Forum: bigfarm-fr
Board: [785] Jeux et divertissements
Topic: [51692] Mythe, conte et légende & Histoires extraordinaires
[1054822]
titevero (FR1) [None]
:: March 16, 2013, 5:34 p.m.
Vendredi 13

Le vendredi 13 fait partie intégrante de nos vies depuis l'enfance, chance ou malchance, cela dépend de chacun.
Pour certains, le vendredi 13 est synonyme d'événements malheureux et de catastrophes inexpliquées. Pour d'autres, cette date est au contraire associée à la chance. Mais d'où vient cette superstition d'après vous ?
La Bible

Cette croyance associant le vendredi 13 au malheur aurait des origines bibliques. En effet, d'après le Nouveau Testament, lors de la Cène, dernier repas du Christ, les participants auraient été au nombre de 13 : Jésus et ses 12 apôtres, "Simon, appelé Pierre, et André, son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ; Philippe, et Barthélemy ; Thomas, et Matthieu, le publicain ; Jacques, fils d'Alphée, et Thaddée ; Simon le Zélote (ou le Cananite), et Judas l'Iscariote, celui qui livra Jésus. ». Pour ce qui est de la crainte du vendredi, elle viendrait du fait que le Christ aurait été crucifié un vendredi, mais cela reste assez flou...
Des mythes
selon la mythologie nordique, Odin, dieu des guerriers, avait un jour réuni onze de ses amis dieux pour un diner, dans sa demeure de Valhalla. Loki, dieu de la guerre et du mal, vexé de ne pas être de la fête, décida de s'inviter malgré tout. Seulement, ce treizième invité surprise n'était pas le bienvenu. Le fils d'Odin, le beau Balder, dieu de l'amour et de la lumière, tenta de chasser l'intrus. Une bataille éclata entre les deux dieux qui se vouaient une haine depuis toujours. Loki, dieu jaloux et malveillant, lui décocha une flèche empoisonnée en plein coeur, abattant Balder le "bien aimé". Depuis cette légende, dans les pays scandinaves, le chiffre 13 est considéré comme maudit et être 13 à table porterait malheur. Voilà pourquoi certains ne veulent pas prendre place à table lorsqu'on est 13...
Dans une autre mythologie nordique, Frigga (ou Freya) était la reine des dieux, déesse de l'amour et de la fertilité. Elle était célébrée par ses adorateurs le vendredi. Le mot "friday", vendredi en anglais, viendrait d'ailleurs de cette célébration et signifierait "Freya's day". Mais aux Xe et XIe siècles, les pays du nord sont progressivement convertis au christianisme. On se met alors à raconter que Frigga est en réalité une sorcière et qu'elle a été bannie au sommet d'une montagne. Pour se venger, elle inviterait, tous les vendredis, le diable et 11 sorcières pour maudire les hommes et leur jeter de mauvais sorts.

Le sud n'est pas en reste non plus en ce qui concerne les mythes. Ainsi, les Grecs et les Romains donnent au chiffre 13 une connotation négative aussi. Ces deux mythologies, qui comportent de grandes similitudes, associent toutes deux le chiffre 12 à la régularité et la perfection. Ainsi, il y a 12 dieux olympiens, 12 constellations, 12 signes du zodiaque, 12 heures du jour et de la nuit. Le nombre 13, qui implique d'ajouter une unité au 12 parfait, vient rompre ce cycle régulier et introduit le désordre. Détruisant l'harmonie, il est synonyme de malheur. Pour ce qui est du vendredi, il est associé aux événements malheureux puisque c'est ce jour-là, dans la Rome antique, que se déroulent généralement les exécutions des condamnés à mort.
La science
Plusieurs démonstrations mathématiques ont prouvé que toute année comporte, au minimum, un vendredi 13 et, au maximum, 3 vendredis 13. Plusieurs mathématiciens se sont penchés sur la fréquence à laquelle tombaient les vendredis 13. Dean Huffman, de l'Université du Texas, a ainsi montré qu'il y avait 7 intervalles de jours possibles sans aucun vendredi 13 : 27, 90, 181, 244, 272, 335 ou encore 426 jours (à cheval sur deux ans). Il faut remonter aux périodes du 13 juillet 1990 au 13 septembre 1991 et du 13 août 1999 au 13 octobre 2000 pour trouver ces intervalles bénis, sans aucun vendredi 13. Il semblerait, par ailleurs, que le 13 du mois aurait légèrement plus de chances de tomber sur un vendredi que sur n'importe quel autre jour de la semaine. Ce serait l'adoption du calendrier grégorien, adopté, coïncidence troublante, par Grégoire XIII, qui serait responsable de cette prédominance du vendredi 13.
Il faut cependant savoir que vendredi 13 n'est pas un jour de malchance pour tout le monde. Ainsi, à chaque vendredi 13, la Française des Jeux enregistre 3 fois plus de joueurs. Depuis 1991, elle organise une campagne appelée "opération V13" ; le vendredi devient la "Journée de la Chance" et les joueurs sont susceptibles de remporter des cagnottes extraordinaires. Mais il n'y pas que pour eux que le vendredi est synonyme de chance. Comme quoi, cette journée reste un mystère...
Voici quelques évènements qui se sont déroulés un vendredi 13
Vendredi noir pour les Templiers

En octobre 1307, tous les baillis et prévôts de France reçoivent une ordonnance cachetée du roi Philippe le Bel, avec ordre de ne l'ouvrir que le vendredi 13. Le pli leur demande d'arrêter tous les Templiers de France. Le jour même, 2 000 Templiers sont arrêtés simultanément par les sénéchaux (gardes du roi) et les baillis du royaume. Ils sont interrogés sous la torture avant d'être remis aux inquisiteurs dominicains. Parmi les 140 Templiers de Paris, 54 sont brûlés après avoir avoué des crimes hérétiques, tels que cracher sur la croix ou pratiquer des baisers impudiques.
Crash dans les Andes
Le plus célèbre crash advenu un vendredi 13 est le vol T-571 qui s'est écrasé dans les Andes en 1972. Le vendredi 13 octobre, l'avion décolle de Montevideo et fait route vers Santiago au Chili, transportant l'équipe de rugby Old Christians. Mais l'avion, qui percute un pic andin, s'écrase dans les montagnes à plus de 12 000 pieds. Les survivants, qui ne seront retrouvés que 2 mois plus tard, ont dû recourir au cannibalisme pour rester en vie. Au total, 29 des 45 personnes à bord ont été tuées, dont 5 passagers morts dans une avalanche le 30 octobre 1972.
Autres
La phobie du numéro 13 pourrait provenir de l'Antiquité. Au IVe siècle av. J.‑C., Philippe II de Macédoine, eut l'idée d'ajouter sa statue à celle des 12 Dieux. Malheureusement pour lui, il fut assassiné peu de temps après.
Mem, la treizième lettre de l'alphabet hébreu, s'apparenterait à la mort.
Il en va de même du Tarot, où la treizième arcane représente un squelette en train de faucher.
Dans la symbolique du Tarot de Marseille le 13 peut signifier chasser les anciens schémas pour repartir sur de nouvelles bases, ce qui peut être interprété comme une renaissance.
Les calendriers mayas et aztèques comportaient vingt mois à treize jours : ces sociétés ont disparu des suites de l'invasion Espagnole du 16e siècle.
Il y a 12 mois dans l'année, 12 heures le jour et 12 la nuit ; il y a 12 signes du zodiaque, 12 dieux dans l'Olympe, 12 travaux d'Hercule, 12 tribus d'Israël et 12 apôtres de Jésus.
Le nombre est divisible par 2, 3, 4, ou 6 alors que 13 n'est divisible que par 1 ou par lui-même seulement.
Treize est plutôt source de déséquilibre et tombe dans une portion opposée du divin, et marque une évolution fatale vers la mort, vers l'achèvement d'une puissance et d'un accomplissement.
Aux Etats-Unis, encore, vous n'aurez jamais la chambre d'hôtel n°13, elle n'existe pas.
De même vous ne dormirez jamais au 13ème étage et vous ne vous installerez jamais à bord d'un avion dans un siège portant ce chiffre.
Au Leipzig, il n'y a pas de ligne de tramway 13.
Pour nos amis français
On a observé que la ligne d'autobus n°256 (desservant Saint-Denis, Villetaneuse) était particulièrement vulnérable aux actes de délinquance : à la suite d'une série d'agressions, des policiers et des employés de la RATP ont parlé de « ligne porte-malheur » et remarqué que 2 + 5 + 6 = 13.
Troublant non ?
Karol Józef Wojtyla (Pape Jean Paul II) est né le 18 mai 1920 :
18/05/1920 ⇒ 1 + 8 + 5 + 1 + 9 + 2 = 26 = 13 x 2
L'attentat contre le Pape Jean-Paul II a eu lieu le 13 mai 1981 , à la place Saint-Pierre
Mort le 2 avril 2005 ou 02/04/2005 ⇒ 2 + 4 + 2 + 5 = 13
Décès survenu à 9:37 pm ou , 21h 37 , heure du Vatican ⇒ 2 + 1 + 3 + 7 = 13
Âge lors de sa mort 85 ans (1920-2005) ⇒ 8 + 5 = 13
Son pontificat a duré 26 ans, soit 13 x 2.
Qu’est ce que la paraskevidékatriaphobie ?
Les paraskévidékatriaphobes sont les personnes qui craignent le vendredi 13. La peur de cette date se nomme la « paraskevidékatriaphobie », du grec paraskevi (vendredi) et dekatria (nombre 13). Environ 5% de la population en souffrirait.
Les pertes économiques importantes dues à la peur de ce jour ont été estimées entre 750 millions et 1 milliard de dollars aux États-Unis selon Donald Dossey, scientifique comportemental et directeur du Centre de Phobie à Asheville, Caroline du Nord. A l’origine de ces pertes économiques, on trouve l’absentéisme au travail, la faible fréquentation des magasins, la baisse des ventes de marchandises et des passagers dans les transports, etc… Néanmoins, le secteur du jeu d’argent est sans doute celui qui résiste le mieux économiquement parlant à ces pertes !
Parmi les paraskevidekatriaphobes les plus connus, il y a l’écrivain Stefen King et la famille Reagan. Le numéro civique du ranch de l’ancien président était 666 St. Cloud Road. Son épouse Nancy Reagan a fait changer en 1989 le numéro 666 pour le 668, pour éloigner la malchance.

Le vendredi 13 fait partie intégrante de nos vies depuis l'enfance, chance ou malchance, cela dépend de chacun.
Pour certains, le vendredi 13 est synonyme d'événements malheureux et de catastrophes inexpliquées. Pour d'autres, cette date est au contraire associée à la chance. Mais d'où vient cette superstition d'après vous ?
La Bible

Cette croyance associant le vendredi 13 au malheur aurait des origines bibliques. En effet, d'après le Nouveau Testament, lors de la Cène, dernier repas du Christ, les participants auraient été au nombre de 13 : Jésus et ses 12 apôtres, "Simon, appelé Pierre, et André, son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ; Philippe, et Barthélemy ; Thomas, et Matthieu, le publicain ; Jacques, fils d'Alphée, et Thaddée ; Simon le Zélote (ou le Cananite), et Judas l'Iscariote, celui qui livra Jésus. ». Pour ce qui est de la crainte du vendredi, elle viendrait du fait que le Christ aurait été crucifié un vendredi, mais cela reste assez flou...
Des mythes
selon la mythologie nordique, Odin, dieu des guerriers, avait un jour réuni onze de ses amis dieux pour un diner, dans sa demeure de Valhalla. Loki, dieu de la guerre et du mal, vexé de ne pas être de la fête, décida de s'inviter malgré tout. Seulement, ce treizième invité surprise n'était pas le bienvenu. Le fils d'Odin, le beau Balder, dieu de l'amour et de la lumière, tenta de chasser l'intrus. Une bataille éclata entre les deux dieux qui se vouaient une haine depuis toujours. Loki, dieu jaloux et malveillant, lui décocha une flèche empoisonnée en plein coeur, abattant Balder le "bien aimé". Depuis cette légende, dans les pays scandinaves, le chiffre 13 est considéré comme maudit et être 13 à table porterait malheur. Voilà pourquoi certains ne veulent pas prendre place à table lorsqu'on est 13...
Dans une autre mythologie nordique, Frigga (ou Freya) était la reine des dieux, déesse de l'amour et de la fertilité. Elle était célébrée par ses adorateurs le vendredi. Le mot "friday", vendredi en anglais, viendrait d'ailleurs de cette célébration et signifierait "Freya's day". Mais aux Xe et XIe siècles, les pays du nord sont progressivement convertis au christianisme. On se met alors à raconter que Frigga est en réalité une sorcière et qu'elle a été bannie au sommet d'une montagne. Pour se venger, elle inviterait, tous les vendredis, le diable et 11 sorcières pour maudire les hommes et leur jeter de mauvais sorts.

Le sud n'est pas en reste non plus en ce qui concerne les mythes. Ainsi, les Grecs et les Romains donnent au chiffre 13 une connotation négative aussi. Ces deux mythologies, qui comportent de grandes similitudes, associent toutes deux le chiffre 12 à la régularité et la perfection. Ainsi, il y a 12 dieux olympiens, 12 constellations, 12 signes du zodiaque, 12 heures du jour et de la nuit. Le nombre 13, qui implique d'ajouter une unité au 12 parfait, vient rompre ce cycle régulier et introduit le désordre. Détruisant l'harmonie, il est synonyme de malheur. Pour ce qui est du vendredi, il est associé aux événements malheureux puisque c'est ce jour-là, dans la Rome antique, que se déroulent généralement les exécutions des condamnés à mort.
La science
Plusieurs démonstrations mathématiques ont prouvé que toute année comporte, au minimum, un vendredi 13 et, au maximum, 3 vendredis 13. Plusieurs mathématiciens se sont penchés sur la fréquence à laquelle tombaient les vendredis 13. Dean Huffman, de l'Université du Texas, a ainsi montré qu'il y avait 7 intervalles de jours possibles sans aucun vendredi 13 : 27, 90, 181, 244, 272, 335 ou encore 426 jours (à cheval sur deux ans). Il faut remonter aux périodes du 13 juillet 1990 au 13 septembre 1991 et du 13 août 1999 au 13 octobre 2000 pour trouver ces intervalles bénis, sans aucun vendredi 13. Il semblerait, par ailleurs, que le 13 du mois aurait légèrement plus de chances de tomber sur un vendredi que sur n'importe quel autre jour de la semaine. Ce serait l'adoption du calendrier grégorien, adopté, coïncidence troublante, par Grégoire XIII, qui serait responsable de cette prédominance du vendredi 13.
Il faut cependant savoir que vendredi 13 n'est pas un jour de malchance pour tout le monde. Ainsi, à chaque vendredi 13, la Française des Jeux enregistre 3 fois plus de joueurs. Depuis 1991, elle organise une campagne appelée "opération V13" ; le vendredi devient la "Journée de la Chance" et les joueurs sont susceptibles de remporter des cagnottes extraordinaires. Mais il n'y pas que pour eux que le vendredi est synonyme de chance. Comme quoi, cette journée reste un mystère...
Voici quelques évènements qui se sont déroulés un vendredi 13
Vendredi noir pour les Templiers

En octobre 1307, tous les baillis et prévôts de France reçoivent une ordonnance cachetée du roi Philippe le Bel, avec ordre de ne l'ouvrir que le vendredi 13. Le pli leur demande d'arrêter tous les Templiers de France. Le jour même, 2 000 Templiers sont arrêtés simultanément par les sénéchaux (gardes du roi) et les baillis du royaume. Ils sont interrogés sous la torture avant d'être remis aux inquisiteurs dominicains. Parmi les 140 Templiers de Paris, 54 sont brûlés après avoir avoué des crimes hérétiques, tels que cracher sur la croix ou pratiquer des baisers impudiques.
Crash dans les Andes
Le plus célèbre crash advenu un vendredi 13 est le vol T-571 qui s'est écrasé dans les Andes en 1972. Le vendredi 13 octobre, l'avion décolle de Montevideo et fait route vers Santiago au Chili, transportant l'équipe de rugby Old Christians. Mais l'avion, qui percute un pic andin, s'écrase dans les montagnes à plus de 12 000 pieds. Les survivants, qui ne seront retrouvés que 2 mois plus tard, ont dû recourir au cannibalisme pour rester en vie. Au total, 29 des 45 personnes à bord ont été tuées, dont 5 passagers morts dans une avalanche le 30 octobre 1972.
Autres
La phobie du numéro 13 pourrait provenir de l'Antiquité. Au IVe siècle av. J.‑C., Philippe II de Macédoine, eut l'idée d'ajouter sa statue à celle des 12 Dieux. Malheureusement pour lui, il fut assassiné peu de temps après.
Mem, la treizième lettre de l'alphabet hébreu, s'apparenterait à la mort.
Il en va de même du Tarot, où la treizième arcane représente un squelette en train de faucher.
Dans la symbolique du Tarot de Marseille le 13 peut signifier chasser les anciens schémas pour repartir sur de nouvelles bases, ce qui peut être interprété comme une renaissance.
Les calendriers mayas et aztèques comportaient vingt mois à treize jours : ces sociétés ont disparu des suites de l'invasion Espagnole du 16e siècle.
Il y a 12 mois dans l'année, 12 heures le jour et 12 la nuit ; il y a 12 signes du zodiaque, 12 dieux dans l'Olympe, 12 travaux d'Hercule, 12 tribus d'Israël et 12 apôtres de Jésus.
Le nombre est divisible par 2, 3, 4, ou 6 alors que 13 n'est divisible que par 1 ou par lui-même seulement.
Treize est plutôt source de déséquilibre et tombe dans une portion opposée du divin, et marque une évolution fatale vers la mort, vers l'achèvement d'une puissance et d'un accomplissement.
Aux Etats-Unis, encore, vous n'aurez jamais la chambre d'hôtel n°13, elle n'existe pas.
De même vous ne dormirez jamais au 13ème étage et vous ne vous installerez jamais à bord d'un avion dans un siège portant ce chiffre.
Au Leipzig, il n'y a pas de ligne de tramway 13.
Pour nos amis français
On a observé que la ligne d'autobus n°256 (desservant Saint-Denis, Villetaneuse) était particulièrement vulnérable aux actes de délinquance : à la suite d'une série d'agressions, des policiers et des employés de la RATP ont parlé de « ligne porte-malheur » et remarqué que 2 + 5 + 6 = 13.
Troublant non ?
Karol Józef Wojtyla (Pape Jean Paul II) est né le 18 mai 1920 :
18/05/1920 ⇒ 1 + 8 + 5 + 1 + 9 + 2 = 26 = 13 x 2
L'attentat contre le Pape Jean-Paul II a eu lieu le 13 mai 1981 , à la place Saint-Pierre
Mort le 2 avril 2005 ou 02/04/2005 ⇒ 2 + 4 + 2 + 5 = 13
Décès survenu à 9:37 pm ou , 21h 37 , heure du Vatican ⇒ 2 + 1 + 3 + 7 = 13
Âge lors de sa mort 85 ans (1920-2005) ⇒ 8 + 5 = 13
Son pontificat a duré 26 ans, soit 13 x 2.
Qu’est ce que la paraskevidékatriaphobie ?
Les paraskévidékatriaphobes sont les personnes qui craignent le vendredi 13. La peur de cette date se nomme la « paraskevidékatriaphobie », du grec paraskevi (vendredi) et dekatria (nombre 13). Environ 5% de la population en souffrirait.
Les pertes économiques importantes dues à la peur de ce jour ont été estimées entre 750 millions et 1 milliard de dollars aux États-Unis selon Donald Dossey, scientifique comportemental et directeur du Centre de Phobie à Asheville, Caroline du Nord. A l’origine de ces pertes économiques, on trouve l’absentéisme au travail, la faible fréquentation des magasins, la baisse des ventes de marchandises et des passagers dans les transports, etc… Néanmoins, le secteur du jeu d’argent est sans doute celui qui résiste le mieux économiquement parlant à ces pertes !
Parmi les paraskevidekatriaphobes les plus connus, il y a l’écrivain Stefen King et la famille Reagan. Le numéro civique du ranch de l’ancien président était 666 St. Cloud Road. Son épouse Nancy Reagan a fait changer en 1989 le numéro 666 pour le 668, pour éloigner la malchance.
[1054823]
titevero (FR1) [None]
:: March 16, 2013, 6:30 p.m.
Le manoir hanté
Confrontés à la présence d'hôtes indésirables venus d'outre-tombe, les occupants de demeures hantées font appel aux médiums...
[video=dailymotion;xm90tw]http://www.dailymotion.com/video/xm90tw_le-manoir-hante_tech[/video]
Les Fantômes de Gettysburg
Gettysburg, ville américaine de Pennsylvanie, est connue depuis longtemps ...
La bataille de Gettysburg est l'un des tournants majeurs de la Guerre de Sécession. Du 1er au 3 juillet 1863, Nordistes et Sudistes se livrent à un terrible affrontement sur le sol de Pensylvannie.
Plus d'un siècle après les faits, des témoins affirment avoir croisé sur les lieux d'étranges revenants : les fantômes de Gettysburg.
Les amateurs de frissons et d'histoires de fantômes si donne rendez vous ...
[video=dailymotion;xm691b]http://www.dailymotion.com/video/xm691b_mon-histoire-de-fantomes-aux-portes-de-gettysburg_tech[/video]
Des esprits dans le tunnel de Moonville
Moonville, est une ville fantôme située dans l'Ohio, dans le comté de Vinton. Ancienne ville minière, il n'en reste aujourd'hui plus grand chose, excepté un cimetière, quelques fondation, ainsi qu'un ancien tunnel ferroviaire.
C'est ce tunnel qui fait parlé de lui, en effet plusieurs témoins affirme que ce tunnel est hanté, et qu'ils y ont observés des phénomènes étranges.
L'histoire de la ville
C'est en 1856, que la compagnie ferroviaire Marietta and Cincinnati installa une voie de chemin de fer, dans la région. Pendant les travaux, on s'aperçut qu'il y avait des gisements de charbon. la ville ne mit alors, pas longtemps avant de voir le jour.
Mais comme toutes les villes minières, une fois les filons épuisés, les gens désertèrent la ville, laissant derrière eux une ville fantôme. La ville fut véritablement laissée à l'abandon dans les années 1960.
Le tunnel
Depuis toujours, ce tunnel se retrouve dans des histoire de fantôme ou d'apparition. De nombreuses personnes, déclarent avoir vu la silhouette d'une femme marchant à leur coté, puis disparaître.
Plus récemment, de nouveaux témoignages viennent à faire penser, que cet endroit est véritablement hanté. Alors simple légende ou véritable errance d'esprit..
[video=dailymotion;xm68nj]http://www.dailymotion.com/video/xm68nj_mon-histoire-de-fantomes-des-esprits-dans-le-tunnel_tech[/video]
Maison Hantée La Maison Campbell Seman
Une maison hantée est une demeure réputée pour être occupée par des esprits ou d'autres forces surnaturelles ou encore où se produisent des phénomènes surnaturels ou paranormaux inexpliqués. Elle se distingue de la maison possédée dans laquelle ces esprits maîtrisent ses habitants.
[video=dailymotion;xv3vuy]http://www.dailymotion.com/video/xv3vuy_maison-hantee-maison-campbell-seman_tech[/video]
Confrontés à la présence d'hôtes indésirables venus d'outre-tombe, les occupants de demeures hantées font appel aux médiums...
[video=dailymotion;xm90tw]http://www.dailymotion.com/video/xm90tw_le-manoir-hante_tech[/video]
Les Fantômes de Gettysburg
Gettysburg, ville américaine de Pennsylvanie, est connue depuis longtemps ...
La bataille de Gettysburg est l'un des tournants majeurs de la Guerre de Sécession. Du 1er au 3 juillet 1863, Nordistes et Sudistes se livrent à un terrible affrontement sur le sol de Pensylvannie.
Plus d'un siècle après les faits, des témoins affirment avoir croisé sur les lieux d'étranges revenants : les fantômes de Gettysburg.
Les amateurs de frissons et d'histoires de fantômes si donne rendez vous ...
[video=dailymotion;xm691b]http://www.dailymotion.com/video/xm691b_mon-histoire-de-fantomes-aux-portes-de-gettysburg_tech[/video]
Des esprits dans le tunnel de Moonville
Moonville, est une ville fantôme située dans l'Ohio, dans le comté de Vinton. Ancienne ville minière, il n'en reste aujourd'hui plus grand chose, excepté un cimetière, quelques fondation, ainsi qu'un ancien tunnel ferroviaire.
C'est ce tunnel qui fait parlé de lui, en effet plusieurs témoins affirme que ce tunnel est hanté, et qu'ils y ont observés des phénomènes étranges.
L'histoire de la ville
C'est en 1856, que la compagnie ferroviaire Marietta and Cincinnati installa une voie de chemin de fer, dans la région. Pendant les travaux, on s'aperçut qu'il y avait des gisements de charbon. la ville ne mit alors, pas longtemps avant de voir le jour.
Mais comme toutes les villes minières, une fois les filons épuisés, les gens désertèrent la ville, laissant derrière eux une ville fantôme. La ville fut véritablement laissée à l'abandon dans les années 1960.
Le tunnel
Depuis toujours, ce tunnel se retrouve dans des histoire de fantôme ou d'apparition. De nombreuses personnes, déclarent avoir vu la silhouette d'une femme marchant à leur coté, puis disparaître.
Plus récemment, de nouveaux témoignages viennent à faire penser, que cet endroit est véritablement hanté. Alors simple légende ou véritable errance d'esprit..
[video=dailymotion;xm68nj]http://www.dailymotion.com/video/xm68nj_mon-histoire-de-fantomes-des-esprits-dans-le-tunnel_tech[/video]
Maison Hantée La Maison Campbell Seman
Une maison hantée est une demeure réputée pour être occupée par des esprits ou d'autres forces surnaturelles ou encore où se produisent des phénomènes surnaturels ou paranormaux inexpliqués. Elle se distingue de la maison possédée dans laquelle ces esprits maîtrisent ses habitants.
[video=dailymotion;xv3vuy]http://www.dailymotion.com/video/xv3vuy_maison-hantee-maison-campbell-seman_tech[/video]
[1054836]
titevero (FR1) [None]
:: March 17, 2013, 1:04 a.m.
Changeons de registre....
Sur la piste de L'Homme des neiges

