Forum: bigfarm-fr
Board: [785] Jeux et divertissements
Topic: [51692] Mythe, conte et légende & Histoires extraordinaires
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titevero (FR1) [None]
:: April 16, 2013, 4:25 p.m.
Hantise : L’antre du mal
Une jeune famille apprend que la maison de ses rêves est une porte vers l’enfer où un démon puissant en sort pour menacer leur vie....
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Une jeune famille apprend que la maison de ses rêves est une porte vers l’enfer où un démon puissant en sort pour menacer leur vie....
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titevero (FR1) [None]
:: April 16, 2013, 5:46 p.m.
Hantise : La maison de la peur
À la suite de son divorce, Steven LaChance n’est pas étonné que ses enfants commencent à avoir des cauchemars. Pourtant, peu de temps après, Steven remarque des faits étranges dans la demeure : fluctuations de la température, perturbation électrique et faibles cris. Il est convaincu que des esprits ont entrepris de s’attaquer à ses enfants et décide de quitter son foyer. Quand une nouvelle famille emménage dans la maison, il leur vient en aide....
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À la suite de son divorce, Steven LaChance n’est pas étonné que ses enfants commencent à avoir des cauchemars. Pourtant, peu de temps après, Steven remarque des faits étranges dans la demeure : fluctuations de la température, perturbation électrique et faibles cris. Il est convaincu que des esprits ont entrepris de s’attaquer à ses enfants et décide de quitter son foyer. Quand une nouvelle famille emménage dans la maison, il leur vient en aide....
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momo57326 [None]
:: April 25, 2013, 2:40 p.m.
bonjour pouvez vous m'aidez titevero2 au jeu ??? merci de votre réponse a bientot au revoir
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titevero (FR1) [None]
:: June 13, 2013, 4:04 p.m.
Poupée Gitane Maléfique
Ce documentaire retrace l'histoire d'une poupée fabriquée il y a plus de 200 ans en Europe de l'est et qui a atterri dans les mains d'un propriétaire australien au 20iême siècle
Cette poupée confectionnée avec le plus grand soin, perruque avec cheveux humains, yeux froid et glacial, un sourire diabolique. Cette poupée à première vue sera capable de faire peur à n'importe qui. On pourrait la comparer avec les gens qui ont peur des nains de jardin.
[video=dailymotion;x9ok0l]http://www.dailymotion.com/video/x9ok0l_poupee-gitane-malefique-1-2_shortfilms[/video]
[video=dailymotion;x9ok1k]http://www.dailymotion.com/video/x9ok1k_poupee-gitane-malefique-2-2_shortfilms[/video]
Ce documentaire retrace l'histoire d'une poupée fabriquée il y a plus de 200 ans en Europe de l'est et qui a atterri dans les mains d'un propriétaire australien au 20iême siècle
Cette poupée confectionnée avec le plus grand soin, perruque avec cheveux humains, yeux froid et glacial, un sourire diabolique. Cette poupée à première vue sera capable de faire peur à n'importe qui. On pourrait la comparer avec les gens qui ont peur des nains de jardin.
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titevero (FR1) [None]
:: June 13, 2013, 4:56 p.m.
Le terrible secret de James Leininger
James Leininger est un jeune garçon de 8 ans qui depuis l'âge de 2 ans semble avoir des souvenirs d'une vie antérieure qu'il aurait eu en tant que pilote dans la Marine pendant la deuxième guerre mondiale. Le garçon connaît de nombreux détails au sujet des avions de cette période et de James Huston un pilote mort au-dessus du Pacifique lors d'une bataille contre les Japonais (Le garçon a découvert le pilote lors d'une sortie avec son père dans un musée aéronautique).
Jim Tucker, est un psychiatre spécialisé qui a étudié de prêt le phénomène des enfants qui semblent avoir des mémoires de vies passées. Il confirme que le cas de James est tout à fait similaire à d'autres enfants qu'il a étudié : "A l'université de Virginie, nous avons étudié plus de 2.500 cas d'enfants qui semblent avoir des connaissances issues de vies antérieures. Elles commencent vers 2 ou 3 ans et disparaissent vers 6 ou 7 ans, quand il découvre par lui-même la vie qui l'entoure et ses propres sources d'intérêts."
Les cas comme celui de James sont toujours vérifiables et se rapportent souvent à une personne précise où un moment important de sa vie ou de l'histoire. À 2 ans et 1/2, James a commencé a montrer des connaissances aéronautiques qui surpassent de beaucoup les capacités d'un enfant de son âge. Ces expériences sont souvent récentes et situées dans le même pays. On remarquera aussi que 70% des décès décrits par les enfants sont de cause non-naturels ou survenus dans des circonstances peu communes !
[video=dailymotion;x823ko]http://www.dailymotion.com/video/x823ko_paranormal-une-histoire-troublante_tech[/video]
James Leininger est un jeune garçon de 8 ans qui depuis l'âge de 2 ans semble avoir des souvenirs d'une vie antérieure qu'il aurait eu en tant que pilote dans la Marine pendant la deuxième guerre mondiale. Le garçon connaît de nombreux détails au sujet des avions de cette période et de James Huston un pilote mort au-dessus du Pacifique lors d'une bataille contre les Japonais (Le garçon a découvert le pilote lors d'une sortie avec son père dans un musée aéronautique).
Jim Tucker, est un psychiatre spécialisé qui a étudié de prêt le phénomène des enfants qui semblent avoir des mémoires de vies passées. Il confirme que le cas de James est tout à fait similaire à d'autres enfants qu'il a étudié : "A l'université de Virginie, nous avons étudié plus de 2.500 cas d'enfants qui semblent avoir des connaissances issues de vies antérieures. Elles commencent vers 2 ou 3 ans et disparaissent vers 6 ou 7 ans, quand il découvre par lui-même la vie qui l'entoure et ses propres sources d'intérêts."
Les cas comme celui de James sont toujours vérifiables et se rapportent souvent à une personne précise où un moment important de sa vie ou de l'histoire. À 2 ans et 1/2, James a commencé a montrer des connaissances aéronautiques qui surpassent de beaucoup les capacités d'un enfant de son âge. Ces expériences sont souvent récentes et situées dans le même pays. On remarquera aussi que 70% des décès décrits par les enfants sont de cause non-naturels ou survenus dans des circonstances peu communes !
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[1063555]
titevero (FR1) [None]
:: June 13, 2013, 5:06 p.m.
L'inconnue de Beney en Woevre
Hiver 2001,Yann traverse une période difficile de sa vie,un divorce douloureux,ses enfants qu'il ne vois que quelques heures par semaines et des trajets à répétition entre son logement et celui de son ex femme.
Ce dimanche de janvier Yann est sur le chemin du retour,il vient de conduire pendant 800 KLM,il est déprimé et fatigué...
[video=dailymotion;xa3gxh]http://www.dailymotion.com/video/xa3gxh_l-inconnue-de-beney-en-woevre_tech[/video]
Hiver 2001,Yann traverse une période difficile de sa vie,un divorce douloureux,ses enfants qu'il ne vois que quelques heures par semaines et des trajets à répétition entre son logement et celui de son ex femme.
Ce dimanche de janvier Yann est sur le chemin du retour,il vient de conduire pendant 800 KLM,il est déprimé et fatigué...
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[1063558]
titevero (FR1) [None]
:: June 13, 2013, 6:14 p.m.
La maison du pendu Dunkerque

