moment. En effet, fidèle à la parole donnée, il travaillait avec ardeur à la reconstruction du pont, entassant les matériaux avec l'habileté d'un maître maçon. Notre ingénieur le vit et se blottit derrière un rocher de la rive. Onze heure et demie ! La voûte maintenant se dessinait sous les pâles rayons de la lune qui venait de monter sur la crête de l'Albère. Minuit sonne ! Aussitôt notre ingénieur, qui s'était mis au bout du pont, ouvre le sac d'où s'échappe un chat noir dont la queue traîne une casserole en fer. Le Diable pose la dernière pierre, la clef de voûte; il la laisse échapper pour mettre la main sur ce premier passant, qu'il prend pour un chevalier faisant sonner son armure. "Trompé, trahi", s'écria t-il en saisissant le matou ! Et il disparut, laissant le pont inachevé.
Il est resté tel, car tout le savoir des ingénieurs n'a pu réussir à fixer la pierre qui manque.
Le Pont du Diable à l’entrée des gorges de l’Hérault ? D’où vient ce nom ?

Cet ouvrage d’art qui enjambe la rivière à l’endroit le plus étroit date de 1036. Il permettait de relier l’abbaye de Gellone sur la commune de Saint Guilhem et celle des moines d’Aniane en aval des gorges. Ce pont roman est un des plus vieux de France, connu jusqu’au XIV ème siècle, sous le nom de « Pont du gouffre noir », il surplombe du haut de ses 15 mètres, les marmites de géants, les trous et gouffres du fleuve languedocien.
Alors que les moines de Gellone et d’Aniane ne ménagent pas leurs efforts pour la construction du Pont traversant l’Hérault au débouché des gorges sur la plaine, on constate chaque matin en abordant les lieux, que les travaux réalisés la veille sont systématiquement détruits. Les deux congrégations monastiques comprennent très vite que leur projet subi des entreprises de sabotages nocturnes et en appelle à la protection de leur Saint Patron Guilhem qui un soir, décide de se rendre seul sur les lieux pour y interpeller les éventuels malfaiteurs. Après quelques heures, posté à attendre, Guilhem constate que le Diable déguisé dans un costume de bouc noir fracasse les travaux du pont. Guilhem l’interpelle alors :
- « Satan, je t’ai reconnu dans ton ridicule apparat. Pourquoi dévastes-tu ainsi l’ouvrage de mes frères ? »
- « C’est que je n’ai que faire des entreprises de tes chiens de serviteurs sur terre. »
- « Satan, plutôt que de nous affronter ici, essayons de régler notre contentieux intelligemment. »
- « Pour une fois, je suis d’accord avec toi Guilhem ! Alors écoute-moi bien. Je te propose de construire un pont le plus solide qui soit en trois jours. En échange, tu t’engages à me livrer l’âme d’un de tes chiens de serviteurs. Celle du premier qui traversera le pont sera pour moi et je l’emmènerai avec moi au fond de l’abîme des enfers. »
Sans répondre aux provocations du Diable et avec la plus sereine des assurances, Guilhem lui rétorqua :
- « L’âme d’un de mes chiens de serviteur ! Tu ne saurais mieux dire Satan ! Retrouvons-nous en ces lieux dans trois jours et trois nuits lorsque tu te seras exécuté. »

Parfois, en période de crue, la colère du Diable semble se réveiller et ses hurlements surgissent du fond du gouffre. C’est ainsi que pendant de très nombreuses années, les pèlerins et gens de passage qui traversaient le pont se munissaient de pierres pour les jeter dans le fleuve dans l’espoir d’y laisser le Diable au fond.
Sur ces mots, Guilhem s’en retourna au village.
Trois jours et trois nuits s’écoulèrent et ce fut le moment pour Guilhem et ses compagnons de retourner au pont pour constater la fin des travaux. Arrivés aux abords du chantier, Satan les accueille sur l’ouvrage qu’il vient d’achever, la mine réjouit à l’idée d’emporter avec lui une âme humaine. Il s’adressa alors à Guilhem en ces termes :
- « Je me suis exécuté, l’ouvrage est terminé. J’ai rempli ma part du contrat. A toi maintenant de me donner ce que tu m’as promis. »
Guilhem sortit alors un os de sa veste, le jeta de l’autre côté du Pont et le chien qui se tenait à ses côtés traversa le Pont à grandes enjambées. Alors que le Diable ne comprenait pas la manœuvre, Guilhem s’exclama :
- « Satan, tu vois que je respecte mes engagements. Il y a trois jours de cela, tu me demandais l’âme d’un de mes chiens de serviteur. Et bien, voici le plus fidèle de tous. »
- « ARRRRGH !! Guilhem !! Tu m’as trompé. Ma vengeance sera terrible ! »
Dans sa colère, le Diable tenta de détruire le pont mais l’ayant promis le plus solide possible, il ne put y parvenir. Enfin, comprenant qu’il ne pourrait se venger, il se jeta de dépit dans les eaux de l’Hérault et creusa le gouffre noir dans sa chute.
LE PONT DU DIABLE (FOIX)

Il y a très longtemps, deux villages, Ginabat et Montoulieu, près de Foix dans l'Ariège, se trouvait bien isolés car, dans ces montagnes des abords des Pyrénées, traverser la rivière est difficile et dangereux à cause de ses gouffres et ses tourbillons. Donc, aller se ravitailler ou commercer aux foires de Foix et des environs, demandait de longues heures de marche périlleuses à travers la forêt.
Un jour, un habitant, ne sachant plus que faire pour remédier à cette situation, appela le Diable. Il lui demanda de construire un pont, car tous les habitants, démunis, ne pouvaient le faire par eux même. Le Diable accepta mais, bien sûr, demanda à être payé, en retour. "Je construirai un pont mais en échange je veux l'âme du premier qui le traversera". Le marché fut conclu.
En une nuit, le Diable construisit le pont et au matin attendit. Mais les habitants des deux villages, connaissant le pacte, ne se risquait à traverser, quand celui qui avait négocié avec le malin arriva et à la surprise de tout le monde fit traverser un chat.
Le Diable, fou de rage d'avoir été ainsi berné, s'agita tant et tant qu'il tomba dans la rivière et disparut. Les curés des villages eurent vite fait de bénir le pont et chacun put alors traverser à sa guise.
"Tel est pris qui croyait prendre."
LE PONT VALENTRE

La construction du Pont Valentré débute le 17 juin 1308. Il est terminé entre 1355 et 1378.
Il comporte : 6 arches principales, 3 tours carrées à trois étages et 2 châtelets. Celui de l'ouest a presque entièrement disparu. Quant au châtelet Est son caractère défensif est accentué par les modifications apportées au XIXe siècle.

La légende que nous reproduisons ici explique le nom de Pont du Diable donné au Pont Valentré :
"on raconte que l'architecte ne pouvant venir à bout de son oeuvre, eut recours à Satan et fit un pacte avec lui. Satan s'engageait à l'aider par tous les moyens et à lui obéir ponctuellement, quelque ordre qu'il put recevoir. Le travail fini, l'âme de l'architecte en devait être le prix. Mais si le démon, pour une cause quelconque, refusait de continuer son assistance jusqu'au bout, il perdrait tous ses droits sur le prix en question ; la besogne marcha vite avec un tel manoeuvre.
Quand le pont fut presque fini : - ça se dit en lui-même l'architecte, voici le moment de songer à notre âme, afin que nous n'ayons pas fait un sot marché. Et il porta un crible à son formidable associé : - Ami, lui dit-il, je t'ai trouvé docile jusqu'ici, et tu sais que tu dois l'être jusqu'au bout ; prends ce crible, laisse-le tel qu'il est et l'emploie à puiser de l'eau que tu porteras aux maçons pour délayer la chaux. Le diable se mordit les lèvres de dépit ; il tenta pourtant l'expérience, elle échoua vingt fois. Jamais crible n'a gardé l'eau. Confus, le diable vint avouer sa défaite, mais jura de se venger. A quelque temps de là en effet, lorsque les maçons eurent presque achevé de construire la tour du milieu, ils en trouvèrent l'angle supérieur nord-ouest abattu et il leur fut impossible d'achever cette tour."
Plouguerneau / Plouguerne
Le pont du diable Quand la légende se confond avec la réalité
On l’appelle aussi Pont Krac’h. Le pont du diable est visible à marée basse, mais le cadre est tout de même étonnant à marée haute. On imagine bien le diable faisant ses offices, avec l’eau recouvrant la totalité de ce pont enjambant l’Aber Wrac’h entre le pont du Diouriz et le pont Léon.

D’apparence (à condition d’y aller à marée basse bien sûr), il ressemble à une chaussée . Sa conception remonterait à l’âge de fer, mais il fut remanié au Moyen-âge. Il mesure entre 3 et 5 mètres de large, selon l’endroit où on le foule.
Le pont du diable est formé de gros blocs rocheux recouvert de longues dalles transversales, et percé de quatre arches laissant ainsi passer le courant de la rivière.
La légende du pont du diable
Le meunier des lieux, désolé de devoir faire un long détour pour livrer sur l'autre rive de l'Aber Wrac'h, conclut un pacte avec le diable. Ce dernier lui proposa de construire un pont en échange de la première âme qui le franchirait.
Tout surpris le lendemain matin de trouver le pont construit, il chargea sur son épaule un sac de farine et y enferma aussi son chat.
Au milieu du pont, le meunier simulant la fatigue, s'arrêta, ouvrit son sac : le chat s'échappa et fila droit vers le diable, berné.
Dès lors, on raconte que des paysans quelque peu ivres rentrant la nuit de la foire tombaient du pont et se noyaient, vengeance du diable.

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titevero (FR1) [None]
:: March 15, 2013, 10:52 a.m.
Château hantés
Dame blanche, dame verte, pauvres âmes égarées... Quel château n'a pas son fantôme ? je vous ai sélectionné quelques unes des histoires les plus marquantes, les plus surprenantes aussi...
DONJON DE JOUY

Une étrange découverte
Nous voilà à Sancoins, petite commune située aux confins du Cher et de la Bourgogne. Et qu'y a-t-il à voir, ici ? Un donjon en ruine au milieu de son parc qui abrite aujourd’hui une exposition de sculptures contemporaines en plein air. Elle est bien belle, cette ruine, même si le temps a fait son œuvre !... Haut de 27 mètres, autrefois, le donjon n'est plus habité depuis les guerres de Religion. La redécouverte date de 1862 ; un certain monsieur Desnoyers devient propriétaire des ruines. Il décide de désencombrer l'édifice et ses alentours de tous les gravats qui s'accumulent là depuis tous ces siècles. Mais dans une des salles du second étage, stupeur ! On découvre... deux squelettes (dont on suppose qu'ils ont dû souffrir avant de mourir, mais ça, on verra pourquoi...), l'un portant au doigt une bague en or avec l'inscription gothique « Je suis neuve aussi », anneau de fiançailles typique, un vrai symbole de virginité. Ca alors !
Ces deux corps pourraient-ils avoir un rapport avec cette légende, qui dit qu'encore aujourd'hui, deux silhouettes blanches gémissantes hantent la tour à la tombée du jour ?... La tradition locale veut que se soit les restes d'un couple de jeunes gens qui aurait péri dans l'incendie du château de Jouy, brasier allumé par le sieur de Grivel, comte d'Ourouer et seigneur de Grossouvre... Voilà toute l'histoire : nous sommes à la fin du XVe siècle. Au château de Jouy vit un jeune seigneur, dont on n'a pas retenu le nom. Au château voisin de Grossouvre vit le sire de Grivel avec sa fille, une demoiselle très jolie, la plus belle du pays !
Une tragique histoire d'amour
Les deux seigneurs entretiennent d'excellents rapports de voisinage et viennent souvent rendre une petite visite à l'autre dans son château respectif. Un jour, le jeune homme aperçoit la belle et bien sûr... en tombe éperdument amoureux. Et les sentiments sont réciproques ! Mais Grivel n'est pas vraiment d'accord... Le seigneur attendait peut-être mieux pour sa fille ! On n'en sait rien ! En tout cas, les deux hommes n'arrivent pas à se mettre d'accord, s'embrouillent, se disputent violemment. Mais, trop tard... le sire de Jouy avait déjà passé l'anneau de fiançailles au doigt de la jeune fille...
Elle prie alors son père de se calmer et d'accepter leur union. Mais rien à faire... Désespérée, elle décide un soir de quitter la demeure familiale, aidée de son fiancé qui l'attend un peu plus loin avec des chevaux. C'est que de Grossouvre à Sancoins, on a pas beaucoup de route à faire... Mais quand le père s'aperçoit de l'absence de sa fille, il se met à tempêter et rager si fort qu'il jure de faire payer les deux jeunes gens. Il appelle tous ses hommes, avec un seul mot d'ordre : assiéger le château de Jouy ! Mais une fois sur place, le seigneur de Grivel se heurte à un problème de taille : les puissants murs de Jouy les empêchent de faire quoique se soit ! Alors, il y met le feu... Un gigantesque brasier qui ne tarde pas à déloger les deux amants ; paniqués, il escaladent tant bien que mal le sommet du donjon, jusqu'à ce rendre compte... qu'ils sont piégés comme des rats !