L'abominable homme des neiges n'a rien à envier aux extraterrestres. Des centaines de personnes affirment l'avoir vu, mais jusqu'à maintenant, nul n'a été en mesure de fournir une preuve tangible de son existence.
La légende du Bigfoot

Le plus célèbre des abominables hommes des neiges est le yéti qui est censé vivre dans le massif himalayen. On le décrit comme un homme sauvage, mi-ours mi-singe pouvant mesurer 3 m(9pi 9 po), couvert de poils broussailleux, doté d'une tête en forme de pain de sucre, de longs bras musclés et d'une poitrine puissante. Sa grande timidité le rend susceptible; il vaut donc mieux ne pas le rencontrer!
Des témoignages troublants
À la fin du siècle dernier, durant un séjour dans l'Himalaya, le colonel L.A. Waddel aperçoit des traces étranges; il les attribute au grand ours jaune des neiges (Ursus isabellinus). Quelques années plus tard, dans la même région, un scientifique de renom, H.J. Elwes, voit une créature bizarre s'enfuir à son approche. Il semble qu'Elwes ait élaboré un imposant dossier pour appuyer son témoignage; cependant après la mort du savant, on n'a pas trouvé de trace de ces pièces écrites. En 1951, toujours dans l'Himalaya, Erik Shipton croise les pistes de deux grands bipèdes. Il décide de suivre ces traces, qui mènent à une crevasse et reprennent de l'autre côté de celle-ci. Quel animal est capable de sauter par-dessus une crevasse et d'atterrir sur ses pattes arrière? Aucun de ceux que l'on connaît à l'époque. Intrigué, Shipton prend d'excellentes photos des empreintes; il réussira à prouver que ces dernières n'appartiennent à aucune créature connue. Des clichés similaires seront pris en 1955 par l'abbé Pierre Bordet. À partir des années 60, des explorateurs et des excursionnistes rapportent des preuves de l'existence de l'abominable homme des neiges, mais elle s'avèrent fausses : "scalp de yéti" taillé dans le garrot d'une chèvre, "os d'avant-bras de yéti" provenant de la patte d'une panthère. À cause de ces canulars, ceux qui croient que le yéti existe acquièrent une très mauvaise réputation, même quand ils sont honnêtes. Pour ne pas nuire à leur crédibilité, les scientifiques se désintéressent de l'affaire.
Une grande famille
Le yéti a des cousins tout aussi légendaires que lui. Son plus proche parent est le sasquatch, qui vit en Amérique du Nord. Il se dissimule dans les montagnes qui longent l'océan Pacifique, de la Colombie-Britannique à la californie. On a photographié beaucoup plus de pistes de sasquatch que de traces de yéti. En 1884, à Yale, en colombie-Britannique, des gens travaillant dans un train ont prétendu avoir capturé un sasquatch et l'ont baptisé Jacko. Quand le convoi est arrivé à destination, Jacko avait disparu sans laisser de trace.... En 1924, un chercheur d"or affirme ¸etre tombé nez à nez avec toute une famille de sasquatchs. La même année, des mineurs de l'État du Washington ont dit qu'ils avaient abattu un mais que malheureusement, il était tombé au bas d'une falaise; son corps n'a jamais été retrouvé. D'autres témoignanges vont dans le même sens, mais aucun n'a pu être confirmé.
Le mystère persiste
Les attestations recueillies au fil des années quant à l'existence du yéti et des creéatures s'y apparentant se comptent par centaines. En fait, elles sont si nombreuses qu'il est difficile de croire qu'il s'agit dans tous les cas des canulars ou d'hallucinations. Il auraut fallu une gigantesque organisation de farceurs pour réussir à faire tant de fausses empreintes un peu partout sur la planète.
Il nous faut admette que certaines des pistes attribuées au yéti ou à ses cousins ont peut-être été laissées par des créatures que nous ne connaissons pas encore. Il n'est pas impossible que quelques gigantopithèques, ancêtre de l'homme moderne aient survécu jusqu'à aujourd'hui. Cette hypothèse ne repose cependant sur aucune preuve solide. Bref, rien ne permet pour le moment de confirmer scientifiquement que le yéti existe, mais fermer définitivement la porte à cette possibilité équivaudrait à refuser d'en apprendre davantage sur les origines de notre espèce.
[video=dailymotion;xndj6t]http://www.dailymotion.com/video/xndj6t_sur-les-trace-de-bigfoot_tech[/video]
Alors, prenez-vous un voyage au nord-ouest du Pacifique et de voir si vous pouvez trouver Bigfoot.
Nessie - La légende du loch Ness
[video=dailymotion;xlvkcf]http://www.dailymotion.com/video/xlvkcf_toute-la-verite-sur-le-monstre-du-loch-ness-1-2_animals[/video]
[video=dailymotion;xlvnq6]http://www.dailymotion.com/video/xlvnq6_toute-la-verite-sur-le-monstre-du-loch-ness-2-2_animals[/video]
Nessie et le monstre du Loch Ness

Le Loch Ness, 39 kilomètres de longs sur 2 kilomètres de larges d’une profondeur moyenne de 150 mètres pouvant atteindre par endroit les 300 mètres. Le Loch Ness se situe dans les Highlands d’Ecosse dans la petite ville de Loch Ness.
Aperçu pour la première fois en l'an 560, le monstre du Loch Ness (appelé Nessie) est aujourd'hui connu dans le monde entier. Pourtant, l'engouement pour ce phénomène est assez récent puisqu'il n'a été dévoilé au grand public que dans les années 1933-1934.
Cependant, on signale aussi des apparitions en d'autres pays, donnant lieu à de nombreuses recherches. Malgré de nombreuses pistes plus ou moins sérieuses, l'existence de ce monstre lacustre reste encore un mystère...
Bien que la relation de l'existence de cette créature date du Moyen Age, personne n'est en mesure de dire si Nessie est bien réel et s'il s'agit bien d'un animal inconnu. Déjà au XIXe siècle, l'existence de quelque chose au fond du lac était connue, les parents interdisant aux enfants de se baigner dans le loch par crainte du Kelpie (esprit malin à tête de cheval rodant dans les lacs).
En 1934, le journaliste Rupert Gould avance l'hypothèse qu'il s'agirait d'un spécimen isolé prisonnier du lac, mais certains témoignages font état de la présence de plusieurs monstres en même temps.
Depuis le XXe siècle, bien que de nombreuses observations de témoins soient rapportées, les multiples recherches scientifiques effectuées (Pisces en 1969, Yellow Submarine en 1972 et enfin Deepscan en 1987) n'ont jamais donné de résultats, tout au plus quelques échos sur des sonars, la plupart du temps peu convaincants, sauf en de rares occasions (en 1972, leurs sonars repèrent des objets animés de dix à douze mètres de long, durant plusieurs minutes, près de La Baie d'Urquhart).
Cependant, curieusement, des sonars plus perfectionnés ne donnèrent aucun résultat. Récemment, des constructions d'origine humaine auraient été découvertes au fond du lac. Il faut cependant savoir que d'autres monstres du même genre ont été observés en différents endroits du globe (Chine, Afrique, Amérique). Ils ont eux aussi fait l'objet de nombreuses recherches qui n'ont, elles non plus, pu prouver qu'il existait bien un animal inconnu dans ces environs. Cependant, chaque année de nouvelles recherches ont lieu avec du matériel de plus en plus sophistiqué.
Pour en revenir au Loch Ness, la dernière observation a permis de repérer de mystérieux grognements sous la surface du lac. Même si aucune image de Nessie n'a pu être prise...
Apparitions et supercheries

Parmi toutes les apparitions rapportées par les témoins, beaucoup trouvent une explication rationnelle et d'autres sont des supercheries. Ainsi, la plus célèbre photo de Nessie prise par le gynécologue Robert Kenneth Wilson et connue dans le monde entier est un faux.
De nombreuses autres photos semblent être fausses, en particulier celle où l'on voit Nessie en couleur (le nom de la personne ayant prise la photo est inconnu) ou celle où l'on verrait le dos du monstre près du château d'Urquhart.
La plupart du temps, le négatif de ces photos a été manipulé. Aujourd'hui, les supposées photos montrant des monstres sont analysées par ordinateur pour éviter les faussaires.
Cependant, certains témoignages méritent d'être pris en considération. C'est notamment le cas pour la vidéo de Tim Dinsdale en 1960, montrant un étrange sillage à la surface du lac qui pourrait être provoqué par un objet animé de plusieurs mètres de long. En 1965, Ian Cameron, ancien chef de la police des Highlands signale une apparition de plus d'une heure du monstre.
Ses dires sont confirmés par des pêcheurs et quelques inconnus qui se promenaient de l'autre côté du lac.
Enfin, en 1992, la vidéo d'un visiteur du château d'Urquhart impressionne le zoologiste Peter Meadows qui estime qu'elle peut effectivement montrer une chose vivante.
Les témoignages visuels sans photos sont cependant les plus nombreux et la plupart d'entre eux sont crédibles. Cependant, beaucoup d'autres sont montés de toutes pièces par des personnes désireuses de lire leur nom dans le journal. Il faut cependant avouer que sur une centaine de témoignages, seulement 1 à 2 % ne peuvent trouver une explication rationnelle.
Il faut enfin noter que certaines apparitions ont lieu aussi sous l'eau ! C'est ainsi qu'en 1972, un plongeur raconta avoir vu une énorme grenouille alors qu'il explorait l'épave d'un chalutier. Certains pêcheurs trouvent leurs filets déchirés.

Enfin, près du lac Champlain, de nombreux fermiers se plaignaient de la disparition de leurs moutons ; d'après certaines traces, les corps auraient été traînés vers le lac. Plus fort encore à propos de ce monstre, ce dernier aurait été tué en août 1873, mais étrangement, on ne retrouva jamais la carcasse de la bête malgré la récompense de cinq mille dollars promise par Barnum.
D'après les différents témoignages, les enquêteurs du Bureau d'investigation du Loch Ness on put dresser un portrait du monstre : il mesurerait entre quatre et cinq mètres de long (les sonars donnèrent cependant des échos représentant des objets en mouvement de dix mètres de long), un mètre de large et deux mètres de haut.
Contrairement à ce que l'on crût au début, le monstre ne serait pas un descendant du plésiosaure, mais plutôt un mammifère.
Bernard Heuvelmans (le fondateur de la cryptozoologie) parle d'une "otarie à long cou capable de respirer sous l'eau grâce aux périscopes qui prolongent ses narines". De plus, la présence de poils sur la bête, aperçus pas plusieurs témoins, prouvent qu'il ne peut s'agir ni d'un reptile, ni d'un poisson. Quant à sa couleur, il est souvent décrit gris ou brun.
Tous les témoignages s'accordent pour dire que la bête possède un long cou grêle, une queue massive, un dos arqué et quatre nageoires en pointes de diamant.
Les grandes différences sont les dimensions du monstre. Pour certains témoins, le monstre mesurerait dix mètres, pour d'autres, beaucoup moins (quatre à cinq mètres). Cependant, ces différences de tailles peuvent s'expliquer par la présence probable de plusieurs monstres dans ce lac (au moins une famille puisque Nessie semble pouvoir traverser les siècles).
Le monstre Ogopogo, du lac Okananga, lui, ressemble plutôt à une petite baleine nageant sur le côté. Sa queue, en forme de fourche, rappelle d'ailleurs celle d'une baleine qu'on appelle plus communément Zeuglodon, également connu sous le nom de Basilosaurus.
Où se cache Nessie ?
Une question se pose tout de même. Le monstre n'étant sûrement pas immortel, pour qu'on puisse le voir depuis plusieurs siècles il doit avoir au moins une famille de cinq individus. Le fait que, selon différents témoignages, les tailles diffèrent, semble conforter cette théorie.
Cependant, en imaginant que le monstre pourrait rester en apnée vingt-quatre heures (le cachalot ne peut rester qu'une heure en apnée), il devrait remonter à la surface trois cent soixante-cinq fois par an et en supposant qu'il y ait cinq monstres, on devrait avoir à peu près mille huit cent vingt-cinq apparitions par an ! Or, on n'en relève que 10 à 20 par ans, voir beaucoup moins.
Il faudrait commencer par savoir à quoi ressemble le lac. Il s'étend, sur un axe sud-ouest/nord-est sur 37 km environ, depuis Fort Augustus jusqu'à proximité de la ville d'Inverness. Le lac a une largeur moyenne de 2 km environ et sa profondeur maximale atteint 230 m.
C'est un lac d'eau douce et froide. On a longtemps cru que ce lac possédait de très nombreuses cavernes sous-marines pouvant servir de refuges à Nessie. On sait aujourd'hui, que le lac ne dispose que de quelques failles et que certaines d'entre elles conduisent à la mer. Selon certaines personnes, Le Loch Ness ne serait qu'une "résidence secondaire" du monstre qui, par un réseau de tunnels sous-marin, pourrait passer du lac à la mer et inversement. À savoir aussi que me monstre a déjà été vu plusieurs fois sur la terre ferme comme ce fut le cas entre 1820 et 1830. Certains pensent que les Krakens des légendes nordiques pourraient être en fait des "cousins" du Nessie.
En relevant sur une carte du Loch Ness les positions où le monstre a été vu, on remarque que le plus grand nombre d'apparitions a lieu près des embouchures des différentes rivières qui conduisent à la mer, particulièrement en été. Cependant, Nessie n'a encore jamais été vu dans une rivière !
Un autre détail, l'Écosse possède d'autres lacs non loin du Loch Ness qui posséderait aussi un monstre. Le Nessie pourrait-il changer de lac de temps à autre (ce qui expliquerait le faible nombre d'apparitions dans le Loch) ?
Un américain dans le lac

Ancien technicien de l'US Navy natif de la Caroline-du-Sud, Dan Taylor était si persuadé de l'existence du monstre du Loch Ness qu'il conçut et fabriqua à ses frais non pas un, mais deux petits sous-marins,afin d'explorer les profondeurs du lac et débusquer le monstre.
À bord de son premier engin, le "Viperfish", il parcourut le lac en 1969. C'est alors qu'il enregistra son premier contact avec la créature, dans un tourbillon d'eau boueuse.
« Ce n'est que lorsque je me suis retrouvé de retour à la surface,sur la terre ferme, confia-il un journaliste, que j'ai pris conscience que c'était peut-être le monstre qui m'avait salué à sa manière ».
Pour financer la construction de ce second sous-marin, "Nessa", long de 13 m, Taylor vendit sa maison et tout ce qu'il possédait.
Son but, expliquait-il, n'était pas de capturer « Nessie », mais de prélever un échantillon de sa peau, afin de déterminer si c'était un mammifère ou un poisson.
Il mourut malheureusement en 2005, sans avoir pu revenir en Écosse.
Les différentes explications
La première explication des scientifiques est aussi la plus décevante pour les amateurs de monstres lacustres : il n'y a rien dans le Loch Ness. En effet, les gens croiraient voir un monstre alors qu'en fait ils apercevraient autre chose : une loutre, un morceau de bois aux formes étranges, etc. Certains scientifiques avancent même que la température de l'air peut déformer la vue des témoins voyant alors une otarie à long cou.
Pour expliquer parfois des bulles crevant la surface du lac, certains morceaux de bois rempli de gaz couleraient au fond du lac en laissant échapper le gaz qu'ils contiennent, formant ainsi des bulles qui remonteraient à la surface.
Afin d'expliquer la vision du monstre possédant un long coup, les scientifiques ont avancé l'explication suivante : les Vikings ont débarqué très tôt sur les côtes écossaises et leurs drakkars étaient suffisamment fins pour passer des rivières au lac. Certains scientifiques pensent que des épaves de ces bateaux peuvent reposer au fond de l'eau et remonter de temps à autre au gré des courants, donnant alors l'illusion qu'un animal au long cou sorte de l'eau. Enfin, la dernière explication est aussi la plus séduisante : il y aurait bien un animal inconnu au fond du lac.
Disparitions inexpliquées
Aucune victime de monstres aquatiques n'a jamais été officiellement recensée. Mais peut-être les monstres préfèrent-ils garder leur secret et ne laisser aucune trace de leur victime ?
"C'est ce que prétend la légende depuis longtemps, explique Loren Coleman : les lacs garderaient les corps. En 1975, deux personnes se sont noyées dans le lac Pohénégamook, au Québec. On ne les a jamais retrouvées. On dit qu'elles auraient été tuées par Ponik, le monstre qui habite dans les grottes subaquatiques. De même, Nessie a été accusé d'avoir dévoré plusieurs baigneurs. De fait, il est vrai que certains corps n'ont jamais refait surface."
Ainsi, le lac Traun, est censé abriter une "dame du lac". D'après Otto Graber zur Stein, elle "chevauchait souvent un monstre aquatique qui ressemblait à un cheval écorché.". Les promeneurs assurent que, de mémoire d'homme, plus de cent bossus auraient péri dans les eaux du lac. Les pêcheurs affirment également que cette femme aurait attiré plusieurs de leurs compagnons dans des abysses dont ils ne seraient jamais revenus."
Comment de telles créatures auraient-elles pu survivre pendant des siècles, changeant de forme et de comportement, se promenant sur terre et sur l'eau ?
Les cryptozoologistes signalent que si les surnoms qu'on leur donne suggèrent des individus isolés, ces animaux, s'ils existent vraiment, appartiennent sans doute à un même groupe, une même colonie, ce qui expliquerait leur apparente longévité.
Pourtant, les sceptiques s'obstinent à croire que les profondeurs ombrageuses d'où émergent ces monstres ne sont en fait que les ténèbres de l'esprit humain...
Adrian Shine, du Projet Loch Ness, affirme que le monstre pourrait être un esturgeon Baltique, un poisson primitif muni d'un bec et d'épines et qui peut mesurer jusqu'à 9 pieds de long et peser environ 450 livres. Certains n'y verront qu'une autre histoire de pêcheur, mais l'évidence scientifique semble démontrer que Nessie serait, au mieux, un gros poisson dans un grand lac, ou une grosse vague dans un grand lac.
Le Loch Ness est très vaste et très sombre. Des habitués de la place ont déjà déclaré qu'il était facile d'avoir peur, parce que ce ne sont pas les ombres, les remous et les vagues étranges qui manquent sur ce lac. Une chose est sûre cependant au sujet du Loch Ness, il n'y a pas beaucoup d'endroits touristiques qui lui ressemble. Le climat étant peu attirant, Nessie est devenu extrêmement bénéfique à l'activité touristique de la région.
Sur la piste de L'Homme des neiges

L'abominable homme des neiges n'a rien à envier aux extraterrestres. Des centaines de personnes affirment l'avoir vu, mais jusqu'à maintenant, nul n'a été en mesure de fournir une preuve tangible de son existence.
La légende du Bigfoot

Le plus célèbre des abominables hommes des neiges est le yéti qui est censé vivre dans le massif himalayen. On le décrit comme un homme sauvage, mi-ours mi-singe pouvant mesurer 3 m(9pi 9 po), couvert de poils broussailleux, doté d'une tête en forme de pain de sucre, de longs bras musclés et d'une poitrine puissante. Sa grande timidité le rend susceptible; il vaut donc mieux ne pas le rencontrer!
Des témoignages troublants
À la fin du siècle dernier, durant un séjour dans l'Himalaya, le colonel L.A. Waddel aperçoit des traces étranges; il les attribute au grand ours jaune des neiges (Ursus isabellinus). Quelques années plus tard, dans la même région, un scientifique de renom, H.J. Elwes, voit une créature bizarre s'enfuir à son approche. Il semble qu'Elwes ait élaboré un imposant dossier pour appuyer son témoignage; cependant après la mort du savant, on n'a pas trouvé de trace de ces pièces écrites. En 1951, toujours dans l'Himalaya, Erik Shipton croise les pistes de deux grands bipèdes. Il décide de suivre ces traces, qui mènent à une crevasse et reprennent de l'autre côté de celle-ci. Quel animal est capable de sauter par-dessus une crevasse et d'atterrir sur ses pattes arrière? Aucun de ceux que l'on connaît à l'époque. Intrigué, Shipton prend d'excellentes photos des empreintes; il réussira à prouver que ces dernières n'appartiennent à aucune créature connue. Des clichés similaires seront pris en 1955 par l'abbé Pierre Bordet. À partir des années 60, des explorateurs et des excursionnistes rapportent des preuves de l'existence de l'abominable homme des neiges, mais elle s'avèrent fausses : "scalp de yéti" taillé dans le garrot d'une chèvre, "os d'avant-bras de yéti" provenant de la patte d'une panthère. À cause de ces canulars, ceux qui croient que le yéti existe acquièrent une très mauvaise réputation, même quand ils sont honnêtes. Pour ne pas nuire à leur crédibilité, les scientifiques se désintéressent de l'affaire.
Une grande famille
Le yéti a des cousins tout aussi légendaires que lui. Son plus proche parent est le sasquatch, qui vit en Amérique du Nord. Il se dissimule dans les montagnes qui longent l'océan Pacifique, de la Colombie-Britannique à la californie. On a photographié beaucoup plus de pistes de sasquatch que de traces de yéti. En 1884, à Yale, en colombie-Britannique, des gens travaillant dans un train ont prétendu avoir capturé un sasquatch et l'ont baptisé Jacko. Quand le convoi est arrivé à destination, Jacko avait disparu sans laisser de trace.... En 1924, un chercheur d"or affirme ¸etre tombé nez à nez avec toute une famille de sasquatchs. La même année, des mineurs de l'État du Washington ont dit qu'ils avaient abattu un mais que malheureusement, il était tombé au bas d'une falaise; son corps n'a jamais été retrouvé. D'autres témoignanges vont dans le même sens, mais aucun n'a pu être confirmé.
Le mystère persiste
Les attestations recueillies au fil des années quant à l'existence du yéti et des creéatures s'y apparentant se comptent par centaines. En fait, elles sont si nombreuses qu'il est difficile de croire qu'il s'agit dans tous les cas des canulars ou d'hallucinations. Il auraut fallu une gigantesque organisation de farceurs pour réussir à faire tant de fausses empreintes un peu partout sur la planète.
Il nous faut admette que certaines des pistes attribuées au yéti ou à ses cousins ont peut-être été laissées par des créatures que nous ne connaissons pas encore. Il n'est pas impossible que quelques gigantopithèques, ancêtre de l'homme moderne aient survécu jusqu'à aujourd'hui. Cette hypothèse ne repose cependant sur aucune preuve solide. Bref, rien ne permet pour le moment de confirmer scientifiquement que le yéti existe, mais fermer définitivement la porte à cette possibilité équivaudrait à refuser d'en apprendre davantage sur les origines de notre espèce.
[video=dailymotion;xndj6t]http://www.dailymotion.com/video/xndj6t_sur-les-trace-de-bigfoot_tech[/video]
Alors, prenez-vous un voyage au nord-ouest du Pacifique et de voir si vous pouvez trouver Bigfoot.
Nessie - La légende du loch Ness
[video=dailymotion;xlvkcf]http://www.dailymotion.com/video/xlvkcf_toute-la-verite-sur-le-monstre-du-loch-ness-1-2_animals[/video]
[video=dailymotion;xlvnq6]http://www.dailymotion.com/video/xlvnq6_toute-la-verite-sur-le-monstre-du-loch-ness-2-2_animals[/video]
Nessie et le monstre du Loch Ness

Le Loch Ness, 39 kilomètres de longs sur 2 kilomètres de larges d’une profondeur moyenne de 150 mètres pouvant atteindre par endroit les 300 mètres. Le Loch Ness se situe dans les Highlands d’Ecosse dans la petite ville de Loch Ness.
Aperçu pour la première fois en l'an 560, le monstre du Loch Ness (appelé Nessie) est aujourd'hui connu dans le monde entier. Pourtant, l'engouement pour ce phénomène est assez récent puisqu'il n'a été dévoilé au grand public que dans les années 1933-1934.
Cependant, on signale aussi des apparitions en d'autres pays, donnant lieu à de nombreuses recherches. Malgré de nombreuses pistes plus ou moins sérieuses, l'existence de ce monstre lacustre reste encore un mystère...
Bien que la relation de l'existence de cette créature date du Moyen Age, personne n'est en mesure de dire si Nessie est bien réel et s'il s'agit bien d'un animal inconnu. Déjà au XIXe siècle, l'existence de quelque chose au fond du lac était connue, les parents interdisant aux enfants de se baigner dans le loch par crainte du Kelpie (esprit malin à tête de cheval rodant dans les lacs).
En 1934, le journaliste Rupert Gould avance l'hypothèse qu'il s'agirait d'un spécimen isolé prisonnier du lac, mais certains témoignages font état de la présence de plusieurs monstres en même temps.
Depuis le XXe siècle, bien que de nombreuses observations de témoins soient rapportées, les multiples recherches scientifiques effectuées (Pisces en 1969, Yellow Submarine en 1972 et enfin Deepscan en 1987) n'ont jamais donné de résultats, tout au plus quelques échos sur des sonars, la plupart du temps peu convaincants, sauf en de rares occasions (en 1972, leurs sonars repèrent des objets animés de dix à douze mètres de long, durant plusieurs minutes, près de La Baie d'Urquhart).
Cependant, curieusement, des sonars plus perfectionnés ne donnèrent aucun résultat. Récemment, des constructions d'origine humaine auraient été découvertes au fond du lac. Il faut cependant savoir que d'autres monstres du même genre ont été observés en différents endroits du globe (Chine, Afrique, Amérique). Ils ont eux aussi fait l'objet de nombreuses recherches qui n'ont, elles non plus, pu prouver qu'il existait bien un animal inconnu dans ces environs. Cependant, chaque année de nouvelles recherches ont lieu avec du matériel de plus en plus sophistiqué.
Pour en revenir au Loch Ness, la dernière observation a permis de repérer de mystérieux grognements sous la surface du lac. Même si aucune image de Nessie n'a pu être prise...
Apparitions et supercheries

Parmi toutes les apparitions rapportées par les témoins, beaucoup trouvent une explication rationnelle et d'autres sont des supercheries. Ainsi, la plus célèbre photo de Nessie prise par le gynécologue Robert Kenneth Wilson et connue dans le monde entier est un faux.
De nombreuses autres photos semblent être fausses, en particulier celle où l'on voit Nessie en couleur (le nom de la personne ayant prise la photo est inconnu) ou celle où l'on verrait le dos du monstre près du château d'Urquhart.
La plupart du temps, le négatif de ces photos a été manipulé. Aujourd'hui, les supposées photos montrant des monstres sont analysées par ordinateur pour éviter les faussaires.
Cependant, certains témoignages méritent d'être pris en considération. C'est notamment le cas pour la vidéo de Tim Dinsdale en 1960, montrant un étrange sillage à la surface du lac qui pourrait être provoqué par un objet animé de plusieurs mètres de long. En 1965, Ian Cameron, ancien chef de la police des Highlands signale une apparition de plus d'une heure du monstre.
Ses dires sont confirmés par des pêcheurs et quelques inconnus qui se promenaient de l'autre côté du lac.
Enfin, en 1992, la vidéo d'un visiteur du château d'Urquhart impressionne le zoologiste Peter Meadows qui estime qu'elle peut effectivement montrer une chose vivante.
Les témoignages visuels sans photos sont cependant les plus nombreux et la plupart d'entre eux sont crédibles. Cependant, beaucoup d'autres sont montés de toutes pièces par des personnes désireuses de lire leur nom dans le journal. Il faut cependant avouer que sur une centaine de témoignages, seulement 1 à 2 % ne peuvent trouver une explication rationnelle.
Il faut enfin noter que certaines apparitions ont lieu aussi sous l'eau ! C'est ainsi qu'en 1972, un plongeur raconta avoir vu une énorme grenouille alors qu'il explorait l'épave d'un chalutier. Certains pêcheurs trouvent leurs filets déchirés.