Cette maison située près de Dunkerque (plus précisémentau Clipon) à été durant la seconde guerre mondiale le théâtre de nombreux massacres tel que tortures pendaisons,crimes gratuits et barbares de nazis.
Cette bâtisse se dresse au beau milieu des dunes, aujourd'hui, il n 'en reste que les murs. René Manzor lorsqu'il y tourna le sublime film "LE PASSAGE" connaissait son histoire, s'en est-il inspirée?
Légende :
Pour commencer, il faut savoir que la maison est très isolée, elle est loin de tout et il n' y a qu' une simple route en bitume à moitié rongé par le sable. La maison fait face à une digue de sable, qui elle fait face à la mer du nord, d' ailleurs, à marée basse, des centaines de coquillages jonchent le sable fin. La maison semblait avoir l' électricité. Elle est composée d' une cave bouchée aujourd'hui, d' une pièce centrale (d' où se dresse fièrement un long piquet, et plusieurs cheminées 3, il me semble, sans compter celles qui devait se trouver aux étages), et apparemment un reste de "vérandas" ou de cuisine, complètement disparue aujourd'hui. Il y avait certainement un deuxième étage et un troisiéme, mais je ne peux le prouver.
Tout a commencer, par un heureux jour, comme dans toutes les malheureuses histoires. En fait, un jeune homme, un peu rondouillard, qui menait une belle vie et dont ses rondeurs caractérisaient sa joie de vivre, s' installa avec sa femme en ce lieux.
Cette endroit devait être un véritable paradis, imaginez-vous une maison au bord de la mer !
Le conte de fée continua ainsi, avec sa femme, qui venait d' apprendre qu' elle était enceinte. Tout était prés pour écouler de merveilleuses journées sous le soleil du Dunkerquois de l' époque , mais le destin en avait décidé autrement.
Neufs mois, plus tard, la femme allait accoucher, mais, celui-ci se déroula plutôt mal et la femme mourut pendant l' accouchement, puis l' enfant la rejoignit dans le sommeil éternel. L' enfant, mort-né, aurait du être un garçon. En moins de temps qu' il ne faut pour en dire, le rêve se transforma en cauchemar.
La tempête faisait fureur pour célébrer l' événement prochain. Voilà, un mois que la femme et l' enfant était mort, que le conte féerique s' était transformé en un véritable cataclysme. L' homme sortait sa bouteille, comme à son habitude, il était 22 heures, le vent hurlait à la lune, comme un de ces loup charognard. Il soufflait terriblement fort, le ciel s' était teint d' une couleur inhabituelle, la mer se déchaînée plus fort qu' à son habitude, la pluie coulée le long de la façade. L' homme jeta son verre à terre, les yeux bleues si beau qui lui donnait tout son charme, était devenu des yeux noirs, noyés de désespoirs. Il monta sur la chaise de bois, mis la corde autour de son cou, et, d' un coup de pied décidé, poussa la chaise.
L' homme s' était suicidé.

Cette maison située près de Dunkerque (plus précisémentau Clipon) à été durant la seconde guerre mondiale le théâtre de nombreux massacres tel que tortures pendaisons,crimes gratuits et barbares de nazis.
Cette bâtisse se dresse au beau milieu des dunes, aujourd'hui, il n 'en reste que les murs. René Manzor lorsqu'il y tourna le sublime film "LE PASSAGE" connaissait son histoire, s'en est-il inspirée?
Légende :
Pour commencer, il faut savoir que la maison est très isolée, elle est loin de tout et il n' y a qu' une simple route en bitume à moitié rongé par le sable. La maison fait face à une digue de sable, qui elle fait face à la mer du nord, d' ailleurs, à marée basse, des centaines de coquillages jonchent le sable fin. La maison semblait avoir l' électricité. Elle est composée d' une cave bouchée aujourd'hui, d' une pièce centrale (d' où se dresse fièrement un long piquet, et plusieurs cheminées 3, il me semble, sans compter celles qui devait se trouver aux étages), et apparemment un reste de "vérandas" ou de cuisine, complètement disparue aujourd'hui. Il y avait certainement un deuxième étage et un troisiéme, mais je ne peux le prouver.
Tout a commencer, par un heureux jour, comme dans toutes les malheureuses histoires. En fait, un jeune homme, un peu rondouillard, qui menait une belle vie et dont ses rondeurs caractérisaient sa joie de vivre, s' installa avec sa femme en ce lieux.
Cette endroit devait être un véritable paradis, imaginez-vous une maison au bord de la mer !
Le conte de fée continua ainsi, avec sa femme, qui venait d' apprendre qu' elle était enceinte. Tout était prés pour écouler de merveilleuses journées sous le soleil du Dunkerquois de l' époque , mais le destin en avait décidé autrement.
Neufs mois, plus tard, la femme allait accoucher, mais, celui-ci se déroula plutôt mal et la femme mourut pendant l' accouchement, puis l' enfant la rejoignit dans le sommeil éternel. L' enfant, mort-né, aurait du être un garçon. En moins de temps qu' il ne faut pour en dire, le rêve se transforma en cauchemar.
La tempête faisait fureur pour célébrer l' événement prochain. Voilà, un mois que la femme et l' enfant était mort, que le conte féerique s' était transformé en un véritable cataclysme. L' homme sortait sa bouteille, comme à son habitude, il était 22 heures, le vent hurlait à la lune, comme un de ces loup charognard. Il soufflait terriblement fort, le ciel s' était teint d' une couleur inhabituelle, la mer se déchaînée plus fort qu' à son habitude, la pluie coulée le long de la façade. L' homme jeta son verre à terre, les yeux bleues si beau qui lui donnait tout son charme, était devenu des yeux noirs, noyés de désespoirs. Il monta sur la chaise de bois, mis la corde autour de son cou, et, d' un coup de pied décidé, poussa la chaise.
L' homme s' était suicidé.
[1063594]
Bellalouna2 [None]
:: June 14, 2013, 8:27 a.m.
On en arrive à avoir de la peine pour les personnages de ces petites histoires...
[1063634]
titevero (FR1) [None]
:: June 14, 2013, 4:05 p.m.
L’HISTOIRE DES DIAMANTS
L’histoire
Le premier document écrit parlant du diamant est un manuscrit hindou datant du IVè siècle avant J.C mais on pense que les premiers gisements de diamants ont été exploités en Inde dès le VIIIè siècle avant notre ère.
On ne sait pas exactement à partir de quelle date les diamants trouvés en Inde commencèrent à se répandre en Occident. Les pierres précieuses furent acheminées par la Route de la Soie puis, dès le XVè siècle, par le Cap de Bonne Espérance découvert par Vasco de Gama. Lisbonne, Bruges et Venise sont alors des centres de négoce importants.
Puis, au XVIè siècle, Anvers devient le principal centre de négoce, traitant près de la moitié du commerce mondial de diamant.
L’Inde fut jusqu’au XVIIIè siècle l’unique producteur de diamant au monde. On découvre ensuite des gisements de diamant au Brésil puis, au XIXè, siècle en Afrique du Sud.
Depuis lors, la majorité des diamants proviennent du continent africain (environ 60%). Les 4 principaux producteurs sont actuellement : le Botswana, la République démocratique du Congo, la Russie et l’Australie.
Les légendes
Les premières légendes
Dans l’Egypte ancienne, le diamant symbolisait le soleil. On le mettait au milieu de la croix de vie. En Inde, sa dureté lui a valu d’être considéré comme un talisman capable de protéger de tous les dangers. On pensait qu’elle donnait aux guerriers la force nécessaire pour gagner les combats.
Le diamant devint ainsi un symbole de virilité réservé aux hommes et on ne trouve aucune mention de bijoux diamant porté par des femmes avant le XVe siècle.
La légende de la vallée des diamants
La légende raconte qu’Alexandre le Grand découvrit une vallée au fond de laquelle se trouvaient d’innombrables diamants. Cependant, cette vallée était inaccessible et protégée par des serpents et des aigles. Les regards des serpents étant mortels pour l’homme, Alexandre le Grand utilisa des miroirs pour les tuer.
Puis, pour atteindre les diamants, qui étaient au fond de la vallée, il y jeta des morceaux de viande de mouton. Les aigles attrapèrent les morceaux de viande auxquels s’étaient accrochés d’innombrables diamants et les soldats d’Alexandre le Grand n’eurent alors plus qu’à récupérer les diamants dans leurs nids.
La légende des diamants maléfiques
On a souvent associé des malédictions à des diamants célèbres comme le Sancy, l’Orlov, le Régent ou le Hope. Leurs propriétaires successifs ont, en effet, connus des destins tragiques.
Le Hope :
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Ce diamant de couleur bleue taillé en coussin d’un poids de 45,52 carats est toujours considéré comme maudit. Il a notamment appartenu à Louis XIV qui ne le porta qu’une fois et mourut de la petite vérole, puis à Louis XV qui le prêta à Madame du Barry qui finit sur l’échafaud, puis Louis XVI, Marie Antoinette et la princesse Lambale qui ont tous connus des destins tragiques. La malédiction a continué avec le diamantaire qui a retaillé ce diamant et son fils qui ont tous deux connus une mort violente, un joaillier américain qui l’a racheté et fait faillite, un prince russe qui tuera la femme à qui il l’avait prêté…etc. La liste des malédictions est malheureusement encore longue et la légende subsiste sur l’endroit où il se trouve actuellement : certains disent que c’est bien le Hope que l’on peut admirer aujourd’hui à Washington à la Smithsonian Institution , d’autres disent qu’il était à bord du Titanic lorsqu’il a coulé…
Le Sancy :

Est un diamant de 55,25 carats taillé en poire. Il a été qualifié de diamant maléfique car il a notamment appartenu à un soldat qui périra alors que la pierre est sertie sur son casque, puis au comte Nicolas Harlay de Sancy qui le confia à un messager qui sera tué par des voleurs, et, enfin, au roi Charles 1er, qui fut décapité.
L’orlov :

Ce diamant de 189,60 carats aux reflets bleu-vert fut offert par le comte d’Orlov à l’impératrice Catherine pour la reconquérir. Malheureusement, il ne regagna pas son affection.
Le Régent :

Diamant taillé en coussin de 140,50 carats. Il aurait été volé par un esclave qui le vendit à un marin pour pouvoir embarquer sur son bateau. La légende raconte que le marin se serait ensuite pendu.
Le Diamant Hope

Le Hope est un magnifique diamant d'un bleu intense. Il pèse aujourd'hui 45,52 carats, contre 112 carats au début de son existence mouvementée. Ce grand diamant est peut-être la pierre qui a la plus mauvaise réputation. Un grand nombre de ses possesseurs furent malmenés par le sort si bien que l’on croit à un maléfice.