Prisonniers des flammes, condamnés à une mort atroce... Le seigneur de Givrel a-t-il vu sa propre fille succomber, brûlée vive ? En tout cas, on raconte que tous les ans, le jour de l'accident, on voit en haut de la tour la châtelaine en robe de deuil avec un chevalier à ses côtés ; qu'ils montent sur un cheval noir et s'envolent dans les airs... D'autres fois, des gens ont aperçu deux silhouettes sur un cheval faisant en silence le tour du donjon ; d'autres ont vu dans la terre l'empreinte des pas de la jeune femme, à l'entrée d'un souterrain qu'on trouve sous le château...
Château de Carrouges
Le château de Carrouges est un château médiéval du XIVe siècle situé dans la région Basse-Normandie, dans le département de l'Orne, sur la commune de Carrouges.

Légende de Carrouges
Une légende raconte qu'une comtesse de Carrouges surprit son époux dans les bras d'une autre femme. Surprise et furieuse, elle poignarda la malheureuse qui succomba à ses blessures. Néanmoins, cette dernière était une fée qui entreprit de maudire la famille de Carrouges avant de mourir. C'est ainsi que le lendemain du meurtre, le comte était découvert assassiné à son tour. À cette nouvelle, une tâche rouge apparût sur le front de la comtesse qui, quelques mois plus tard accoucha d'un fils lui-même marqué de cette tâche au front. Elle lui donna le nom de Charles (ou Karl-le-Rouge). Et c'est de là que vint le nom Carrouges.
La Fée de la fontaine

Ce manoir fut construit par le comte Ralph qui avait épousé la comtesse Louise de la Motte, jeune personne du voisinage, douée de toutes les qualités de l'esprit et du corps. Six années s'étaient déjà écoulées et leur union était toujours restée stérile.
Aussi quelle fut la joie du comte quand son épouse lui apprit qu'elle serait bientôt mère.
Ralph au comble du bonheur invita tous ses vassaux et ses voisins à célébrer l'heureuse naissance de l'enfant que la comtesse allait lui donner. Les réjouissances durèrent douze jours, et, comme c'était la coutume, la chasse fut le principal plaisir auquel on se livra.
Par une belle matinée d'été, on vit les portes du château s'ouvrir devant les varlets et la meute impatiente. Bientôt les Seigneurs éperonnant leurs coursiers disparurent dans la forêt voisine à la poursuite du cerf. Toute la journée les échos des vallons répétèrent alternativement les joyeuses fanfares et les cris animés des chiens.
Déjà le soleil commençait à refuser sa lumière et les veneurs se rendaient au château ; le comte seul, emporté par une bouillante ardeur, s'était égaré dans les épaisses futaies. Après avoir parcouru dans divers sens les allées de la forêt, il arriva enfin près d'une clairière.
C'est une petite vallée bien sauvage et bien fraîche qui semble complètement isolée du reste du monde. Figurez-vous un ravin d'un quart de lieue environ d'étendue, renfermé entre deux collines couvertes de magnifiques arbres. Au milieu des deux collines, un ruisseau dont les flots se divisent en mille rameaux et se réunissent en un seul canal, qui va marier ses eaux avec celles d'une fontaine ombragée par un massif de saules, et vous aurez une idée de cette clairière. Il faut aller bien loin avant de découvrir une seule habitation, avant d'apercevoir la fumée d'une chaumière, et si rencontrant un homme de la contrée vous lui demandiez le chemin de cette solitude, c'est à peine s'il pourrait vous indiquer les trois sentiers qui y mènent.
En arrivant dans ces lieux, le comte entendit les sons mélodieux d'une voix humaine, on eut dit une sirène qui attirait le navigateur par la douceur de son chant ; alors il se dirigea à l'endroit d'où partait cette voix et vit au bord de la fontaine une jeune fille vêtue de blanc.
Curieux de connaître cette étrange beauté, qui venait à cette heure enchanter ce séjour, Ralph descend de sa monture et s'avance vers elle. La belle inconnue sembla ne pas s'être aperçue de la présence de ce nouvel hôte, et elle continua de baigner ses pieds dans l'onde transparente.
Le comte, attiré par une force invisible, s'approchait toujours, et quand il fut près d'elle il tomba à genou plongé dans un morne silence.
La nymphe de la fontaine se levant alors :
- Jeune étranger, dit-elle, d'où te vient cette témérité d'oser troubler cette solitude, sache qu'on ne vient pas impunément en ce lieu.
Elle tachait de couvrir sous ces paroles menaçantes la joie qui débordait de son cœur.
Ralph effrayé lui répondit :
- Déesse de cet aimable séjour, ayez pitié d'un voyageur que la nuit a surpris dans la forêt, soyez sensible au malheur d'un père, d'un époux.
A peine avait il parlé que la jeune nymphe, levant ses beaux yeux, lui sourit gracieusement, et tout à coup commença avec lui une danse fantastique ; plus il dansait plus la danse s'animait ; leurs pieds ne faisaient qu'effleurer le gazon et pliaient à peine les fleurs qui ornent le rivage. Enfin l'infatigable danseuse l'enlevant de terre se précipita avec lui sous les eaux. L'onde s'agita un instant et reprit bien vite son ancienne tranquillité.
Les ombres luttaient encore avec la lumière, quelques rares étoiles brillaient toujours sur l'azur des cieux ; mais déjà l'orient était couvert d'un manteau d'or et de pourpre, lorsque le comte rentra au château. Sur les demandes empressés des Seigneurs, il raconta qu'égaré dans la forêt il avait passé la cabane d'un bûcheron. Comme c'était un évènement fort commun à cette époque, personne n'en fut étonné et les fêtes recommencèrent avec plus d'ardeur.
Mais chaque soir lorsque tout dormait au château, Ralph sortait furtivement et se rendait au séjour enchanteur de la fée.
Il en fut ainsi pendant plusieurs semaines et personne ne le savait. Mais lorsque la comtesse s'aperçut des absences nocturnes de son époux, de graves soupçons vinrent agiter son âme et elle résolut d'épier ses sorties.
Une nuit que le comte avait, comme de coutume, quitté le château, Louise s'élance aussitôt de sa chambre et court sur ses traces. C'était une de ces nuits d'orage qui effraient les campagnes ; un vent violent soufflait du nord et le tonnerre grondait au sein d'une nue sillonnée d'éclairs. Arrivée à la clairière, la comtesse aperçoit son époux exécuter une danse fantastique avec une jeune fille, revêtue d'un long voile blanc, et s'élancer avec elle dans l'onde de la fontaine.
A cette vue la rage s'empare de son cœur et elle retourne au château, bien résolue de venger l'infidélité d'un époux.
Le lendemain, la comtesse se coucha comme de coutume et feignit de savourer un profond sommeil, mais lorsqu'elle vit le comte sortir encore du château, elle saisit un poignard et se dirigea à l'endroit où elle avait vu la belle fée. La nuit était pure et sereine, l'astre du soir se montrait au dessus des arbres apportant avec lui un brise embaumée ; tantôt il suivait sa course azurée, tantôt il reposait sur un groupe de nues.
Parfois on le voyait dans les intervalles des grands hêtres et sa lumière pénétrait dans les plus épais ténèbres. Le ruisseau qui coulait avec un doux murmure, tour à tour disparaissait dans les bois, tour à tour reparaissait brillant des feux qu'il reflétait dans son sein. La jeune nymphe reposait au bord de la fontaine ; tout à coup une goutte de sang jaillit de son sein, une autre la suivit puis une autre, et bientôt sa blanche tunique fut souillée de nombreuses tâches sanglantes.
Après s'être convulsivement débattue sur le gazon, elle s'élança dans l'onde, en faisant entendre un long gémissement et tout entra dans le silence.
Le lendemain on trouva à l'entrée du château le corps du comte étendu sur le sol, un poignard lui traversait le cœur et près de la blessure on vit un petit billet sur lequel étaient écrits ces mots :
- Je suis vengée.
Lorsqu'on voulut annoncer à la comtesse la mort de son époux, on la trouva étendue sur son lit et dévorée par une fièvre ardente ; mais tout à coup ses suivantes reculèrent d'horreur et sortirent précipitamment de la chambre en poussant de grands cris. Louise surprise porte instinctivement la main à sa tête et s'aperçoit qu'une tâche sanglante maculait son front.
Cet incident agita tellement son âme, que deux jours après elle était au bord de la tombe. Ce fut dans ces circonstances qu'elle donna le jour à un bel enfant...
Le fils de la comtesse eut six enfants, et tous portèrent au front ce stigmate de punition. Ce n'était d'abord qu'un petit point rougeâtre, puis vers sept ans ce point s'élargissait et ressemblait enfin à une tâche sanglante.
Cette marque distingua pendant sept générations la postérité de la comtesse. Enfin Radolphe, le dernier des Ralph, n'eut qu'une fille. Sans doute la colère de la fée était apaisée. Aucune trace sanglante ne souilla le front pur de cette enfant.
Si l'on croit la tradition, cette localité aurait reçu le nom de Carrouges, pour rappeler la triste punition qui avait pendant si longtemps affligé l'illustre famille des Ralph, et le mot Carrouge signifierait chair ensanglantée (caro chair, rubra rouge).
Souvent, disent les habitants de Carrouges, nous avons vu la jeune comtesse, ornée d'un voile noir, venir au pied d'un vieux hêtre pleurer son crime ; et si vous interrogez les habitants du voisinage, ils vous diront aussi que, fréquemment, ils ont vu, par une tiède nuit d'été, la belle fée sur le bord de la fontaine, revêtue d'une tunique ensanglantée.
Ancien château de Montségur-sur-Lauzon