Enfin, près du lac Champlain, de nombreux fermiers se plaignaient de la disparition de leurs moutons ; d'après certaines traces, les corps auraient été traînés vers le lac. Plus fort encore à propos de ce monstre, ce dernier aurait été tué en août 1873, mais étrangement, on ne retrouva jamais la carcasse de la bête malgré la récompense de cinq mille dollars promise par Barnum.
D'après les différents témoignages, les enquêteurs du Bureau d'investigation du Loch Ness on put dresser un portrait du monstre : il mesurerait entre quatre et cinq mètres de long (les sonars donnèrent cependant des échos représentant des objets en mouvement de dix mètres de long), un mètre de large et deux mètres de haut.
Contrairement à ce que l'on crût au début, le monstre ne serait pas un descendant du plésiosaure, mais plutôt un mammifère.
Bernard Heuvelmans (le fondateur de la cryptozoologie) parle d'une "otarie à long cou capable de respirer sous l'eau grâce aux périscopes qui prolongent ses narines". De plus, la présence de poils sur la bête, aperçus pas plusieurs témoins, prouvent qu'il ne peut s'agir ni d'un reptile, ni d'un poisson. Quant à sa couleur, il est souvent décrit gris ou brun.
Tous les témoignages s'accordent pour dire que la bête possède un long cou grêle, une queue massive, un dos arqué et quatre nageoires en pointes de diamant.
Les grandes différences sont les dimensions du monstre. Pour certains témoins, le monstre mesurerait dix mètres, pour d'autres, beaucoup moins (quatre à cinq mètres). Cependant, ces différences de tailles peuvent s'expliquer par la présence probable de plusieurs monstres dans ce lac (au moins une famille puisque Nessie semble pouvoir traverser les siècles).
Le monstre Ogopogo, du lac Okananga, lui, ressemble plutôt à une petite baleine nageant sur le côté. Sa queue, en forme de fourche, rappelle d'ailleurs celle d'une baleine qu'on appelle plus communément Zeuglodon, également connu sous le nom de Basilosaurus.
Où se cache Nessie ?
Une question se pose tout de même. Le monstre n'étant sûrement pas immortel, pour qu'on puisse le voir depuis plusieurs siècles il doit avoir au moins une famille de cinq individus. Le fait que, selon différents témoignages, les tailles diffèrent, semble conforter cette théorie.
Cependant, en imaginant que le monstre pourrait rester en apnée vingt-quatre heures (le cachalot ne peut rester qu'une heure en apnée), il devrait remonter à la surface trois cent soixante-cinq fois par an et en supposant qu'il y ait cinq monstres, on devrait avoir à peu près mille huit cent vingt-cinq apparitions par an ! Or, on n'en relève que 10 à 20 par ans, voir beaucoup moins.
Il faudrait commencer par savoir à quoi ressemble le lac. Il s'étend, sur un axe sud-ouest/nord-est sur 37 km environ, depuis Fort Augustus jusqu'à proximité de la ville d'Inverness. Le lac a une largeur moyenne de 2 km environ et sa profondeur maximale atteint 230 m.
C'est un lac d'eau douce et froide. On a longtemps cru que ce lac possédait de très nombreuses cavernes sous-marines pouvant servir de refuges à Nessie. On sait aujourd'hui, que le lac ne dispose que de quelques failles et que certaines d'entre elles conduisent à la mer. Selon certaines personnes, Le Loch Ness ne serait qu'une "résidence secondaire" du monstre qui, par un réseau de tunnels sous-marin, pourrait passer du lac à la mer et inversement. À savoir aussi que me monstre a déjà été vu plusieurs fois sur la terre ferme comme ce fut le cas entre 1820 et 1830. Certains pensent que les Krakens des légendes nordiques pourraient être en fait des "cousins" du Nessie.
En relevant sur une carte du Loch Ness les positions où le monstre a été vu, on remarque que le plus grand nombre d'apparitions a lieu près des embouchures des différentes rivières qui conduisent à la mer, particulièrement en été. Cependant, Nessie n'a encore jamais été vu dans une rivière !
Un autre détail, l'Écosse possède d'autres lacs non loin du Loch Ness qui posséderait aussi un monstre. Le Nessie pourrait-il changer de lac de temps à autre (ce qui expliquerait le faible nombre d'apparitions dans le Loch) ?
Un américain dans le lac

Ancien technicien de l'US Navy natif de la Caroline-du-Sud, Dan Taylor était si persuadé de l'existence du monstre du Loch Ness qu'il conçut et fabriqua à ses frais non pas un, mais deux petits sous-marins,afin d'explorer les profondeurs du lac et débusquer le monstre.
À bord de son premier engin, le "Viperfish", il parcourut le lac en 1969. C'est alors qu'il enregistra son premier contact avec la créature, dans un tourbillon d'eau boueuse.
« Ce n'est que lorsque je me suis retrouvé de retour à la surface,sur la terre ferme, confia-il un journaliste, que j'ai pris conscience que c'était peut-être le monstre qui m'avait salué à sa manière ».
Pour financer la construction de ce second sous-marin, "Nessa", long de 13 m, Taylor vendit sa maison et tout ce qu'il possédait.
Son but, expliquait-il, n'était pas de capturer « Nessie », mais de prélever un échantillon de sa peau, afin de déterminer si c'était un mammifère ou un poisson.
Il mourut malheureusement en 2005, sans avoir pu revenir en Écosse.
Les différentes explications
La première explication des scientifiques est aussi la plus décevante pour les amateurs de monstres lacustres : il n'y a rien dans le Loch Ness. En effet, les gens croiraient voir un monstre alors qu'en fait ils apercevraient autre chose : une loutre, un morceau de bois aux formes étranges, etc. Certains scientifiques avancent même que la température de l'air peut déformer la vue des témoins voyant alors une otarie à long cou.
Pour expliquer parfois des bulles crevant la surface du lac, certains morceaux de bois rempli de gaz couleraient au fond du lac en laissant échapper le gaz qu'ils contiennent, formant ainsi des bulles qui remonteraient à la surface.
Afin d'expliquer la vision du monstre possédant un long coup, les scientifiques ont avancé l'explication suivante : les Vikings ont débarqué très tôt sur les côtes écossaises et leurs drakkars étaient suffisamment fins pour passer des rivières au lac. Certains scientifiques pensent que des épaves de ces bateaux peuvent reposer au fond de l'eau et remonter de temps à autre au gré des courants, donnant alors l'illusion qu'un animal au long cou sorte de l'eau. Enfin, la dernière explication est aussi la plus séduisante : il y aurait bien un animal inconnu au fond du lac.
Disparitions inexpliquées
Aucune victime de monstres aquatiques n'a jamais été officiellement recensée. Mais peut-être les monstres préfèrent-ils garder leur secret et ne laisser aucune trace de leur victime ?
"C'est ce que prétend la légende depuis longtemps, explique Loren Coleman : les lacs garderaient les corps. En 1975, deux personnes se sont noyées dans le lac Pohénégamook, au Québec. On ne les a jamais retrouvées. On dit qu'elles auraient été tuées par Ponik, le monstre qui habite dans les grottes subaquatiques. De même, Nessie a été accusé d'avoir dévoré plusieurs baigneurs. De fait, il est vrai que certains corps n'ont jamais refait surface."
Ainsi, le lac Traun, est censé abriter une "dame du lac". D'après Otto Graber zur Stein, elle "chevauchait souvent un monstre aquatique qui ressemblait à un cheval écorché.". Les promeneurs assurent que, de mémoire d'homme, plus de cent bossus auraient péri dans les eaux du lac. Les pêcheurs affirment également que cette femme aurait attiré plusieurs de leurs compagnons dans des abysses dont ils ne seraient jamais revenus."
Comment de telles créatures auraient-elles pu survivre pendant des siècles, changeant de forme et de comportement, se promenant sur terre et sur l'eau ?
Les cryptozoologistes signalent que si les surnoms qu'on leur donne suggèrent des individus isolés, ces animaux, s'ils existent vraiment, appartiennent sans doute à un même groupe, une même colonie, ce qui expliquerait leur apparente longévité.
Pourtant, les sceptiques s'obstinent à croire que les profondeurs ombrageuses d'où émergent ces monstres ne sont en fait que les ténèbres de l'esprit humain...
Adrian Shine, du Projet Loch Ness, affirme que le monstre pourrait être un esturgeon Baltique, un poisson primitif muni d'un bec et d'épines et qui peut mesurer jusqu'à 9 pieds de long et peser environ 450 livres. Certains n'y verront qu'une autre histoire de pêcheur, mais l'évidence scientifique semble démontrer que Nessie serait, au mieux, un gros poisson dans un grand lac, ou une grosse vague dans un grand lac.
Le Loch Ness est très vaste et très sombre. Des habitués de la place ont déjà déclaré qu'il était facile d'avoir peur, parce que ce ne sont pas les ombres, les remous et les vagues étranges qui manquent sur ce lac. Une chose est sûre cependant au sujet du Loch Ness, il n'y a pas beaucoup d'endroits touristiques qui lui ressemble. Le climat étant peu attirant, Nessie est devenu extrêmement bénéfique à l'activité touristique de la région.
[1054837]
System [None]
:: March 17, 2013, 8:09 a.m.
Merci Tite Véro pour toutes ces informations. j'ai passé un moment agréable à te lire.
[1054840]
titevero (FR1) [None]
:: March 17, 2013, 9:38 a.m.
merci à toi d'être passé me lire !nathy643702 a écrit: »Merci Tite Véro pour toutes ces informations. j'ai passé un moment agréable à te lire.
[1054880]
titevero (FR1) [None]
:: March 17, 2013, 9:03 p.m.
Hantise.
La foret des ténèbres
[video=dailymotion;xpl9tg]http://www.dailymotion.com/video/xpl9tg_hantise-la-foret-des-tenebres-s02e07_tech[/video]
La ou les démons habitent
[video=dailymotion;xpshdm]http://www.dailymotion.com/video/xpshdm_hantise-la-ou-les-demons-habitent-s02e04_tech[/video]
Fantôme avide
[video=dailymotion;xpnsir]http://www.dailymotion.com/video/xpnsir_hantise-fantome-avide-s02e06_tech[/video]
La foret des ténèbres
[video=dailymotion;xpl9tg]http://www.dailymotion.com/video/xpl9tg_hantise-la-foret-des-tenebres-s02e07_tech[/video]
La ou les démons habitent
[video=dailymotion;xpshdm]http://www.dailymotion.com/video/xpshdm_hantise-la-ou-les-demons-habitent-s02e04_tech[/video]
Fantôme avide
[video=dailymotion;xpnsir]http://www.dailymotion.com/video/xpnsir_hantise-fantome-avide-s02e06_tech[/video]
[1054916]
titevero (FR1) [None]
:: March 18, 2013, 5:23 p.m.
La route maudite de la départementale 419

Situé en Alsace, la route départementale D419 à une sinistre réputation. En effet un nombre important d’accident inexpliqués s’y produisent régulièrement. Il s’agit pourtant d’une simple ligne droite d’à peine un kilomètre de long.
Entre 1994 et 1998, pas moins de 124 accidents de voiture ce sont produits sur cette départementale, près de Mulhouse en Alsace. Il s’agit-là des derniers chiffres officiels qui ont été rendus publics, mais les accidents ne sont pas moins fréquents aujourd’hui. Malgré de nombreuses tentatives d’amélioration de la sécurité, rien n’a changé.
Selon les témoins, arrivé à cette endroit de la route, le véhicule devient incontrôlable pour son conducteur.
Mystère que personne n’a encore réussi à élucider et qui effraye les habitants du petit village Carspash, situé à proximité de la fameuse départementale. Tous se demande combien d’entre eux devront encore mourir sur cette route pour que l’on comprenne enfin ce qu’il ce passe.
Une explication rationnelle de ce phénomène se trouve peu être dans le sous-sol de l’endroit.
Des perturbations du champ magnétique
Il semblerait que nous soyons très dépendants du champ magnétique terrestre de l’environnement dans lequel nous nous trouvons. Ainsi, il serait possible que des anomalies magnétique engendrent chez les conducteurs un stress ou une perte de connaissance.
Cependant, cette hypothèse n’explique pas pourquoi ce phénomène se produit à cet endroit là précisément et nulle part ailleurs.
Des âmes qui ne seraient pas en repos
Une autre explication remonterait au 16ème siècles. A cette époque, la région était secouée par une guerre violente, durant laquelle les habitants de plusieurs villages sont morts dans d’atroces souffrances. Ils ont été enterrés dans un cimetière qui se tenait à l’endroit ou se trouve actuellement la départementale 419.
Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui croient que les âmes de ces personnes errent encore et seraient à l’origine de ces accidents de voiture.
C’est l’hypothèse d’une route maudite qui prévaut donc parmi les habitants, à défaut de trouver une autre explication à la disparition de leurs proches.
Si vous passez un jour par cette route départementale 419 , surtout soyez prudent!!!
Ce sera l’occasion pour le p’tit reporter de l’étrange de se rendre sur les lieux pour en savoir un peu plus, nous vous tiendrons au courant de nos résultats et peu être trouver des réponses!
Dossier non classé, affaire à suivre…..
Route 666, l'autoroute du Diable...

Le nombre 666 est depuis toujours un symbole du Diable. Nombreux sont ceux qui ont tenté de percer son secret, ou de démentir son association au Malin, mais il reste toujours dans la conscience collective un nombre maudit, annonciateur de mort.
La tristement célèbre route 666 se situe aux Etats-Unis et traverse l'Utah, l'Arizona, le Colorado et le Nouveau Mexique. Tout d'abord, la route 666 serait le théatre de nombreux rituels et invocations sataniques, au vu de son nom. Cette route posséderait un grand taux d'accidents mortels, qui ont souvent lieux dans des circonstances obscures, tels que des disparitions de cadavres, ou de véhicules.
Ensuite, des témoins assureraient avoir vu des chiens noirs aux yeux jaunes et aux cros acérés au bord de cette route, attaquant les voyageurs imprudents. Mais ce n'est pas tout, le route serait hantée par de nombreux esprits : un camioneur fou, qui faucherait les piétons imprudents à environ 200 km/h, des esprits prendraient la forme d'animaux et se jetteraient sur la route dans le but de provoquer des accidents, d'autres s'inviteraient sur la banquette arrière des voitures et terroriseraient les automobilistes, une jeune fille serait visible au bord de cette route, mais disparaitrait dès que l'on s'approche, des voitures sans conducteurs y rouleraient, bref une galerie de phénomènes étranges.
On raconte aussi que des conducteurs roulant sur cette autoroute aurait disparu pour réapparaître quelques kilomètres plus loin sans aucun souvenirs de ce qui s'était passé.
Certains attribuent ces faits à la longueur de la route, ce qui provoquerait l'endormissement des conducteurs et tous ces phénomènes.
Quoi qu'il en soit, après les nombreuses pétitions lancées pas les riverains, "l'autoroute du Diable" a enfin changé de nom au profit de route 491, et serait paisible depuis...
Le kilomètre 239
A la fin de l’été 1929, une nouvelle autoroute fut ouverte à la circulation entre Brême et son avant-port, Bremerhaven.
En un an, plus de 100 automobilistes eurent un mystérieux accident sur cette route, et tous au kilomètre 239. Ce tronçon était pourtant une parfaite ligne droite.
Interrogés par la police, les survivants déclaraient avoir éprouvé une formidable excitation au moment où leur véhicule atteignait la borne, senti une grande force s’en emparer et le dévier sur le bas-côté. Le 7 décembre 1930, 9 voitures furent accidentées à l’endroit fatidique.
La police était intriguée mais un sourcier du pays, Carl Wehrs, avança que la force mystérieuse n’était qu’un puissant champ magnétique engendré par un courant souterrain.
Pour tester sa théorie, il prit une baguette d’acier dans ses mains, et s’avança vers le kilomètre 239. Lorsqu’il arriva à environ 4 mètres de la borne, la baguette vola de ses mains, comme arrachée par une force invisible, et fut lancée de l’autre côté de la route, tandis que Wehrs faisait un demi-tour sur lui-même.
Trouvant l’expérience concluante, Wehrs enterra un coffre de cuivre plein de petits morceaux de cuivre en forme d’étoiles, juste à la base de la borne.
Le coffre resta enterré une semaine, durant laquelle on ne déplora aucun accident.
Il fut retiré et les trois premières voitures qui passèrent furent accidentées. On remis alors le coffre en place et il n’y eut plus d’accidents à la hauteur du kilomètre 239.
Il serait intéressant de savoir si ce coffre est toujours à la même place.

Situé en Alsace, la route départementale D419 à une sinistre réputation. En effet un nombre important d’accident inexpliqués s’y produisent régulièrement. Il s’agit pourtant d’une simple ligne droite d’à peine un kilomètre de long.
Entre 1994 et 1998, pas moins de 124 accidents de voiture ce sont produits sur cette départementale, près de Mulhouse en Alsace. Il s’agit-là des derniers chiffres officiels qui ont été rendus publics, mais les accidents ne sont pas moins fréquents aujourd’hui. Malgré de nombreuses tentatives d’amélioration de la sécurité, rien n’a changé.
Selon les témoins, arrivé à cette endroit de la route, le véhicule devient incontrôlable pour son conducteur.
Mystère que personne n’a encore réussi à élucider et qui effraye les habitants du petit village Carspash, situé à proximité de la fameuse départementale. Tous se demande combien d’entre eux devront encore mourir sur cette route pour que l’on comprenne enfin ce qu’il ce passe.
Une explication rationnelle de ce phénomène se trouve peu être dans le sous-sol de l’endroit.
Des perturbations du champ magnétique
Il semblerait que nous soyons très dépendants du champ magnétique terrestre de l’environnement dans lequel nous nous trouvons. Ainsi, il serait possible que des anomalies magnétique engendrent chez les conducteurs un stress ou une perte de connaissance.
Cependant, cette hypothèse n’explique pas pourquoi ce phénomène se produit à cet endroit là précisément et nulle part ailleurs.
Des âmes qui ne seraient pas en repos
Une autre explication remonterait au 16ème siècles. A cette époque, la région était secouée par une guerre violente, durant laquelle les habitants de plusieurs villages sont morts dans d’atroces souffrances. Ils ont été enterrés dans un cimetière qui se tenait à l’endroit ou se trouve actuellement la départementale 419.
Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui croient que les âmes de ces personnes errent encore et seraient à l’origine de ces accidents de voiture.
C’est l’hypothèse d’une route maudite qui prévaut donc parmi les habitants, à défaut de trouver une autre explication à la disparition de leurs proches.
Si vous passez un jour par cette route départementale 419 , surtout soyez prudent!!!
Ce sera l’occasion pour le p’tit reporter de l’étrange de se rendre sur les lieux pour en savoir un peu plus, nous vous tiendrons au courant de nos résultats et peu être trouver des réponses!
Dossier non classé, affaire à suivre…..
Route 666, l'autoroute du Diable...

Le nombre 666 est depuis toujours un symbole du Diable. Nombreux sont ceux qui ont tenté de percer son secret, ou de démentir son association au Malin, mais il reste toujours dans la conscience collective un nombre maudit, annonciateur de mort.
La tristement célèbre route 666 se situe aux Etats-Unis et traverse l'Utah, l'Arizona, le Colorado et le Nouveau Mexique. Tout d'abord, la route 666 serait le théatre de nombreux rituels et invocations sataniques, au vu de son nom. Cette route posséderait un grand taux d'accidents mortels, qui ont souvent lieux dans des circonstances obscures, tels que des disparitions de cadavres, ou de véhicules.
Ensuite, des témoins assureraient avoir vu des chiens noirs aux yeux jaunes et aux cros acérés au bord de cette route, attaquant les voyageurs imprudents. Mais ce n'est pas tout, le route serait hantée par de nombreux esprits : un camioneur fou, qui faucherait les piétons imprudents à environ 200 km/h, des esprits prendraient la forme d'animaux et se jetteraient sur la route dans le but de provoquer des accidents, d'autres s'inviteraient sur la banquette arrière des voitures et terroriseraient les automobilistes, une jeune fille serait visible au bord de cette route, mais disparaitrait dès que l'on s'approche, des voitures sans conducteurs y rouleraient, bref une galerie de phénomènes étranges.
On raconte aussi que des conducteurs roulant sur cette autoroute aurait disparu pour réapparaître quelques kilomètres plus loin sans aucun souvenirs de ce qui s'était passé.
Certains attribuent ces faits à la longueur de la route, ce qui provoquerait l'endormissement des conducteurs et tous ces phénomènes.
Quoi qu'il en soit, après les nombreuses pétitions lancées pas les riverains, "l'autoroute du Diable" a enfin changé de nom au profit de route 491, et serait paisible depuis...
Le kilomètre 239
A la fin de l’été 1929, une nouvelle autoroute fut ouverte à la circulation entre Brême et son avant-port, Bremerhaven.
En un an, plus de 100 automobilistes eurent un mystérieux accident sur cette route, et tous au kilomètre 239. Ce tronçon était pourtant une parfaite ligne droite.
Interrogés par la police, les survivants déclaraient avoir éprouvé une formidable excitation au moment où leur véhicule atteignait la borne, senti une grande force s’en emparer et le dévier sur le bas-côté. Le 7 décembre 1930, 9 voitures furent accidentées à l’endroit fatidique.
La police était intriguée mais un sourcier du pays, Carl Wehrs, avança que la force mystérieuse n’était qu’un puissant champ magnétique engendré par un courant souterrain.
Pour tester sa théorie, il prit une baguette d’acier dans ses mains, et s’avança vers le kilomètre 239. Lorsqu’il arriva à environ 4 mètres de la borne, la baguette vola de ses mains, comme arrachée par une force invisible, et fut lancée de l’autre côté de la route, tandis que Wehrs faisait un demi-tour sur lui-même.
Trouvant l’expérience concluante, Wehrs enterra un coffre de cuivre plein de petits morceaux de cuivre en forme d’étoiles, juste à la base de la borne.
Le coffre resta enterré une semaine, durant laquelle on ne déplora aucun accident.
Il fut retiré et les trois premières voitures qui passèrent furent accidentées. On remis alors le coffre en place et il n’y eut plus d’accidents à la hauteur du kilomètre 239.
Il serait intéressant de savoir si ce coffre est toujours à la même place.
[1054923]
titevero (FR1) [None]
:: March 18, 2013, 7:17 p.m.
Un vaisseau fantôme est un navire maudit qui, selon une légende, est condamné à errer sur les océans, conduit par un équipage de squelettes et de fantômes, tel le légendaire Hollandais volant.

Il peut aussi s'agir de l'apparition spectrale d'un navire disparu ou naufragé dans des circonstances particulièrement tragiques.
Par extension, en référence à ces légendes, on donne également le nom de vaisseaux fantômes aux épaves retrouvées en mer avec leur équipage mort ou disparu, parfois inexplicablement, dont le plus célèbre exemple est le brick Mary Celeste.
la Mary Celeste
L'histoire de la Mary Celeste baigne dans le mystère le plus profond et elle a fait rêvé des millions de personnes.