En 1668, un grand voyageur, le marchand Jean-Baptiste Tavernier, négociant en pierres précieuses, rapporte d'Inde l'énorme diamant qui est présenté à Louis XIV. Il fait alors environ 115 carats, il impressionne le roi, qui l'achète. En 1671, Pitau le taille pour en extraire une pierre magnifique de 69 carats, avec des reflets bleu foncé exceptionnels, le "Diamant de la Couronne" était créé.
Le bijou obtenu est plus gros encore que le "Sancy", jusque là le plus beau diamant de la couronne. Il sera le clou du grand insigne de l’ordre de la Toison d’Or de Louis XV.

A cette époque, il avait déjà une solide réputation de porte-malheur. Car on raconte que le Hope avait été arraché à la statue d'une déesse hindoue, Sita, épouse de Rama, septième avatar de Vishnu. Les dieux courroucés se seraient vengés de cet acte infâme en lançant un maléfice au voleur, un prêtre hindou qui aurait péri sous la torture.
Le marchand Tavernier lui même, eu le triste privilège d'être la première victime du diamant maudit : ruiné, il fut dévoré par des chiens sauvages lors d'un de ses voyages en Inde.
e diamant restera un temps dans le Trésor de la Couronne de France. Madame du Barry, Louis XVI et Marie-Antoinette eurent la "chance" d'hériter du "Bleu de France", l'autre nom du "Diamant de la Couronne". Comme chacun sait, ils furent l'un et l'autre guillotiné sous la Révolution.
En 1792, dans l'année qui précéda l'exécution du roi, la pierre fut volée avec l'ensemble des Joyaux de la Couronne. On en retrouva quelques-uns, mais point le diamant bleu. Il réapparut à Londres en 1830 lorsqu’on vit apparaître sur le marché un diamant de 44,5 carats d’un bleu intense, de forme ovale ; les experts s’accordèrent à déclarer que c’était le « Bleu de France ». On découvrit également qu’il a été porté par la reine Marie-Louise d’Espagne puisqu’on le vit dans un portrait que Goya fit d’elle en 1800. Des bruits courent, selon lesquels le diamant volé aurait été taillé sous une nouvelle forme par Wilhelm Fals pour dissimuler sa véritable identité. Bien mal lui en prit ! Ce diamantaire hollandais mourut de chagrin lorsque son fils, Hendrik, lui déroba la pierre. Lequel Hendrik se suicida.
La gemme fut ensuite achetée par Henri Philip Hope banquier américain et collectionneur de diamants de couleur, dont il porte encore le nom. Toute la famille du nouveau propriétaire mourut dans la pauvreté...
Le Hope fut vendu chez Christie’s en 1867, et depuis lors, changea plusieurs fois de mains. Un prince d’Europe orientale l’offrit à une actrice des Folies-Bergère, qu’il tua d’un coup de revolver peu de temps après lui avoir offert le diamant.
En 1901 il est mis aux enchères à Londres, adjugé pour 400.000$ à un négociant pour le Sultan (sanguinaire dit-on) Abdul Hamid de Turquie, n’était que depuis quelques mois en possession de ce diamant quand une révolte de l’armée le chassa du trône en 1909.
Ruiné le Sultan le revend à Drouot (Paris) pour la somme de 80.000$ ! à un autre négociant qui le cède au joailler Cartier. (une autre version, le fait acheter par un prince russe qui l'offre à sa maitresse danseuse aux folies bergères !). Le diamant est revendu en 1911 pour 180.000$ à Evelyn MacLean folle de pierres précieuses, femme du propriétaire du Washington post.
Un Grec, possesseur de la pierre se tua avec toute sa famille dans un accident d’automobile. Deux ans après, c'est une riche américaine, Evelyn Walsh Maclean, qui l'acheta à son tour. Elle perdit son fils dans un accident de voiture. Puis son mari, qui mourut dans un hôpital psychiatrique et, pour finir, sa fille, victime d'une overdose de somnifères en 1946.
En 1947, après la mort d'Evelyn Maclean, le célèbre bijoutier new-yorkais Harry Winston s'empara du sulfureux diamant bleu. Il en fit don en 1958 au Smithsonian Institute de Washington. Le Hope constitue la principale attraction de ce Muséum national d'histoire naturelle.
Il semblerait que, depuis lors, la malédiction se soit interrompue….

Le Sancy diamant maudit
Ce diamant maudit qui, si on en croit la légende, provoqua la mort de 20 des plus illustres personnages historiques que le monde est porté. Découverte en Indes, cette pierre de 55 carats entra pour la première fois dans l'histoire en 1476, lorsque Charles le Téméraire en fit l'acquisition auprès d'un courtier flamand du nom de Louis de Bergame.
Sancy, histoire d'un diamant maudit
Ce reportage vous permettra de découvrir l'histoire du Sancy, ce diamant maudit qui, si on en croit la légende, provoqua la mort de 20 des plus illustres personnages historiques que le monde est porté. Découverte en Indes, cette pierre de 55 carats entra pour la première fois dans l'histoire en 1476, lorsque Charles le Téméraire en fit l'acquisition auprès d'un courtier flamand du nom de Louis de Bergame.
La malédiction venait de débuter son œuvre et ne tarda pas à emporter avec elle la vie de notre pauvre duc qui fut massacré peu de temps après, soit le 5 janvier 1477, lors d'une attaque militaire lancée contre la ville de Nancy. Ce sinistre épisode provoqua la disparition du diamant qui ne réapparut qu'un siècle plus tard, entre les mains du roi Henri III.
À l'assassinat de ce dernier succéderont plusieurs dizaines de morts toutes plus atroce les unes que les autres. Ainsi périront, Henri IV, Charles Ier d'Angleterre, Louis XVI, Marie-Antoinette, Elisabeth de France, Louis XVII et le duc de Berry. De plus, nous pourrions également ajouter à ce funèbre énoncé le nom du dernier véritable propriétaire du Sancy, le Maharadjah Dhiraj de Patiala, qui devint fou à la suite des suicides successifs de chacun des membres de sa famille.
Ainsi, si l'on en croit l'histoire, ce diamant maudit serait parvenu à couter la vie de chacune des personnes qui l'avait possédé et ce, jusqu'à ce qu'il soit enfin mis à l'abri, en 1976, derrière une des vitrines du musée du Louvre à Paris. Malheur donc à celui qui viendrait l'y déloger et permettrait de ce fait à cette sinistre malédiction de reprendre son oeuvre.
Diamant Orloff

Le diamant Orloff qui est actuellement exposé à la fondation du diamant au Kremlin est monté sur le Sceptre impérial de Russie. Il pèse 193 carats et présente la forme et les proportions d’un demi-œuf de poule.
Pendant longtemps, certains historiens et gemmologues ont prétendu que ce diamant était une partie du grand Mogol qui disparu après le pillage de Delhi en 1739. Néanmoins, il apparaît clair aujourd’hui que ces deux diamants ont des origines bien distinctes.
Son histoire commencerait donc en Inde où un grenadier français, ayant déserté pour faire fortune, arriva dans la ville de Srinagar. Il apprit alors que la statue de la déesse locale possédait deux importants diamants en guise d’yeux. Sa « conversion » à l’hindouisme est alors fulgurante. Il gagne vite la confiance des autres fidèles; ce qui lui permet de s’introduire dans le temple, et ainsi de substituer le diamant.
Il s’enfuit alors vers Madras où il vend la pierre à un capitaine de navire. Le diamant est finalement cédé à un marchand perse qui essaya désespérément de s’en séparer jusqu’au jour où il rencontra le prince Grigori Grigorievich Orlov, favori de la tsarine Catherine de Russie. Il aurait acheté le diamant pour la somme de 400 000 florins (450 000 $).
Il lui offrit la pierre espérant regagner les faveurs après ses nombreuses aventures, mais en vain. Le diamant plus néanmoins énormément à Catherine qu’elle le fit monter sur le sceptre impérial. Ce joyau est toujours visible à Moscou.
Le Régent