Dans la Drôme, ce petit village a gardé les vestiges du château médiéval et de son enceinte, appelé « Vieux Montségur », un ancien village que les habitants ont déserté au XIXe siècle pour installer le nouveau village à l’emplacement actuel. Les Templiers construisent l'ancien château au XIe siècle. Une fois l'ordre supprimé, c'est la famille de Beaumont qui s'y installe. Mais le château a appartenu au baron des Adrets, terrible chef protestant pendant les guerres de Religion. Il y fait aménager une cachette redoutable par des ingénieurs italiens, cachette diabolique connue de lui seul... Et oui, car Montségur a ses secrets, ses mystères... Une terrible légende (un fait divers, plutôt), bien connue dans la région, a pour cadre ce château aujourd'hui totalement ruiné, et ce depuis 1793.
Une disparition tragique...
Au début du XVIIIe siècle, le château appartient à la famille de Pracontal. En 1715, Lucie de Pracontal, âgé de 18 ans, se marie avec le seigneur de Quinsonnas. Une foule très nombreuse se presse pour l’événement, jusque dans la petite église du village. Ensuite, tout le monde revient au château. On commence à servir à boire, à manger quelques sucreries et des fruits en attendant le grand banquet du soir. Lucie fait de même, prend un fruit sec qu'elle veut couper en deux pour donner la moitié à son mari. Mais le manche du couteau dérape et vient taper contre l'alliance... qui se brise en deux par terre. Oups ! Terrible présage... Le silence se fait un moment, la mariée pâlit. Elle finit par se reprendre et change de conversation : et si on jouait à cache cache ? Tous les invités prennent part au jeu pendant une heure. Puis vient l'heure du repas. Une seule personne manque à l'appel : Lucie !
On la cherche dans ses appartements, dans tout le château, le parc... mais rien. Soudain, les parents de Lucie se mettent à penser à ce trou béant au milieu de la pelouse, sous un des murs de la façade. Un abîme sans fond qui engloutirait celui qui y tomberait... Des accidents étaient déjà arrivé. On se précipite alors devant ce trou, et persuadé que la jeune femme est tombée là, on se met à partir à sa recherche, le marié le premier. Mais en bas, aucune trace de Lucie, pas une trace ! On passe la soirée à parcourir cette brèche dans les moindres recoins. Pendant ce temps, on fouille le puits et le village de Montségur, car des gens du voyage installés là aurait pu agresser la jeune fille pour lui voler ses beaux bijoux. Mais toujours rien ! On ne savait pas ce qu'était devenu Lucie. Et sans corps, les parents ne peuvent pas faire leur deuil. La mère fait placer devant la brèche une petite croix avec ces mots, « Lucie de Pracontal, 25 juin 1715 », mais aussi une petite muraille pour éviter que pareil accident ne se reproduise. Puis la mère se retire loin de son château, se réfugiant dans la prière. Mais déjà la légende d'une Dame blanche fleurit...
Trente ans plus tard...
Les années passent. Nous voilà en 1745. Le château n'est plus habité que par un gardien qui le fait visiter aux touristes de passage. Trois jeunes gens de la région, Paul de Causans, Louis de Crussol, Maurice de Rabasteins, justement, veulent y faire un tour. On leur fait visiter toutes les pièces. Arrivé devant le trou, le gardien raconte l'histoire de Lucie. Et puis, il les laisse refaire le tour du château. Les jeunes gens se mettent à jouer à cache-cache ! Maurice de Rabasteins sent qu'il va dénicher la meilleure cachette... Il traverse plusieurs pièces, puis s'arrête dans l'une d'elles, en très mauvais état.
Il entend ses amis rire juste à côté, alors il se rabat brusquement contre le mur pour ne pas être vu. Mais là, il sent le mur se dérober ! Maurice vient de tomber dans une sorte de couloir, fermé par un mécanisme secret qu'il a dû actionner sans faire exprès. Il décide de s'y enfoncer ; le couloir est très, très étroit, très sombre ! Il sent sous ses doigts, dans le mur qu'il tâtonne, un autre mécanisme. Une porte s'ouvre, donnant sur une petite chambre. Se tenant toujours à la porte, il se penche un peu, mais glisse, tombe, et la porte... se referme derrière lui ! Pas de verrou, pas de poignée... Le cœur battant, Maurice découvre qu'il s'est fait enfermer. La pièce est uniquement éclairé par deux petits soupiraux.
Pris au piège !
Tenant de calmer les battements de son cœur, il commence à s'habituer à la pénombre : ses yeux détaillent le mobilier sommaire, une sorte de lit, un fauteuil, une petite table... et s'il se trouvait dans la cachette du baron des Adrets ? Dans le fauteuil, il distingue une forme humaine comme... endormie. Mais son sang se glace quand il s'aperçoit qu'elle ne dort pas et qu'elle porte une robe de mariée... Lucie ! La voilà, celle qu'on croyait disparu, qui a finit sa vie ici, enfermée, morte de soif et de faim ! Le même sort l'attend... Horrifié par ce terrifiant corps momifié, il commence à hurler. Mais sa voix ne porte pas loin, les murs sont trop épais. Il ne peut pas non plus s'enfuir par le soupirail. Non, la situation semble désespérée... et la nuit tombe. Pendant ce temps, ses amis le cherche, là-haut ! Toute la nuit... Au petit matin, Maurice se fait réveiller par deux yeux jaunes : un chat !
Le matou revient le voir plusieurs fois, et repart toujours par le soupirail. Le jeune homme saisit sa chance : il attache sa cravate autour de l'animal et le lance par la petite ouverture. Les amis tombent sur le chat dans la journée et reprennent espoir : en suivant le chat, peut-être qu'ils trouveront leur ami... Effectivement, le félin finit par retourner dans le soupirail à la nuit tombée. Maurice est là ! Ils se mettent à élargir l'ouverture, et le sauvent de sa prison. En deux jours, ses cheveux sont devenus tout blancs... La mère de Lucie viendra reconnaître sa fille. Des ouvriers appelés là ne découvrirent jamais comment le baron des Adrets faisait pour ouvrir la porte de l'intérieur. On plaça Lucie dans une chapelle construite dans le château ; tout cela a été détruit en 1793...
Dame blanche, dame verte, pauvres âmes égarées... Quel château n'a pas son fantôme ? je vous ai sélectionné quelques unes des histoires les plus marquantes, les plus surprenantes aussi...
DONJON DE JOUY

Une étrange découverte
Nous voilà à Sancoins, petite commune située aux confins du Cher et de la Bourgogne. Et qu'y a-t-il à voir, ici ? Un donjon en ruine au milieu de son parc qui abrite aujourd’hui une exposition de sculptures contemporaines en plein air. Elle est bien belle, cette ruine, même si le temps a fait son œuvre !... Haut de 27 mètres, autrefois, le donjon n'est plus habité depuis les guerres de Religion. La redécouverte date de 1862 ; un certain monsieur Desnoyers devient propriétaire des ruines. Il décide de désencombrer l'édifice et ses alentours de tous les gravats qui s'accumulent là depuis tous ces siècles. Mais dans une des salles du second étage, stupeur ! On découvre... deux squelettes (dont on suppose qu'ils ont dû souffrir avant de mourir, mais ça, on verra pourquoi...), l'un portant au doigt une bague en or avec l'inscription gothique « Je suis neuve aussi », anneau de fiançailles typique, un vrai symbole de virginité. Ca alors !
Ces deux corps pourraient-ils avoir un rapport avec cette légende, qui dit qu'encore aujourd'hui, deux silhouettes blanches gémissantes hantent la tour à la tombée du jour ?... La tradition locale veut que se soit les restes d'un couple de jeunes gens qui aurait péri dans l'incendie du château de Jouy, brasier allumé par le sieur de Grivel, comte d'Ourouer et seigneur de Grossouvre... Voilà toute l'histoire : nous sommes à la fin du XVe siècle. Au château de Jouy vit un jeune seigneur, dont on n'a pas retenu le nom. Au château voisin de Grossouvre vit le sire de Grivel avec sa fille, une demoiselle très jolie, la plus belle du pays !
Une tragique histoire d'amour
Les deux seigneurs entretiennent d'excellents rapports de voisinage et viennent souvent rendre une petite visite à l'autre dans son château respectif. Un jour, le jeune homme aperçoit la belle et bien sûr... en tombe éperdument amoureux. Et les sentiments sont réciproques ! Mais Grivel n'est pas vraiment d'accord... Le seigneur attendait peut-être mieux pour sa fille ! On n'en sait rien ! En tout cas, les deux hommes n'arrivent pas à se mettre d'accord, s'embrouillent, se disputent violemment. Mais, trop tard... le sire de Jouy avait déjà passé l'anneau de fiançailles au doigt de la jeune fille...
Elle prie alors son père de se calmer et d'accepter leur union. Mais rien à faire... Désespérée, elle décide un soir de quitter la demeure familiale, aidée de son fiancé qui l'attend un peu plus loin avec des chevaux. C'est que de Grossouvre à Sancoins, on a pas beaucoup de route à faire... Mais quand le père s'aperçoit de l'absence de sa fille, il se met à tempêter et rager si fort qu'il jure de faire payer les deux jeunes gens. Il appelle tous ses hommes, avec un seul mot d'ordre : assiéger le château de Jouy ! Mais une fois sur place, le seigneur de Grivel se heurte à un problème de taille : les puissants murs de Jouy les empêchent de faire quoique se soit ! Alors, il y met le feu... Un gigantesque brasier qui ne tarde pas à déloger les deux amants ; paniqués, il escaladent tant bien que mal le sommet du donjon, jusqu'à ce rendre compte... qu'ils sont piégés comme des rats !

Prisonniers des flammes, condamnés à une mort atroce... Le seigneur de Givrel a-t-il vu sa propre fille succomber, brûlée vive ? En tout cas, on raconte que tous les ans, le jour de l'accident, on voit en haut de la tour la châtelaine en robe de deuil avec un chevalier à ses côtés ; qu'ils montent sur un cheval noir et s'envolent dans les airs... D'autres fois, des gens ont aperçu deux silhouettes sur un cheval faisant en silence le tour du donjon ; d'autres ont vu dans la terre l'empreinte des pas de la jeune femme, à l'entrée d'un souterrain qu'on trouve sous le château...
Château de Carrouges
Le château de Carrouges est un château médiéval du XIVe siècle situé dans la région Basse-Normandie, dans le département de l'Orne, sur la commune de Carrouges.