Dans les annales des disparitions en mer, le nom de la « Mary-Celeste » est resté célèbre. Cette énigme qui n’a toujours pas été résolue contribue largement à entretenir le mythe des vaisseaux fantômes, ces « derelicts » ou bateaux abandonnés mystérieusement et qui défrayent depuis des siècles la chronique maritime.
L’histoire de la marine fourmille de mystères semblables à celui de la « Mary-Celeste ». Des dizaines de navires ont été ainsi abandonnés, soudainement et sans raison apparente, par des équipages que l’on n’a jamais revus. La rubrique ci-contre donne une liste non exhaustive de ces Vaisseaux Fantômes que l'on découvre encore aujourd'hui sillonnant les mers du globe.
La découverte de la « Mary-Celeste »
Le 4 décembre 1873 au matin, le trois-mâts anglais « Deo-Gratias » repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. Sa position était alors d'environ 37° de latitude nord et 18° de longitude ouest.
Le voilier suit une route curieusement oscillante et presque toutes ses voiles sont carguées.
Le capitaine Moorehouse, commandant du « Deo-Gratias », monte sur le pont, prend ses jumelles et examine le brick qui se trouve à un demi-mille environ. Stupéfait, il constate qu’il n'y a ni homme de barre, ni homme de veille, ni officier, ni matelot: le bateau semble désert.
Poussé par la brise qui gonfle ses voiles, le brick vient à passer par le travers du « Deo-Gratias ». Le capitaine Moorehouse braque ses jumelles sur la poupe du « derelict » et lit son nom avec stupeur: il s’agit de la « Mary-Celeste ».
On le héla en vain, mais nul ne répondit. Le capitaine Moorehouse fit mettre un canot à la mer et envoya un lieutenant et deux matelots visiter la « Mary-Celeste ». Si le brick était réellement abandonné, il devenait prise légitime et le capitaine Moorehouse pouvait réclamer à ses armateurs la prime légale attribuée aux sauveteurs d'un « derelict », un bateau abandonné en mer. Les trois hommes envoyés à bord de la « Mary-Celeste » firent d'étranges découvertes...
L'étonnante visite à bord de la Mary Celeste
Fait du hasard, le capitaine Moorehouse avait dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt. Quelques jours après, la « Mary-Celeste » appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1.700 tonneaux d’alcool pur. A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans.
Le capitaine Moorehouse fait fouiller le navire de fond en comble. Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, les hommes du « Deo-Gratias » découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.
On s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu.
La dernière mention portée au journal de bord date du 24 novembre, soit dix jours avant la découverte du brick abandonné. Ce journal indiquait le dernier point relevé par le capitaine: 36° de latitude nord et 27° de longitude ouest, suivi de cette simple mention: « Beau temps ».
Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles. Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale. Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes.
Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches. Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette.
L'enquête n'éclaircit pas le mystère
Moorehouse ramène la « Mary-Celeste » à Gibraltar pour la faire examiner par les autorités judiciaires. Quelques détails qui avaient échappé aux hommes du « Deo-Gratias » sont analysés minutieusement. D'abord la coque de la « Mary-Celeste » comporte à l'avant des entailles, et notamment une entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison, qui peuvent faire penser à un abordage. Ensuite, la lisse de tribord est maculée de taches ressemblant à du sang. Y avait-il eu un massacre ou une mutinerie ?
Un rapport détaillé est envoyé aux autorités américaines, au ministère du Commerce de Londres et à tous les consulats anglais et américains à travers le monde afin de rechercher les éventuels survivants de la « Mary-Celeste ». En attendant les résultats de ces recherches, l'enquête se poursuit à Gibraltar. Les résultats sont décevants. Un examen approfondi révèle que les traces rougeâtres relevées sur le bastingage de tribord ne sont point des taches de sang mais de la rouille, ce qui fit abandonner l'hypothèse d'une mutinerie ou d'un massacre.
Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots. Mais les barils d'alcool étaient intacts et les canots de la « Mary-Celeste » ont finalement été retrouvés. Sur quelles embarcations seraient donc partis les fugitifs ?
Les armateurs soulignent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau. En outre, l’alcool contenu dans les barils n’était pas buvable. Il aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle. Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.
Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu. La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. De nombreuses solutions, plus ou moins délirantes, ont été proposées, de l’attaque d’un poulpe géant à l’intervention des extraterrestres !... La Mary Celeste s’est échoué une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret.
Le 26 mars 1873, le capitaine Morehouse reçut la somme de 1 700 livres du tribunal maritime, soit 5 % du prix du navire (36 000 £).
Mais aujourd'hui encore, seule la mer connaît le secret du Mary Celeste.
[video=dailymotion;x67tjo]http://www.dailymotion.com/video/x67tjo_mystere-du-marie-celeste_news[/video]
Le Hollandais volant

Le plus célèbre des vaisseaux fantômes est le Hollandais volant, parfois appelé dans le passé Voltigeur hollandais, également connu sous les noms anglais The Flying Dutchman, néerlandais De Vliegende Hollander, et allemand Der Fliegende Hollander, ce dernier étant le titre original du célèbre opéra de Richard Wagner.
Il existe plusieurs versions à cette légende, la plus répandue est que le capitaine de ce brick fut assassiné par son équipage mais qu'il eut toutefois le temps de maudire. Peu de temps après, la peste se déclara à son bord et le navire fut rejeté de tous les ports où il tenta d'accoster, par peur de la contagion. Il commença alors à errer sans fin sur les mers .
« Les marins de toutes les nations croient à l'existence d'un bâtiment hollandais dont l'équipage est condamné par la justice divine, pour crime de pirateries et de cruautés abominables, à errer sur les mers jusqu'à la fin des siècles. On considère sa rencontre comme un funeste présage. »

La découverte de certaines épaves réelles, dans des circonstances particulièrement lugubres, peut avoir marqué durablement les esprits et contribué à la légende de bateaux conduits par des équipages de fantômes et de squelettes. Une telle sinistre rencontre s'est déroulée en 1913. Le Marlborough, un trois-mâts à coque en fer, long de 70m, avait été lancé à Glasgow en 1876 et était devenu la propriété de la Shaw, Saville & Albion Company. Il était armé par un équipage de 29 hommes commandé jusqu'en 1883 par le capitaine Anderson, puis ensuite par le capitaine Herd. Entre 1876 à 1890, le Marborough avait assuré avec succès quatorze traversées d'immigrés entre Londres et la Nouvelle-Zélande. Chargé d'une cargaison de viande congelée et de laine, il partit de Lyttelton en Nouvelle-Zélande le 11 janvier 1890, et a été vu pour la dernière fois le 13 janvier, avant de disparaitre sans laisser de traces. Il a été retrouvé 23 ans plus tard, en 1913, intégralement recouvert de moisissure verte, dans des circonstances particulièrement dramatiques :
« Un navire anglais se rendant à Lyttleton a fait, à Punta Arenas (près du cap Horn) une découverte macabre. Il a aperçu un navire qui semblait désemparé. Aucune réponse n'étant fait à ses signaux il s'est approché ; des matelots ont pénétré à bord de ce navire. Ils y ont trouvé vingt squelettes humains. Le bateau portait le nom de Marlborough, du port de Glasgow. Or, en 1890, un voilier de ce nom qui se rendait au Chili fut aperçu, pour la dernière fois, auprès du détroit de Magellan, puis on demeura sans aucune nouvelle de lui et il fut classé comme perdu. »

Le J.C. Cousins
La goélette J.C. Cousins était un luxueux yacht.

Son équipage de quatre marins fraîchement recrutés, sans fauteur de troubles connu, était sous le commandement du capitaine Joshua Zeiber. Une fois parvenu au milieu de la rivière, le capitaine avait noté dans le livre de bord, outre sa position et l'heure, que "tout allait bien à bord".
Le lendemain matin, 7 octobre 1883, il faisait un temps clair et un vent léger. Très tôt le navire avait été observé virant à trois miles au large, en direction de Clatstop Spit, près d'Ilwaco, dans l'État de Washington.
Brusquement, vers 13 heures, suite à un changement de vent, le navire a brusquement pivoté sur lui-même et s'est dirigé, toutes voiles dehors, droit sur la côte, pour finalement s'échouer brutalement sur un banc de sable.
Les témoins se sont immédiatement précipité à son secours et ont découvert, une fois montés à bord, une situation incompréhensible : le navire avait été manifestement abandonné avec précipitation.
Il y restait un repas intact servi sur la table du carré et, dans la cuisine, des pommes de terres cuisaient dans un casserole, sur une cuisinière encore chaude.
Dans le poste d'équipage, tous les effets des marins étaient proprement pendus. Il n'y avait pas la moindre trace de lutte ou de désordre.
Dans la cabine du capitaine un révolver Colt était rangé avec ses six balles de calibre 45 dans le barillet.
Le canot du bord était arrimé à son poste et, sur le pont près du grand mât, une caisse contenant une pile de bouées de sauvetage en liège était intacte.
Aucun corps n'a été repêché et, à terre ou en mer, il n'y avait la moindre trace de l'équipage. Une commission d'enquête a exploré en vain toutes les hypothèses possibles mais le mystère n'a jamais été éclairci. Le navire a finalement été remorqué, puis vendu aux enchères.
S’il y a des vaisseaux fantômes, il y a aussi des navires hantés....
Les Navires hantés
Le Charles Haskell
Le Charles Haskell, un schooner américain spécialement conçu et équipé pour la pêche à la morue, subissait la dernière inspection avant sa mise à l'eau, lorsqu'un des ouvriers glissa et se rompit le cou. Un tel accident fut considéré comme de très mauvais augure dans le milieu maritime très superstitieux, et le marin qui devait en assurer le commandement refusa le poste au dernier moment. Personne ne voulut le remplacer pendant une année, puis, le capitaine Curtis accepta le commandement.
Au cours de sa première campagne de pêche, en 1869, lors d'un hiver très rigoureux, le navire pêchait sur George Bank (Grand Banc de Terre-Neuve), parmi une centaine d'autres bateaux, quand une tempête se leva. Dans la déroute, le Charles Haskell éperonna un autre bateau de pêche, l'envoyant par le fond avec tout son équipage, tandis qu'il put lui-même regagner le port sans encombres.
Au printemps suivant, le Charles Haskell se trouvait de nouveau sur le Grand Banc, lorsque, au sixième jour de la pêche, les deux hommes de quart, à la nuit, virent des hommes en cirés dégoulinant d'eau passer en silence par-dessus le bastingage. Ils avaient la peau blême, le teint cireux, le regard vide. Les deux marins appelèrent le capitaine, et tout l'équipage observa les fantômes s'installer sur les bancs de nage, apprêter et lancer d'invisibles lignes. Puis, les vingt-six marins fantômes repartirent, en file indienne, comme ils étaient venus, pour retourner dans la mer. Le capitaine Curtis fit immédiatement mettre le cap à terre, mais il fallut tout de même passer une autre nuit en mer. A minuit, la même scène se répéta. Mais, cette fois, alors que pointait l'aube et que le navire arrivait en vue de Gloucester (Massachussetts), les marins fantômes repartirent en procession, marchant sur les eaux, en direction de Salem. Ce fut le dernier voyage du Charles Haskell, car plus aucun marin n'accepta de naviguer à son bord.

le UB-65
Au cours de l'année 1916, l'Allemagne entreprit de se doter d'une nouvelle flottille de sous-marins. Pendant la construction de l'un d'eux, le UB-65, deux accidents se produisirent l'un après l'autre : une poutre glissa et écrasa deux hommes, puis un dégagement de gaz toxique asphyxia trois autres ouvriers. Ce n'était pourtant qu'un début. Lors de la première sortie du bâtiment, l'un des marins se suicida. Peu après, au cours d'un exercice d'immersion, les commandes se bloquèrent. Le sous-marin resta ainsi douze heures au fond, puis, sans que l'on puisse l'expliquer, le navire répondit de nouveau, et l'équipage put s'en sortir in extremis.
Au cours d'un ravitaillement en vue de sa première croisière d'opérations, une torpille explosa, tuant six hommes, dont le second lieutenant. Pendant les réparations, seuls quelques hommes restèrent à bord, et, pendant un quart de surveillance, deux des marins vinrent trouver l'officier de quart pour lui raconter, effrayés, qu'ils avaient vu le second lieutenant, celui-là même qui était décédé lors de l'explosion de la torpille, monter à bord et se diriger vers la proue. Il s'était ensuite arrêté, et s'était retourné, les bras croisés sur la poitrine, pour les regarder fixement.

Deux jours plus tard, le fantôme réapparut, immobile à l'avant du navire. L'amiral Schroeder, prévenu par un rapport du commandant (qui avait lui-même vu le fantôme) ordonna une enquête. Après avoir envoyé le commandant en congé, il fit, à tout hasard, exorciser l'UB-65. Cela n'empêcha pas les apparitions de continuer de plus belle, et ce jusqu'en 1918. L'amiral décida de remplacer l'équipage. Le nouvel équipage embarqua au mois de juin, pour une mission dans la Manche.
Le 10 juillet 1918, le commandant du sous-marin américain L-2, en patrouille dans la Manche, aperçut, au périscope, un sous-marin allemand en surface, immobile, sans aucun signe de vie sur le pont. Comme il s’agissait peut-être d’une épave, le commandant donna l’ordre de s’en approcher. Il vit alors la silhouette d’un homme immobile, les bras croisés, à la proue du sous-marin allemand. Il nota également l’immatriculation : UB-65. Il s’apprêtait à envoyer une torpille, quand le bâtiment ennemi explosa soudainement, et coula. Très intrigué, il fit un rapport à l’état-major allié, mais on ne put lui fournir aucune explication au mystère. Le 31 juillet, l’état-major allemand publiait un communiqué indiquant : Un de nos sous-marins, l’UB-65, est manquant et doit être considéré comme perdu avec trente-quatre officiers et hommes d’équipage. » L’enquête se poursuivit après la guerre, mais elle n’apporta aucun élément nouveau susceptible d’expliquer ce qui s’était passé. Ainsi, prit fin l’étrange histoire du sous-marin UB-65.
En août 2004, selon certaines sources l’épave de l’UB-65 est découverte à 6 milles dans le N de Padstow sur un fond de 60 mètres par Innes Mc Cartney et son équipe et formellement identifiée par ses hélices tout comme par son armement. Selon sa description, l’épave est relativement bien conservée mais plusieurs panneaux sont ouverts, ce qui accréditerait l’idée que l’équipage a tenté de l’évacuer. Le bâtiment ne présente aucune trace d’explosion tant interne qu’externe. On suppose que le sous-marin pourrait être celui qui le 14 juillet a coulé au canon dans ces parages le Maria Jose, un pêcheur portugais mais rien ne vient confirmer cette action et les raisons pour lesquelles l’UB-65 a disparu resteront vraisemblablement à jamais ignorées.
Mais rien est moins sur...!

Selon les légendes des marins, la Dame Blanche hante depuis toujours les mers du globe, apparaissant parfois aux marins les plus chanceux. En effet, alors que son homologue terrestre est parfois messagère de mort, la Dame Blanche de la Mer est toujours un heureux présage.
Une telle rencontre se serait produite en 1863. Le capitaine de l’Usk se promenait, un soir, sur le pont de son navire, lorsqu’il vit soudain une forme se matérialiser parmi les haubans : une jeune femme d’une merveilleuse beauté venait d’apparaître. Celle-ci lui dit d’une voix douce, mais ferme, qu’il devait à tout prix retourner à terre, sans quoi il risquait de perdre à la fois son navire et sa vie. Le capitaine obéit et fit demi-tour. Mais, une fois à terre, les armateurs ne l’entendirent pas de cette oreille, et portèrent plainte. Les tribunaux leur donnèrent gain de cause, et les magistrats retirèrent son brevet au capitaine. L’Usk reprit bientôt la mer, avec un nouveau commandant. Peu après, il était détruit en mer par un incendie.

Il peut aussi s'agir de l'apparition spectrale d'un navire disparu ou naufragé dans des circonstances particulièrement tragiques.
Par extension, en référence à ces légendes, on donne également le nom de vaisseaux fantômes aux épaves retrouvées en mer avec leur équipage mort ou disparu, parfois inexplicablement, dont le plus célèbre exemple est le brick Mary Celeste.
la Mary Celeste
L'histoire de la Mary Celeste baigne dans le mystère le plus profond et elle a fait rêvé des millions de personnes.

Dans les annales des disparitions en mer, le nom de la « Mary-Celeste » est resté célèbre. Cette énigme qui n’a toujours pas été résolue contribue largement à entretenir le mythe des vaisseaux fantômes, ces « derelicts » ou bateaux abandonnés mystérieusement et qui défrayent depuis des siècles la chronique maritime.
L’histoire de la marine fourmille de mystères semblables à celui de la « Mary-Celeste ». Des dizaines de navires ont été ainsi abandonnés, soudainement et sans raison apparente, par des équipages que l’on n’a jamais revus. La rubrique ci-contre donne une liste non exhaustive de ces Vaisseaux Fantômes que l'on découvre encore aujourd'hui sillonnant les mers du globe.
La découverte de la « Mary-Celeste »
Le 4 décembre 1873 au matin, le trois-mâts anglais « Deo-Gratias » repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. Sa position était alors d'environ 37° de latitude nord et 18° de longitude ouest.
Le voilier suit une route curieusement oscillante et presque toutes ses voiles sont carguées.
Le capitaine Moorehouse, commandant du « Deo-Gratias », monte sur le pont, prend ses jumelles et examine le brick qui se trouve à un demi-mille environ. Stupéfait, il constate qu’il n'y a ni homme de barre, ni homme de veille, ni officier, ni matelot: le bateau semble désert.
Poussé par la brise qui gonfle ses voiles, le brick vient à passer par le travers du « Deo-Gratias ». Le capitaine Moorehouse braque ses jumelles sur la poupe du « derelict » et lit son nom avec stupeur: il s’agit de la « Mary-Celeste ».
On le héla en vain, mais nul ne répondit. Le capitaine Moorehouse fit mettre un canot à la mer et envoya un lieutenant et deux matelots visiter la « Mary-Celeste ». Si le brick était réellement abandonné, il devenait prise légitime et le capitaine Moorehouse pouvait réclamer à ses armateurs la prime légale attribuée aux sauveteurs d'un « derelict », un bateau abandonné en mer. Les trois hommes envoyés à bord de la « Mary-Celeste » firent d'étranges découvertes...
L'étonnante visite à bord de la Mary Celeste
Fait du hasard, le capitaine Moorehouse avait dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt. Quelques jours après, la « Mary-Celeste » appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1.700 tonneaux d’alcool pur. A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans.
Le capitaine Moorehouse fait fouiller le navire de fond en comble. Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, les hommes du « Deo-Gratias » découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.
On s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu.
La dernière mention portée au journal de bord date du 24 novembre, soit dix jours avant la découverte du brick abandonné. Ce journal indiquait le dernier point relevé par le capitaine: 36° de latitude nord et 27° de longitude ouest, suivi de cette simple mention: « Beau temps ».
Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles. Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale. Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes.
Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches. Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette.
L'enquête n'éclaircit pas le mystère
Moorehouse ramène la « Mary-Celeste » à Gibraltar pour la faire examiner par les autorités judiciaires. Quelques détails qui avaient échappé aux hommes du « Deo-Gratias » sont analysés minutieusement. D'abord la coque de la « Mary-Celeste » comporte à l'avant des entailles, et notamment une entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison, qui peuvent faire penser à un abordage. Ensuite, la lisse de tribord est maculée de taches ressemblant à du sang. Y avait-il eu un massacre ou une mutinerie ?
Un rapport détaillé est envoyé aux autorités américaines, au ministère du Commerce de Londres et à tous les consulats anglais et américains à travers le monde afin de rechercher les éventuels survivants de la « Mary-Celeste ». En attendant les résultats de ces recherches, l'enquête se poursuit à Gibraltar. Les résultats sont décevants. Un examen approfondi révèle que les traces rougeâtres relevées sur le bastingage de tribord ne sont point des taches de sang mais de la rouille, ce qui fit abandonner l'hypothèse d'une mutinerie ou d'un massacre.
Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots. Mais les barils d'alcool étaient intacts et les canots de la « Mary-Celeste » ont finalement été retrouvés. Sur quelles embarcations seraient donc partis les fugitifs ?
Les armateurs soulignent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau. En outre, l’alcool contenu dans les barils n’était pas buvable. Il aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle. Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.
Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu. La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. De nombreuses solutions, plus ou moins délirantes, ont été proposées, de l’attaque d’un poulpe géant à l’intervention des extraterrestres !... La Mary Celeste s’est échoué une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret.
Le 26 mars 1873, le capitaine Morehouse reçut la somme de 1 700 livres du tribunal maritime, soit 5 % du prix du navire (36 000 £).
Mais aujourd'hui encore, seule la mer connaît le secret du Mary Celeste.
[video=dailymotion;x67tjo]http://www.dailymotion.com/video/x67tjo_mystere-du-marie-celeste_news[/video]
Le Hollandais volant

Le plus célèbre des vaisseaux fantômes est le Hollandais volant, parfois appelé dans le passé Voltigeur hollandais, également connu sous les noms anglais The Flying Dutchman, néerlandais De Vliegende Hollander, et allemand Der Fliegende Hollander, ce dernier étant le titre original du célèbre opéra de Richard Wagner.
Il existe plusieurs versions à cette légende, la plus répandue est que le capitaine de ce brick fut assassiné par son équipage mais qu'il eut toutefois le temps de maudire. Peu de temps après, la peste se déclara à son bord et le navire fut rejeté de tous les ports où il tenta d'accoster, par peur de la contagion. Il commença alors à errer sans fin sur les mers .
« Les marins de toutes les nations croient à l'existence d'un bâtiment hollandais dont l'équipage est condamné par la justice divine, pour crime de pirateries et de cruautés abominables, à errer sur les mers jusqu'à la fin des siècles. On considère sa rencontre comme un funeste présage. »

La découverte de certaines épaves réelles, dans des circonstances particulièrement lugubres, peut avoir marqué durablement les esprits et contribué à la légende de bateaux conduits par des équipages de fantômes et de squelettes. Une telle sinistre rencontre s'est déroulée en 1913. Le Marlborough, un trois-mâts à coque en fer, long de 70m, avait été lancé à Glasgow en 1876 et était devenu la propriété de la Shaw, Saville & Albion Company. Il était armé par un équipage de 29 hommes commandé jusqu'en 1883 par le capitaine Anderson, puis ensuite par le capitaine Herd. Entre 1876 à 1890, le Marborough avait assuré avec succès quatorze traversées d'immigrés entre Londres et la Nouvelle-Zélande. Chargé d'une cargaison de viande congelée et de laine, il partit de Lyttelton en Nouvelle-Zélande le 11 janvier 1890, et a été vu pour la dernière fois le 13 janvier, avant de disparaitre sans laisser de traces. Il a été retrouvé 23 ans plus tard, en 1913, intégralement recouvert de moisissure verte, dans des circonstances particulièrement dramatiques :
« Un navire anglais se rendant à Lyttleton a fait, à Punta Arenas (près du cap Horn) une découverte macabre. Il a aperçu un navire qui semblait désemparé. Aucune réponse n'étant fait à ses signaux il s'est approché ; des matelots ont pénétré à bord de ce navire. Ils y ont trouvé vingt squelettes humains. Le bateau portait le nom de Marlborough, du port de Glasgow. Or, en 1890, un voilier de ce nom qui se rendait au Chili fut aperçu, pour la dernière fois, auprès du détroit de Magellan, puis on demeura sans aucune nouvelle de lui et il fut classé comme perdu. »

Le J.C. Cousins
La goélette J.C. Cousins était un luxueux yacht.

Son équipage de quatre marins fraîchement recrutés, sans fauteur de troubles connu, était sous le commandement du capitaine Joshua Zeiber. Une fois parvenu au milieu de la rivière, le capitaine avait noté dans le livre de bord, outre sa position et l'heure, que "tout allait bien à bord".
Le lendemain matin, 7 octobre 1883, il faisait un temps clair et un vent léger. Très tôt le navire avait été observé virant à trois miles au large, en direction de Clatstop Spit, près d'Ilwaco, dans l'État de Washington.
Brusquement, vers 13 heures, suite à un changement de vent, le navire a brusquement pivoté sur lui-même et s'est dirigé, toutes voiles dehors, droit sur la côte, pour finalement s'échouer brutalement sur un banc de sable.
Les témoins se sont immédiatement précipité à son secours et ont découvert, une fois montés à bord, une situation incompréhensible : le navire avait été manifestement abandonné avec précipitation.
Il y restait un repas intact servi sur la table du carré et, dans la cuisine, des pommes de terres cuisaient dans un casserole, sur une cuisinière encore chaude.
Dans le poste d'équipage, tous les effets des marins étaient proprement pendus. Il n'y avait pas la moindre trace de lutte ou de désordre.
Dans la cabine du capitaine un révolver Colt était rangé avec ses six balles de calibre 45 dans le barillet.
Le canot du bord était arrimé à son poste et, sur le pont près du grand mât, une caisse contenant une pile de bouées de sauvetage en liège était intacte.
Aucun corps n'a été repêché et, à terre ou en mer, il n'y avait la moindre trace de l'équipage. Une commission d'enquête a exploré en vain toutes les hypothèses possibles mais le mystère n'a jamais été éclairci. Le navire a finalement été remorqué, puis vendu aux enchères.
S’il y a des vaisseaux fantômes, il y a aussi des navires hantés....
Les Navires hantés
Le Charles Haskell
Le Charles Haskell, un schooner américain spécialement conçu et équipé pour la pêche à la morue, subissait la dernière inspection avant sa mise à l'eau, lorsqu'un des ouvriers glissa et se rompit le cou. Un tel accident fut considéré comme de très mauvais augure dans le milieu maritime très superstitieux, et le marin qui devait en assurer le commandement refusa le poste au dernier moment. Personne ne voulut le remplacer pendant une année, puis, le capitaine Curtis accepta le commandement.
Au cours de sa première campagne de pêche, en 1869, lors d'un hiver très rigoureux, le navire pêchait sur George Bank (Grand Banc de Terre-Neuve), parmi une centaine d'autres bateaux, quand une tempête se leva. Dans la déroute, le Charles Haskell éperonna un autre bateau de pêche, l'envoyant par le fond avec tout son équipage, tandis qu'il put lui-même regagner le port sans encombres.
Au printemps suivant, le Charles Haskell se trouvait de nouveau sur le Grand Banc, lorsque, au sixième jour de la pêche, les deux hommes de quart, à la nuit, virent des hommes en cirés dégoulinant d'eau passer en silence par-dessus le bastingage. Ils avaient la peau blême, le teint cireux, le regard vide. Les deux marins appelèrent le capitaine, et tout l'équipage observa les fantômes s'installer sur les bancs de nage, apprêter et lancer d'invisibles lignes. Puis, les vingt-six marins fantômes repartirent, en file indienne, comme ils étaient venus, pour retourner dans la mer. Le capitaine Curtis fit immédiatement mettre le cap à terre, mais il fallut tout de même passer une autre nuit en mer. A minuit, la même scène se répéta. Mais, cette fois, alors que pointait l'aube et que le navire arrivait en vue de Gloucester (Massachussetts), les marins fantômes repartirent en procession, marchant sur les eaux, en direction de Salem. Ce fut le dernier voyage du Charles Haskell, car plus aucun marin n'accepta de naviguer à son bord.

le UB-65
Au cours de l'année 1916, l'Allemagne entreprit de se doter d'une nouvelle flottille de sous-marins. Pendant la construction de l'un d'eux, le UB-65, deux accidents se produisirent l'un après l'autre : une poutre glissa et écrasa deux hommes, puis un dégagement de gaz toxique asphyxia trois autres ouvriers. Ce n'était pourtant qu'un début. Lors de la première sortie du bâtiment, l'un des marins se suicida. Peu après, au cours d'un exercice d'immersion, les commandes se bloquèrent. Le sous-marin resta ainsi douze heures au fond, puis, sans que l'on puisse l'expliquer, le navire répondit de nouveau, et l'équipage put s'en sortir in extremis.
Au cours d'un ravitaillement en vue de sa première croisière d'opérations, une torpille explosa, tuant six hommes, dont le second lieutenant. Pendant les réparations, seuls quelques hommes restèrent à bord, et, pendant un quart de surveillance, deux des marins vinrent trouver l'officier de quart pour lui raconter, effrayés, qu'ils avaient vu le second lieutenant, celui-là même qui était décédé lors de l'explosion de la torpille, monter à bord et se diriger vers la proue. Il s'était ensuite arrêté, et s'était retourné, les bras croisés sur la poitrine, pour les regarder fixement.