Selon les rumeurs malveillantes, un esclave le découvrit près de Golconde (Andhra Pradesh) en 1702, le cacha dans un pansement à sa cheville et l'offrit à un matelot pour prix de sa liberté.
Le marin tua l'esclave et prit le diamant brut de 410 carats qu'il vendit 1000 livres sterling au gouverneur anglais de Madras, Thomas Pitt, accusé par ses ennemis de complicité morale avec le meurtrier.
Ce fabuleux diamant est aujourd'hui exposé dans la galerie d'Apollon au Louvre.
L’histoire
Le premier document écrit parlant du diamant est un manuscrit hindou datant du IVè siècle avant J.C mais on pense que les premiers gisements de diamants ont été exploités en Inde dès le VIIIè siècle avant notre ère.
On ne sait pas exactement à partir de quelle date les diamants trouvés en Inde commencèrent à se répandre en Occident. Les pierres précieuses furent acheminées par la Route de la Soie puis, dès le XVè siècle, par le Cap de Bonne Espérance découvert par Vasco de Gama. Lisbonne, Bruges et Venise sont alors des centres de négoce importants.
Puis, au XVIè siècle, Anvers devient le principal centre de négoce, traitant près de la moitié du commerce mondial de diamant.
L’Inde fut jusqu’au XVIIIè siècle l’unique producteur de diamant au monde. On découvre ensuite des gisements de diamant au Brésil puis, au XIXè, siècle en Afrique du Sud.
Depuis lors, la majorité des diamants proviennent du continent africain (environ 60%). Les 4 principaux producteurs sont actuellement : le Botswana, la République démocratique du Congo, la Russie et l’Australie.
Les légendes
Les premières légendes
Dans l’Egypte ancienne, le diamant symbolisait le soleil. On le mettait au milieu de la croix de vie. En Inde, sa dureté lui a valu d’être considéré comme un talisman capable de protéger de tous les dangers. On pensait qu’elle donnait aux guerriers la force nécessaire pour gagner les combats.
Le diamant devint ainsi un symbole de virilité réservé aux hommes et on ne trouve aucune mention de bijoux diamant porté par des femmes avant le XVe siècle.
La légende de la vallée des diamants
La légende raconte qu’Alexandre le Grand découvrit une vallée au fond de laquelle se trouvaient d’innombrables diamants. Cependant, cette vallée était inaccessible et protégée par des serpents et des aigles. Les regards des serpents étant mortels pour l’homme, Alexandre le Grand utilisa des miroirs pour les tuer.
Puis, pour atteindre les diamants, qui étaient au fond de la vallée, il y jeta des morceaux de viande de mouton. Les aigles attrapèrent les morceaux de viande auxquels s’étaient accrochés d’innombrables diamants et les soldats d’Alexandre le Grand n’eurent alors plus qu’à récupérer les diamants dans leurs nids.
La légende des diamants maléfiques
On a souvent associé des malédictions à des diamants célèbres comme le Sancy, l’Orlov, le Régent ou le Hope. Leurs propriétaires successifs ont, en effet, connus des destins tragiques.
Le Hope :
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Ce diamant de couleur bleue taillé en coussin d’un poids de 45,52 carats est toujours considéré comme maudit. Il a notamment appartenu à Louis XIV qui ne le porta qu’une fois et mourut de la petite vérole, puis à Louis XV qui le prêta à Madame du Barry qui finit sur l’échafaud, puis Louis XVI, Marie Antoinette et la princesse Lambale qui ont tous connus des destins tragiques. La malédiction a continué avec le diamantaire qui a retaillé ce diamant et son fils qui ont tous deux connus une mort violente, un joaillier américain qui l’a racheté et fait faillite, un prince russe qui tuera la femme à qui il l’avait prêté…etc. La liste des malédictions est malheureusement encore longue et la légende subsiste sur l’endroit où il se trouve actuellement : certains disent que c’est bien le Hope que l’on peut admirer aujourd’hui à Washington à la Smithsonian Institution , d’autres disent qu’il était à bord du Titanic lorsqu’il a coulé…
Le Sancy :

Est un diamant de 55,25 carats taillé en poire. Il a été qualifié de diamant maléfique car il a notamment appartenu à un soldat qui périra alors que la pierre est sertie sur son casque, puis au comte Nicolas Harlay de Sancy qui le confia à un messager qui sera tué par des voleurs, et, enfin, au roi Charles 1er, qui fut décapité.
L’orlov :

Ce diamant de 189,60 carats aux reflets bleu-vert fut offert par le comte d’Orlov à l’impératrice Catherine pour la reconquérir. Malheureusement, il ne regagna pas son affection.
Le Régent :

Diamant taillé en coussin de 140,50 carats. Il aurait été volé par un esclave qui le vendit à un marin pour pouvoir embarquer sur son bateau. La légende raconte que le marin se serait ensuite pendu.
Le Diamant Hope

Le Hope est un magnifique diamant d'un bleu intense. Il pèse aujourd'hui 45,52 carats, contre 112 carats au début de son existence mouvementée. Ce grand diamant est peut-être la pierre qui a la plus mauvaise réputation. Un grand nombre de ses possesseurs furent malmenés par le sort si bien que l’on croit à un maléfice.

En 1668, un grand voyageur, le marchand Jean-Baptiste Tavernier, négociant en pierres précieuses, rapporte d'Inde l'énorme diamant qui est présenté à Louis XIV. Il fait alors environ 115 carats, il impressionne le roi, qui l'achète. En 1671, Pitau le taille pour en extraire une pierre magnifique de 69 carats, avec des reflets bleu foncé exceptionnels, le "Diamant de la Couronne" était créé.
Le bijou obtenu est plus gros encore que le "Sancy", jusque là le plus beau diamant de la couronne. Il sera le clou du grand insigne de l’ordre de la Toison d’Or de Louis XV.

A cette époque, il avait déjà une solide réputation de porte-malheur. Car on raconte que le Hope avait été arraché à la statue d'une déesse hindoue, Sita, épouse de Rama, septième avatar de Vishnu. Les dieux courroucés se seraient vengés de cet acte infâme en lançant un maléfice au voleur, un prêtre hindou qui aurait péri sous la torture.
Le marchand Tavernier lui même, eu le triste privilège d'être la première victime du diamant maudit : ruiné, il fut dévoré par des chiens sauvages lors d'un de ses voyages en Inde.
e diamant restera un temps dans le Trésor de la Couronne de France. Madame du Barry, Louis XVI et Marie-Antoinette eurent la "chance" d'hériter du "Bleu de France", l'autre nom du "Diamant de la Couronne". Comme chacun sait, ils furent l'un et l'autre guillotiné sous la Révolution.
En 1792, dans l'année qui précéda l'exécution du roi, la pierre fut volée avec l'ensemble des Joyaux de la Couronne. On en retrouva quelques-uns, mais point le diamant bleu. Il réapparut à Londres en 1830 lorsqu’on vit apparaître sur le marché un diamant de 44,5 carats d’un bleu intense, de forme ovale ; les experts s’accordèrent à déclarer que c’était le « Bleu de France ». On découvrit également qu’il a été porté par la reine Marie-Louise d’Espagne puisqu’on le vit dans un portrait que Goya fit d’elle en 1800. Des bruits courent, selon lesquels le diamant volé aurait été taillé sous une nouvelle forme par Wilhelm Fals pour dissimuler sa véritable identité. Bien mal lui en prit ! Ce diamantaire hollandais mourut de chagrin lorsque son fils, Hendrik, lui déroba la pierre. Lequel Hendrik se suicida.
La gemme fut ensuite achetée par Henri Philip Hope banquier américain et collectionneur de diamants de couleur, dont il porte encore le nom. Toute la famille du nouveau propriétaire mourut dans la pauvreté...
Le Hope fut vendu chez Christie’s en 1867, et depuis lors, changea plusieurs fois de mains. Un prince d’Europe orientale l’offrit à une actrice des Folies-Bergère, qu’il tua d’un coup de revolver peu de temps après lui avoir offert le diamant.
En 1901 il est mis aux enchères à Londres, adjugé pour 400.000$ à un négociant pour le Sultan (sanguinaire dit-on) Abdul Hamid de Turquie, n’était que depuis quelques mois en possession de ce diamant quand une révolte de l’armée le chassa du trône en 1909.
Ruiné le Sultan le revend à Drouot (Paris) pour la somme de 80.000$ ! à un autre négociant qui le cède au joailler Cartier. (une autre version, le fait acheter par un prince russe qui l'offre à sa maitresse danseuse aux folies bergères !). Le diamant est revendu en 1911 pour 180.000$ à Evelyn MacLean folle de pierres précieuses, femme du propriétaire du Washington post.
Un Grec, possesseur de la pierre se tua avec toute sa famille dans un accident d’automobile. Deux ans après, c'est une riche américaine, Evelyn Walsh Maclean, qui l'acheta à son tour. Elle perdit son fils dans un accident de voiture. Puis son mari, qui mourut dans un hôpital psychiatrique et, pour finir, sa fille, victime d'une overdose de somnifères en 1946.
En 1947, après la mort d'Evelyn Maclean, le célèbre bijoutier new-yorkais Harry Winston s'empara du sulfureux diamant bleu. Il en fit don en 1958 au Smithsonian Institute de Washington. Le Hope constitue la principale attraction de ce Muséum national d'histoire naturelle.
Il semblerait que, depuis lors, la malédiction se soit interrompue….