Légende de Carrouges
Une légende raconte qu'une comtesse de Carrouges surprit son époux dans les bras d'une autre femme. Surprise et furieuse, elle poignarda la malheureuse qui succomba à ses blessures. Néanmoins, cette dernière était une fée qui entreprit de maudire la famille de Carrouges avant de mourir. C'est ainsi que le lendemain du meurtre, le comte était découvert assassiné à son tour. À cette nouvelle, une tâche rouge apparût sur le front de la comtesse qui, quelques mois plus tard accoucha d'un fils lui-même marqué de cette tâche au front. Elle lui donna le nom de Charles (ou Karl-le-Rouge). Et c'est de là que vint le nom Carrouges.
La Fée de la fontaine

Ce manoir fut construit par le comte Ralph qui avait épousé la comtesse Louise de la Motte, jeune personne du voisinage, douée de toutes les qualités de l'esprit et du corps. Six années s'étaient déjà écoulées et leur union était toujours restée stérile.
Aussi quelle fut la joie du comte quand son épouse lui apprit qu'elle serait bientôt mère.
Ralph au comble du bonheur invita tous ses vassaux et ses voisins à célébrer l'heureuse naissance de l'enfant que la comtesse allait lui donner. Les réjouissances durèrent douze jours, et, comme c'était la coutume, la chasse fut le principal plaisir auquel on se livra.
Par une belle matinée d'été, on vit les portes du château s'ouvrir devant les varlets et la meute impatiente. Bientôt les Seigneurs éperonnant leurs coursiers disparurent dans la forêt voisine à la poursuite du cerf. Toute la journée les échos des vallons répétèrent alternativement les joyeuses fanfares et les cris animés des chiens.
Déjà le soleil commençait à refuser sa lumière et les veneurs se rendaient au château ; le comte seul, emporté par une bouillante ardeur, s'était égaré dans les épaisses futaies. Après avoir parcouru dans divers sens les allées de la forêt, il arriva enfin près d'une clairière.
C'est une petite vallée bien sauvage et bien fraîche qui semble complètement isolée du reste du monde. Figurez-vous un ravin d'un quart de lieue environ d'étendue, renfermé entre deux collines couvertes de magnifiques arbres. Au milieu des deux collines, un ruisseau dont les flots se divisent en mille rameaux et se réunissent en un seul canal, qui va marier ses eaux avec celles d'une fontaine ombragée par un massif de saules, et vous aurez une idée de cette clairière. Il faut aller bien loin avant de découvrir une seule habitation, avant d'apercevoir la fumée d'une chaumière, et si rencontrant un homme de la contrée vous lui demandiez le chemin de cette solitude, c'est à peine s'il pourrait vous indiquer les trois sentiers qui y mènent.
En arrivant dans ces lieux, le comte entendit les sons mélodieux d'une voix humaine, on eut dit une sirène qui attirait le navigateur par la douceur de son chant ; alors il se dirigea à l'endroit d'où partait cette voix et vit au bord de la fontaine une jeune fille vêtue de blanc.
Curieux de connaître cette étrange beauté, qui venait à cette heure enchanter ce séjour, Ralph descend de sa monture et s'avance vers elle. La belle inconnue sembla ne pas s'être aperçue de la présence de ce nouvel hôte, et elle continua de baigner ses pieds dans l'onde transparente.
Le comte, attiré par une force invisible, s'approchait toujours, et quand il fut près d'elle il tomba à genou plongé dans un morne silence.
La nymphe de la fontaine se levant alors :
- Jeune étranger, dit-elle, d'où te vient cette témérité d'oser troubler cette solitude, sache qu'on ne vient pas impunément en ce lieu.
Elle tachait de couvrir sous ces paroles menaçantes la joie qui débordait de son cœur.
Ralph effrayé lui répondit :
- Déesse de cet aimable séjour, ayez pitié d'un voyageur que la nuit a surpris dans la forêt, soyez sensible au malheur d'un père, d'un époux.
A peine avait il parlé que la jeune nymphe, levant ses beaux yeux, lui sourit gracieusement, et tout à coup commença avec lui une danse fantastique ; plus il dansait plus la danse s'animait ; leurs pieds ne faisaient qu'effleurer le gazon et pliaient à peine les fleurs qui ornent le rivage. Enfin l'infatigable danseuse l'enlevant de terre se précipita avec lui sous les eaux. L'onde s'agita un instant et reprit bien vite son ancienne tranquillité.
Les ombres luttaient encore avec la lumière, quelques rares étoiles brillaient toujours sur l'azur des cieux ; mais déjà l'orient était couvert d'un manteau d'or et de pourpre, lorsque le comte rentra au château. Sur les demandes empressés des Seigneurs, il raconta qu'égaré dans la forêt il avait passé la cabane d'un bûcheron. Comme c'était un évènement fort commun à cette époque, personne n'en fut étonné et les fêtes recommencèrent avec plus d'ardeur.
Mais chaque soir lorsque tout dormait au château, Ralph sortait furtivement et se rendait au séjour enchanteur de la fée.
Il en fut ainsi pendant plusieurs semaines et personne ne le savait. Mais lorsque la comtesse s'aperçut des absences nocturnes de son époux, de graves soupçons vinrent agiter son âme et elle résolut d'épier ses sorties.
Une nuit que le comte avait, comme de coutume, quitté le château, Louise s'élance aussitôt de sa chambre et court sur ses traces. C'était une de ces nuits d'orage qui effraient les campagnes ; un vent violent soufflait du nord et le tonnerre grondait au sein d'une nue sillonnée d'éclairs. Arrivée à la clairière, la comtesse aperçoit son époux exécuter une danse fantastique avec une jeune fille, revêtue d'un long voile blanc, et s'élancer avec elle dans l'onde de la fontaine.
A cette vue la rage s'empare de son cœur et elle retourne au château, bien résolue de venger l'infidélité d'un époux.
Le lendemain, la comtesse se coucha comme de coutume et feignit de savourer un profond sommeil, mais lorsqu'elle vit le comte sortir encore du château, elle saisit un poignard et se dirigea à l'endroit où elle avait vu la belle fée. La nuit était pure et sereine, l'astre du soir se montrait au dessus des arbres apportant avec lui un brise embaumée ; tantôt il suivait sa course azurée, tantôt il reposait sur un groupe de nues.
Parfois on le voyait dans les intervalles des grands hêtres et sa lumière pénétrait dans les plus épais ténèbres. Le ruisseau qui coulait avec un doux murmure, tour à tour disparaissait dans les bois, tour à tour reparaissait brillant des feux qu'il reflétait dans son sein. La jeune nymphe reposait au bord de la fontaine ; tout à coup une goutte de sang jaillit de son sein, une autre la suivit puis une autre, et bientôt sa blanche tunique fut souillée de nombreuses tâches sanglantes.
Après s'être convulsivement débattue sur le gazon, elle s'élança dans l'onde, en faisant entendre un long gémissement et tout entra dans le silence.
Le lendemain on trouva à l'entrée du château le corps du comte étendu sur le sol, un poignard lui traversait le cœur et près de la blessure on vit un petit billet sur lequel étaient écrits ces mots :
- Je suis vengée.
Lorsqu'on voulut annoncer à la comtesse la mort de son époux, on la trouva étendue sur son lit et dévorée par une fièvre ardente ; mais tout à coup ses suivantes reculèrent d'horreur et sortirent précipitamment de la chambre en poussant de grands cris. Louise surprise porte instinctivement la main à sa tête et s'aperçoit qu'une tâche sanglante maculait son front.
Cet incident agita tellement son âme, que deux jours après elle était au bord de la tombe. Ce fut dans ces circonstances qu'elle donna le jour à un bel enfant...
Le fils de la comtesse eut six enfants, et tous portèrent au front ce stigmate de punition. Ce n'était d'abord qu'un petit point rougeâtre, puis vers sept ans ce point s'élargissait et ressemblait enfin à une tâche sanglante.
Cette marque distingua pendant sept générations la postérité de la comtesse. Enfin Radolphe, le dernier des Ralph, n'eut qu'une fille. Sans doute la colère de la fée était apaisée. Aucune trace sanglante ne souilla le front pur de cette enfant.
Si l'on croit la tradition, cette localité aurait reçu le nom de Carrouges, pour rappeler la triste punition qui avait pendant si longtemps affligé l'illustre famille des Ralph, et le mot Carrouge signifierait chair ensanglantée (caro chair, rubra rouge).
Souvent, disent les habitants de Carrouges, nous avons vu la jeune comtesse, ornée d'un voile noir, venir au pied d'un vieux hêtre pleurer son crime ; et si vous interrogez les habitants du voisinage, ils vous diront aussi que, fréquemment, ils ont vu, par une tiède nuit d'été, la belle fée sur le bord de la fontaine, revêtue d'une tunique ensanglantée.
Ancien château de Montségur-sur-Lauzon