Deux jours plus tard, le fantôme réapparut, immobile à l'avant du navire. L'amiral Schroeder, prévenu par un rapport du commandant (qui avait lui-même vu le fantôme) ordonna une enquête. Après avoir envoyé le commandant en congé, il fit, à tout hasard, exorciser l'UB-65. Cela n'empêcha pas les apparitions de continuer de plus belle, et ce jusqu'en 1918. L'amiral décida de remplacer l'équipage. Le nouvel équipage embarqua au mois de juin, pour une mission dans la Manche.
Le 10 juillet 1918, le commandant du sous-marin américain L-2, en patrouille dans la Manche, aperçut, au périscope, un sous-marin allemand en surface, immobile, sans aucun signe de vie sur le pont. Comme il s’agissait peut-être d’une épave, le commandant donna l’ordre de s’en approcher. Il vit alors la silhouette d’un homme immobile, les bras croisés, à la proue du sous-marin allemand. Il nota également l’immatriculation : UB-65. Il s’apprêtait à envoyer une torpille, quand le bâtiment ennemi explosa soudainement, et coula. Très intrigué, il fit un rapport à l’état-major allié, mais on ne put lui fournir aucune explication au mystère. Le 31 juillet, l’état-major allemand publiait un communiqué indiquant : Un de nos sous-marins, l’UB-65, est manquant et doit être considéré comme perdu avec trente-quatre officiers et hommes d’équipage. » L’enquête se poursuivit après la guerre, mais elle n’apporta aucun élément nouveau susceptible d’expliquer ce qui s’était passé. Ainsi, prit fin l’étrange histoire du sous-marin UB-65.
En août 2004, selon certaines sources l’épave de l’UB-65 est découverte à 6 milles dans le N de Padstow sur un fond de 60 mètres par Innes Mc Cartney et son équipe et formellement identifiée par ses hélices tout comme par son armement. Selon sa description, l’épave est relativement bien conservée mais plusieurs panneaux sont ouverts, ce qui accréditerait l’idée que l’équipage a tenté de l’évacuer. Le bâtiment ne présente aucune trace d’explosion tant interne qu’externe. On suppose que le sous-marin pourrait être celui qui le 14 juillet a coulé au canon dans ces parages le Maria Jose, un pêcheur portugais mais rien ne vient confirmer cette action et les raisons pour lesquelles l’UB-65 a disparu resteront vraisemblablement à jamais ignorées.
Mais rien est moins sur...!

Selon les légendes des marins, la Dame Blanche hante depuis toujours les mers du globe, apparaissant parfois aux marins les plus chanceux. En effet, alors que son homologue terrestre est parfois messagère de mort, la Dame Blanche de la Mer est toujours un heureux présage.
Une telle rencontre se serait produite en 1863. Le capitaine de l’Usk se promenait, un soir, sur le pont de son navire, lorsqu’il vit soudain une forme se matérialiser parmi les haubans : une jeune femme d’une merveilleuse beauté venait d’apparaître. Celle-ci lui dit d’une voix douce, mais ferme, qu’il devait à tout prix retourner à terre, sans quoi il risquait de perdre à la fois son navire et sa vie. Le capitaine obéit et fit demi-tour. Mais, une fois à terre, les armateurs ne l’entendirent pas de cette oreille, et portèrent plainte. Les tribunaux leur donnèrent gain de cause, et les magistrats retirèrent son brevet au capitaine. L’Usk reprit bientôt la mer, avec un nouveau commandant. Peu après, il était détruit en mer par un incendie.
[1054924]
Bellalouna2 [None]
:: March 18, 2013, 7:48 p.m.
Je me surprends à attendre avec impatience chaque nouveau post... Merci pour ce travail splendide.
[1054933]
titevero (FR1) [None]
:: March 18, 2013, 9:15 p.m.
Bellalouna2 a écrit: »Je me surprends à attendre avec impatience chaque nouveau post... Merci pour ce travail splendide.
merci pour ce gentil post !
[1054952]
titevero (FR1) [None]
:: March 19, 2013, 12:39 p.m.
Le manoir hanté par 14 chiens… et leur maître

Nous sommes en Ecosse, au manoir Ballechin. Alentour, les distilleries fonctionnent à plein régime en cette moitié du 19 ème siècle. Le Whisky de la région est connu et a la réputation de tranquilliser les esprits les plus farouches. C’est que les habitants du manoir vont en avoir besoin…. de tranquilité.

Le manoir de Ballechin fut construit en 1806, sur l’emplacement d’un vieux manoir qui était déjà détenu par la famille Stewart (Stuart) depuis plus de trois siècles. C’est d’ailleurs cette année là, dans cette nouvelle maison, qu’est né Robert Stewart, celui qui allait entrer dans la légende. Il parti pour les Indes en 1825, avec la Compagnie des Indes orientales et en revint 25 ans plus tard, en 1850, avec un grade de Major. À son retour, il retourna à Ballechin, dont il avait hérité 16 ans auparavant. Comme la maison avait été louée à des locataires, il habita quelque temps dans un petit cabanon en attendant que leur bail expire.
La population locale le considérait comme excentrique, car bien que profondément religieux, il avait développé plusieurs croyances pendant les vingt-cinq années qu’il avait vécu en Inde. Il avait aussi un grand amour pour les chiens, il en possédait quatorze. Vers la fin de sa vie, il avait presque complètement raillé la compagnie des hommes, préférant ses animaux. Sa seule amie était sa femme de chambre, Sarah, qui décéda mystérieusement dans la chambre du maître, en 1873, à l’âge de 27 ans. Cette chambre allait d’ailleurs devenir la pièce la plus hantée de la maison. Le Major Stewart croyait fermement en la transmigration des âmes et avait déjà déclaré vouloir revenir, après sa mort, dans la peau de son chien favori, un épagneul noir. Il mourut dans son manoir, en 1874 (1876 selon certaines sources), et fut enterré aux cotés de Sarah. Nul ne sait vraiment si le major réussit à transmigrer son âme dans le corps de son épagneul, mais si ce fut le cas, il dû avoir une surprise car, lorsque son neveu, qui hérita du manoir de Ballechin, arriva dans sa nouvelle demeure, il fit abattre tous les chiens, en commençant par l’épagneul noir. C’est peu de temps après que le premier phénomène paranormal se produisit. La femme de John Stewart, le neveu du major, était dans le bureau de son mari alors qu’elle sentit une très forte odeur de chien, la même qui régnait autrefois en ces lieux. Soudainement, elle fut heurtée par un animal invisible. Les évènements ne tardèrent pas à se multiplier; des bruits étranges, des coups, des grattements, des détonations, des voix se disputant, alors qu’il n’y avait personne.
Vers la fin de 1878-79, la situation était devenue tellement inquiétante que la gouvernante quitta le manoir. Un prêtre jésuite, le Père Hayden, avait souvent été hébergé à Ballechin et y entendu des sons et des cris à de nombreuses reprises. À une occasion, il a entendu le bruit de ce qui semblait être un chien frottant et grattant à sa porte, mais lorsqu’il ouvra la porte, il n’y avait rien. Plus tard, lorsqu’il rencontra l’ancienne gouvernante de la famille Stewart, complètement par hasard, lorsqu’elle lui révéla qu’il avait dormi dans les deux pièces les plus hantées du manoir. Au cour du mois de Janvier 1895, John Stewart était en train de discuter avec un associé, dans l’ancien bureau du major, lorsque qu’ils furent interrompus par trois fortes voix, provenant de l’intérieur même de la pièce. Cela pouvait être un présage, car peu de temps après, John Stewart est mort dans les rues de Londres après avoir été renversé par un fiacre.
En 1896, la maison fût louée à une famille pour une période d’un an. Le nouveau propriétaire de la maison était un capitaine de l’armée qui n’avait aucun intérêt pour la succession. Cette famille devait quitter la maison après onze semaines, laissant derrière eux neuf mois payés d’avance, après avoir entendu de nombreux coups dans les murs et des querelles qui semblaient venir d’outre tombe. Certains d’entre eux prétendirent avoir vu un fantôme vêtu d’un habit de soie ainsi avoir été reniflés et poussés par des animaux invisibles. La literie avait quelques fois été enlevée des lits et des présences se faisait sentir dans leurs chambres. Une des filles de la famille était terrifiée, une nuit, alors qu’elle entendait des bruits de pas boitant, allant et venant, tournant en rond alentour de son lit. Elle dormait dans cette chambre, où mourut la femme de chambre en 1873. Il est aussi intéressant de noter que le major Stewart est rentré des Indes avec une blessure permanente à une de ses jambes.
Lorsque le marquis de Bute entendit parler de Ballechin, il eut envi d’aller voir ce qui s’y passait. Adepte de spiritisme, il était membre de la Psychical Research Society. Il se rendit au manoir avec le colonel Le Mesurier-Taylor et Mlle Goodrich-Speer, pour mener une enquête plus approfondit. Le marquis invita donc trente-cinq personnes, au début du mois de février 1897, officiellement pour un long séjour. Presque aucun des invités n’était au courant de la réputation de Ballechin, mais ils n’allaient pas tarder à comprendre comment elle lui était venue. Le séjour débuta par des cognements étranges, à intervalle régulier, suivit de plusieurs sons insolites, des grattements, des coups dans les murs et dans les portes ainsi que des échos de dispute ou de services religieux. Nombreux sont ceux qui entendirent des bruits de pas dans des pièces vides. Au début, les nombreux invités croyaient que ces bruits étaient produits par des chouettes, les domestiques et les gouttières. Lorsqu’il devint évident que tous ces bruits n’auraient pu être produit, même par une armée de domestiques, de façon naturelle, les invités commencèrent à s’accuser mutuellement. Finalement, les hommes passèrent la nuit debout, armés de tisonniers et de pistolets. Pendant la nuit, un épagneul noir qui sorti de nulle part et qui disparut tout aussi mystérieusement fût aperçu par presque tout le monde.
Durant les jours et les nuits suivantes, plusieurs invités se plaignirent de se faire frapper par des queues de chiens, de s’être fait reniflés ou poussés par des créatures invisibles. Une femme qui dormait avec son animal dit avoir été réveillée par des gémissements de se dernier. Suivant le regard de son chien, elle vit deux pattes appuyées sur la table de nuit, qui ne semblait pas avoir de corps. Une religieuse fût aperçue à plusieurs reprises et un homme vit flotter une main, tenant un crucifix, au dessus de son lit. À la fin du séjour, tous les invités, sauf un, affirmait que le manoir était hanté. Au cour d’une des enquêtes menées, deux religieuses furent aperçues près d’un ruisseau, l’une pleurant et l’autre la réconfortant. Après une séance de spiritisme durant laquelle une planche spirite Ouija était utilisée, une personne du nom de « Ishbel » commanda aux enquêteurs de retourner au ruisseau, où ils avaient observé les religieuses. Une fois sur place, ils virent clairement une religieuse, marchant lentement et qui disparut sous un arbre. La même religieuse fût aperçue à de nombreuses reprises avant la fin de l’enquête. La maison resta inhabitée de 1932 à 1963, date à laquelle elle fût démolie.
Le manoir du Chastenay dans l'Yonne


La ville d'Arcy sur cure est dominée par le hameau du val Sainte-Marie, cet endroit abrite le manoir du Chastenay.
L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1971. Le manoir du Chastenay, autrefois connu sous le nom de Château du Lys. Situé à l'embranchement de la route romaine d'Agrippa et de celle qu'empruntaient les pèlerins de Compostelle, le manoir est également le théâtre d'opérations supra normales. Des bruits étranges s'y font entendre « sorte de borborygmes géants ». Une dame blanche, le fantôme probable d'une dame d'Estut-Assay, châtelaine à l'époque de la révolution), a souvent été aperçue à l'une des fenêtres du manoir ce manoir est le théâtre de nombreux phénomènes paranormaux. Des bruits étranges s'y font entendre. Ils font penser à de forts gargouillis. On dit même que le fantôme d'une femme apparaitrait quelque fois derrière une des fenêtres du manoir. Certains affirment que cette dernière était châtelaine à l'époque de la Révolution, et qu'il s'agirait d'une descendante directe d'une famille d'origine écossaise. Adulée par les paysans, elle n'aurait jamais pu se séparer de sa demeure, malgré les troubles de la Révolution et surtout... malgré sa mort ! Lorsque le propriétaire du manoir, Gabriel de la Varende, a récupéré dans les années 1960, une demeure en piteux état, il était loin de se douter des extraordinaires phénomènes dont il allait être le témoin... Et pourtant, il est aujourd'hui convaincu que le destin ne lui a pas fait croiser la route de cet édifice par hasard. Il est persuadé qu'une volonté supérieure exigeait que le manoir du Chastenay lui revienne de droit. C'est cette dernière, qui , un an auparavant, l'a sans doute poussé à établir son arbre généalogique, grâce auquel il a découvert sa filiation bourguignonne et a donc hérité de ce manoir... L'actuel manoir du Chastenay date de 1349 et doit son édification à Guillaume d'Aulenay. Il est bâti au-dessus d'un réseau de grottes souterraines inondées et à l'intersection de deux routes symboliques (citées plus haut). Cette localisation n'est pas innocente, puisque le château a été conçu comme une " cage de Faraday ", favorisant la rencontre entre les forces terrestres et les forces célestes... Ainsi exposés à de puissants courants telluriques, les habitués du château reconnaissent profiter de leur influence bénéfique contre la fatigue et la déprime. Peut-être s'agit-il également d'une condition indispensable à la réalisation de travaux alchimiques, qui sait ?! Ce manoir aurait été un haut-lieu de l'alchimie, pendant la période Médiévale. En effet, de nombreux symboles ainsi que des peintures représentant le " Grand Oeuvre" (qui consistait à transformer le plomb en or) y ont été retrouvés. Tous ces symboles retrouvés se rattachent à la fabrication de la Pierre Philosophale. Ce qui est le plus étrange dans cette affaire, c'est qu'ils sont gravés dans la pierre des murs. Comme pour les cathédrales, la recette secrète serait donc dissimulée sur les murs de manière hermétique ? Au-dessus de la porte des sages, dans la tour Saint-Jean qui permet d'accéder à l'intérieur du château, on distingue très nettement plusieurs figures allégoriques sculptées sur le porche. Dans l'unique salle accessible au public, on peut admirer une série de peintures sur bois (dont la préservation semble difficile), représentant la vie d'un Saint.

Nous sommes en Ecosse, au manoir Ballechin. Alentour, les distilleries fonctionnent à plein régime en cette moitié du 19 ème siècle. Le Whisky de la région est connu et a la réputation de tranquilliser les esprits les plus farouches. C’est que les habitants du manoir vont en avoir besoin…. de tranquilité.

Le manoir de Ballechin fut construit en 1806, sur l’emplacement d’un vieux manoir qui était déjà détenu par la famille Stewart (Stuart) depuis plus de trois siècles. C’est d’ailleurs cette année là, dans cette nouvelle maison, qu’est né Robert Stewart, celui qui allait entrer dans la légende. Il parti pour les Indes en 1825, avec la Compagnie des Indes orientales et en revint 25 ans plus tard, en 1850, avec un grade de Major. À son retour, il retourna à Ballechin, dont il avait hérité 16 ans auparavant. Comme la maison avait été louée à des locataires, il habita quelque temps dans un petit cabanon en attendant que leur bail expire.
La population locale le considérait comme excentrique, car bien que profondément religieux, il avait développé plusieurs croyances pendant les vingt-cinq années qu’il avait vécu en Inde. Il avait aussi un grand amour pour les chiens, il en possédait quatorze. Vers la fin de sa vie, il avait presque complètement raillé la compagnie des hommes, préférant ses animaux. Sa seule amie était sa femme de chambre, Sarah, qui décéda mystérieusement dans la chambre du maître, en 1873, à l’âge de 27 ans. Cette chambre allait d’ailleurs devenir la pièce la plus hantée de la maison. Le Major Stewart croyait fermement en la transmigration des âmes et avait déjà déclaré vouloir revenir, après sa mort, dans la peau de son chien favori, un épagneul noir. Il mourut dans son manoir, en 1874 (1876 selon certaines sources), et fut enterré aux cotés de Sarah. Nul ne sait vraiment si le major réussit à transmigrer son âme dans le corps de son épagneul, mais si ce fut le cas, il dû avoir une surprise car, lorsque son neveu, qui hérita du manoir de Ballechin, arriva dans sa nouvelle demeure, il fit abattre tous les chiens, en commençant par l’épagneul noir. C’est peu de temps après que le premier phénomène paranormal se produisit. La femme de John Stewart, le neveu du major, était dans le bureau de son mari alors qu’elle sentit une très forte odeur de chien, la même qui régnait autrefois en ces lieux. Soudainement, elle fut heurtée par un animal invisible. Les évènements ne tardèrent pas à se multiplier; des bruits étranges, des coups, des grattements, des détonations, des voix se disputant, alors qu’il n’y avait personne.
Vers la fin de 1878-79, la situation était devenue tellement inquiétante que la gouvernante quitta le manoir. Un prêtre jésuite, le Père Hayden, avait souvent été hébergé à Ballechin et y entendu des sons et des cris à de nombreuses reprises. À une occasion, il a entendu le bruit de ce qui semblait être un chien frottant et grattant à sa porte, mais lorsqu’il ouvra la porte, il n’y avait rien. Plus tard, lorsqu’il rencontra l’ancienne gouvernante de la famille Stewart, complètement par hasard, lorsqu’elle lui révéla qu’il avait dormi dans les deux pièces les plus hantées du manoir. Au cour du mois de Janvier 1895, John Stewart était en train de discuter avec un associé, dans l’ancien bureau du major, lorsque qu’ils furent interrompus par trois fortes voix, provenant de l’intérieur même de la pièce. Cela pouvait être un présage, car peu de temps après, John Stewart est mort dans les rues de Londres après avoir été renversé par un fiacre.
En 1896, la maison fût louée à une famille pour une période d’un an. Le nouveau propriétaire de la maison était un capitaine de l’armée qui n’avait aucun intérêt pour la succession. Cette famille devait quitter la maison après onze semaines, laissant derrière eux neuf mois payés d’avance, après avoir entendu de nombreux coups dans les murs et des querelles qui semblaient venir d’outre tombe. Certains d’entre eux prétendirent avoir vu un fantôme vêtu d’un habit de soie ainsi avoir été reniflés et poussés par des animaux invisibles. La literie avait quelques fois été enlevée des lits et des présences se faisait sentir dans leurs chambres. Une des filles de la famille était terrifiée, une nuit, alors qu’elle entendait des bruits de pas boitant, allant et venant, tournant en rond alentour de son lit. Elle dormait dans cette chambre, où mourut la femme de chambre en 1873. Il est aussi intéressant de noter que le major Stewart est rentré des Indes avec une blessure permanente à une de ses jambes.
Lorsque le marquis de Bute entendit parler de Ballechin, il eut envi d’aller voir ce qui s’y passait. Adepte de spiritisme, il était membre de la Psychical Research Society. Il se rendit au manoir avec le colonel Le Mesurier-Taylor et Mlle Goodrich-Speer, pour mener une enquête plus approfondit. Le marquis invita donc trente-cinq personnes, au début du mois de février 1897, officiellement pour un long séjour. Presque aucun des invités n’était au courant de la réputation de Ballechin, mais ils n’allaient pas tarder à comprendre comment elle lui était venue. Le séjour débuta par des cognements étranges, à intervalle régulier, suivit de plusieurs sons insolites, des grattements, des coups dans les murs et dans les portes ainsi que des échos de dispute ou de services religieux. Nombreux sont ceux qui entendirent des bruits de pas dans des pièces vides. Au début, les nombreux invités croyaient que ces bruits étaient produits par des chouettes, les domestiques et les gouttières. Lorsqu’il devint évident que tous ces bruits n’auraient pu être produit, même par une armée de domestiques, de façon naturelle, les invités commencèrent à s’accuser mutuellement. Finalement, les hommes passèrent la nuit debout, armés de tisonniers et de pistolets. Pendant la nuit, un épagneul noir qui sorti de nulle part et qui disparut tout aussi mystérieusement fût aperçu par presque tout le monde.
Durant les jours et les nuits suivantes, plusieurs invités se plaignirent de se faire frapper par des queues de chiens, de s’être fait reniflés ou poussés par des créatures invisibles. Une femme qui dormait avec son animal dit avoir été réveillée par des gémissements de se dernier. Suivant le regard de son chien, elle vit deux pattes appuyées sur la table de nuit, qui ne semblait pas avoir de corps. Une religieuse fût aperçue à plusieurs reprises et un homme vit flotter une main, tenant un crucifix, au dessus de son lit. À la fin du séjour, tous les invités, sauf un, affirmait que le manoir était hanté. Au cour d’une des enquêtes menées, deux religieuses furent aperçues près d’un ruisseau, l’une pleurant et l’autre la réconfortant. Après une séance de spiritisme durant laquelle une planche spirite Ouija était utilisée, une personne du nom de « Ishbel » commanda aux enquêteurs de retourner au ruisseau, où ils avaient observé les religieuses. Une fois sur place, ils virent clairement une religieuse, marchant lentement et qui disparut sous un arbre. La même religieuse fût aperçue à de nombreuses reprises avant la fin de l’enquête. La maison resta inhabitée de 1932 à 1963, date à laquelle elle fût démolie.
Le manoir du Chastenay dans l'Yonne


La ville d'Arcy sur cure est dominée par le hameau du val Sainte-Marie, cet endroit abrite le manoir du Chastenay.
L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1971. Le manoir du Chastenay, autrefois connu sous le nom de Château du Lys. Situé à l'embranchement de la route romaine d'Agrippa et de celle qu'empruntaient les pèlerins de Compostelle, le manoir est également le théâtre d'opérations supra normales. Des bruits étranges s'y font entendre « sorte de borborygmes géants ». Une dame blanche, le fantôme probable d'une dame d'Estut-Assay, châtelaine à l'époque de la révolution), a souvent été aperçue à l'une des fenêtres du manoir ce manoir est le théâtre de nombreux phénomènes paranormaux. Des bruits étranges s'y font entendre. Ils font penser à de forts gargouillis. On dit même que le fantôme d'une femme apparaitrait quelque fois derrière une des fenêtres du manoir. Certains affirment que cette dernière était châtelaine à l'époque de la Révolution, et qu'il s'agirait d'une descendante directe d'une famille d'origine écossaise. Adulée par les paysans, elle n'aurait jamais pu se séparer de sa demeure, malgré les troubles de la Révolution et surtout... malgré sa mort ! Lorsque le propriétaire du manoir, Gabriel de la Varende, a récupéré dans les années 1960, une demeure en piteux état, il était loin de se douter des extraordinaires phénomènes dont il allait être le témoin... Et pourtant, il est aujourd'hui convaincu que le destin ne lui a pas fait croiser la route de cet édifice par hasard. Il est persuadé qu'une volonté supérieure exigeait que le manoir du Chastenay lui revienne de droit. C'est cette dernière, qui , un an auparavant, l'a sans doute poussé à établir son arbre généalogique, grâce auquel il a découvert sa filiation bourguignonne et a donc hérité de ce manoir... L'actuel manoir du Chastenay date de 1349 et doit son édification à Guillaume d'Aulenay. Il est bâti au-dessus d'un réseau de grottes souterraines inondées et à l'intersection de deux routes symboliques (citées plus haut). Cette localisation n'est pas innocente, puisque le château a été conçu comme une " cage de Faraday ", favorisant la rencontre entre les forces terrestres et les forces célestes... Ainsi exposés à de puissants courants telluriques, les habitués du château reconnaissent profiter de leur influence bénéfique contre la fatigue et la déprime. Peut-être s'agit-il également d'une condition indispensable à la réalisation de travaux alchimiques, qui sait ?! Ce manoir aurait été un haut-lieu de l'alchimie, pendant la période Médiévale. En effet, de nombreux symboles ainsi que des peintures représentant le " Grand Oeuvre" (qui consistait à transformer le plomb en or) y ont été retrouvés. Tous ces symboles retrouvés se rattachent à la fabrication de la Pierre Philosophale. Ce qui est le plus étrange dans cette affaire, c'est qu'ils sont gravés dans la pierre des murs. Comme pour les cathédrales, la recette secrète serait donc dissimulée sur les murs de manière hermétique ? Au-dessus de la porte des sages, dans la tour Saint-Jean qui permet d'accéder à l'intérieur du château, on distingue très nettement plusieurs figures allégoriques sculptées sur le porche. Dans l'unique salle accessible au public, on peut admirer une série de peintures sur bois (dont la préservation semble difficile), représentant la vie d'un Saint.