Le Sancy diamant maudit
Ce diamant maudit qui, si on en croit la légende, provoqua la mort de 20 des plus illustres personnages historiques que le monde est porté. Découverte en Indes, cette pierre de 55 carats entra pour la première fois dans l'histoire en 1476, lorsque Charles le Téméraire en fit l'acquisition auprès d'un courtier flamand du nom de Louis de Bergame.
Sancy, histoire d'un diamant maudit
Ce reportage vous permettra de découvrir l'histoire du Sancy, ce diamant maudit qui, si on en croit la légende, provoqua la mort de 20 des plus illustres personnages historiques que le monde est porté. Découverte en Indes, cette pierre de 55 carats entra pour la première fois dans l'histoire en 1476, lorsque Charles le Téméraire en fit l'acquisition auprès d'un courtier flamand du nom de Louis de Bergame.
La malédiction venait de débuter son œuvre et ne tarda pas à emporter avec elle la vie de notre pauvre duc qui fut massacré peu de temps après, soit le 5 janvier 1477, lors d'une attaque militaire lancée contre la ville de Nancy. Ce sinistre épisode provoqua la disparition du diamant qui ne réapparut qu'un siècle plus tard, entre les mains du roi Henri III.
À l'assassinat de ce dernier succéderont plusieurs dizaines de morts toutes plus atroce les unes que les autres. Ainsi périront, Henri IV, Charles Ier d'Angleterre, Louis XVI, Marie-Antoinette, Elisabeth de France, Louis XVII et le duc de Berry. De plus, nous pourrions également ajouter à ce funèbre énoncé le nom du dernier véritable propriétaire du Sancy, le Maharadjah Dhiraj de Patiala, qui devint fou à la suite des suicides successifs de chacun des membres de sa famille.
Ainsi, si l'on en croit l'histoire, ce diamant maudit serait parvenu à couter la vie de chacune des personnes qui l'avait possédé et ce, jusqu'à ce qu'il soit enfin mis à l'abri, en 1976, derrière une des vitrines du musée du Louvre à Paris. Malheur donc à celui qui viendrait l'y déloger et permettrait de ce fait à cette sinistre malédiction de reprendre son oeuvre.
Diamant Orloff

Le diamant Orloff qui est actuellement exposé à la fondation du diamant au Kremlin est monté sur le Sceptre impérial de Russie. Il pèse 193 carats et présente la forme et les proportions d’un demi-œuf de poule.
Pendant longtemps, certains historiens et gemmologues ont prétendu que ce diamant était une partie du grand Mogol qui disparu après le pillage de Delhi en 1739. Néanmoins, il apparaît clair aujourd’hui que ces deux diamants ont des origines bien distinctes.
Son histoire commencerait donc en Inde où un grenadier français, ayant déserté pour faire fortune, arriva dans la ville de Srinagar. Il apprit alors que la statue de la déesse locale possédait deux importants diamants en guise d’yeux. Sa « conversion » à l’hindouisme est alors fulgurante. Il gagne vite la confiance des autres fidèles; ce qui lui permet de s’introduire dans le temple, et ainsi de substituer le diamant.
Il s’enfuit alors vers Madras où il vend la pierre à un capitaine de navire. Le diamant est finalement cédé à un marchand perse qui essaya désespérément de s’en séparer jusqu’au jour où il rencontra le prince Grigori Grigorievich Orlov, favori de la tsarine Catherine de Russie. Il aurait acheté le diamant pour la somme de 400 000 florins (450 000 $).
Il lui offrit la pierre espérant regagner les faveurs après ses nombreuses aventures, mais en vain. Le diamant plus néanmoins énormément à Catherine qu’elle le fit monter sur le sceptre impérial. Ce joyau est toujours visible à Moscou.
Le Régent

Selon les rumeurs malveillantes, un esclave le découvrit près de Golconde (Andhra Pradesh) en 1702, le cacha dans un pansement à sa cheville et l'offrit à un matelot pour prix de sa liberté.
Le marin tua l'esclave et prit le diamant brut de 410 carats qu'il vendit 1000 livres sterling au gouverneur anglais de Madras, Thomas Pitt, accusé par ses ennemis de complicité morale avec le meurtrier.
Ce fabuleux diamant est aujourd'hui exposé dans la galerie d'Apollon au Louvre.
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:: June 14, 2013, 5:37 p.m.
La Crevasse du Diable

Mâlain porte bien son nom, il fut consideré comme un ancien lieu de la pratique de sorcellerie noire en France, en effet, l'on raconte l'histoire d'une jeune femme qui, un soir, aurait été emmenée par un homme en noir, jusqu'à une crevasse, reputée pour avoir été appelée "La Crevasse du Diable" qui menerait jusqu'aux enfers. Aussi, le chateau de Mâlain, aujourd'hui en ruine, est lui-meme consideré comme maudit, en effet, le chateau de Mâlain a été construit au dessus de cette "Crevasse du Diable". Il y aurait 666 (chiffres du diable) habitants dans le village de Mâlain.

Mâlain, ce petit village situé en Bourgogne, est depuis fort longtemps le théâtre d’étranges histoires. Dès le moyen-âge, en 1640 exactement, il est le témoin de plusieurs procès en sorcellerie lors desquels, les accusateurs capturaient de prétendu sorcier, leur attachaient les pouces avec les orteils et les jetaient ensuite dans la rivière.
Comme on peut le deviner la plupart des accusés coulaient à pic, lorsque c’était le cas les juges affirmaient alors que ces pauvres gens ne possédaient en réalité aucun pouvoir surnaturel et les déclaraient innocents. Mais il arrivait aussi parfois que certains des prisonniers parvenaient à remonter à la surface, pour les habitants il n’y avait alors plus de doute possible, ils étaient sûrs que ces êtres étaient la source de tous leurs malheurs et les forçaient à couler à coup de fourche.
Ainsi leur famille et leurs descendants, considérez comme infâmes par les villageois, subirent ensuite et jusqu’à il y a peu temps encore, de lourdes persécutions. D’ailleurs il existe encore aujourd’hui dans ce village des familles dont on dit que les membres sont les descendants de ces sorciers.
Même si cette histoire est des plus sinistres il n’en est rien comparée à la légende de ville qui prétend qu’autrefois vivait dans ce village, une jeune et jolie jeune fille blonde prénommée Mâlain, qui était aimée de tous les habitants. Malheureusement ceux-ci n’ont pu rien faire et restèrent stupéfaits lorsqu’un jour un homme noir vint l’enlevé et l’emmena avec lui dans l’antre des enfers. Bizarrement on trouve encore aujourd’hui, situé en contrebas du château de la ville, une grotte que les villageois de l’époque prétendaient qu’elle était l’accès direct aux enfers et qui fut ensuite appelée le trou du diable.
Mais le plus étonnant dans l’histoire de ce village est qu’il était habité, il y a peu de temps encore par 666 habitants. Et comme chacun le sait, 666 est considéré comme le nombre du Diable. Enfin c’est ce qui est dit dans la Bible, plus précisément dans le chapitre 13, verset 18, du livre de l’Apocalypse. 666 y est décrit comme le nombre représentant l’imperfection totale ou le mal absolu, mais il serait également l’incarnation d’un homme ayant vraiment existé, mais dont on ne connait pas réellement l’identité.
Certains ont proposé Néron, ce cruel empereur romain tristement célèbre pour ces persécutions envers les chrétiens. Il paraitrait, selon une science ésotérique qui consiste à associer des lettres avec des chiffres, que l’on obtiendrait pour le nom de Néron le chiffre 666. D’autres prétendent que l’addition des lettres de Lucifer donnerait également 666.
Il n’en fallait pas plus pour que certaines personnes y voient la preuve indiscutable du lien qui existerait entre ce nombre et le Diable lui-même. Le diable, cet ange déchu et maître des enfers qui possède beaucoup de noms différents y compris celui de Malin.
Malin, Mâlain, la ressemblance de ces deux noms est-elle une simple coïncidence ou un avertissement ? La ville de Mâlain serait-elle réellement la porte qui mène aux enfers ? Actuellement personne ne peut le dire, même pas les habitants de ce petit village. Chacun est donc libre de pouvoir se forger sa propre opinion.