Dans la Drôme, ce petit village a gardé les vestiges du château médiéval et de son enceinte, appelé « Vieux Montségur », un ancien village que les habitants ont déserté au XIXe siècle pour installer le nouveau village à l’emplacement actuel. Les Templiers construisent l'ancien château au XIe siècle. Une fois l'ordre supprimé, c'est la famille de Beaumont qui s'y installe. Mais le château a appartenu au baron des Adrets, terrible chef protestant pendant les guerres de Religion. Il y fait aménager une cachette redoutable par des ingénieurs italiens, cachette diabolique connue de lui seul... Et oui, car Montségur a ses secrets, ses mystères... Une terrible légende (un fait divers, plutôt), bien connue dans la région, a pour cadre ce château aujourd'hui totalement ruiné, et ce depuis 1793.
Une disparition tragique...
Au début du XVIIIe siècle, le château appartient à la famille de Pracontal. En 1715, Lucie de Pracontal, âgé de 18 ans, se marie avec le seigneur de Quinsonnas. Une foule très nombreuse se presse pour l’événement, jusque dans la petite église du village. Ensuite, tout le monde revient au château. On commence à servir à boire, à manger quelques sucreries et des fruits en attendant le grand banquet du soir. Lucie fait de même, prend un fruit sec qu'elle veut couper en deux pour donner la moitié à son mari. Mais le manche du couteau dérape et vient taper contre l'alliance... qui se brise en deux par terre. Oups ! Terrible présage... Le silence se fait un moment, la mariée pâlit. Elle finit par se reprendre et change de conversation : et si on jouait à cache cache ? Tous les invités prennent part au jeu pendant une heure. Puis vient l'heure du repas. Une seule personne manque à l'appel : Lucie !
On la cherche dans ses appartements, dans tout le château, le parc... mais rien. Soudain, les parents de Lucie se mettent à penser à ce trou béant au milieu de la pelouse, sous un des murs de la façade. Un abîme sans fond qui engloutirait celui qui y tomberait... Des accidents étaient déjà arrivé. On se précipite alors devant ce trou, et persuadé que la jeune femme est tombée là, on se met à partir à sa recherche, le marié le premier. Mais en bas, aucune trace de Lucie, pas une trace ! On passe la soirée à parcourir cette brèche dans les moindres recoins. Pendant ce temps, on fouille le puits et le village de Montségur, car des gens du voyage installés là aurait pu agresser la jeune fille pour lui voler ses beaux bijoux. Mais toujours rien ! On ne savait pas ce qu'était devenu Lucie. Et sans corps, les parents ne peuvent pas faire leur deuil. La mère fait placer devant la brèche une petite croix avec ces mots, « Lucie de Pracontal, 25 juin 1715 », mais aussi une petite muraille pour éviter que pareil accident ne se reproduise. Puis la mère se retire loin de son château, se réfugiant dans la prière. Mais déjà la légende d'une Dame blanche fleurit...
Trente ans plus tard...
Les années passent. Nous voilà en 1745. Le château n'est plus habité que par un gardien qui le fait visiter aux touristes de passage. Trois jeunes gens de la région, Paul de Causans, Louis de Crussol, Maurice de Rabasteins, justement, veulent y faire un tour. On leur fait visiter toutes les pièces. Arrivé devant le trou, le gardien raconte l'histoire de Lucie. Et puis, il les laisse refaire le tour du château. Les jeunes gens se mettent à jouer à cache-cache ! Maurice de Rabasteins sent qu'il va dénicher la meilleure cachette... Il traverse plusieurs pièces, puis s'arrête dans l'une d'elles, en très mauvais état.
Il entend ses amis rire juste à côté, alors il se rabat brusquement contre le mur pour ne pas être vu. Mais là, il sent le mur se dérober ! Maurice vient de tomber dans une sorte de couloir, fermé par un mécanisme secret qu'il a dû actionner sans faire exprès. Il décide de s'y enfoncer ; le couloir est très, très étroit, très sombre ! Il sent sous ses doigts, dans le mur qu'il tâtonne, un autre mécanisme. Une porte s'ouvre, donnant sur une petite chambre. Se tenant toujours à la porte, il se penche un peu, mais glisse, tombe, et la porte... se referme derrière lui ! Pas de verrou, pas de poignée... Le cœur battant, Maurice découvre qu'il s'est fait enfermer. La pièce est uniquement éclairé par deux petits soupiraux.
Pris au piège !
Tenant de calmer les battements de son cœur, il commence à s'habituer à la pénombre : ses yeux détaillent le mobilier sommaire, une sorte de lit, un fauteuil, une petite table... et s'il se trouvait dans la cachette du baron des Adrets ? Dans le fauteuil, il distingue une forme humaine comme... endormie. Mais son sang se glace quand il s'aperçoit qu'elle ne dort pas et qu'elle porte une robe de mariée... Lucie ! La voilà, celle qu'on croyait disparu, qui a finit sa vie ici, enfermée, morte de soif et de faim ! Le même sort l'attend... Horrifié par ce terrifiant corps momifié, il commence à hurler. Mais sa voix ne porte pas loin, les murs sont trop épais. Il ne peut pas non plus s'enfuir par le soupirail. Non, la situation semble désespérée... et la nuit tombe. Pendant ce temps, ses amis le cherche, là-haut ! Toute la nuit... Au petit matin, Maurice se fait réveiller par deux yeux jaunes : un chat !
Le matou revient le voir plusieurs fois, et repart toujours par le soupirail. Le jeune homme saisit sa chance : il attache sa cravate autour de l'animal et le lance par la petite ouverture. Les amis tombent sur le chat dans la journée et reprennent espoir : en suivant le chat, peut-être qu'ils trouveront leur ami... Effectivement, le félin finit par retourner dans le soupirail à la nuit tombée. Maurice est là ! Ils se mettent à élargir l'ouverture, et le sauvent de sa prison. En deux jours, ses cheveux sont devenus tout blancs... La mère de Lucie viendra reconnaître sa fille. Des ouvriers appelés là ne découvrirent jamais comment le baron des Adrets faisait pour ouvrir la porte de l'intérieur. On plaça Lucie dans une chapelle construite dans le château ; tout cela a été détruit en 1793...
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titevero (FR1) [None]
:: March 15, 2013, 11:11 a.m.
Châteaux Hantés suite ..
Le Château de Fougeret
Château situé dans la commune de Queaux, dans le département de la Vienne.
En 2010, un reportage est consacré au château dans l'émission « La soirée de l'étrange », sur TF1. En effet, les actuels propriétaires affirmaient avoir constaté des phénomènes paranormaux dans la propriété3. Parmi les fantômes que les propriétaires affirment avoir identifié, on compte Alice, morte en 1924, d’une maladie des reins et des poumons et Félix, mort en 1898 à environ 35 ans.
CHÂTEAU DE VEAUCE
Ah ! S'il existe un château bel et bien hanté en France, c'est celui de Veauce ! Allez chercher le nom de Veauce sur le Web, vous verrez les quantités de résultats qu'il existe sur son fantôme, la quantité de reportages faits depuis les années 80... On y a même pris une photo montrant une forme blanche, on y a enregistré un son qui ressemble à un cri... En fait, la légende ne repose sur aucun fait historique. Elle dit qu'au milieu du XVIe siècle, le seigneur de Veauce, un certain Guy de Daillon, tombe fou amoureux d'une jeune fille roturière sans le sou, Lucie. La femme de Guy, Jacqueline de La Fayette, ne tarde pas à apprendre l'aventure de son mari ! Hors d'elle, elle fait enfermer la jeune femme dans l'oubliette la plus sombre du château. La légende dit que Lucie y est morte lentement, dans d'horribles souffrances...
Depuis, depuis, certains affirment avoir vu cette âme en peine hanter les courtines dès minuit sonné... Certains ? Mais qui ça ? On veut des noms ! Et bien, l'histoire attire très vite les journalistes : TF1, France Inter, France 3 viennent tour à tour dans l’espoir de capturer ne serait-ce qu'une petite image... ne serait-ce pas parce que qu'Ephraim Tagori de La Tour, son fantasque propriétaire dans les années 80, a fait courir le bruit qu'un fantôme rode dans le château ? Parce qu'avant lui, personne n'a entendu parlé de Lucie ! Enfin bon... On a pensé à l'époque que le monsieur manquait d'argent, et qu'ouvrir le château à la visite avec cette histoire de fantôme lui assurerait une petit gloire et un peu d'argent... En tout cas, un son et une image ont été capturé en 1984 par l'équipe d'un journaliste parisien de France Inter.
A minuit, un globe lumineux apparaît sur les courtines et se promène. L'apparition dure une vingtaine de minutes. La caméra n'enregistre rien, mais quelques pellicules ont capturé quelque chose, une... silhouette. Dès 1990, on s’intéressa beaucoup moins au fantôme de Veauce, peut-être par qu'Ephraim, très vieux maintenant, n'organise plus rien autour de son château... Il meurt en 1998 et Veauce est vendu. Depuis, Lucie se sait bien rare, mais il émane des pièces de l’austère forteresse comme un sentiment d'étrangeté...
Lucie hante le chateau depuis des générations. Des photos de son fantôme et des enregistrements ont pu être pris.Vérité ou supercherie, à chacun de se faire une opinion en visionnant la vidéo.
[video=dailymotion;x3aka1]http://www.dailymotion.com/video/x3aka1_fantome-du-chateau-hante-lucie_news[/video]
Le Château de Fougeret
Château situé dans la commune de Queaux, dans le département de la Vienne.
En 2010, un reportage est consacré au château dans l'émission « La soirée de l'étrange », sur TF1. En effet, les actuels propriétaires affirmaient avoir constaté des phénomènes paranormaux dans la propriété3. Parmi les fantômes que les propriétaires affirment avoir identifié, on compte Alice, morte en 1924, d’une maladie des reins et des poumons et Félix, mort en 1898 à environ 35 ans.
CHÂTEAU DE VEAUCE
Ah ! S'il existe un château bel et bien hanté en France, c'est celui de Veauce ! Allez chercher le nom de Veauce sur le Web, vous verrez les quantités de résultats qu'il existe sur son fantôme, la quantité de reportages faits depuis les années 80... On y a même pris une photo montrant une forme blanche, on y a enregistré un son qui ressemble à un cri... En fait, la légende ne repose sur aucun fait historique. Elle dit qu'au milieu du XVIe siècle, le seigneur de Veauce, un certain Guy de Daillon, tombe fou amoureux d'une jeune fille roturière sans le sou, Lucie. La femme de Guy, Jacqueline de La Fayette, ne tarde pas à apprendre l'aventure de son mari ! Hors d'elle, elle fait enfermer la jeune femme dans l'oubliette la plus sombre du château. La légende dit que Lucie y est morte lentement, dans d'horribles souffrances...
Depuis, depuis, certains affirment avoir vu cette âme en peine hanter les courtines dès minuit sonné... Certains ? Mais qui ça ? On veut des noms ! Et bien, l'histoire attire très vite les journalistes : TF1, France Inter, France 3 viennent tour à tour dans l’espoir de capturer ne serait-ce qu'une petite image... ne serait-ce pas parce que qu'Ephraim Tagori de La Tour, son fantasque propriétaire dans les années 80, a fait courir le bruit qu'un fantôme rode dans le château ? Parce qu'avant lui, personne n'a entendu parlé de Lucie ! Enfin bon... On a pensé à l'époque que le monsieur manquait d'argent, et qu'ouvrir le château à la visite avec cette histoire de fantôme lui assurerait une petit gloire et un peu d'argent... En tout cas, un son et une image ont été capturé en 1984 par l'équipe d'un journaliste parisien de France Inter.
A minuit, un globe lumineux apparaît sur les courtines et se promène. L'apparition dure une vingtaine de minutes. La caméra n'enregistre rien, mais quelques pellicules ont capturé quelque chose, une... silhouette. Dès 1990, on s’intéressa beaucoup moins au fantôme de Veauce, peut-être par qu'Ephraim, très vieux maintenant, n'organise plus rien autour de son château... Il meurt en 1998 et Veauce est vendu. Depuis, Lucie se sait bien rare, mais il émane des pièces de l’austère forteresse comme un sentiment d'étrangeté...
Lucie hante le chateau depuis des générations. Des photos de son fantôme et des enregistrements ont pu être pris.Vérité ou supercherie, à chacun de se faire une opinion en visionnant la vidéo.
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[1054766]
Bellalouna2 [None]
:: March 15, 2013, 12:44 p.m.
J'ai commencé à lire... et j'ai tout dévoré avec un immense plaisir, merci pour ce beau travail que tu nous fait partager.
[1054778]
titevero (FR1) [None]
:: March 15, 2013, 5:38 p.m.
La dame blanche de la Chapelle du Châtelard

Chaque village semble posséder ses histoires et ses légendes. La Chapelle-du-Châtelard, dans l'Ain, ne déroge pas à la règle. La nuit, certains disent avoir aperçu le fantôme d'une femme, errant dans la rue. Elle rejoindrait la fontaine du bourg pour y laver des vêtements ensanglantés. Mais qui se cache derrière cette dame blanche ? Beaucoup y voient Lucie de Bréhéville, une femme qui aurait assassiné son père parce qu'il s'opposait à son mariage. Cet étrange personnage reste encore un mystère.
Ruines d'un château médieval à Saint Sorlin en Bugey Dans l' Ain

La dame blanche au berceau vide erre dans le ruines.
On voit parfois de nuit à Saint-Sorlin,dans les rues de la vieille ville ou parmi les ruines des deux chateaux féodaux que compte le bourg, errer une dame blanche aux formes vaporeuses portant dans les bras un berceau vide.
En 1349,le village,bien plus important que de nos jours, fut affligé par une année de très mauvaises recoltes.La famine menacait et les habitants en attribuérent la responsabilite aux juifs de la ville.
Ce fut l'occasion d un grand massacre.Les corps des malheureux juifs restèrent sans sépulture,ce qui fut cause d' une épidemie de fièvres qui toucha pratiquement tous les habitants du village.
Cette année-la,un couple de bourgeois de Saint-Sorlin,Lionette et Gilbert Marechal,perdirent dans l'épidemie un nouveau-né,le fils dont ils avaient tant esperé la venue.Gilbert fut emporté par la maladie et Lionette perdit la raison et mourut dans l'année.
Depuis,on la voit parcourir les restes de l ancien village ,comme les ruines des 2 châteaux féodaux voisins.Elle apparait la nuit, forme diaphane vêtue de la robe de ses noces,portant dans les bras un couffin vide.On la nomme la dame blanche des ruines.
Le Fantome du Chateau de Puymartin
Il était une fois au fin fond du Périgord le Château de Puymartin. Semblable par son architecture à celui de la Belle au Bois Dormant, son histoire relève plus de l'étrange que du conte de fée. Car, depuis le 16e siècle, la rumeur court : le château abriterait le fantôme de la Dame Blanche.
Construit vers 1270, Le château Puymartin était autrefois entouré en contrebas du village du même nom. Il servit de frontière entre la France et l'Angleterre lorsque débuta la Guerre de 100 ans.
Ensuite pillé, privé de ses créneaux, remparts, tours et toitures, il fut repris en 1450 par Radulphe de Saint-Clar, reconstruit et agrandi. Il faudra ensuite attendre la fin des guerres au 17e siècle, pour que la demeure retrouve paix et sérénité.
Outre l'élégance de l'architecture générale, vous pourrez y admirer un magnifique escalier à vis, une chambre d'honneur ornée de tapisseries de la manufacture d'Aubusson, des poutres "à la française" ainsi qu'un mobilier transmis au fil des siècles. Depuis 1450, l'édifice est la propriété de la même famille.
Une exceptionnelle " chambre mythologique ", classée par les Monuments Historiques, présente également des " Grisailles " (peintures en noir et blanc sur blanc d'œuf) dont les scènes sont tirées de la mythologie Grecque. Toutes ces œuvres, dans un état de conservation quasi-parfait, ont été réalisées entre 1650 et 1671.
Sur les pas de la Dame Blanche