[1054954]
titevero (FR1) [None]
:: March 19, 2013, 12:53 p.m.
Marthe Robin et les stigmates du Christ
Marthe Robin est restée cinquante ans sans se nourrir et pourtant elle a survécu miraculeusement. Revenons sur son enfance et découvrons son histoire.
Marthe naît le 13 mars 1902 à Châteauneuf-de-Galaure dans la Drôme. Elle contracte la fièvre typhoïde ce qui la rend fragile tout le reste de son enfance. Elle tombe malade le 1er décembre 1918 et les médecins pensent à une tumeur cérébrale, suite à quoi elle tombe dans le coma quatre jours durant. Elle sort de cette phase difficile, mais la maladie progresse et elle se retrouve maintenant partiellement paralysée. En avril-mai 1921, elle connait une nouvelle phase de rémission et à partir de mai 1928 se retrouve définitivement paralysée des membres inférieurs. Il semble qu’elle était atteinte d’une encéphalite, une affection inflammatoire des centres nerveux .Son hypersensibilité à la lumière l’obligeait à rester recluse, dans une chambre peu éclairée.
Marthe avait une relation très forte avec Dieu, elle aimait le prier régulièrement et fit sa communion le 15 août 1912. A partir de 1930, elle cessa de s'alimenter de nourriture ‘normale’ et ne consomma plus que des hosties consacrées et cela jusqu’à sa mort, soit 51 ans plus tard. Au début du mois d’octobre 1930 elle commença à recevoir les stigmates, autrement dit, des traces des plaies comme infligées à Jésus-Christ au cours de sa crucifixion et ce phénomène dura jusqu’à sa mort le 6 février 1981.
Elle a reçu dans sa chambre plus de 100.000 personnes, dont 60 évêques et cardinaux, des centaines de prêtres, de consacrés, des célébrités du monde intellectuel, de nombreux fondateurs d'ordres et communautés nouvelles. Elle a aussi fondé une œuvre, les Foyers de Charité, présents dans le monde entier, où l'on prêche des retraites pour la formation des laïcs.
Le docteur Alain Assailly, l’ancien neuropsychiatre de Marthe, nous explique, selon son avis, pourquoi elle ne pouvait plus manger. Il nous dit que son encéphalite avait ‘détraqué’ son mécanisme de déglutition et donc que si elle mangeait, elle recrachait tout par la bouche. Son système digestif avait était irrémédiablement abimé et il ne fonctionnait tout simplement plus. Il a été témoins de ces passions et dit que ce n’était pas du sang qui coulait à proprement parler, mais que c’était sous épidermique, il coulait donc sous la peau.
Carole Saya, médecin généraliste nous dit que sans manger l’homme ne peut tenir qu’entre trois et huit jours en moyenne. Elle nous fait remarquer que pour parler, sourire etc., il faut contracter des muscles et pour pouvoir les contracter, il faut de l’énergie, et l’énergie s’est avoir de la matière première, donc de la nourriture et de l’eau.
Gonzague Mottet, psychiatre dit que Marthe n’était pas malade organiquement. Pour lui, ces manifestations sont le reflet d’une stratégie de lutte contre une angoisse névrotique, une angoisse qui était telle pour elle qu’elle ne pouvait qu'envisager la fuite.
Elle a transformé ses douleurs en don d'amour, elle a accepté de continuer à vivre pour aider ses frères. La plupart de ceux qui l’ont connu diront que c’était la personne la plus extraordinaire qu’ils aient eût à rencontrer. Pour beaucoup c’est une sainte, mais l’église ne s’est pas encore prononcée à ce sujet.
Trente ans après sa mort et alors que son dossier en béatification est désormais à l’étude à Rome, Marthe Robin, inspiratrice des Foyers de charité, continue de susciter une dévotion impressionnante.
Marthe Robin est restée cinquante ans sans se nourrir et pourtant elle a survécu miraculeusement. Revenons sur son enfance et découvrons son histoire.
Marthe naît le 13 mars 1902 à Châteauneuf-de-Galaure dans la Drôme. Elle contracte la fièvre typhoïde ce qui la rend fragile tout le reste de son enfance. Elle tombe malade le 1er décembre 1918 et les médecins pensent à une tumeur cérébrale, suite à quoi elle tombe dans le coma quatre jours durant. Elle sort de cette phase difficile, mais la maladie progresse et elle se retrouve maintenant partiellement paralysée. En avril-mai 1921, elle connait une nouvelle phase de rémission et à partir de mai 1928 se retrouve définitivement paralysée des membres inférieurs. Il semble qu’elle était atteinte d’une encéphalite, une affection inflammatoire des centres nerveux .Son hypersensibilité à la lumière l’obligeait à rester recluse, dans une chambre peu éclairée.
Marthe avait une relation très forte avec Dieu, elle aimait le prier régulièrement et fit sa communion le 15 août 1912. A partir de 1930, elle cessa de s'alimenter de nourriture ‘normale’ et ne consomma plus que des hosties consacrées et cela jusqu’à sa mort, soit 51 ans plus tard. Au début du mois d’octobre 1930 elle commença à recevoir les stigmates, autrement dit, des traces des plaies comme infligées à Jésus-Christ au cours de sa crucifixion et ce phénomène dura jusqu’à sa mort le 6 février 1981.
Elle a reçu dans sa chambre plus de 100.000 personnes, dont 60 évêques et cardinaux, des centaines de prêtres, de consacrés, des célébrités du monde intellectuel, de nombreux fondateurs d'ordres et communautés nouvelles. Elle a aussi fondé une œuvre, les Foyers de Charité, présents dans le monde entier, où l'on prêche des retraites pour la formation des laïcs.
Le docteur Alain Assailly, l’ancien neuropsychiatre de Marthe, nous explique, selon son avis, pourquoi elle ne pouvait plus manger. Il nous dit que son encéphalite avait ‘détraqué’ son mécanisme de déglutition et donc que si elle mangeait, elle recrachait tout par la bouche. Son système digestif avait était irrémédiablement abimé et il ne fonctionnait tout simplement plus. Il a été témoins de ces passions et dit que ce n’était pas du sang qui coulait à proprement parler, mais que c’était sous épidermique, il coulait donc sous la peau.
Carole Saya, médecin généraliste nous dit que sans manger l’homme ne peut tenir qu’entre trois et huit jours en moyenne. Elle nous fait remarquer que pour parler, sourire etc., il faut contracter des muscles et pour pouvoir les contracter, il faut de l’énergie, et l’énergie s’est avoir de la matière première, donc de la nourriture et de l’eau.
Gonzague Mottet, psychiatre dit que Marthe n’était pas malade organiquement. Pour lui, ces manifestations sont le reflet d’une stratégie de lutte contre une angoisse névrotique, une angoisse qui était telle pour elle qu’elle ne pouvait qu'envisager la fuite.
Elle a transformé ses douleurs en don d'amour, elle a accepté de continuer à vivre pour aider ses frères. La plupart de ceux qui l’ont connu diront que c’était la personne la plus extraordinaire qu’ils aient eût à rencontrer. Pour beaucoup c’est une sainte, mais l’église ne s’est pas encore prononcée à ce sujet.
Trente ans après sa mort et alors que son dossier en béatification est désormais à l’étude à Rome, Marthe Robin, inspiratrice des Foyers de charité, continue de susciter une dévotion impressionnante.
[1054958]
titevero (FR1) [None]
:: March 19, 2013, 3:07 p.m.
Black Hills

La forêt de Black Hills est aussi connue dans les légendes sous le nom de forêt de Blair. Les mythes sont nombreux concernant cette forêt. Des meurtres, des disparitions seraient dûs à la pendaison d'une sorcière...
Un projet bien ancien...!
L'ensemble des événements se produisirent dans nommé la forêt des Black Hills, au Maryland. Cette forêt était maudite depuis longtemps. Même les tribus Indiennes ne s'aventuraient jamais dans cette forêt.
Vers 1630, le colonel Nathaniel Blair dirigea une expédition pour parcourir l'emplacement afin de trouver un endroit qui servirait à la construction d'un fort. Il mendia l'aide d'une tribu voisine, et la réponse fut un sabotage de l'expédition. Malgré ce problème, Nathaniel Blair et ses hommes construisirent le fort pour aider à défendre Lord Calvert contre d'autres tribus hostiles et violentes. Le fort fut nommé d'après son fondateur, Blair, et est devenu la ville maudite de Blair, Maryland, en 1634.

Car, un peu plus tard, une bande de 3 garçons accompagnés de leurs chiens retournèrent dans la forêt pour voir si elle était morte. Elle ne l’était pas... Leurs énormes chiens mordirent Elly. Les enfants se munirent de bâtons de bois pointus et commencèrent à la poignarder de ceux-ci. Puis, ils poussèrent de toute leur force afin que le sang se mette à couler. Ensuite, ils la détachèrent et la pendirent à un arbre. À ce moment seulement, elle est morte.
Un an plus tard, en 1786, les 3 enfants décédèrent en plus de la moitié des autres enfants du village. Toute la population craignait une malédiction de la sorcière et lorsque ce fut la saison chaude, tous désertèrent Blair et jurèrent de ne plus jamais mentionner le nom d'Elly Kedward.
Pour plus de 40 années consécutives, la ville fut inhabitée et personne ne s'y aventura, craignant la malédiction. Puis, en 1809, un livre qui passait pour être écrit de la main de la sorcière fut publié. Le Blair Witch Cult, c'est à dire Le culte de la Sorcière de Blair.

À peu près 150 ans plus tard, vers 1785, plusieurs enfants ont accusé Elly Kedward, une immigrante d'origine irlandaise, de faire de la sorcellerie. Les enfants disent qu'elle les a emmenés de force dans sa maison afin de boire leur sang. La peur de toute la population se déclencha, et Elly Kedward fut condamnée et bannie de Blair à jamais. Elle fut attachée à une charrette et laissée seule dans les bois, au milieu d'un hiver hostile. Toute la population de Blair croyait qu'elle était morte d'hypothermie. Mais ils se trompaient...
Vers 1820, comme la ville de Blair était libre, un homme la remarqua. Cet homme se nommait Henry Burkitt. Il acheta la ville au gouvernement. Il rénova ensuite les bâtiments car ceux-ci tombaient en ruine et rebaptisa le village selon son nom, Burkittsville, en 1824.

Cette ville existe encore au Maryland et attire beaucoup de touristes. Quatre années après la fondation, un accident dramatique se produisit à Tappy East Creek. Eileen Treacle Cette fillette a disparu, en août 1825, dans une petite rivière de la forêt des Black Hills nommée Tappy East Creek.

Une douzaine de témoins ont assistés à cette scène horrifiante et dramatique. Une main aurait apparemment émergé de l'eau pour entraîner la fillette vers le fond. Pendant de sérieuses recherches qui durèrent un bon moment, on ne trouva aucune trace du corps de la fillette.
De plus, les 15 jours qui suivirent, on retrouva de petits amas de branches liées ensemble par de la ficelle qui flottaient à la surface de la rivière. De plus, l'eau devint d'une texture huileuse et était contaminée pour plusieurs mois.
Puis En 1886 il se produisit un autre accident impliquant Robin Weaver ainsi que l'équipe de recherche. Une jeune fille du nom de Robin Weaver s'est perdue dans la forêt. Plusieurs jours se sont écoulés et ses parents s'inquiétèrent gravement. Une expédition de secours fut formée pour parcourir la forêt pour trouver la jeune fille égarée. Pendant que l'expédition la cherchait au fond des bois, Robin Weaver une fillette âgée de 8 ans, qui s'était enfuie de chez elle et perdue dans la forêt des Black Hills, affirmait qu'elle se promenait dans les bois et rencontra une vieille dame qui ne marchait pas, mais semblait flotter à un pouce au-dessus du sol.
La dame prit la jeune fille par la main et l'amena dans une maison dans les bois, où elle laissa la fille dans le sous-sol, promettant de revenir. Robin Weaver s'assit par terre dans le sous-sol pendant longtemps, attendant le retour de la vieille dame, mais a commencé à avoir peur et s'est enfuie. Elle a éventuellement trouvé le chemin du retour.
Toutefois, après que Robin Weaver soit revenue seule, l'expédition de secours n'était toujours pas rentrée. Ainsi un deuxième groupe de recherche fut organisé pour les trouver. La recherche se termina à Coffin Rock, près de la crique où Eileen Traecle était morte moins de cinquante ans avant. Les hommes de la première équipe de recherche furent retrouvés morts et éviscérés. La deuxième équipe affirme avoir trouvé les corps des membres de la première équipe dépouillés de leurs vêtements, attaché les uns aux autres en pentagramme sur Coffin Rock. Leurs intestins avaient été sortis et répandus au centre. Sur leurs poitrines, mains, pieds et fronts, des étranges cryptogrammes avaient été soigneusement gravés dans leur peau.

Ils sont revenus à la hâte en ville pour des renforts, mais quand ils sont revenus à Coffin Rock, les corps avaient disparu. Il y avait des évidences de sang et de cordes sur la roche et l'odeur de la mort planait dans les airs, mais les corps ne furent jamais retrouvés.
En 1940, il se produisit l'accident impliquant Rustin Parr, un ermite, et les 8 enfants qu'il enleva, dont 1 qui survécu.
La police ne pouvait pas enquêter, puisqu'il n'y avait aucune piste. Un jour, Rustin Parr arriva au marché de Burkittsville et déclara "J'ai enfin fini." Lorsqu'on lui demandait ce qu'il avait fini, il se répétait. Il emmena la police chez lui et ceux-ci fouillèrent sa maison de fond en comble. Ce qu'ils trouvèrent au sous-sol était terrifiant. Ils trouvèrent les 7 enfants enterrés, morts assassinés.


Il y en avait un qui avait survécu, Kyle Brody.
Celui-ci était traumatisé, on l'avait retrouvé debout dans un coin de la cave. Rustin prenait deux enfants à la fois, Il en tuait un pendant qu'il mettait l'autre dans un coin, face au mur. Puis, lorsque l'autre était mort, il prenait celui qui était dans le coin du mur et l'assassinait lui aussi. Lorsque la police déterra les cadavres, ils trouvèrent d'étranges signes sur les mains, visage, poitrine et les chevilles des 7 victimes, du Transitus Fluvii le langage de la sorcellerie.
Rustin Parr affirma qu'une voix de femme lui dictait quoi faire au moment où il tuait les enfants.
Le témoignage de Kyle Brody fut utilisé contre Rustin Parr au procès de celui-ci. Parr dit en cour qu'une femme lui disait quoi faire et lorsqu'il eut fini le 7ème meurtre, elle lui avait dit qu'il était enfin libre et qu'il devait aller en ville pour tout avouer si il voulait être tranquille dorénavant.
Finalement, il fut condamné à être pendu. Et sa maison fut brûlée.


Lorsque Kyle vieillit, il devint criminel, ce qui l'a conduit au Maryland State Institute for the Criminally Insane (MSICI), au Baltimore. Il y passa une bonne partie de sa vie, c'est à dire de 1950 à 1960.
Dans un documentaire tourné en 1969, "White Enamel", on voit le centre psychiatrique où se trouvait Kyle (MSICI). Dans un extrait du documentaire, on le voit qui fredonne la chanson "Never Given" la phrase que Rustin Parr a criée dans sa cellule la nuit précédente sa pendaison.
En octobre 1994, trois jeunes cinéastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnée dans la foret de Black Hill au cours d'un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquête. Le Projet Blair Witch suit l'itinéraire éprouvant des trois cinéastes a travers la foret de Black Hills et rend compte des événements terrifiants qui s'y sont déroulés. A ce jour, les trois cinéastes sont toujours portes disparus.

La forêt de Black Hills est aussi connue dans les légendes sous le nom de forêt de Blair. Les mythes sont nombreux concernant cette forêt. Des meurtres, des disparitions seraient dûs à la pendaison d'une sorcière...
Un projet bien ancien...!
L'ensemble des événements se produisirent dans nommé la forêt des Black Hills, au Maryland. Cette forêt était maudite depuis longtemps. Même les tribus Indiennes ne s'aventuraient jamais dans cette forêt.
Vers 1630, le colonel Nathaniel Blair dirigea une expédition pour parcourir l'emplacement afin de trouver un endroit qui servirait à la construction d'un fort. Il mendia l'aide d'une tribu voisine, et la réponse fut un sabotage de l'expédition. Malgré ce problème, Nathaniel Blair et ses hommes construisirent le fort pour aider à défendre Lord Calvert contre d'autres tribus hostiles et violentes. Le fort fut nommé d'après son fondateur, Blair, et est devenu la ville maudite de Blair, Maryland, en 1634.

Car, un peu plus tard, une bande de 3 garçons accompagnés de leurs chiens retournèrent dans la forêt pour voir si elle était morte. Elle ne l’était pas... Leurs énormes chiens mordirent Elly. Les enfants se munirent de bâtons de bois pointus et commencèrent à la poignarder de ceux-ci. Puis, ils poussèrent de toute leur force afin que le sang se mette à couler. Ensuite, ils la détachèrent et la pendirent à un arbre. À ce moment seulement, elle est morte.
Un an plus tard, en 1786, les 3 enfants décédèrent en plus de la moitié des autres enfants du village. Toute la population craignait une malédiction de la sorcière et lorsque ce fut la saison chaude, tous désertèrent Blair et jurèrent de ne plus jamais mentionner le nom d'Elly Kedward.
Pour plus de 40 années consécutives, la ville fut inhabitée et personne ne s'y aventura, craignant la malédiction. Puis, en 1809, un livre qui passait pour être écrit de la main de la sorcière fut publié. Le Blair Witch Cult, c'est à dire Le culte de la Sorcière de Blair.

À peu près 150 ans plus tard, vers 1785, plusieurs enfants ont accusé Elly Kedward, une immigrante d'origine irlandaise, de faire de la sorcellerie. Les enfants disent qu'elle les a emmenés de force dans sa maison afin de boire leur sang. La peur de toute la population se déclencha, et Elly Kedward fut condamnée et bannie de Blair à jamais. Elle fut attachée à une charrette et laissée seule dans les bois, au milieu d'un hiver hostile. Toute la population de Blair croyait qu'elle était morte d'hypothermie. Mais ils se trompaient...
Vers 1820, comme la ville de Blair était libre, un homme la remarqua. Cet homme se nommait Henry Burkitt. Il acheta la ville au gouvernement. Il rénova ensuite les bâtiments car ceux-ci tombaient en ruine et rebaptisa le village selon son nom, Burkittsville, en 1824.

Cette ville existe encore au Maryland et attire beaucoup de touristes. Quatre années après la fondation, un accident dramatique se produisit à Tappy East Creek. Eileen Treacle Cette fillette a disparu, en août 1825, dans une petite rivière de la forêt des Black Hills nommée Tappy East Creek.

Une douzaine de témoins ont assistés à cette scène horrifiante et dramatique. Une main aurait apparemment émergé de l'eau pour entraîner la fillette vers le fond. Pendant de sérieuses recherches qui durèrent un bon moment, on ne trouva aucune trace du corps de la fillette.
De plus, les 15 jours qui suivirent, on retrouva de petits amas de branches liées ensemble par de la ficelle qui flottaient à la surface de la rivière. De plus, l'eau devint d'une texture huileuse et était contaminée pour plusieurs mois.
Puis En 1886 il se produisit un autre accident impliquant Robin Weaver ainsi que l'équipe de recherche. Une jeune fille du nom de Robin Weaver s'est perdue dans la forêt. Plusieurs jours se sont écoulés et ses parents s'inquiétèrent gravement. Une expédition de secours fut formée pour parcourir la forêt pour trouver la jeune fille égarée. Pendant que l'expédition la cherchait au fond des bois, Robin Weaver une fillette âgée de 8 ans, qui s'était enfuie de chez elle et perdue dans la forêt des Black Hills, affirmait qu'elle se promenait dans les bois et rencontra une vieille dame qui ne marchait pas, mais semblait flotter à un pouce au-dessus du sol.
La dame prit la jeune fille par la main et l'amena dans une maison dans les bois, où elle laissa la fille dans le sous-sol, promettant de revenir. Robin Weaver s'assit par terre dans le sous-sol pendant longtemps, attendant le retour de la vieille dame, mais a commencé à avoir peur et s'est enfuie. Elle a éventuellement trouvé le chemin du retour.
Toutefois, après que Robin Weaver soit revenue seule, l'expédition de secours n'était toujours pas rentrée. Ainsi un deuxième groupe de recherche fut organisé pour les trouver. La recherche se termina à Coffin Rock, près de la crique où Eileen Traecle était morte moins de cinquante ans avant. Les hommes de la première équipe de recherche furent retrouvés morts et éviscérés. La deuxième équipe affirme avoir trouvé les corps des membres de la première équipe dépouillés de leurs vêtements, attaché les uns aux autres en pentagramme sur Coffin Rock. Leurs intestins avaient été sortis et répandus au centre. Sur leurs poitrines, mains, pieds et fronts, des étranges cryptogrammes avaient été soigneusement gravés dans leur peau.

Ils sont revenus à la hâte en ville pour des renforts, mais quand ils sont revenus à Coffin Rock, les corps avaient disparu. Il y avait des évidences de sang et de cordes sur la roche et l'odeur de la mort planait dans les airs, mais les corps ne furent jamais retrouvés.
En 1940, il se produisit l'accident impliquant Rustin Parr, un ermite, et les 8 enfants qu'il enleva, dont 1 qui survécu.
La police ne pouvait pas enquêter, puisqu'il n'y avait aucune piste. Un jour, Rustin Parr arriva au marché de Burkittsville et déclara "J'ai enfin fini." Lorsqu'on lui demandait ce qu'il avait fini, il se répétait. Il emmena la police chez lui et ceux-ci fouillèrent sa maison de fond en comble. Ce qu'ils trouvèrent au sous-sol était terrifiant. Ils trouvèrent les 7 enfants enterrés, morts assassinés.


Il y en avait un qui avait survécu, Kyle Brody.
Celui-ci était traumatisé, on l'avait retrouvé debout dans un coin de la cave. Rustin prenait deux enfants à la fois, Il en tuait un pendant qu'il mettait l'autre dans un coin, face au mur. Puis, lorsque l'autre était mort, il prenait celui qui était dans le coin du mur et l'assassinait lui aussi. Lorsque la police déterra les cadavres, ils trouvèrent d'étranges signes sur les mains, visage, poitrine et les chevilles des 7 victimes, du Transitus Fluvii le langage de la sorcellerie.
Rustin Parr affirma qu'une voix de femme lui dictait quoi faire au moment où il tuait les enfants.
Le témoignage de Kyle Brody fut utilisé contre Rustin Parr au procès de celui-ci. Parr dit en cour qu'une femme lui disait quoi faire et lorsqu'il eut fini le 7ème meurtre, elle lui avait dit qu'il était enfin libre et qu'il devait aller en ville pour tout avouer si il voulait être tranquille dorénavant.
Finalement, il fut condamné à être pendu. Et sa maison fut brûlée.


Lorsque Kyle vieillit, il devint criminel, ce qui l'a conduit au Maryland State Institute for the Criminally Insane (MSICI), au Baltimore. Il y passa une bonne partie de sa vie, c'est à dire de 1950 à 1960.
Dans un documentaire tourné en 1969, "White Enamel", on voit le centre psychiatrique où se trouvait Kyle (MSICI). Dans un extrait du documentaire, on le voit qui fredonne la chanson "Never Given" la phrase que Rustin Parr a criée dans sa cellule la nuit précédente sa pendaison.
En octobre 1994, trois jeunes cinéastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnée dans la foret de Black Hill au cours d'un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquête. Le Projet Blair Witch suit l'itinéraire éprouvant des trois cinéastes a travers la foret de Black Hills et rend compte des événements terrifiants qui s'y sont déroulés. A ce jour, les trois cinéastes sont toujours portes disparus.
[1054962]
Bellalouna2 [None]
:: March 19, 2013, 3:35 p.m.
Effrayant... Par contre Titevero je crois qu'un des paragraphes n'est pas à sa place. Le paragraphe juste en dessous du panneau de Burkittsville devrait, il me semble être après le dessin de la charrette...
[1054967]
titevero (FR1) [None]
:: March 19, 2013, 4:37 p.m.
Bellalouna2 a écrit: »Effrayant... Par contre Titevero je crois qu'un des paragraphes n'est pas à sa place. Le paragraphe juste en dessous du panneau de Burkittsville devrait, il me semble être après le dessin de la charrette...
je vois que tu as l'oeil ... je vais y remédier et merci de me lire Bellalouna
[1054968]
titevero (FR1) [None]
:: March 19, 2013, 4:38 p.m.
Un caveau hanté


L’histoire commence au XVIIIe siècle lorsqu’une riche famille de planteurs, les Walronds, font tailler dans le roc corallien du cimetière un caveau pour leur famille. Une dame du nom de Thomasina Goddard, morte en 1807, y fut enterrée.
L’année suivante cependant, ils cédèrent le tombeau à une autre famille de planteurs, la famille Chase. Cette année là, la jeune Mary Ann Chase, âgée de deux ans, était morte d’une des maladies infantiles si fréquentes à l’époque. Pendant les quatre années suivantes, le tombeau resta scellé. C’est le 6 juillet 1812 que la crypte fût ouverte de nouveau pour y placer le cercueil de la petite Dorcas Chase, la soeur aînée de Mary Ann. La population murmurait que la jeune enfant s’était laissée mourir de faim pour échapper à la tyrannie de son père, l’honorable Thomas Chase qui, semble t-il, ne méritait pas du tout son titre honorifique. À peine un mois plus tard, ce dernier suivait sa fille dans la tombe.
L’enterrement de Thomas Chase
Le jour de son enterrement, après avoir enlevé l’énorme dalle qui protégeait l’entrée du tombeau, les esclaves qui faisaient office de fossoyeurs descendirent dans la crypte pour y placer le cercueil de Thomas Chase. Cependant, ils ressortirent en toute hâte. Ils refusèrent obstinément de redescendre à l’intérieur, ce qui troubla la cérémonie. Le pasteur de Christ Church, le révérend Thomas Orderson, entra dans la chambre funéraire pour voir ce qui avait bien pu terroriser les esclaves pour que ces derniers préfèrent être punis plutôt que de redescendre faire leur devoir.
Le révérend fut lui aussi saisi d’une peur panique. Les deux imposants cercueils de plomb des fillettes Chase avaient été déplacés. Ils avaient été mis debout, la tête en bas. Celui de Mrs. Goddard avait été posé sur le coté contre une des parois. On crut à une violation de sépulture de la part des esclaves qui étaient agités depuis quelques temps.