Mâlain porte bien son nom, il fut consideré comme un ancien lieu de la pratique de sorcellerie noire en France, en effet, l'on raconte l'histoire d'une jeune femme qui, un soir, aurait été emmenée par un homme en noir, jusqu'à une crevasse, reputée pour avoir été appelée "La Crevasse du Diable" qui menerait jusqu'aux enfers. Aussi, le chateau de Mâlain, aujourd'hui en ruine, est lui-meme consideré comme maudit, en effet, le chateau de Mâlain a été construit au dessus de cette "Crevasse du Diable". Il y aurait 666 (chiffres du diable) habitants dans le village de Mâlain.

Mâlain, ce petit village situé en Bourgogne, est depuis fort longtemps le théâtre d’étranges histoires. Dès le moyen-âge, en 1640 exactement, il est le témoin de plusieurs procès en sorcellerie lors desquels, les accusateurs capturaient de prétendu sorcier, leur attachaient les pouces avec les orteils et les jetaient ensuite dans la rivière.
Comme on peut le deviner la plupart des accusés coulaient à pic, lorsque c’était le cas les juges affirmaient alors que ces pauvres gens ne possédaient en réalité aucun pouvoir surnaturel et les déclaraient innocents. Mais il arrivait aussi parfois que certains des prisonniers parvenaient à remonter à la surface, pour les habitants il n’y avait alors plus de doute possible, ils étaient sûrs que ces êtres étaient la source de tous leurs malheurs et les forçaient à couler à coup de fourche.
Ainsi leur famille et leurs descendants, considérez comme infâmes par les villageois, subirent ensuite et jusqu’à il y a peu temps encore, de lourdes persécutions. D’ailleurs il existe encore aujourd’hui dans ce village des familles dont on dit que les membres sont les descendants de ces sorciers.
Même si cette histoire est des plus sinistres il n’en est rien comparée à la légende de ville qui prétend qu’autrefois vivait dans ce village, une jeune et jolie jeune fille blonde prénommée Mâlain, qui était aimée de tous les habitants. Malheureusement ceux-ci n’ont pu rien faire et restèrent stupéfaits lorsqu’un jour un homme noir vint l’enlevé et l’emmena avec lui dans l’antre des enfers. Bizarrement on trouve encore aujourd’hui, situé en contrebas du château de la ville, une grotte que les villageois de l’époque prétendaient qu’elle était l’accès direct aux enfers et qui fut ensuite appelée le trou du diable.
Mais le plus étonnant dans l’histoire de ce village est qu’il était habité, il y a peu de temps encore par 666 habitants. Et comme chacun le sait, 666 est considéré comme le nombre du Diable. Enfin c’est ce qui est dit dans la Bible, plus précisément dans le chapitre 13, verset 18, du livre de l’Apocalypse. 666 y est décrit comme le nombre représentant l’imperfection totale ou le mal absolu, mais il serait également l’incarnation d’un homme ayant vraiment existé, mais dont on ne connait pas réellement l’identité.
Certains ont proposé Néron, ce cruel empereur romain tristement célèbre pour ces persécutions envers les chrétiens. Il paraitrait, selon une science ésotérique qui consiste à associer des lettres avec des chiffres, que l’on obtiendrait pour le nom de Néron le chiffre 666. D’autres prétendent que l’addition des lettres de Lucifer donnerait également 666.
Il n’en fallait pas plus pour que certaines personnes y voient la preuve indiscutable du lien qui existerait entre ce nombre et le Diable lui-même. Le diable, cet ange déchu et maître des enfers qui possède beaucoup de noms différents y compris celui de Malin.
Malin, Mâlain, la ressemblance de ces deux noms est-elle une simple coïncidence ou un avertissement ? La ville de Mâlain serait-elle réellement la porte qui mène aux enfers ? Actuellement personne ne peut le dire, même pas les habitants de ce petit village. Chacun est donc libre de pouvoir se forger sa propre opinion.
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:: June 14, 2013, 6:23 p.m.
La malédiction de Tecumseh

Tecumseh (1768 – 1813) fut un grand chef Indien de la tribu nord-amérindiennes des Shawnees.
Lafayette dans l'État de l'Indiana, c'est dans ce berceau de la civilisation indienne que tout a commencé au début du XIXe siècle. À cette époque, les colons blancs emmenés par le général William Harrison sont en guerre avec différentes tribus. À la tête de la confédération indienne, un homme décide de résister à l'envahisseur, son nom : Tecumseh. "Tecumseh était le chef des tribus qui étaient restées pour conserver leurs terres. Il a dirigé toute une confédération", Del Bartlett, Président Association du Mémorial de Tippecanoe. Chef de guerre respectée et redoutée, Tecumseh va remporter de nombreuses victoires contre son rival, le général Harrison. "Sur les documents de l'époque, et notamment les rapports issus de l'état-major des armées, on peut lire des messages qui disent clairement : cet homme est de plus en plus fort. L'influence de Tekumse est de plus en plus grande. Il est devenu un danger pour les États-Unis", Mary Moyars-Johnson, historienne. Pour le président des États-Unis et le général Harrison, Tecumseh est l'ennemi public numéro un. Et à force d'offensives, les relations entre les deux camps aboutissent à une bataille historique : la bataille de Tippecanoe ou les Indiens subissent une défaite cuisante.

Alors pour se venger, Tecumseh jette un sort à tous ceux qui ont humilié son peuple. Une malédiction visant le symbole même de l'oppresseur, le président des États-Unis. Et la première victime, bien sûr, est le général Harrison. "Que cela soit vrai ou pas, on rapporte effectivement qu'il existe une malédiction de Tecumseh. Car Harrison est mort très peu de temps après son entrée en fonction en tant que président. En tout cas, certains prétendent effectivement que cette malédiction viserait à le punir de tous les morts qu'il a causé lors de la bataille de Tippecanoe", Mary Moyars-Johnson. La légende prétend que chaque président élu une année se terminant par le chiffre zéro, va mourir de façon brutale avant la fin de son mandat. "Le fait que l'on puisse relier cette légende à la vérité historique, puisque tous les 20 ans nous avons eu un président mort brutalement, vient corroborer la théorie de la malédiction", Mary Moyars-Johnson.

La série commence avec la mort soudaine du président Harrison en 1841, victime d'une pneumonie trois mois après le début de son mandat en 1840. Et la malédiction continue ! Abraham Lincoln, élu en 1860, est assassiné cinq ans plus tard. James Garfield, élu en 1880, est sauvagement assassinés en 1881. William McKinley, élu en 1900, est lui aussi victime d'un assassinat en 1901. 1920, Harding est élu président, trois ans plus tard il meurt brutalement, certains parlent d'empoisonnement. Franklin Roosevelt, élu en 1940, meurt cinq ans plus tard d'une hémorragie cérébrale, quelques semaines après avoir signé les fameux accords de Yalta. 1963, c'est peut-être le plus célèbre de tous les assassinats, celui de John Fitzgerald Kennedy à Dallas. Kennedy tombe sous les balles Lee Harvey Oswald, il avait été élu en 1960. Harrison, Lincoln, Garfield, McKinley, Harding, Roosevelt, Kennedy... La malédiction de Tecumseh semble ne plus s'arrêter. Mais en 1980, un certain Ronald Reagan est élu à son tour. "Certains prétendent que la malédiction a été rompue avec Ronald Reagan qui a survécu à l'attentat dont il a été victime", Mary Moyars-Johnson. Sérieusement blessé, Reagan va survivre. Alors auraient-ils réussi à briser la malédiction ? Quant à Georges W Bush, élu en l'an 2000, il vient de terminer son second mandat présidentiel.
[video=dailymotion;x9gc66]http://www.dailymotion.com/video/x9gc66_les-maledictions-en-amerique_tech[/video]

Tecumseh (1768 – 1813) fut un grand chef Indien de la tribu nord-amérindiennes des Shawnees.
Lafayette dans l'État de l'Indiana, c'est dans ce berceau de la civilisation indienne que tout a commencé au début du XIXe siècle. À cette époque, les colons blancs emmenés par le général William Harrison sont en guerre avec différentes tribus. À la tête de la confédération indienne, un homme décide de résister à l'envahisseur, son nom : Tecumseh. "Tecumseh était le chef des tribus qui étaient restées pour conserver leurs terres. Il a dirigé toute une confédération", Del Bartlett, Président Association du Mémorial de Tippecanoe. Chef de guerre respectée et redoutée, Tecumseh va remporter de nombreuses victoires contre son rival, le général Harrison. "Sur les documents de l'époque, et notamment les rapports issus de l'état-major des armées, on peut lire des messages qui disent clairement : cet homme est de plus en plus fort. L'influence de Tekumse est de plus en plus grande. Il est devenu un danger pour les États-Unis", Mary Moyars-Johnson, historienne. Pour le président des États-Unis et le général Harrison, Tecumseh est l'ennemi public numéro un. Et à force d'offensives, les relations entre les deux camps aboutissent à une bataille historique : la bataille de Tippecanoe ou les Indiens subissent une défaite cuisante.