Ca vous dit, un petit tête-à-tête avec la Dame blanche de Puymartin ? Beaucoup, beaucoup de châteaux et de lieux en France se vantent d'avoir une Dame blanche, pauvre âme perdue condamnée à une errance sans fin... Ici, donc, en Périgord, notre fantôme s'appelle Thérèse de Saint-Clar, héroïne malgré elle d'une sinistre histoire... Nous voilà revenus au XVIe siècle ; Thérèse se trouve être la jeune et belle épouse du seigneur de Puymartin, Jean de Saint-Clar. Mariage bien malheureux ! Le mari est beaucoup plus âgé, mais en plus, il quitte souvent sa femme pour guerroyer dans des contrées lointaines... Le temps semble long, tellement long, dans ce petit coin d'Aquitaine...
Lassée, Thérèse finit par tomber amoureuse d'un jeune gentilhomme. Ils se voient presque tous les jours, leur passion grandit, tant et si bien qu'ils en oublient toute précaution ! Et le mari, rentré à l'improviste, trouve sa femme dans les bras de son amant... en bien fâcheuse posture ! Ni une ni deux, il pourfend son rival et fait enfermer Thérèse dans la petite chambre de la tour Nord qui avait accueilli tout ce temps ses ébats. Seule, elle ne parle à personne ; on la ravitaille à travers une petite trappe qu'on voit encore dans le plafond...
Elle meurt au bout de quinze ans passés dans cette petite pièce. On raconte que son mari refuse de lui donner une sépulture décente, laissant son âme alors sans repos... Pire, on dit qu'il a emmuré son corps dans les murs... brrr, sinistre, je vous le disais ! Depuis, visiteurs comme propriétaires disent avoir vu une silhouette sortir de la chambre et faire le tour du château... sans pourtant pouvoir préciser à quoi ressemble cette apparition, et si c'est bien Thérèse de Saint-Clar. En tout cas, une atmosphère plus qu'étrange règne à Puymartin !
Depuis, nombreux sont ceux qui disent avoir vu une Dame Blanche parcourir les chemins de ronde de Puymartin pour finalement entrer dans cette chambre de souffrance.
Si vous souhaitez à votre tour faire la connaissance du spectre qui dénoue le plus de langues, le Château de Puymartin vous ouvre ses portes pour quelques heures, le temps d'une visite, ou plus… pour une nuit. Oserez-vous ?
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Chaque village semble posséder ses histoires et ses légendes. La Chapelle-du-Châtelard, dans l'Ain, ne déroge pas à la règle. La nuit, certains disent avoir aperçu le fantôme d'une femme, errant dans la rue. Elle rejoindrait la fontaine du bourg pour y laver des vêtements ensanglantés. Mais qui se cache derrière cette dame blanche ? Beaucoup y voient Lucie de Bréhéville, une femme qui aurait assassiné son père parce qu'il s'opposait à son mariage. Cet étrange personnage reste encore un mystère.
Ruines d'un château médieval à Saint Sorlin en Bugey Dans l' Ain
La dame blanche au berceau vide erre dans le ruines.
On voit parfois de nuit à Saint-Sorlin,dans les rues de la vieille ville ou parmi les ruines des deux chateaux féodaux que compte le bourg, errer une dame blanche aux formes vaporeuses portant dans les bras un berceau vide.
En 1349,le village,bien plus important que de nos jours, fut affligé par une année de très mauvaises recoltes.La famine menacait et les habitants en attribuérent la responsabilite aux juifs de la ville.
Ce fut l'occasion d un grand massacre.Les corps des malheureux juifs restèrent sans sépulture,ce qui fut cause d' une épidemie de fièvres qui toucha pratiquement tous les habitants du village.
Cette année-la,un couple de bourgeois de Saint-Sorlin,Lionette et Gilbert Marechal,perdirent dans l'épidemie un nouveau-né,le fils dont ils avaient tant esperé la venue.Gilbert fut emporté par la maladie et Lionette perdit la raison et mourut dans l'année.
Depuis,on la voit parcourir les restes de l ancien village ,comme les ruines des 2 châteaux féodaux voisins.Elle apparait la nuit, forme diaphane vêtue de la robe de ses noces,portant dans les bras un couffin vide.On la nomme la dame blanche des ruines.
Le Fantome du Chateau de Puymartin
Il était une fois au fin fond du Périgord le Château de Puymartin. Semblable par son architecture à celui de la Belle au Bois Dormant, son histoire relève plus de l'étrange que du conte de fée. Car, depuis le 16e siècle, la rumeur court : le château abriterait le fantôme de la Dame Blanche.
Construit vers 1270, Le château Puymartin était autrefois entouré en contrebas du village du même nom. Il servit de frontière entre la France et l'Angleterre lorsque débuta la Guerre de 100 ans.
Ensuite pillé, privé de ses créneaux, remparts, tours et toitures, il fut repris en 1450 par Radulphe de Saint-Clar, reconstruit et agrandi. Il faudra ensuite attendre la fin des guerres au 17e siècle, pour que la demeure retrouve paix et sérénité.
Outre l'élégance de l'architecture générale, vous pourrez y admirer un magnifique escalier à vis, une chambre d'honneur ornée de tapisseries de la manufacture d'Aubusson, des poutres "à la française" ainsi qu'un mobilier transmis au fil des siècles. Depuis 1450, l'édifice est la propriété de la même famille.
Une exceptionnelle " chambre mythologique ", classée par les Monuments Historiques, présente également des " Grisailles " (peintures en noir et blanc sur blanc d'œuf) dont les scènes sont tirées de la mythologie Grecque. Toutes ces œuvres, dans un état de conservation quasi-parfait, ont été réalisées entre 1650 et 1671.
Sur les pas de la Dame Blanche

Ca vous dit, un petit tête-à-tête avec la Dame blanche de Puymartin ? Beaucoup, beaucoup de châteaux et de lieux en France se vantent d'avoir une Dame blanche, pauvre âme perdue condamnée à une errance sans fin... Ici, donc, en Périgord, notre fantôme s'appelle Thérèse de Saint-Clar, héroïne malgré elle d'une sinistre histoire... Nous voilà revenus au XVIe siècle ; Thérèse se trouve être la jeune et belle épouse du seigneur de Puymartin, Jean de Saint-Clar. Mariage bien malheureux ! Le mari est beaucoup plus âgé, mais en plus, il quitte souvent sa femme pour guerroyer dans des contrées lointaines... Le temps semble long, tellement long, dans ce petit coin d'Aquitaine...
Lassée, Thérèse finit par tomber amoureuse d'un jeune gentilhomme. Ils se voient presque tous les jours, leur passion grandit, tant et si bien qu'ils en oublient toute précaution ! Et le mari, rentré à l'improviste, trouve sa femme dans les bras de son amant... en bien fâcheuse posture ! Ni une ni deux, il pourfend son rival et fait enfermer Thérèse dans la petite chambre de la tour Nord qui avait accueilli tout ce temps ses ébats. Seule, elle ne parle à personne ; on la ravitaille à travers une petite trappe qu'on voit encore dans le plafond...
Elle meurt au bout de quinze ans passés dans cette petite pièce. On raconte que son mari refuse de lui donner une sépulture décente, laissant son âme alors sans repos... Pire, on dit qu'il a emmuré son corps dans les murs... brrr, sinistre, je vous le disais ! Depuis, visiteurs comme propriétaires disent avoir vu une silhouette sortir de la chambre et faire le tour du château... sans pourtant pouvoir préciser à quoi ressemble cette apparition, et si c'est bien Thérèse de Saint-Clar. En tout cas, une atmosphère plus qu'étrange règne à Puymartin !
Depuis, nombreux sont ceux qui disent avoir vu une Dame Blanche parcourir les chemins de ronde de Puymartin pour finalement entrer dans cette chambre de souffrance.
Si vous souhaitez à votre tour faire la connaissance du spectre qui dénoue le plus de langues, le Château de Puymartin vous ouvre ses portes pour quelques heures, le temps d'une visite, ou plus… pour une nuit. Oserez-vous ?
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titevero (FR1) [None]
:: March 15, 2013, 11:54 p.m.
Est-ce une pente ou une côte ? La curiosité de Lauriole est un mystère
Là-bas, on l’appelle la curiosité de Lauriole. Cette petite portion de route, après Fauzan (à 6 km à l’ouest de Minerve), continue de faire couler beaucoup d’encre. Phénomène paranormal pour les uns, magnétique pour les autres, il s’agit en fait d’une illusion d’optique amusante. Le mieux pour s’en rendre compte est de se placer en voiture en haut de la route et d’avancer en première vers l’épingle à cheveu. Vous aurez alors l’impression de descendre. Là, se mettre au point mort et lâcher le frein à main. La voiture va "monter la côte" toute seule !
La voiture est au point mort...elle monte toute seule :
[video=dailymotion;x365sj]http://www.dailymotion.com/video/x365sj_mystere-autour-de-cette-cote-qui-de_fun[/video]
Alcatraz, vous connaissez. La célèbre prison construite sur un piton rocheux au large de San Francisco est devenu un lieu touristique qui, depuis presque 50 ans, est un but de visite pour plus d'un million de personnes par an. Mais si ceux-là sont de chair et d'os, certains phénomènes étranges laissent penser qu'ils ne sont pas les seuls à fréquenter les lieux.