On remit donc les cercueils à leur place et plaça celui de Thomas Chase, un cercueil de plomb énorme qui demandait 8 hommes pour le déplacer, dans la crypte. Ils replacèrent par la suite le lourd bloc de marbre qui scellait la tombe.
Quatre ans plus tard dans le caveau de la famille Chase
Quatre années passèrent avant qu’un nouveau décès, celui du jeune Samuel Brewster Ames, permit d’ouvrir la mystérieuse tombe de nouveau. C’était le 25 septembre 1816.
Cette fois encore, on souleva l’énorme dalle de marbre pour ouvrir l’entrée et le révérend fût le premier à y descendre. Une fois encore, quelqu’un ou quelque chose avait changé les cercueils de place. Cependant, personne n’avait tenté d’ouvrir les cercueils: le vol n’était donc pas la cause de la violation de sépulture.
Le très lourd cercueil de Thomas Chase était dans le coin de la sépulture opposé à celui où il avait été placé quatre années auparavant. Les autres avaient aussi été déplacés. C’était le désordre le plus total. Après que les esclaves aient tout replacé, le pasteur et le secrétaire du gouverneur de l’île, le major Finch, examinèrent le caveau et n’y remarquèrent rien d’insolite.
Le mystère restait entier. Le corps du jeune Ames fut donc placé auprès des autres et ils refermèrent le tombeau une fois de plus, le scellant de nouveau avec la lourde pierre de marbre. Ils démontèrent ensuite le chevalet qui servait à déplacer la dalle et, à titre d’expérience, huit hommes de solides constitutions tentèrent en vain de déplacer la dalle. Elle ne bougea d’un poil. La famille rentra donc à la maison…
Huit semaines plus tard, l’occasion se présenta à nouveau d’ouvrir le tombeau. Le père de Samuel, avait été tué par des esclaves durant une révolte. Le grand chevalet fut donc mis en place et, après d’énormes efforts d’une douzaine d’esclaves, l’entrée fût de nouveau ouverte.
Les phénomènes étranges qui s’étaient produit avaient beaucoup fait parler, donc il ne fallait pas se surprendre qu’un nombre important de curieux s’étaient rassemblés pour voir si l’événement insolite s’était répété. Ils ne furent pas déçus. Le révérend descendit en premier, accompagné du gouverneur de l’île et d’un magistrat.
Avant même que leurs yeux se soient habitués à la noirceur de la crypte, ils avaient déjà l’impression que quelque chose d’inusité s’était produit. Effectivement, 4 des 5 cercueils avaient été déplacés. Seul celui de Mrs. Goddard, un léger cercueil de bois en piètre état, n’avait pas changé de place. Les autres, qui étaient tous en plomb étaient dans le plus grand des désordres.
L’analyse du caveau hanté
Le lendemain, les cercueils furent tous sortis de la crypte et des experts de l’époque inspectèrent minutieusement la tombe. Ils vérifièrent et revérifièrent chaque centimètre de la sépulture en espérant trouver une trace d’infraction ou une entrée. Mais ils constatèrent qu’il n’existait vraiment aucun moyen d’accès autre que la porte principale. Pour accéder au caveau, il aurait donc fallu ériger un chevalet, tentative qui ne serait pas passée inaperçue. Il n’y avait aucune infiltration d’eau et il n’y avait eu aucune secousse sismique depuis la dernière ouverture du tombeau. Bref, ils ne découvrirent rien qui pouvait laisser croire que quelqu’un avait pénétré clandestinement la tombe. Ils replacèrent donc les cercueils à leurs emplacements originaux et cette fois, en plus de replacer l’imposante dalle, ils firent sceller cette dernière avec du ciment.
L’histoire devint de plus en plus populaire. Elle fit non seulement le tour de la Barbade, mais elle se répandit dans toute les Antilles, et même jusqu’en Floride et aux Bahamas. Des curieux affluèrent à la Barbade pour voir l’énigmatique caveau des Chase. Des bateaux faisaient même des détours pour que leurs passagers puissent visiter le fameux cimetière. Les habitants de l’île, eux, attendaient le prochain enterrement avec impatience.
L’enterrement de Thomasina Clarke
Le 7 juillet 1819, c’était le tour de Thomasina Clarke, une amie de la famille, d’être la nouvelle occupante. Des représentants officiels du gouvernement examinèrent avec soin le ciment qui avait servi à sceller la dalle. Tout était en ordre. De plus, les esclaves furent incapables d’enlever la dalle à leur premier essai.
Des vérifications furent réalisées pour s’assurer que tout le ciment avait été correctement enlevé. Ils durent enfoncer des coins de bois à coup de marteau pour bouger la dalle qui refusait de coopérer.Finalement, les esclaves réussirent à soulever la dalle.
Les témoins comprirent rapidement pourquoi la dalle était si difficile à déplacer : le cercueil de Thomas Chase avait été coincé contre cette dernière. Encore cette fois, les cercueils étaient sens dessus dessous. Une fois encore, ils furent sortis de la sépulture, laquelle fut encore totalement inspectée. Toujours aucune trace d’infraction, aucun indice… absolument rien qui puisse expliquer les phénomènes insolites entourant la tombe.
Les méthodes scientifiques
Tout fut remis à sa place et la tombe fut de nouveau scellée avec toutes les précautions scientifiques possibles. Du sable blanc très fin fut placé sur la surface de la crypte et des sceaux de certains officiels furent imprimés dans le ciment qui scellait la tombe. Il était donc impossible d’ouvrir ce dernier sans endommager les marques. On prit note de chaque détail : de la position exacte des cercueils jusqu’à l’épaisseur du sable. On chargea même un membre de la police de venir vérifier l’état de la sépulture et de la dalle à chaque jour. Inutile de dire que la popularité du caveau des Chase augmenta considérablement après cet incident.
Les mois passèrent et finalement, les autorités de la Barbade succombèrent à la tentation après que des témoins aient rapporté des bruits insolites provenant de la sépulture.
C’est le 20 avril 1820 que le gouverneur de la Barbade, Mr. Combermere et plusieurs membres de son entourage ainsi que des différents professionnels inspectèrent religieusement le caveau avant de l’ouvrir. Aucune marque étrange ou irrégulière n’était visible. Cette fois cependant, ce sont les cercueils des enfants qui bloquaient le passage. Les officiels durent passer par-dessus pour inspecter le reste de la sépulture.
Les lourds cercueils de plomb semblaient avoir été projetés dans tous les sens. Seul celui de Mrs. Goddard n’avait pas bougé. Le sable blanc était parfaitement intact. Le tombeau fut de nouveau totalement inspecté. Cette fois, on enfonça même des barres de fer dans la couche rocheuse afin d’y déceler d’éventuels tunnels…Absolument rien, encore une fois. Fatigué de toute cette histoire, le gouverneur fit enlever les cercueils du caveau Chase et les fit inhumer ailleurs.
Les hypothèses du caveau Chase
Ce dernier a été laissé ouvert et n’a jamais plus servi à inhumer. De nombreuses théories ont été avancées sur le sujet, mais le mystère reste entier.
Il semblerait qu’il ait été impossible que ces très lourds cercueils de plomb aient été déplacés de façon naturelle. Sir Arthur Conan Doyle, le créateur du personnage de Sherlock Holmes, émit une hypothèse selon laquelle des forces surnaturelles déplaçaient les cercueils parce qu’ils étaient fait de plomb; ce métal empêchait la décomposition rapide des corps. Peut-être aussi que l’esprit de la jeune fille qui s’était suicidée ne voulait pas reposer éternellement à coté de son cruel père qui l’avait tant fait souffrir… Qui sait ? Une chose est sûre cependant, ils n’ont pas reposé en paix…
En 1820, pour venir à bout de cette énigme, le gouverneur ordonna que l’on retire les cercueils et depuis ce jour le caveau est laissé à l’abandon...


L’histoire commence au XVIIIe siècle lorsqu’une riche famille de planteurs, les Walronds, font tailler dans le roc corallien du cimetière un caveau pour leur famille. Une dame du nom de Thomasina Goddard, morte en 1807, y fut enterrée.
L’année suivante cependant, ils cédèrent le tombeau à une autre famille de planteurs, la famille Chase. Cette année là, la jeune Mary Ann Chase, âgée de deux ans, était morte d’une des maladies infantiles si fréquentes à l’époque. Pendant les quatre années suivantes, le tombeau resta scellé. C’est le 6 juillet 1812 que la crypte fût ouverte de nouveau pour y placer le cercueil de la petite Dorcas Chase, la soeur aînée de Mary Ann. La population murmurait que la jeune enfant s’était laissée mourir de faim pour échapper à la tyrannie de son père, l’honorable Thomas Chase qui, semble t-il, ne méritait pas du tout son titre honorifique. À peine un mois plus tard, ce dernier suivait sa fille dans la tombe.
L’enterrement de Thomas Chase
Le jour de son enterrement, après avoir enlevé l’énorme dalle qui protégeait l’entrée du tombeau, les esclaves qui faisaient office de fossoyeurs descendirent dans la crypte pour y placer le cercueil de Thomas Chase. Cependant, ils ressortirent en toute hâte. Ils refusèrent obstinément de redescendre à l’intérieur, ce qui troubla la cérémonie. Le pasteur de Christ Church, le révérend Thomas Orderson, entra dans la chambre funéraire pour voir ce qui avait bien pu terroriser les esclaves pour que ces derniers préfèrent être punis plutôt que de redescendre faire leur devoir.
Le révérend fut lui aussi saisi d’une peur panique. Les deux imposants cercueils de plomb des fillettes Chase avaient été déplacés. Ils avaient été mis debout, la tête en bas. Celui de Mrs. Goddard avait été posé sur le coté contre une des parois. On crut à une violation de sépulture de la part des esclaves qui étaient agités depuis quelques temps.

On remit donc les cercueils à leur place et plaça celui de Thomas Chase, un cercueil de plomb énorme qui demandait 8 hommes pour le déplacer, dans la crypte. Ils replacèrent par la suite le lourd bloc de marbre qui scellait la tombe.
Quatre ans plus tard dans le caveau de la famille Chase
Quatre années passèrent avant qu’un nouveau décès, celui du jeune Samuel Brewster Ames, permit d’ouvrir la mystérieuse tombe de nouveau. C’était le 25 septembre 1816.
Cette fois encore, on souleva l’énorme dalle de marbre pour ouvrir l’entrée et le révérend fût le premier à y descendre. Une fois encore, quelqu’un ou quelque chose avait changé les cercueils de place. Cependant, personne n’avait tenté d’ouvrir les cercueils: le vol n’était donc pas la cause de la violation de sépulture.
Le très lourd cercueil de Thomas Chase était dans le coin de la sépulture opposé à celui où il avait été placé quatre années auparavant. Les autres avaient aussi été déplacés. C’était le désordre le plus total. Après que les esclaves aient tout replacé, le pasteur et le secrétaire du gouverneur de l’île, le major Finch, examinèrent le caveau et n’y remarquèrent rien d’insolite.
Le mystère restait entier. Le corps du jeune Ames fut donc placé auprès des autres et ils refermèrent le tombeau une fois de plus, le scellant de nouveau avec la lourde pierre de marbre. Ils démontèrent ensuite le chevalet qui servait à déplacer la dalle et, à titre d’expérience, huit hommes de solides constitutions tentèrent en vain de déplacer la dalle. Elle ne bougea d’un poil. La famille rentra donc à la maison…
Huit semaines plus tard, l’occasion se présenta à nouveau d’ouvrir le tombeau. Le père de Samuel, avait été tué par des esclaves durant une révolte. Le grand chevalet fut donc mis en place et, après d’énormes efforts d’une douzaine d’esclaves, l’entrée fût de nouveau ouverte.
Les phénomènes étranges qui s’étaient produit avaient beaucoup fait parler, donc il ne fallait pas se surprendre qu’un nombre important de curieux s’étaient rassemblés pour voir si l’événement insolite s’était répété. Ils ne furent pas déçus. Le révérend descendit en premier, accompagné du gouverneur de l’île et d’un magistrat.
Avant même que leurs yeux se soient habitués à la noirceur de la crypte, ils avaient déjà l’impression que quelque chose d’inusité s’était produit. Effectivement, 4 des 5 cercueils avaient été déplacés. Seul celui de Mrs. Goddard, un léger cercueil de bois en piètre état, n’avait pas changé de place. Les autres, qui étaient tous en plomb étaient dans le plus grand des désordres.
L’analyse du caveau hanté
Le lendemain, les cercueils furent tous sortis de la crypte et des experts de l’époque inspectèrent minutieusement la tombe. Ils vérifièrent et revérifièrent chaque centimètre de la sépulture en espérant trouver une trace d’infraction ou une entrée. Mais ils constatèrent qu’il n’existait vraiment aucun moyen d’accès autre que la porte principale. Pour accéder au caveau, il aurait donc fallu ériger un chevalet, tentative qui ne serait pas passée inaperçue. Il n’y avait aucune infiltration d’eau et il n’y avait eu aucune secousse sismique depuis la dernière ouverture du tombeau. Bref, ils ne découvrirent rien qui pouvait laisser croire que quelqu’un avait pénétré clandestinement la tombe. Ils replacèrent donc les cercueils à leurs emplacements originaux et cette fois, en plus de replacer l’imposante dalle, ils firent sceller cette dernière avec du ciment.
L’histoire devint de plus en plus populaire. Elle fit non seulement le tour de la Barbade, mais elle se répandit dans toute les Antilles, et même jusqu’en Floride et aux Bahamas. Des curieux affluèrent à la Barbade pour voir l’énigmatique caveau des Chase. Des bateaux faisaient même des détours pour que leurs passagers puissent visiter le fameux cimetière. Les habitants de l’île, eux, attendaient le prochain enterrement avec impatience.
L’enterrement de Thomasina Clarke
Le 7 juillet 1819, c’était le tour de Thomasina Clarke, une amie de la famille, d’être la nouvelle occupante. Des représentants officiels du gouvernement examinèrent avec soin le ciment qui avait servi à sceller la dalle. Tout était en ordre. De plus, les esclaves furent incapables d’enlever la dalle à leur premier essai.
Des vérifications furent réalisées pour s’assurer que tout le ciment avait été correctement enlevé. Ils durent enfoncer des coins de bois à coup de marteau pour bouger la dalle qui refusait de coopérer.Finalement, les esclaves réussirent à soulever la dalle.
Les témoins comprirent rapidement pourquoi la dalle était si difficile à déplacer : le cercueil de Thomas Chase avait été coincé contre cette dernière. Encore cette fois, les cercueils étaient sens dessus dessous. Une fois encore, ils furent sortis de la sépulture, laquelle fut encore totalement inspectée. Toujours aucune trace d’infraction, aucun indice… absolument rien qui puisse expliquer les phénomènes insolites entourant la tombe.
Les méthodes scientifiques
Tout fut remis à sa place et la tombe fut de nouveau scellée avec toutes les précautions scientifiques possibles. Du sable blanc très fin fut placé sur la surface de la crypte et des sceaux de certains officiels furent imprimés dans le ciment qui scellait la tombe. Il était donc impossible d’ouvrir ce dernier sans endommager les marques. On prit note de chaque détail : de la position exacte des cercueils jusqu’à l’épaisseur du sable. On chargea même un membre de la police de venir vérifier l’état de la sépulture et de la dalle à chaque jour. Inutile de dire que la popularité du caveau des Chase augmenta considérablement après cet incident.
Les mois passèrent et finalement, les autorités de la Barbade succombèrent à la tentation après que des témoins aient rapporté des bruits insolites provenant de la sépulture.
C’est le 20 avril 1820 que le gouverneur de la Barbade, Mr. Combermere et plusieurs membres de son entourage ainsi que des différents professionnels inspectèrent religieusement le caveau avant de l’ouvrir. Aucune marque étrange ou irrégulière n’était visible. Cette fois cependant, ce sont les cercueils des enfants qui bloquaient le passage. Les officiels durent passer par-dessus pour inspecter le reste de la sépulture.
Les lourds cercueils de plomb semblaient avoir été projetés dans tous les sens. Seul celui de Mrs. Goddard n’avait pas bougé. Le sable blanc était parfaitement intact. Le tombeau fut de nouveau totalement inspecté. Cette fois, on enfonça même des barres de fer dans la couche rocheuse afin d’y déceler d’éventuels tunnels…Absolument rien, encore une fois. Fatigué de toute cette histoire, le gouverneur fit enlever les cercueils du caveau Chase et les fit inhumer ailleurs.
Les hypothèses du caveau Chase
Ce dernier a été laissé ouvert et n’a jamais plus servi à inhumer. De nombreuses théories ont été avancées sur le sujet, mais le mystère reste entier.
Il semblerait qu’il ait été impossible que ces très lourds cercueils de plomb aient été déplacés de façon naturelle. Sir Arthur Conan Doyle, le créateur du personnage de Sherlock Holmes, émit une hypothèse selon laquelle des forces surnaturelles déplaçaient les cercueils parce qu’ils étaient fait de plomb; ce métal empêchait la décomposition rapide des corps. Peut-être aussi que l’esprit de la jeune fille qui s’était suicidée ne voulait pas reposer éternellement à coté de son cruel père qui l’avait tant fait souffrir… Qui sait ? Une chose est sûre cependant, ils n’ont pas reposé en paix…
En 1820, pour venir à bout de cette énigme, le gouverneur ordonna que l’on retire les cercueils et depuis ce jour le caveau est laissé à l’abandon...
[1054970]
System [None]
:: March 19, 2013, 4:47 p.m.
Ça fait peur 
Merci pour ce bon moment de lecture.

Merci pour ce bon moment de lecture.
[1054992]
titevero (FR1) [None]
:: March 19, 2013, 6:49 p.m.
Vampire..vous avez dit Vampire !
HIGHGATE PRES DE LONDRES
L'affaire des vampires de Highgate est l'une des affaires modernes les plus connues actuellement. Mais déjà au XIX e siècle, ce cimetière victorien et romantique avait déjà été l'objet de manifestations surnaturelles présumées avec la présence d'au moins un vampire d'après ce qu'en disent les archives de l'époque. C'est une présentation de l'ensemble du dossier que le groupe de recherche en vampirologie vous propose ici.
[video=dailymotion;xbz77r]http://www.dailymotion.com/video/xbz77r_vampire-le-dossier-de-highgate-pres_webcam[/video]
Depuis l'époque Victorienne s'étend à perte de vue, sur la colline d'Hampstead Hill au nord de Londres, un des plus beau et troublant cimetière d'Europe. Véritable nécropole, celui-ci est sillonné d'allées bordées de nombreux tombeaux baroques et gothiques ainsi que d'une avenue égyptienne. Dans d'autres endroits, les cercueils sont posés à même le sol des caveaux. De toute part, on rivalise de beauté et de romantisme dans le choix des styles des pierres tombales et des monuments funéraires. L'opulente végétation laissée à l'état sauvage ne fait qu'ajouter au charme de l'endroit. Le lieu le plus oppressant et le plus sombre de cette véritable ville, est certainement l'avenue réservée aux excommuniés, parricides et assassins en tout genre.

La légende affirme qu'au XVIII° siècle, un cercueil provenant de Turquie et contenant le corps d'un vampire aurait été entreposé dans une chapelle située à Highgate, par la suite on l'y aurait inhumé. Mais c'est certainement Bram Stoker qui a fait passer ce cimetière dans l'immortalité. Etant membre de la Golden Dawn et ayant été initié à leurs rites magiques, il a du être marqué par ceux-ci et n'était plus profane quant à l'histoire des Immortels. Bram Stoker a installé le Comte Dracula à Carfax qui est situé à Hampstead Hill, c'est aussi dans ce cimetière qu'il fait se reposer Lucie Westenra. A la même époque, il se lia d'amitié avec le peintre et poète Dante Gabriel Rossetti, celui-ci était fou de douleur depuis la mort de son épouse Elizabeth Sidal, celle-ci étant décédée sept ans auparavant d'une overdose de laudanum. Ce serait sur le conseil de Stoker que Rossetti se rendit à Highgate et fractura la tombe où reposait son épouse. Il eut la surprise de découvrir la jeune femme allongée et intacte avec toutes les apparences de la vie, le rose aux joues, les cheveux brillants, comme si elle venait d'être déposée dans cette sépulture. Depuis, pour les habitants du village proche, Highgate a tout d'une ville vampire. Les apparitions y seraient très fréquentes.

En 1970 une entité serait apparue entre les tombes à plusieurs reprises effrayant la population. Deux jeunes filles qui rentraient chez elle et suivaient un raccourci par le cimetière furent poursuivies par une ombre noire et l'une d'elle resta souffrante et subit de nombreuses crises de somnambulisme qui pendant des années l'attirèrent vers un des caveaux du cimetière. L'affaire s'intensifia lorsque l'on découvrit des dizaines de cadavres d'animaux vidés de leur sang.

Les médias furent prévenus par un membre de la British Occult Society appelé David Farrant, à ceux-ci se joignit le Révérend Lord Manchester qui exécuta une séance d'exorcisme à l'intérieur du caveau suspect. Précisions Webmaster heresie.com : ( Dans ce caveau on y découvrit un corps ne semblant ni mort, ni vivant. Manchester voulut le transpercer avec un pieu mais sous peine de se mettre en faute vis à vis de la loi, il se contenta de disperser des sacs d'ail et de placer une croix sur le couvercle du cercueil. Peu de temps ensuite, des ouvriers cimentèrent l'entrée du tombeau mais l'affaire ne s'arrêta pas là... En 1974, le coeur du quartier de Highgate proche du cimetière fut la proie de phénomènes étranges. Une demeure de style gothique, située au carrefour de Crescent road et de l'avenue Road (aujourd'hui détruite) était réputée depuis bien des années hantée.
Manschester procéda a des fouilles minutieuses et découvrit dans la cave le cercueil qu'ils avaient muré quatre ans plus tôt. Manchester et ses complices ôtèrent le couvercle et plantèrent un pieu dans le corps, puis y mirent le feu. L'affaire était donc terminée mais en 1978, la police appréhenda plusieurs personnes qui avaient pénétré dans le cimetière d'Highgate et d'avoir forcé le caveau du vampire. Malgré l'affirmation de ce dernier qui dit avoir tué le vampire, le mystère reste entier, d'autres témoignages attestent que le Prince de la Nuit reposerait toujours à Highgate.
Depuis, le cimetière est devenu un lieu de réunion pour les cérémonies nocturnes de magie noire, des adeptes tentent d'invoquer leur Maître, des tombeaux sont profanés, des cadavres sont arrachés des cercueils et les autorités ont décidés de fermer les grilles de la partie nord qui peut malgré tout être visitée en compagnie d'un guide.
Conclusion
Cette affaire médiatique a donné lieu à plusieurs ouvrages publiés par Sean Manchester et David Farrant : " The Highgate vampire ", " The vampire hunter's handbook ", " Beyong the Highgate vampire ", ou encore " The vampire syndrome ". Les deux chasseurs de vampire ont également conçu des CD audio regroupant leurs passages à la télé ou leurs interviews sur le sujet. Sean Manchester est président de l'organisation " Vampire research society ", tandis que David Farrant est président de la " British occult society " et " The Highgate vampire society ". Pour Manchester, il ne fait aucun doute qu'un vampire sévissait dans l'enceinte du cimetière de Highgate. Farrant, quant à lui, tend plutôt pour un événement surnaturel, peut-être dû aux alignements particuliers des tombes et des bâtiments qui canalisent une énergie psychique. Alors, délire organisé ou réalité ? Sean Manchester a-t-il libéré Londres d'un monstre sanguinaire ? Les descriptions mélodramatiques de Manchester reprennent étrangement tous les éléments du mythe de Dracula. A la fin des années 60, les films des studios de la Hammer étaient encore très populaires, notamment avec le duo Van Helsing / Dracula. Nul doute que l'époque se prêtait au sensationnel et au surnaturel !
HIGHGATE PRES DE LONDRES
L'affaire des vampires de Highgate est l'une des affaires modernes les plus connues actuellement. Mais déjà au XIX e siècle, ce cimetière victorien et romantique avait déjà été l'objet de manifestations surnaturelles présumées avec la présence d'au moins un vampire d'après ce qu'en disent les archives de l'époque. C'est une présentation de l'ensemble du dossier que le groupe de recherche en vampirologie vous propose ici.
[video=dailymotion;xbz77r]http://www.dailymotion.com/video/xbz77r_vampire-le-dossier-de-highgate-pres_webcam[/video]
Depuis l'époque Victorienne s'étend à perte de vue, sur la colline d'Hampstead Hill au nord de Londres, un des plus beau et troublant cimetière d'Europe. Véritable nécropole, celui-ci est sillonné d'allées bordées de nombreux tombeaux baroques et gothiques ainsi que d'une avenue égyptienne. Dans d'autres endroits, les cercueils sont posés à même le sol des caveaux. De toute part, on rivalise de beauté et de romantisme dans le choix des styles des pierres tombales et des monuments funéraires. L'opulente végétation laissée à l'état sauvage ne fait qu'ajouter au charme de l'endroit. Le lieu le plus oppressant et le plus sombre de cette véritable ville, est certainement l'avenue réservée aux excommuniés, parricides et assassins en tout genre.