Alors pour se venger, Tecumseh jette un sort à tous ceux qui ont humilié son peuple. Une malédiction visant le symbole même de l'oppresseur, le président des États-Unis. Et la première victime, bien sûr, est le général Harrison. "Que cela soit vrai ou pas, on rapporte effectivement qu'il existe une malédiction de Tecumseh. Car Harrison est mort très peu de temps après son entrée en fonction en tant que président. En tout cas, certains prétendent effectivement que cette malédiction viserait à le punir de tous les morts qu'il a causé lors de la bataille de Tippecanoe", Mary Moyars-Johnson. La légende prétend que chaque président élu une année se terminant par le chiffre zéro, va mourir de façon brutale avant la fin de son mandat. "Le fait que l'on puisse relier cette légende à la vérité historique, puisque tous les 20 ans nous avons eu un président mort brutalement, vient corroborer la théorie de la malédiction", Mary Moyars-Johnson.

La série commence avec la mort soudaine du président Harrison en 1841, victime d'une pneumonie trois mois après le début de son mandat en 1840. Et la malédiction continue ! Abraham Lincoln, élu en 1860, est assassiné cinq ans plus tard. James Garfield, élu en 1880, est sauvagement assassinés en 1881. William McKinley, élu en 1900, est lui aussi victime d'un assassinat en 1901. 1920, Harding est élu président, trois ans plus tard il meurt brutalement, certains parlent d'empoisonnement. Franklin Roosevelt, élu en 1940, meurt cinq ans plus tard d'une hémorragie cérébrale, quelques semaines après avoir signé les fameux accords de Yalta. 1963, c'est peut-être le plus célèbre de tous les assassinats, celui de John Fitzgerald Kennedy à Dallas. Kennedy tombe sous les balles Lee Harvey Oswald, il avait été élu en 1960. Harrison, Lincoln, Garfield, McKinley, Harding, Roosevelt, Kennedy... La malédiction de Tecumseh semble ne plus s'arrêter. Mais en 1980, un certain Ronald Reagan est élu à son tour. "Certains prétendent que la malédiction a été rompue avec Ronald Reagan qui a survécu à l'attentat dont il a été victime", Mary Moyars-Johnson. Sérieusement blessé, Reagan va survivre. Alors auraient-ils réussi à briser la malédiction ? Quant à Georges W Bush, élu en l'an 2000, il vient de terminer son second mandat présidentiel.
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:: June 14, 2013, 7:19 p.m.
Sympa le village du Malin et la malédiction des Présidents
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:: June 14, 2013, 7:43 p.m.
La caverne aux 300 visages

Dénezé Sous-Doué, un coin de campagne à quelques kilomètres d'Angers. Un endroit paisible et silencieux, mais dans les entrailles du village, un mystérieux souterrain trouble cette apparente tranquillité. Une énigme de l'histoire...

Nous sommes en 1740, Mathieu Chastelain, le curé du village, se promènent tranquillement dans son jardin quand le sol se dérobe sous ses pieds. Il tombe dans une cave où d'étranges statues sont sculptées dans les murs. À l'époque, la découverte effraie les gens et l'évêque d'Angers ordonne le remblaiement immédiat de la cave. Et on entend plus parler de la cave jusqu'à ce jour de 1950, où les enfants du village retrouvent par hasard le passage souterrain.

Cette fois-ci, la découverte ne va pas rester vaine. Les fouilles sont entreprises, la communauté scientifique se mobilise, les archéologues déploient les grands moyens pour tenter d'authentifier l'origine des sculptures. Au total, plus de 300 créatures disgracieuses sculptées sur les parois sont découvertes. Les spécialistes espèrent percer le secret de cette œuvre unique en Occident. Les sculptures seraient-elles de simples œuvres païennes ? Le fruit de rites secrets ou un sanctuaire miraculeux, et de quand datent-elles ?

"Ce qui a permis la dotation, ce sont les personnages, les costumes. Vu ces éléments, on pense que les sculpteurs se trouvaient dans ce lieu au début du XVIe siècle. Mais nous ne pouvons rien affirmer", Chritiane Lefeuvre, Conservateur. Durant les fouilles, les chercheurs sont en quête du moindre indice. On découvre un bélier, l'emblème des bâtisseurs. On devine un visage indien, on recherche désespérément une inscription une signature. Mais on ne trouve rien. Qui a pu donc réaliser cette incroyable fresque ? "Il y a différents styles, ce qui nous permet de dire qu'il y a eu plusieurs sculpteurs. Peut-être un maître, quelques élèves... Qui étaient-ils ? Ça c'est un mystère", Chritiane Lefeuvre. Alors pourquoi ce 300 statues ont été sculptées ? "C'est très païen, c'est satirique. Ça représente une satire politique ou religieuse. C'est de l'art contestataire. Ces gens se sont défoulés dans la pierre. Cette cave est unique, d'ailleurs nous n'avons pas retrouvé une telle densité de sculptures réalisées sous terre, aussi bien en France qu'en Europe. Peut-être découvrirons-nous des indices lors de prochaines fouilles", Chritiane Lefeuvre. C'est ce que tout le monde attend avec impatience pour peut-être découvrir d'autres secrets élevés enfin le voile sur le mystère de Dénezé Sous-Doué.

Dénezé Sous-Doué, un coin de campagne à quelques kilomètres d'Angers. Un endroit paisible et silencieux, mais dans les entrailles du village, un mystérieux souterrain trouble cette apparente tranquillité. Une énigme de l'histoire...

Nous sommes en 1740, Mathieu Chastelain, le curé du village, se promènent tranquillement dans son jardin quand le sol se dérobe sous ses pieds. Il tombe dans une cave où d'étranges statues sont sculptées dans les murs. À l'époque, la découverte effraie les gens et l'évêque d'Angers ordonne le remblaiement immédiat de la cave. Et on entend plus parler de la cave jusqu'à ce jour de 1950, où les enfants du village retrouvent par hasard le passage souterrain.

Cette fois-ci, la découverte ne va pas rester vaine. Les fouilles sont entreprises, la communauté scientifique se mobilise, les archéologues déploient les grands moyens pour tenter d'authentifier l'origine des sculptures. Au total, plus de 300 créatures disgracieuses sculptées sur les parois sont découvertes. Les spécialistes espèrent percer le secret de cette œuvre unique en Occident. Les sculptures seraient-elles de simples œuvres païennes ? Le fruit de rites secrets ou un sanctuaire miraculeux, et de quand datent-elles ?

"Ce qui a permis la dotation, ce sont les personnages, les costumes. Vu ces éléments, on pense que les sculpteurs se trouvaient dans ce lieu au début du XVIe siècle. Mais nous ne pouvons rien affirmer", Chritiane Lefeuvre, Conservateur. Durant les fouilles, les chercheurs sont en quête du moindre indice. On découvre un bélier, l'emblème des bâtisseurs. On devine un visage indien, on recherche désespérément une inscription une signature. Mais on ne trouve rien. Qui a pu donc réaliser cette incroyable fresque ? "Il y a différents styles, ce qui nous permet de dire qu'il y a eu plusieurs sculpteurs. Peut-être un maître, quelques élèves... Qui étaient-ils ? Ça c'est un mystère", Chritiane Lefeuvre. Alors pourquoi ce 300 statues ont été sculptées ? "C'est très païen, c'est satirique. Ça représente une satire politique ou religieuse. C'est de l'art contestataire. Ces gens se sont défoulés dans la pierre. Cette cave est unique, d'ailleurs nous n'avons pas retrouvé une telle densité de sculptures réalisées sous terre, aussi bien en France qu'en Europe. Peut-être découvrirons-nous des indices lors de prochaines fouilles", Chritiane Lefeuvre. C'est ce que tout le monde attend avec impatience pour peut-être découvrir d'autres secrets élevés enfin le voile sur le mystère de Dénezé Sous-Doué.
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:: June 27, 2013, 4:26 p.m.
Angéline, la Légende des Chats

En l’année de grâce 1338, dans un village de Gascogne appelé la Romieu, célèbre par sa belle collégiale édifiée depuis vingt ans, vivaient heureux Vincent et Mariette. Il était bûcheron, et sa femme l’accompagnait souvent dans la foret pour faire des fagots. Ils travaillaient dur, mais avec les volailles, le cochon, les légumes et les fruits du jardin, la table était garnie.