Histoires de Fantômes à Alcatraz

A la fin des années 1850, les premiers détenus à occuper Alcatraz étaient des prisonniers militaires qui étaient mis à la tâche de construire une nouvelle prison qui sera plus tard connue sous le nom «le Rocher». L'armée étasunienne a utilisé l'île jusqu'en 1933, époque à laquelle le gouvernement fédéral a décidé d'ouvrir un pénitencier à maximum de sécurité et minimum de privilèges pour les détenus les plus incorrigibles.
Alcatraz était conçue pour briser les prisonniers rebelles en les plaçant dans une routine monotone et structurée jusqu'à leur libération. Les prisonniers recevaient quatre éléments de base : nourriture,vêtements, toit et soins médicaux. Ils ne recevaient rien qui ne puisse être gagné. Des criminels célèbres comme Al Capone, George "Machine-Gun" Kelly, Alvin Karpis et Arthur "Doc" Barker ont passé du temps à Alcatraz. Les gangsters réussissaient souvent à obtenir des privilèges spéciaux de la part des gardes dans d'autres prisons, mais pas à Alcatraz.
Châtiment sévère
•La cellule d'isolement
Les prisonniers qui refusaient de suivre les règles de la prison risquaient d'être confinés dans la cellule d'isolement située à l'étage le plus bas du bloc D. C'était une cellule sombre en acier où les détenus y étaient déshabilles et recevaient du pain et de l'eau une fois par jour et de temps en temps un repas et un matelas la nuit. Les seuls toilettes étaient un «trou» dans le plancher et il n'y avait pas d'évier. Lorsqu'ils y étaient, les forçats n'avaient aucun contact avec les autres et passaient leur temps dans l'obscurité et la solitude.
•Le trou du bloc D
Semblables à la cellule d'isolement, il y avait cinq «trous» également à l'étage le plus bas où les prisonniers étaient gardés en isolement jusqu'à 19 jours. Les cellules contenaient des toilettes, un évier, une ampoule et un matelas uniquement pour la nuit.
Fermeture de la prison
A cause du coût énorme pour remettre à neuf la prison, celle-ci fut fermée en 1963. Plus tard, l'île et des parties de la prison furent réouvertes pour des visites au public quotidiennes.
Légendes de torture A cause du fait qu'Alcatraz était construite sur une île et si isolée du regard du public, des rumeurs de prisonniers torturés et autres esprits revanchards revenant hanter les halls d'Alcatraz ont commencé à circuler.
Les histoires de fantômes d'Alcatraz
• Le couloir de lignes à haute tension Un des secteurs dont certains prétendent qu'il possède le plus d'activité paranormale est un couloir de lignes à haute tension où les détenus Coy, Cretzer et Hubbard ont été criblés de balles après l'échec d'une tentative d'évasion. C'est là qu'en 1976, un gardien de nuit a déclaré avoir entendu de
sinistres sons métalliques provenant de l'intérieur.
•La cellule 14 D Certains croient que la cellule 14 D, un des «trous», est très chargée en esprits. Des visiteurs et des employés ont raconté avoir ressenti un froid glacial et parfois, une « énergie » soudaine enveloppe la cellule. On raconte que dans les années 1940, un prisonnier qui y était enfermé, a crié toute la nuit qu'une créature aux yeux brillants essayait de le tuer. Le lendemain, les gardes ont découvert.
l'homme étranglé à mort dans la cellule. Personne n'a jamais revendiqué la responsabilité de la mort du détenu, cependant le lendemain lors de l'appel, les gardes comptèrent un prisonnier de trop.
Certains ont prétendu avoir vu le détenu mort en rang avec les autres détenus, mais seulement une seconde avant qu'il ne disparaisse.
• Warden Johnston
D'autres histoires ont circulé sur Warden Johnston, surnommé «Warden Règle d'Or
», qui a aussi été confronté à un événement bizarre alors qu'il faisait visiter la prison. Selon la légende, Johnston et son groupe ont entendu quelqu'un sangloter à l'intérieur des murs de la prison, puis un vent glacial frappa le groupe. Johnston ne put jamais trouver d'explication à ces faits.
•Les blocs A, B et C
Les visiteurs des blocs A et B affirment avoir entendu pleurer et gémir. Un médium en visite a écrit qu'alors qu'il se trouvait dans le bloc C, il est tombé sur un esprit turbulent dénommé Butcher. Les archives de la prison montrent qu'un autre détenu dans le bloc C a assassiné Abie Maldowitz, un tueur à gage de la mafia connu sous le nom de Butcher.
Dès 1973, l'île d'Alcatraz ouvre ses portes aux publics afin d'être visitée par les touristes du monde entier.
De nombreux visiteurs témoignent avoir ressentis une étrange sensation les envahir à peine arrivé sur l'île et également d'avoir été témoins d'étranges manifestations.
-Des ombres apparaîtraient dans le couloir principal, phénomène probablement lié au fait que trois détenus tentant de fuir les gardiens, furent abattus en ce même lieu.
-Le bloc C serait hanté par trois fantômes de détenus décédés dans la prison durant leur incarcération.
-Il semblerait que la musique du Banjo d'Al Capone résonne parfois près des douches, là où il en jouait de son vivant, à déclaré un gardien de la prison.
-Dans la chapelle et la blanchisserie, l'apparition de George la mitraille aurait été remarquée.
-Ainsi que celle du suicidé Alvin l'affreux dans la cuisine et la boulangerie.
-Celle d'un détenu assassiné dans la cellule d'isolement 14D, apparaîtrait dans celle-ci accompagné d'un vent violent.
-Mais aussi celle d'un prisonnier mort en ces lieux aurait été vu dans le bloc de cellules Michigan, le spectre, accompagné de cris, de bruit et d'une odeur de cadavre, fixerai les personnes y entrant.
Il est dit que même lorsque la prison était encore en activité, de drôles de phénomènes s'y passaient, tel que des bruits de pas, des cris des odeurs très fortes et aucun de ces faits ne purent être expliqués...
[video=dailymotion;x9kjhj]http://www.dailymotion.com/video/x9kjhj_les-fantomes-d-alcatraz_tech[/video]
[video=dailymotion;xgzjek]http://www.dailymotion.com/video/xgzjek_operation-fantomes-11-prison-alcatraz-2-de-3_news[/video]
[video=dailymotion;xgzizc]http://www.dailymotion.com/video/xgzizc_operation-fantomes-11-prison-alcatraz-3-de-3_news[/video]
Là-bas, on l’appelle la curiosité de Lauriole. Cette petite portion de route, après Fauzan (à 6 km à l’ouest de Minerve), continue de faire couler beaucoup d’encre. Phénomène paranormal pour les uns, magnétique pour les autres, il s’agit en fait d’une illusion d’optique amusante. Le mieux pour s’en rendre compte est de se placer en voiture en haut de la route et d’avancer en première vers l’épingle à cheveu. Vous aurez alors l’impression de descendre. Là, se mettre au point mort et lâcher le frein à main. La voiture va "monter la côte" toute seule !
La voiture est au point mort...elle monte toute seule :
[video=dailymotion;x365sj]http://www.dailymotion.com/video/x365sj_mystere-autour-de-cette-cote-qui-de_fun[/video]
Alcatraz, vous connaissez. La célèbre prison construite sur un piton rocheux au large de San Francisco est devenu un lieu touristique qui, depuis presque 50 ans, est un but de visite pour plus d'un million de personnes par an. Mais si ceux-là sont de chair et d'os, certains phénomènes étranges laissent penser qu'ils ne sont pas les seuls à fréquenter les lieux.

Histoires de Fantômes à Alcatraz

A la fin des années 1850, les premiers détenus à occuper Alcatraz étaient des prisonniers militaires qui étaient mis à la tâche de construire une nouvelle prison qui sera plus tard connue sous le nom «le Rocher». L'armée étasunienne a utilisé l'île jusqu'en 1933, époque à laquelle le gouvernement fédéral a décidé d'ouvrir un pénitencier à maximum de sécurité et minimum de privilèges pour les détenus les plus incorrigibles.
Alcatraz était conçue pour briser les prisonniers rebelles en les plaçant dans une routine monotone et structurée jusqu'à leur libération. Les prisonniers recevaient quatre éléments de base : nourriture,vêtements, toit et soins médicaux. Ils ne recevaient rien qui ne puisse être gagné. Des criminels célèbres comme Al Capone, George "Machine-Gun" Kelly, Alvin Karpis et Arthur "Doc" Barker ont passé du temps à Alcatraz. Les gangsters réussissaient souvent à obtenir des privilèges spéciaux de la part des gardes dans d'autres prisons, mais pas à Alcatraz.
Châtiment sévère
•La cellule d'isolement
Les prisonniers qui refusaient de suivre les règles de la prison risquaient d'être confinés dans la cellule d'isolement située à l'étage le plus bas du bloc D. C'était une cellule sombre en acier où les détenus y étaient déshabilles et recevaient du pain et de l'eau une fois par jour et de temps en temps un repas et un matelas la nuit. Les seuls toilettes étaient un «trou» dans le plancher et il n'y avait pas d'évier. Lorsqu'ils y étaient, les forçats n'avaient aucun contact avec les autres et passaient leur temps dans l'obscurité et la solitude.
•Le trou du bloc D
Semblables à la cellule d'isolement, il y avait cinq «trous» également à l'étage le plus bas où les prisonniers étaient gardés en isolement jusqu'à 19 jours. Les cellules contenaient des toilettes, un évier, une ampoule et un matelas uniquement pour la nuit.
Fermeture de la prison
A cause du coût énorme pour remettre à neuf la prison, celle-ci fut fermée en 1963. Plus tard, l'île et des parties de la prison furent réouvertes pour des visites au public quotidiennes.
Légendes de torture A cause du fait qu'Alcatraz était construite sur une île et si isolée du regard du public, des rumeurs de prisonniers torturés et autres esprits revanchards revenant hanter les halls d'Alcatraz ont commencé à circuler.
Les histoires de fantômes d'Alcatraz
• Le couloir de lignes à haute tension Un des secteurs dont certains prétendent qu'il possède le plus d'activité paranormale est un couloir de lignes à haute tension où les détenus Coy, Cretzer et Hubbard ont été criblés de balles après l'échec d'une tentative d'évasion. C'est là qu'en 1976, un gardien de nuit a déclaré avoir entendu de
sinistres sons métalliques provenant de l'intérieur.
•La cellule 14 D Certains croient que la cellule 14 D, un des «trous», est très chargée en esprits. Des visiteurs et des employés ont raconté avoir ressenti un froid glacial et parfois, une « énergie » soudaine enveloppe la cellule. On raconte que dans les années 1940, un prisonnier qui y était enfermé, a crié toute la nuit qu'une créature aux yeux brillants essayait de le tuer. Le lendemain, les gardes ont découvert.
l'homme étranglé à mort dans la cellule. Personne n'a jamais revendiqué la responsabilité de la mort du détenu, cependant le lendemain lors de l'appel, les gardes comptèrent un prisonnier de trop.
Certains ont prétendu avoir vu le détenu mort en rang avec les autres détenus, mais seulement une seconde avant qu'il ne disparaisse.
• Warden Johnston
D'autres histoires ont circulé sur Warden Johnston, surnommé «Warden Règle d'Or
», qui a aussi été confronté à un événement bizarre alors qu'il faisait visiter la prison. Selon la légende, Johnston et son groupe ont entendu quelqu'un sangloter à l'intérieur des murs de la prison, puis un vent glacial frappa le groupe. Johnston ne put jamais trouver d'explication à ces faits.
•Les blocs A, B et C
Les visiteurs des blocs A et B affirment avoir entendu pleurer et gémir. Un médium en visite a écrit qu'alors qu'il se trouvait dans le bloc C, il est tombé sur un esprit turbulent dénommé Butcher. Les archives de la prison montrent qu'un autre détenu dans le bloc C a assassiné Abie Maldowitz, un tueur à gage de la mafia connu sous le nom de Butcher.
Dès 1973, l'île d'Alcatraz ouvre ses portes aux publics afin d'être visitée par les touristes du monde entier.
De nombreux visiteurs témoignent avoir ressentis une étrange sensation les envahir à peine arrivé sur l'île et également d'avoir été témoins d'étranges manifestations.
-Des ombres apparaîtraient dans le couloir principal, phénomène probablement lié au fait que trois détenus tentant de fuir les gardiens, furent abattus en ce même lieu.
-Le bloc C serait hanté par trois fantômes de détenus décédés dans la prison durant leur incarcération.
-Il semblerait que la musique du Banjo d'Al Capone résonne parfois près des douches, là où il en jouait de son vivant, à déclaré un gardien de la prison.
-Dans la chapelle et la blanchisserie, l'apparition de George la mitraille aurait été remarquée.
-Ainsi que celle du suicidé Alvin l'affreux dans la cuisine et la boulangerie.
-Celle d'un détenu assassiné dans la cellule d'isolement 14D, apparaîtrait dans celle-ci accompagné d'un vent violent.
-Mais aussi celle d'un prisonnier mort en ces lieux aurait été vu dans le bloc de cellules Michigan, le spectre, accompagné de cris, de bruit et d'une odeur de cadavre, fixerai les personnes y entrant.
Il est dit que même lorsque la prison était encore en activité, de drôles de phénomènes s'y passaient, tel que des bruits de pas, des cris des odeurs très fortes et aucun de ces faits ne purent être expliqués...
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titevero (FR1) [None]
:: March 16, 2013, 10:59 a.m.
Le Sanatorium De Waverly Hills