La légende affirme qu'au XVIII° siècle, un cercueil provenant de Turquie et contenant le corps d'un vampire aurait été entreposé dans une chapelle située à Highgate, par la suite on l'y aurait inhumé. Mais c'est certainement Bram Stoker qui a fait passer ce cimetière dans l'immortalité. Etant membre de la Golden Dawn et ayant été initié à leurs rites magiques, il a du être marqué par ceux-ci et n'était plus profane quant à l'histoire des Immortels. Bram Stoker a installé le Comte Dracula à Carfax qui est situé à Hampstead Hill, c'est aussi dans ce cimetière qu'il fait se reposer Lucie Westenra. A la même époque, il se lia d'amitié avec le peintre et poète Dante Gabriel Rossetti, celui-ci était fou de douleur depuis la mort de son épouse Elizabeth Sidal, celle-ci étant décédée sept ans auparavant d'une overdose de laudanum. Ce serait sur le conseil de Stoker que Rossetti se rendit à Highgate et fractura la tombe où reposait son épouse. Il eut la surprise de découvrir la jeune femme allongée et intacte avec toutes les apparences de la vie, le rose aux joues, les cheveux brillants, comme si elle venait d'être déposée dans cette sépulture. Depuis, pour les habitants du village proche, Highgate a tout d'une ville vampire. Les apparitions y seraient très fréquentes.

En 1970 une entité serait apparue entre les tombes à plusieurs reprises effrayant la population. Deux jeunes filles qui rentraient chez elle et suivaient un raccourci par le cimetière furent poursuivies par une ombre noire et l'une d'elle resta souffrante et subit de nombreuses crises de somnambulisme qui pendant des années l'attirèrent vers un des caveaux du cimetière. L'affaire s'intensifia lorsque l'on découvrit des dizaines de cadavres d'animaux vidés de leur sang.

Les médias furent prévenus par un membre de la British Occult Society appelé David Farrant, à ceux-ci se joignit le Révérend Lord Manchester qui exécuta une séance d'exorcisme à l'intérieur du caveau suspect. Précisions Webmaster heresie.com : ( Dans ce caveau on y découvrit un corps ne semblant ni mort, ni vivant. Manchester voulut le transpercer avec un pieu mais sous peine de se mettre en faute vis à vis de la loi, il se contenta de disperser des sacs d'ail et de placer une croix sur le couvercle du cercueil. Peu de temps ensuite, des ouvriers cimentèrent l'entrée du tombeau mais l'affaire ne s'arrêta pas là... En 1974, le coeur du quartier de Highgate proche du cimetière fut la proie de phénomènes étranges. Une demeure de style gothique, située au carrefour de Crescent road et de l'avenue Road (aujourd'hui détruite) était réputée depuis bien des années hantée.
Manschester procéda a des fouilles minutieuses et découvrit dans la cave le cercueil qu'ils avaient muré quatre ans plus tôt. Manchester et ses complices ôtèrent le couvercle et plantèrent un pieu dans le corps, puis y mirent le feu. L'affaire était donc terminée mais en 1978, la police appréhenda plusieurs personnes qui avaient pénétré dans le cimetière d'Highgate et d'avoir forcé le caveau du vampire. Malgré l'affirmation de ce dernier qui dit avoir tué le vampire, le mystère reste entier, d'autres témoignages attestent que le Prince de la Nuit reposerait toujours à Highgate.
Depuis, le cimetière est devenu un lieu de réunion pour les cérémonies nocturnes de magie noire, des adeptes tentent d'invoquer leur Maître, des tombeaux sont profanés, des cadavres sont arrachés des cercueils et les autorités ont décidés de fermer les grilles de la partie nord qui peut malgré tout être visitée en compagnie d'un guide.
Conclusion
Cette affaire médiatique a donné lieu à plusieurs ouvrages publiés par Sean Manchester et David Farrant : " The Highgate vampire ", " The vampire hunter's handbook ", " Beyong the Highgate vampire ", ou encore " The vampire syndrome ". Les deux chasseurs de vampire ont également conçu des CD audio regroupant leurs passages à la télé ou leurs interviews sur le sujet. Sean Manchester est président de l'organisation " Vampire research society ", tandis que David Farrant est président de la " British occult society " et " The Highgate vampire society ". Pour Manchester, il ne fait aucun doute qu'un vampire sévissait dans l'enceinte du cimetière de Highgate. Farrant, quant à lui, tend plutôt pour un événement surnaturel, peut-être dû aux alignements particuliers des tombes et des bâtiments qui canalisent une énergie psychique. Alors, délire organisé ou réalité ? Sean Manchester a-t-il libéré Londres d'un monstre sanguinaire ? Les descriptions mélodramatiques de Manchester reprennent étrangement tous les éléments du mythe de Dracula. A la fin des années 60, les films des studios de la Hammer étaient encore très populaires, notamment avec le duo Van Helsing / Dracula. Nul doute que l'époque se prêtait au sensationnel et au surnaturel !
[1055009]
titevero (FR1) [None]
:: March 19, 2013, 7:53 p.m.
Le phare maudit de Tévennec

Ces joyaux de nos côtes que sont les phares, autrefois outils de signalisation synonymes de sécurité pour les marins, restent les témoins d'un temps révolu. Emprisonnant parfois pendant 60 ans leurs gardiens et gardant en huit clos ces tranches de vie recluses du monde extérieur, les phares renferment parfois des légendes surprenantes.

Le phare de Tévennec est damné, selon la légende. Ses gardiens, quand ils ne l'ont pas fui avant, y sont devenus fous ou ont péri de mort violente, ne cesse-t-on de raconter depuis l'automatisation du feu en 1910.
En 35 ans, vingt-trois gardiens dont quatre femmes se sont succédé dans les lieux jugés si inhospitaliers que certains ont demandé leur mutation quelques semaines après leur débarquement à l'exception, d'un qui a tenu 15 ans de 1881 à 1896, révèlent les archives des Phares et balises.
Une succession funèbres.
Le premier gardien de phare entend des voix lui ordonnent en breton : « Kers cuit, kers cuit... Ama ma ma flag », (« Va-t'en, va-t'en, ici, c'est ma place« ). En septembre 1874, Henry Porsmoguer, le deuxième gardien du phare devient fou. Natif de l'île voisine, Sein, il a participé aux travaux de construction des phares Ar-Men et Tévennec. Le feu est allumé le 15 mars 1875 et Henry Porsmoguer doit se charger seul de son entretien. Il ne peut rentrer auprès de sa famille qu'après de longs mois passés sur l'îlot de Tévennec. Il présente sa démission au bout d'un an. En décembre 1875, le troisième gardien, Jean-Marie Rohou né à Plogoff prend son service. Lui aussi, démissionne dès avril 1876.
En 1876, l'administration accepte de prendre en considération l'immense solitude dans laquelle doivent vivre les gardiens. Elle « double » le poste en nommant un second gardien. Guillaume Guézennec, né à Cleden-Cap-Sizun, est nommé à ce nouveau poste, le 1er août 1876. Alain Menou, le second gardien du Tévennec, résiste de 1878 à 1885 puis devient fou. Alerté, le curé de Plogoff bénit le rocher, intimant au diable de s'en aller. Même à deux, les gardiens connaissent des drames. Ainsi, par exemple, le gardien auxiliaire Milliner y meurt sans que l'on puisse lui porter secours... Alexis Kerbiriou se sectionne l'artère fémorale avec son couteau, et se vide de son sang dans les bras de son compagnon qui le veille deux jours et deux nuits jusqu'à la relève.
Cela ne va pas mieux. Les gardiens successifs demandent régulièrement leur nomination à d'autres postes car la vie à Tévennec est trop dure. En 1898, pour résoudre le problème créé par tant de démissions, l'administration propose que les épouses des gardiens vivent à Tévennec. Monsieur et madame Milliner furent les premiers à s'y installer en couple, en janvier 1898. De 1900 à 1905, le couple Quéméré occupe le rocher avec un enfant puis quatre de leurs onze enfants. Une vache et un cochon assurent en partie la subsistance de la famille. Le couple Quéré s'installe en 1905. Le couple Ropartz en 1907. Le gardien Ropartz voit son père happé par une lame. Le couple perd un nouveau-né quand une tornade vint interdire toute communication avec le continent. Le toit de la maison est arraché par un ouragan peu de temps après.
Un dernier couple — les Ropart — accompagné de deux enfants, y séjournera quelque temps. Mais, là encore, ils réclament rapidement leur mutation.
Finalement, face à ces difficultés, l'administration des Ponts et Chaussées renonce à faire garder Tévennec et y installe en 1910 un feu permanent (réalimenté tous les 6 mois). La mesure a sans doute aussi des motifs d'ordre économique. Depuis, plus personne n'a habité à Tévennec.

Ces joyaux de nos côtes que sont les phares, autrefois outils de signalisation synonymes de sécurité pour les marins, restent les témoins d'un temps révolu. Emprisonnant parfois pendant 60 ans leurs gardiens et gardant en huit clos ces tranches de vie recluses du monde extérieur, les phares renferment parfois des légendes surprenantes.

Le phare de Tévennec est damné, selon la légende. Ses gardiens, quand ils ne l'ont pas fui avant, y sont devenus fous ou ont péri de mort violente, ne cesse-t-on de raconter depuis l'automatisation du feu en 1910.
En 35 ans, vingt-trois gardiens dont quatre femmes se sont succédé dans les lieux jugés si inhospitaliers que certains ont demandé leur mutation quelques semaines après leur débarquement à l'exception, d'un qui a tenu 15 ans de 1881 à 1896, révèlent les archives des Phares et balises.
Une succession funèbres.
Le premier gardien de phare entend des voix lui ordonnent en breton : « Kers cuit, kers cuit... Ama ma ma flag », (« Va-t'en, va-t'en, ici, c'est ma place« ). En septembre 1874, Henry Porsmoguer, le deuxième gardien du phare devient fou. Natif de l'île voisine, Sein, il a participé aux travaux de construction des phares Ar-Men et Tévennec. Le feu est allumé le 15 mars 1875 et Henry Porsmoguer doit se charger seul de son entretien. Il ne peut rentrer auprès de sa famille qu'après de longs mois passés sur l'îlot de Tévennec. Il présente sa démission au bout d'un an. En décembre 1875, le troisième gardien, Jean-Marie Rohou né à Plogoff prend son service. Lui aussi, démissionne dès avril 1876.
En 1876, l'administration accepte de prendre en considération l'immense solitude dans laquelle doivent vivre les gardiens. Elle « double » le poste en nommant un second gardien. Guillaume Guézennec, né à Cleden-Cap-Sizun, est nommé à ce nouveau poste, le 1er août 1876. Alain Menou, le second gardien du Tévennec, résiste de 1878 à 1885 puis devient fou. Alerté, le curé de Plogoff bénit le rocher, intimant au diable de s'en aller. Même à deux, les gardiens connaissent des drames. Ainsi, par exemple, le gardien auxiliaire Milliner y meurt sans que l'on puisse lui porter secours... Alexis Kerbiriou se sectionne l'artère fémorale avec son couteau, et se vide de son sang dans les bras de son compagnon qui le veille deux jours et deux nuits jusqu'à la relève.
Cela ne va pas mieux. Les gardiens successifs demandent régulièrement leur nomination à d'autres postes car la vie à Tévennec est trop dure. En 1898, pour résoudre le problème créé par tant de démissions, l'administration propose que les épouses des gardiens vivent à Tévennec. Monsieur et madame Milliner furent les premiers à s'y installer en couple, en janvier 1898. De 1900 à 1905, le couple Quéméré occupe le rocher avec un enfant puis quatre de leurs onze enfants. Une vache et un cochon assurent en partie la subsistance de la famille. Le couple Quéré s'installe en 1905. Le couple Ropartz en 1907. Le gardien Ropartz voit son père happé par une lame. Le couple perd un nouveau-né quand une tornade vint interdire toute communication avec le continent. Le toit de la maison est arraché par un ouragan peu de temps après.
Un dernier couple — les Ropart — accompagné de deux enfants, y séjournera quelque temps. Mais, là encore, ils réclament rapidement leur mutation.
Finalement, face à ces difficultés, l'administration des Ponts et Chaussées renonce à faire garder Tévennec et y installe en 1910 un feu permanent (réalimenté tous les 6 mois). La mesure a sans doute aussi des motifs d'ordre économique. Depuis, plus personne n'a habité à Tévennec.
[1055058]
titevero (FR1) [None]
:: March 20, 2013, 3:35 p.m.
Paranormal une histoire troublante
[video=dailymotion;x823ko]http://www.dailymotion.com/video/x823ko_paranormal-une-histoire-troublante_tech[/video]
Une histoire bien mystérieuse
[video=dailymotion;x6x67w]http://www.dailymotion.com/video/x6x67w_une-histoire-bien-mysterieuse_tech[/video]
énigmatique Châteaux
[video=dailymotion;x83725]http://www.dailymotion.com/video/x83725_enigmatique-chateau_tech[/video]
Un Pont Entre 2 Mondes

Les habitants du village écossais Milton n’osent plus promener leur toutou sur le pont d’Overtoun, qui surplombe la rivière Clyde. Depuis les années 1950, un nombre impressionnant de chiens se sont jetés dans le vide à partir de cet aqueduc, désormais baptisé « The dog suicide bridge ». Toujours de la même façon et au même endroit (côté droit du pont), ils se tuent généralement sur le coup, laissant leur maître dans l’incompréhension.
Un phénomène d’autant plus intriguant que certains chiens, qui ont survécu à leur chute de 15 mètres de haut, sont remontés et ont sauté une nouvelle fois.
L’hypothèse du suicide
Étant donné que les chiens sautent de leur plein gré, la théorie du suicide vient d’emblée à l’esprit. Pourtant, les vétérinaires réfutent cette théorie.
En effet, envisager de se suicider implique des activités cognitives complexes: il faut être conscient de sa propre existence, être capable de se projeter dans l’avenir et enfin comprendre que telle ou telle action entraînera sa mort. Si certains animaux semblent disposer de l’une ou l’autre de ces capacités, les spécialistes doutent de leur aptitude à associer les trois pour en venir à se suicider.
Et quand bien même il s’agirait de suicides, cela n’explique pas pourquoi tous ces chiens décident de mettre fin à leurs jours à cet endroit-là précisément.
Des sons imperceptibles par l’Homme ?
Les chiens détectent des sons que l’oreille humaine ne peut percevoir. Il a donc été envisagé que des forces auditives émaneraient de la rivière et les y attireraient. Mais une fois encore, l’explication tombe à l’eau: des experts en acoustique ont examiné les lieux, et n’y ont rien décelé d’anormal.
Des spécialistes en tout genre et venant du monde entier se sont rendus sur place dans l’espoir de percer les mystères de l’Overtoun Bridge, mais sans succès. Ils ont notamment évoqué la présence d’animaux dont l’odeur alléchante se dégagerait de la rivière, mais il s’agirait d’un phénomène sans précédent.
Un pont entre deux mondes
À défaut de trouver une explication rationnelle, de plus en plus d’habitants croient que les lieux sont hantés. Plusieurs éléments vont d’ailleurs dans ce sens.
Bien avant la création de l’Overtoun Bridge, la mythologie celtique considérait déjà le village écossais comme une contrée « charnière », un lieu de transition entre le monde des vivants et l’au-delà…
De plus, les maîtres des chiens disparus ont rapporté un changement brutal du comportement de leur animal de compagnie, une fois arrivé sur le pont. Constat qui rappelle curieusement une légende: celle d’un homme qui aurait jeté son bébé du haut de ce pont, pris d’une folie soudaine et passagère.
Simple coïncidence? C’est possible. Mais quelle que soit la nature de la force qui pousse ces chiens à se jeter dans le vide, il est grand temps de l’arrêter: près d’un accident par mois est recensé!
[video=dailymotion;x837n7]http://www.dailymotion.com/video/x837n7_un-pont-entre-2-mondes_tech[/video]
La Chaise Maudite de Busby

Il y a 3 siècles, avant d'être pendu, un criminel avait prévenu que quiconque s'assiérait sur sa chaise préférée se condamnerait à une mort certaine. Depuis, cette légende est devenu un défi et tous les touristes, tous les curieux qui s'y sont assis sont morts.
La chaise maudite de Busby est une chaise en chêne qui aurait été maudite par Thomas Busby, un criminel anglais, condamné à mort pour avoir tué son beau-père, Daniel Auty, à coups de marteau, en 1702.
Dans un petit village près de la ville de Thirsk, dans le North Yorkshire en Angleterre, se trouve un établissement désormais connu sous le nom de l’auberge de Busby Stoop, un charmant endroit ayant appartenu à Thomas Busby. De nombreux témoins auraient vu le fantôme de Thomas busby sur sa chaise.
Toutefois, ce ne sont pas ces apparitions, mais sa malédiction qui est devenue un sujet de prédilection du folklore mythique local. Car, plusieurs personnes qui ont siégé sur la chaise maudite sont décédées peu après.
A la fin du XIXème Siècle, un ramoneur et son ami avaient plaisanté à propos de la légende en s’asseyant à plusieurs reprises dans le fauteuil de Busby : ils ont été retrouvés morts le lendemain matin…Une dizaine de témoins, des clients de l’hôtel, ont pu attester la véracité des faits…
Au XXème Siècle, deux pilotes de la Royal Air Force discutaient de la légende de Busby, ils voulaient relever le « défi » du condamné. Le jour même, leur voiture a heurté un arbre : les deux pilotes sont morts.
Plusieurs récits impliquant des cyclistes et des motocyclistes, qui se sont arrêtés à l’auberge pour se rafraîchir et qui s’étaient assis sur la chaise, ont été impliqués dans des accidents de voiture… Tous mortels et se déroulant peu après la visite à l’auberge….
Dans les années 1970, le propriétaire a demandé à ce que la chaise soit retirée du pub. Aujourd’hui, les visiteurs intéressés par la malédiction de Busby peuvent observer la chaise hantée au Musée de Thirsk. Malheureusement, ou heureusement, il n’est plus possible de s’y asseoir…. Depuis 1978, aucune personne n’a siégé sur la Stoop Busby Chair, mais l’auberge est toujours une étape de prédilection pour les chasseurs de fantômes, les curieux et aux touristes en mal de sensations fortes !
Pour s'assurer que plus personne ne s'assiéra sur la chaise maudite, les conservateurs du musée on pris la décision de l'accrocher sur un mur, à 2m de hauteur. La chaise n'a plus été touchée depuis, même pas pour être nettoyée.
Ainsi se termine la légende de la chaise maudite qui a fait un nombre considérable de victime au fil des siècles.

[video=dailymotion;xdihbj]http://www.dailymotion.com/video/xdihbj_la-chaise-maudite_news[/video]
[video=dailymotion;x823ko]http://www.dailymotion.com/video/x823ko_paranormal-une-histoire-troublante_tech[/video]
Une histoire bien mystérieuse
[video=dailymotion;x6x67w]http://www.dailymotion.com/video/x6x67w_une-histoire-bien-mysterieuse_tech[/video]
énigmatique Châteaux
[video=dailymotion;x83725]http://www.dailymotion.com/video/x83725_enigmatique-chateau_tech[/video]
Un Pont Entre 2 Mondes

Les habitants du village écossais Milton n’osent plus promener leur toutou sur le pont d’Overtoun, qui surplombe la rivière Clyde. Depuis les années 1950, un nombre impressionnant de chiens se sont jetés dans le vide à partir de cet aqueduc, désormais baptisé « The dog suicide bridge ». Toujours de la même façon et au même endroit (côté droit du pont), ils se tuent généralement sur le coup, laissant leur maître dans l’incompréhension.
Un phénomène d’autant plus intriguant que certains chiens, qui ont survécu à leur chute de 15 mètres de haut, sont remontés et ont sauté une nouvelle fois.
L’hypothèse du suicide
Étant donné que les chiens sautent de leur plein gré, la théorie du suicide vient d’emblée à l’esprit. Pourtant, les vétérinaires réfutent cette théorie.
En effet, envisager de se suicider implique des activités cognitives complexes: il faut être conscient de sa propre existence, être capable de se projeter dans l’avenir et enfin comprendre que telle ou telle action entraînera sa mort. Si certains animaux semblent disposer de l’une ou l’autre de ces capacités, les spécialistes doutent de leur aptitude à associer les trois pour en venir à se suicider.
Et quand bien même il s’agirait de suicides, cela n’explique pas pourquoi tous ces chiens décident de mettre fin à leurs jours à cet endroit-là précisément.
Des sons imperceptibles par l’Homme ?
Les chiens détectent des sons que l’oreille humaine ne peut percevoir. Il a donc été envisagé que des forces auditives émaneraient de la rivière et les y attireraient. Mais une fois encore, l’explication tombe à l’eau: des experts en acoustique ont examiné les lieux, et n’y ont rien décelé d’anormal.
Des spécialistes en tout genre et venant du monde entier se sont rendus sur place dans l’espoir de percer les mystères de l’Overtoun Bridge, mais sans succès. Ils ont notamment évoqué la présence d’animaux dont l’odeur alléchante se dégagerait de la rivière, mais il s’agirait d’un phénomène sans précédent.
Un pont entre deux mondes
À défaut de trouver une explication rationnelle, de plus en plus d’habitants croient que les lieux sont hantés. Plusieurs éléments vont d’ailleurs dans ce sens.
Bien avant la création de l’Overtoun Bridge, la mythologie celtique considérait déjà le village écossais comme une contrée « charnière », un lieu de transition entre le monde des vivants et l’au-delà…
De plus, les maîtres des chiens disparus ont rapporté un changement brutal du comportement de leur animal de compagnie, une fois arrivé sur le pont. Constat qui rappelle curieusement une légende: celle d’un homme qui aurait jeté son bébé du haut de ce pont, pris d’une folie soudaine et passagère.
Simple coïncidence? C’est possible. Mais quelle que soit la nature de la force qui pousse ces chiens à se jeter dans le vide, il est grand temps de l’arrêter: près d’un accident par mois est recensé!
[video=dailymotion;x837n7]http://www.dailymotion.com/video/x837n7_un-pont-entre-2-mondes_tech[/video]
La Chaise Maudite de Busby

Il y a 3 siècles, avant d'être pendu, un criminel avait prévenu que quiconque s'assiérait sur sa chaise préférée se condamnerait à une mort certaine. Depuis, cette légende est devenu un défi et tous les touristes, tous les curieux qui s'y sont assis sont morts.
La chaise maudite de Busby est une chaise en chêne qui aurait été maudite par Thomas Busby, un criminel anglais, condamné à mort pour avoir tué son beau-père, Daniel Auty, à coups de marteau, en 1702.
Dans un petit village près de la ville de Thirsk, dans le North Yorkshire en Angleterre, se trouve un établissement désormais connu sous le nom de l’auberge de Busby Stoop, un charmant endroit ayant appartenu à Thomas Busby. De nombreux témoins auraient vu le fantôme de Thomas busby sur sa chaise.
Toutefois, ce ne sont pas ces apparitions, mais sa malédiction qui est devenue un sujet de prédilection du folklore mythique local. Car, plusieurs personnes qui ont siégé sur la chaise maudite sont décédées peu après.
A la fin du XIXème Siècle, un ramoneur et son ami avaient plaisanté à propos de la légende en s’asseyant à plusieurs reprises dans le fauteuil de Busby : ils ont été retrouvés morts le lendemain matin…Une dizaine de témoins, des clients de l’hôtel, ont pu attester la véracité des faits…
Au XXème Siècle, deux pilotes de la Royal Air Force discutaient de la légende de Busby, ils voulaient relever le « défi » du condamné. Le jour même, leur voiture a heurté un arbre : les deux pilotes sont morts.
Plusieurs récits impliquant des cyclistes et des motocyclistes, qui se sont arrêtés à l’auberge pour se rafraîchir et qui s’étaient assis sur la chaise, ont été impliqués dans des accidents de voiture… Tous mortels et se déroulant peu après la visite à l’auberge….
Dans les années 1970, le propriétaire a demandé à ce que la chaise soit retirée du pub. Aujourd’hui, les visiteurs intéressés par la malédiction de Busby peuvent observer la chaise hantée au Musée de Thirsk. Malheureusement, ou heureusement, il n’est plus possible de s’y asseoir…. Depuis 1978, aucune personne n’a siégé sur la Stoop Busby Chair, mais l’auberge est toujours une étape de prédilection pour les chasseurs de fantômes, les curieux et aux touristes en mal de sensations fortes !
Pour s'assurer que plus personne ne s'assiéra sur la chaise maudite, les conservateurs du musée on pris la décision de l'accrocher sur un mur, à 2m de hauteur. La chaise n'a plus été touchée depuis, même pas pour être nettoyée.
Ainsi se termine la légende de la chaise maudite qui a fait un nombre considérable de victime au fil des siècles.

[video=dailymotion;xdihbj]http://www.dailymotion.com/video/xdihbj_la-chaise-maudite_news[/video]