Ils étaient mariés depuis trois ans, lorsque Mariette mit au monde une petite fille qu’ils appelèrent Angéline.

Hélas, Vincent fût écrasé par un arbre qu’il abattait.Mariette inconsolable, se laissa dépérir et deux mois plus tard, elle fut trouvée morte, tenant Angéline dans ses bras.
La petite fut recueillie par une voisine et grandit avec ses enfants comme leur sœur. Angéline montrait une grande attirance pour les chats. Il y en avait toujours deux ou trois autour d’elle qui, la nuit, dormaient dans son lit. Elle partageait souvent son écuelle avec eux.
Angéline, au fil des ans, devenait une solide jeune fille qui aidait bien ses parents adoptifs aux travaux des champs, toujours accompagnée de ses chats. L’an 1342, et les deux années suivantes, l’hiver fut rude, et le printemps et l’été si pluvieux qu’il ne fut pas possible d’ensemencer les champs.
Il s’en suivie une grande disette et malgré la distribution par le Seigneur Arnaud d’Aux des réserves de la collégiales, les habitants de la Romieu n’eurent bientôt plus rien à se mettre sous la dent. Ils pensèrent alors aux chats si nombreux, dans le village et en firent de la gibelotte.

Les parents d’Angéline, sachant combien elle aimait les siens, acceptèrent qu’elle garde un chat et une chatte, à condition de bien les cacher, car les voisins ne demandaient qu’à leur tordre le cou. Angéline enfermait donc le jour, les deux minous dans le grenier, et la nuit les laissaient sortir pour chasser. Mais la famine s’accentuait et beaucoup de villageois mouraient. Angéline et ses parents subsistaient péniblement, en récoltant des racines dans les bois, et quelquefois des champignons, mais c’était piètre pitance.
Très amaigris, ils purent néanmoins surmonter cette triste période et les temps plus cléments permirent enfin de récolter de quoi vivre. Mais à la Romieu ou les chats avaient disparu, les rats avaient proliférer au point de menacer les récoltes. Angéline avec des précautions infinies avaient pu cacher ses chats et avaient eu plusieurs portées.
C’était une vingtaine de greffiers qui s’ébaliaient dans le grenier. Heureusement la maison était isolée. Les villageois se lamentaient devant les dégâts causés par les rats.
C’est alors qu’Angéline annonça qu’elle allait lâcher une vingtaine de chatons que les habitants pourraient adopter.Les rats disparurent rapidement, et c’est ainsi qu’Angéline sauva la Romieu d’un nouveau malheur.

La légende, en toute bonne légende, ne s'arrête pas là : on raconte qu'au fil du temps, Angéline prenait les traits d'un chat : son visage et ses oreilles tendaient à la faire ressembler aux félins qui avaient sauvé La Romieu d'une nouvelle tragédie. En son honneur, sur la place du village, une statuette est érigée : mi-fillette, mi-chat.

C'est en écoutant une grand-mère raconter à ses petits enfants la légende des chats d'Angéline, qu'un sculpteur Orléanais aujourd'hui décédé, Maurice SERREAU, eut l'idée de la faire revivre en déposant des sculptures de chats autour de la place.


En l’année de grâce 1338, dans un village de Gascogne appelé la Romieu, célèbre par sa belle collégiale édifiée depuis vingt ans, vivaient heureux Vincent et Mariette. Il était bûcheron, et sa femme l’accompagnait souvent dans la foret pour faire des fagots. Ils travaillaient dur, mais avec les volailles, le cochon, les légumes et les fruits du jardin, la table était garnie.
Ils étaient mariés depuis trois ans, lorsque Mariette mit au monde une petite fille qu’ils appelèrent Angéline.
Hélas, Vincent fût écrasé par un arbre qu’il abattait.Mariette inconsolable, se laissa dépérir et deux mois plus tard, elle fut trouvée morte, tenant Angéline dans ses bras.
La petite fut recueillie par une voisine et grandit avec ses enfants comme leur sœur. Angéline montrait une grande attirance pour les chats. Il y en avait toujours deux ou trois autour d’elle qui, la nuit, dormaient dans son lit. Elle partageait souvent son écuelle avec eux.
Angéline, au fil des ans, devenait une solide jeune fille qui aidait bien ses parents adoptifs aux travaux des champs, toujours accompagnée de ses chats. L’an 1342, et les deux années suivantes, l’hiver fut rude, et le printemps et l’été si pluvieux qu’il ne fut pas possible d’ensemencer les champs.
Il s’en suivie une grande disette et malgré la distribution par le Seigneur Arnaud d’Aux des réserves de la collégiales, les habitants de la Romieu n’eurent bientôt plus rien à se mettre sous la dent. Ils pensèrent alors aux chats si nombreux, dans le village et en firent de la gibelotte.

Les parents d’Angéline, sachant combien elle aimait les siens, acceptèrent qu’elle garde un chat et une chatte, à condition de bien les cacher, car les voisins ne demandaient qu’à leur tordre le cou. Angéline enfermait donc le jour, les deux minous dans le grenier, et la nuit les laissaient sortir pour chasser. Mais la famine s’accentuait et beaucoup de villageois mouraient. Angéline et ses parents subsistaient péniblement, en récoltant des racines dans les bois, et quelquefois des champignons, mais c’était piètre pitance.
Très amaigris, ils purent néanmoins surmonter cette triste période et les temps plus cléments permirent enfin de récolter de quoi vivre. Mais à la Romieu ou les chats avaient disparu, les rats avaient proliférer au point de menacer les récoltes. Angéline avec des précautions infinies avaient pu cacher ses chats et avaient eu plusieurs portées.
C’était une vingtaine de greffiers qui s’ébaliaient dans le grenier. Heureusement la maison était isolée. Les villageois se lamentaient devant les dégâts causés par les rats.
C’est alors qu’Angéline annonça qu’elle allait lâcher une vingtaine de chatons que les habitants pourraient adopter.Les rats disparurent rapidement, et c’est ainsi qu’Angéline sauva la Romieu d’un nouveau malheur.

La légende, en toute bonne légende, ne s'arrête pas là : on raconte qu'au fil du temps, Angéline prenait les traits d'un chat : son visage et ses oreilles tendaient à la faire ressembler aux félins qui avaient sauvé La Romieu d'une nouvelle tragédie. En son honneur, sur la place du village, une statuette est érigée : mi-fillette, mi-chat.

C'est en écoutant une grand-mère raconter à ses petits enfants la légende des chats d'Angéline, qu'un sculpteur Orléanais aujourd'hui décédé, Maurice SERREAU, eut l'idée de la faire revivre en déposant des sculptures de chats autour de la place.
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cake (FR1) [None]
:: June 28, 2013, 8:36 a.m.
sympas cette histoire avec les chats
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System [None]
:: June 28, 2013, 5:25 p.m.
je ne sais pas ou tu vas chercher tout sa ...mais je kif tout se que tu fais..Bizou ma véro.
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System [None]
:: July 4, 2013, 3:07 p.m.
coucou vero merci pour ses histoire effreyante brrrr...
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titevero (FR1) [None]
:: July 4, 2013, 3:13 p.m.
coucou miss graffitie , c'est super gentil d'avoir laisser une trace de ton passage !!
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titevero (FR1) [None]
:: July 14, 2013, 2:58 p.m.
Les médiums judiciaires sont souvent le dernier recours de familles désespérées. Plusieurs enquêteurs américains n'hésitent pas à se tourner vers les talents de médiums pour résoudre les cas les plus complexes. Par le biais de reconstitutions, d'effets visuels saisissants et d'entrevues, chaque épisode raconte deux histoires captivantes des archives policières.
Meurtre à la Taverne
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titevero (FR1) [None]
:: July 14, 2013, 2:58 p.m.
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https://www.youtube.com/watch?v=nFmAi7tPTlM
https://www.youtube.com/watch?v=lVWubhbzuro