Situé à Louisville dans l’état du Kentucky, le sanatorium de Waverly Hills (anciennement Waverley Hills) domine les hauteurs de la région de par son allure spectrale et impressionnante. Aujourd’hui considéré à tort ou à raison comme un haut lieu de phénomènes inexpliqués, le sanatorium a avant tout été un hôpital accueillant les malades de la tuberculose durant de nombreuses années. Waverly Hills a par ailleurs fait l’objet de différents reportages, films et émissions, mais a également été édité en bande dessinée.
Les origines du sanatorium remontent en 1883, lorsque le major Thomas H. Hays fait l’acquisition d’un terrain situé au sommet d’une colline, où il installe sa demeure familiale. Afin de promouvoir à l’éducation de ses filles et pour pallier à la trop longue distance qui sépare le domicile du groupe scolaire le plus proche, le major Hays décide de fonder une école sur son nouveau site. Il embauche une institutrice du nom de Lizzie Lee Harris qui choisit de baptiser l’endroit « Waverley school «, ou Ecole Waverley . Thomas Hays conserve ce nom pour sa propriété qui devient alors Waverley Hills, dénomination par la suite conservée lors du rachat du site par la ville au début du XXème siècle.
Vue aérienne du sanatorium
C’est en effet à cette époque qu’une épidémie de tuberculose se déclare en Europe et en Amérique du Nord. Afin d’être en mesure de traiter les premiers patients atteints de la maladie dans le Comté de Jefferson, un premier bâtiment annonçant le futur sanatorium voit le jour en 1911 après deux ans de travaux. Cette construction en bois répartie sur deux étages peut alors accueillir jusqu’à 50 patients au stade initial de la maladie. La structure n’est composée que de quelques bâtiments administratifs, de salles de traitements et d’une cuisine. Le sommet de la colline, éloigné des habitations les plus proches, offre un terrain de choix à ce nouvel hôpital afin de limiter les risques de contagion. Mais la tuberculose gagnant du terrain, il devient très vite urgent d’agrandir la structure afin de soigner les cas les plus avancés. De nouveaux travaux démarrent dès le milieu de l’année 1911 pour s’achever en décembre 1912. En attendant l’achèvement des nouveaux locaux, les patients sont logés dans des tentes provisoires. A cette nouvelle structure s’ajoute en 1916 un pavillon de 40 lits pour enfants, portant ainsi la capacité totale d’accueil à 130 malades.
Mais en raison d’un manque de lits toujours plus important et de l’aspect rudimentaire des structures en bois, de nouveaux travaux d’agrandissement démarrent, ponctués par l’inauguration en octobre 1926 d’un sanatorium de cinq étages pouvant accueillir plus de 400 patients (478 malades sont recensés rien que pour la seule année 1932). On y trouve de nombreux tuberculeux habitant la région, puis plus tard quelques soldats de la seconde guerre mondiale rentrés du front pour cause d’infection.
Faute de moyens médicamenteux efficaces pour lutter contre la tuberculose pulmonaire, le sanatorium est cependant à la pointe en matière d’équipements destinés à améliorer le confort des malades. En plus des différentes salles de soins et d’examens, le sanatorium se compose entre autres de magasins, d’une boulangerie, d’un salon de coiffure et d’un dentiste. Des bâtiments annexes se trouvent situés de part et d’autre du bâtiment principal. Des solariums ouverts situés dans les différents étages permettent aux patients de bénéficier en toute saison d’un accès à l’air pur et au soleil dans un cadre de forêts environnantes, conditions favorables au processus de guérison de la maladie. Des couvertures chauffantes et un traitement par héliothérapie à l’aide de lampes ultraviolets permettent d’offrir des soins similaires en cas de conditions climatiques défavorables.
Quatre des nombreux patients du sanatorium
Le sanatorium bénéficie par ailleurs de ses propres élevages et cultures dans le cadre d’un régime alimentaire très strict destiné à compléter le traitement de la maladie. Des activités d’ergothérapie sont également proposées aux patients. Certains objets réalisés par les malades eux-mêmes ont ainsi permis de récolter des fonds nécessaires au bon fonctionnement du sanatorium, ou pour aider à la recherche. Un accès à la radio est également proposé, ainsi que des promenades à cheval ou des projections de films.
L'après Waverly Hills
Après la fermeture définitive du sanatorium, l’ancien hôpital passe entre les mains successives de différents propriétaires ayant chacun des projets de reconversions du site bien aboutis. Il est alors question de transformer les vieux bâtiments en prison de haute sécurité, en appartements, ou en chapelle, théâtre et autres boutiques souvenirs. Le plus gros projet consiste en la construction de la plus grande statue du Christ au monde, en référence au modèle visible au sommet du mont Corcovado de Rio de Janeiro. Ces différents projets ont la plupart du temps avorté en raison d’un manque de moyens financiers.
En 2001, la propriété et vendue au couple Mattingly qui se lance alors dans un vaste chantier de rénovation. Car avec le temps et le vandalisme, le sanatorium est tombé dans un délabrement complet nécessitant d’importants travaux de restauration. Le plus gros de ces travaux a lieu dans l’aile nord du bâtiment qui a particulièrement souffert. Durant quatre ans, le chantier permet notamment de réduire les risques liés à l’amiante, de réparer la toiture, ou d’installer de nouvelles portes et fenêtres. Il convient aussi de nettoyer les nombreux débris et déchets qui jonchent le sol, ou de déboiser la zone envahie par les arbres de la forêt environnante. Pour limiter les risques d’intrusion au sein de la propriété, un système de sécurité composé de caméras de surveillances et de gardiens est mis en place.
Actuellement, un nouveau projet élaboré depuis fin 2008 pourrait permettre de transformer l’ancien sanatorium en un hôtel quatre étoiles. Le site est par ailleurs ouvert au public par le biais de visites guidées payantes organisées aussi bien de jour que de nuit sur simple réservation.
[video=dailymotion;xuf1bk]http://www.dailymotion.com/video/xuf1bk_ghost-adventures-le-sanitarium-de-waverly-hillss04e05_tech[/video]

Situé à Louisville dans l’état du Kentucky, le sanatorium de Waverly Hills (anciennement Waverley Hills) domine les hauteurs de la région de par son allure spectrale et impressionnante. Aujourd’hui considéré à tort ou à raison comme un haut lieu de phénomènes inexpliqués, le sanatorium a avant tout été un hôpital accueillant les malades de la tuberculose durant de nombreuses années. Waverly Hills a par ailleurs fait l’objet de différents reportages, films et émissions, mais a également été édité en bande dessinée.
Les origines du sanatorium remontent en 1883, lorsque le major Thomas H. Hays fait l’acquisition d’un terrain situé au sommet d’une colline, où il installe sa demeure familiale. Afin de promouvoir à l’éducation de ses filles et pour pallier à la trop longue distance qui sépare le domicile du groupe scolaire le plus proche, le major Hays décide de fonder une école sur son nouveau site. Il embauche une institutrice du nom de Lizzie Lee Harris qui choisit de baptiser l’endroit « Waverley school «, ou Ecole Waverley . Thomas Hays conserve ce nom pour sa propriété qui devient alors Waverley Hills, dénomination par la suite conservée lors du rachat du site par la ville au début du XXème siècle.

C’est en effet à cette époque qu’une épidémie de tuberculose se déclare en Europe et en Amérique du Nord. Afin d’être en mesure de traiter les premiers patients atteints de la maladie dans le Comté de Jefferson, un premier bâtiment annonçant le futur sanatorium voit le jour en 1911 après deux ans de travaux. Cette construction en bois répartie sur deux étages peut alors accueillir jusqu’à 50 patients au stade initial de la maladie. La structure n’est composée que de quelques bâtiments administratifs, de salles de traitements et d’une cuisine. Le sommet de la colline, éloigné des habitations les plus proches, offre un terrain de choix à ce nouvel hôpital afin de limiter les risques de contagion. Mais la tuberculose gagnant du terrain, il devient très vite urgent d’agrandir la structure afin de soigner les cas les plus avancés. De nouveaux travaux démarrent dès le milieu de l’année 1911 pour s’achever en décembre 1912. En attendant l’achèvement des nouveaux locaux, les patients sont logés dans des tentes provisoires. A cette nouvelle structure s’ajoute en 1916 un pavillon de 40 lits pour enfants, portant ainsi la capacité totale d’accueil à 130 malades.
Mais en raison d’un manque de lits toujours plus important et de l’aspect rudimentaire des structures en bois, de nouveaux travaux d’agrandissement démarrent, ponctués par l’inauguration en octobre 1926 d’un sanatorium de cinq étages pouvant accueillir plus de 400 patients (478 malades sont recensés rien que pour la seule année 1932). On y trouve de nombreux tuberculeux habitant la région, puis plus tard quelques soldats de la seconde guerre mondiale rentrés du front pour cause d’infection.
Faute de moyens médicamenteux efficaces pour lutter contre la tuberculose pulmonaire, le sanatorium est cependant à la pointe en matière d’équipements destinés à améliorer le confort des malades. En plus des différentes salles de soins et d’examens, le sanatorium se compose entre autres de magasins, d’une boulangerie, d’un salon de coiffure et d’un dentiste. Des bâtiments annexes se trouvent situés de part et d’autre du bâtiment principal. Des solariums ouverts situés dans les différents étages permettent aux patients de bénéficier en toute saison d’un accès à l’air pur et au soleil dans un cadre de forêts environnantes, conditions favorables au processus de guérison de la maladie. Des couvertures chauffantes et un traitement par héliothérapie à l’aide de lampes ultraviolets permettent d’offrir des soins similaires en cas de conditions climatiques défavorables.

Le sanatorium bénéficie par ailleurs de ses propres élevages et cultures dans le cadre d’un régime alimentaire très strict destiné à compléter le traitement de la maladie. Des activités d’ergothérapie sont également proposées aux patients. Certains objets réalisés par les malades eux-mêmes ont ainsi permis de récolter des fonds nécessaires au bon fonctionnement du sanatorium, ou pour aider à la recherche. Un accès à la radio est également proposé, ainsi que des promenades à cheval ou des projections de films.
L'après Waverly Hills
Après la fermeture définitive du sanatorium, l’ancien hôpital passe entre les mains successives de différents propriétaires ayant chacun des projets de reconversions du site bien aboutis. Il est alors question de transformer les vieux bâtiments en prison de haute sécurité, en appartements, ou en chapelle, théâtre et autres boutiques souvenirs. Le plus gros projet consiste en la construction de la plus grande statue du Christ au monde, en référence au modèle visible au sommet du mont Corcovado de Rio de Janeiro. Ces différents projets ont la plupart du temps avorté en raison d’un manque de moyens financiers.
En 2001, la propriété et vendue au couple Mattingly qui se lance alors dans un vaste chantier de rénovation. Car avec le temps et le vandalisme, le sanatorium est tombé dans un délabrement complet nécessitant d’importants travaux de restauration. Le plus gros de ces travaux a lieu dans l’aile nord du bâtiment qui a particulièrement souffert. Durant quatre ans, le chantier permet notamment de réduire les risques liés à l’amiante, de réparer la toiture, ou d’installer de nouvelles portes et fenêtres. Il convient aussi de nettoyer les nombreux débris et déchets qui jonchent le sol, ou de déboiser la zone envahie par les arbres de la forêt environnante. Pour limiter les risques d’intrusion au sein de la propriété, un système de sécurité composé de caméras de surveillances et de gardiens est mis en place.
Actuellement, un nouveau projet élaboré depuis fin 2008 pourrait permettre de transformer l’ancien sanatorium en un hôtel quatre étoiles. Le site est par ailleurs ouvert au public par le biais de visites guidées payantes organisées aussi bien de jour que de nuit sur simple réservation.
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System [None]
:: March 16, 2013, 11:24 a.m.
Super! Comme d'habitude, super détaillé!
[1054812]
Bellalouna2 [None]
:: March 16, 2013, 11:55 a.m.
Moi j'ai oublié de respirer pendant la vidéo...